Si on cessait de parler de pirates.

Nonoche, c'est un peu le camion fou lancé à fond sur l'autoroute, que personne n'arrive à stopper. Et en plus, on est tous entrain de lui fournir du carburant pour qu'il ne s'arrête jamais.

Bref, je me désabonne...
 
Nonoche, c'est un peu le camion fou lancé à fond sur l'autoroute, que personne n'arrive à stopper. Et en plus, on est tous entrain de lui fournir du carburant pour qu'il ne s'arrête jamais.

Bref, je me désabonne...

tu as oublié de dire qu'il est à contre sens...;)

:zen::cool:
 
Cela fait plusieurs fois que tu reproduis cette phrase.... tu rabâches, tu rabâches... c'est bien ce que je disais : une perruche dépressive. :siffle: :D:D:D :rolleyes:
QUoi de plus induit que mon discours dans ta démarche statique et donc... non constructive.

T'es carrément gonflé de reprocher aux autres ton propre fonctionnement... Dis tu te relis un peut ? Tu trouves que ta façon de perpétuer l'absence de débat est constructive ? Qand tu arretera de jouer les meccano de la paraphrase et lorsque tu cessera de t'accrocher au ruban de Möbius qui semble constituer ton moyen de penser, alors, éventuellement on gagnera un soupçon d'évolution dans ce faux débat.

Les mêmes causes produisant les mêmes effets, indubitablement j'en reviendrai à répéter que critiquer tous ceux qui débattent ici sans rien verser aux débats soi-même est non seulement stérile mais également facile.

J'attends toujours qu'on me démontre en quoi le piratage est légitime, en quoi la lutte contre le piratage est illégitime, et quel système législatif pourrait un tant soit peu être plus légitime que celui pour lequel nous avons opté. Jusqu'ici les arguments sont loin de m'avoir convaincu, mais il faut croire à te lire que c'est de ma faute et non parce que les arguments ne sont pas assez probants…
 
tu as oublié de dire qu'il est à contre sens...;)

:zen::cool:
... et sur les jantes, dans boucan du diable, reprochant aux autres conducteurs qui arrivent en face de faire trop de bruit avec leur avertisseur sonore
 
J'attends toujours qu'on me démontre en quoi le piratage est légitime, en quoi la lutte contre le piratage est illégitime, et quel système législatif pourrait un tant soit peu être plus légitime que celui pour lequel nous avons opté. J…

Démonstration impossible, car la double question est complètement schizophrène. Voilà tout.

[SIZE=-1]Le positif et le négatif sont en rapport essentiel l'un avec l'autre et se supposent réciproquement. Le pôle nord de l'aimant ne peut être sans le pôle sud

Là dedans tu as la réponse. Tu peux combler ta "quête" dans les écrits de Hegel aussi par exemple.
Le débat peut être clos
[/SIZE]
 
Alors cette phrase là, est inutile :
S'il s'agit de justifier des actes illégaux à cause de ça, non, je ne peux pas te suivre.

Tu voudras bien prendre note du conditionnel dans cette phrase. Faute d'un propos clair, et vu le contexte, j'essaye de comprendre ce que tu veux démontrer, en me gardant de chercher à trahir ta pensée.

Que tu assouplisses ton discours...
L'impression que tu ne prends en compte qu'une partie du sujet... les pirates...
(mais je me trompe peut-être... :) )
Dura lex sed lex...
Mais expliques toi un peu mieux, si tu peux ou veux le faire...

Il y a certains fondamentaux qui, encore une fois, me semblent incontournables : la reconnaissance de la légitimité de la loi et son respect me semblent indispensables à tout débat de bonne foi.
Après, s'il est question de l'améliorer, je suis preneur, toutes les bonnes volontés sont bienvenues. Helas jusqu'ici je n'ai vu que des tentatives de dédouaner le piratage ou de prétendre que la lutte contre le piratage est illégitime. Tant qu'on ne sortira pas de ces arguties, effectivement le bouchon n'avancera guère. Maintenant, dire que c'est de mon seul fait, c'est peut être exagéré…

Quand tu débutes, t'es payé des caouètes et tu n'as pas le choix !...
C'est pas un "fusil sur la tempe", ça ?!...

Si les conditions ne te conviennent pas, nul ne te force à signer, non. C'est là aussi la loi de l'offre et de la demande, et nombreux sont ceux qui commencent leur carrière, quel qu'en soit le domaine, au bas de l'échelle. Quand tu débutes, les éditeurs ne se battront pas pour te signer à moins que ton talent soit éblouissant, il te faut faire tes preuves et rien ne dit que tu feras un succès. Il y a plus de candidats que de places… Si tu signes malgré tout, c'est que tu considères que le contrat t'apporte malgré tout quelque chose (ou alors c'est du masochisme)

Sans parler des contrats non respectés, des auteurs débarqués en cours de série, voire en plein album, des chiffres de "mise en place" et de ventes non communiqués, des bouquins qui finissent en soldes sans que les auteurs soient au courant (adieu les droits d'auteurs !), etc...

Il existe des dispositions légales pour lutter contre certains des abus que tu dénonces. Manifestement ces éditeurs comptent sur un turn-over pour continuer à travailler malgré ces pratiques, chacun ses ambitions. Même sans les attaquer en justice, les auteurs concernés travailleront tout simplement avec d'autres éditeurs plus consciencieux (et il y en a) et continueront leur bonhomme de chemin, quand ces éditeurs continueront leur spécialisation en débutants à pressurer. Pas dit que ça leur donne de quoi être fier de leur catalogue, au final.

Ah !...
J'oubliais; c'est "hors sujet", je parle de la BD...
Pour le retour au sujet...
Le même genre de problème existe en musique...
Il faut donc que tu évoques toutes les facettes du problème; y'a pas que les pirates...

Je veux bien entendre ce que tu dis là (il existe des escrocs partout, je le sais d'autant mieux que j'ai révélé une affaire de contrefaçon de DVD par un éditeur sur mon blog), mais je ne m'explique toujours pas en quoi ça apporte le moindre élément au débat sur le piratage. Au final, ce qu'on pourrait retenir de ce que tu dis, c'est que si les pirates agissent de la sorte en réaction au comportement de certains éditeurs (ce que je ne crois toujours pas être le cas), ils ne font que punir une deuxième fois les auteurs qui se font avoir de la sorte…

La seule chose que l'on retient de tes posts, c'est pirates, pirates, pirates, pirates....
Tu as un destrier blanc ?!... :siffle:

Si seulement, hélas, je n'ai que mes pauvres patounes, et même pas de sancho panza pour m'épauler.
 
Nan, nan, il va répondre... :D :modo:

:siffle:
Ouais mais je présume entendre Nephou qui sortirait tout son attirail de menuisier... tention les doigts, il aurait plus que des clous de charpentiers à dispo :D
 
Si seulement, hélas, je n'ai que mes pauvres patounes, et même pas de sancho panza pour m'épauler.

Kisbizz ? t'es là ? parce que on a besoin d'un moulin à vent pour continuer le bouquin :siffle::D:love: et pis si tu avais une recette de Tarte Tatin maison au passage ça m'intéresse, c'est pour offrir :love: (la tarte, pas la recette :p) :love:
 
Nonoche, c'est un peu le camion fou lancé à fond sur l'autoroute, que personne n'arrive à stopper. Et en plus, on est tous entrain de lui fournir du carburant pour qu'il ne s'arrête jamais.

Bref, je me désabonne...

Je n'ai encore écrabouillé personne, que je sache (à seul contre tous, je ferais fort là quand même)… et vous me faite doucement rire, quand même, avec de pareils reproches. Je prends la peine de répondre à tous les arguments qu'on me présente, et on m'en fait le reproche? Je pensais qu'il s'agissait là d'une forme de respect, et si c'est pris différemment, c'est une considération bien étrange.

C'est quoi le problème, que vous n'arriverez pas à me faire admettre que le piratage c'est bien? On pourrait tout autant émettre le reproche corollaire…
 
Démonstration impossible, car la double question est complètement schizophrène. Voilà tout.

[SIZE=-1]Le positif et le négatif sont en rapport essentiel l'un avec l'autre et se supposent réciproquement. Le pôle nord de l'aimant ne peut être sans le pôle sud

Là dedans tu as la réponse. Tu peux combler ta "quête" dans les écrits de Hegel aussi par exemple.
Le débat peut être clos
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Ah oui, une fois qu'on en arrive à justifier toute exaction et tout crime, et dans le même mouvement remettre en question la légitimité de toute loi, effectivement, il n'y a pas grand chose à ajouter.

J'espère que tu n'oublieras pas ces beaux préceptes si par malheur on devait un jour te causer un quelconque préjudice.
 
[SIZE=-1]ils sont en rapport essentiel l'un avec l'autre et se supposent réciproquement[/SIZE]
 
Ah oui, une fois qu'on en arrive à justifier toute exaction et tout crime, et dans le même mouvement remettre en question la légitimité de toute loi, effectivement, il n'y a pas grand chose à ajouter.

Schizoïde
 
Kisbizz ? t'es là ? parce que on a besoin d'un moulin à vent pour continuer le bouquin :siffle::D:love: et pis si tu avais une recette de Tarte Tatin maison au passage ça m'intéresse, c'est pour offrir :love: (la tarte, pas la recette :p) :love:

Quel sens aigu de l'argumentation… botte donc en touche si ça te chante, mais ça ne plaide guère pour toi. En ce qui me concerne je reste ouvert au débat.
 
Si les conditions ne te conviennent pas, nul ne te force à signer, non. C'est là aussi la loi de l'offre et de la demande, et nombreux sont ceux qui commencent leur carrière, quel qu'en soit le domaine, au bas de l'échelle. Quand tu débutes, les éditeurs ne se battront pas pour te signer à moins que ton talent soit éblouissant, il te faut faire tes preuves et rien ne dit que tu feras un succès. Il y a plus de candidats que de places… Si tu signes malgré tout, c'est que tu considères que le contrat t'apporte malgré tout quelque chose (ou alors c'est du masochisme)
J'ADORE, ne change pas, surtout !!.... :love: :D :D
J'vais faire plombier, tiens !...
Me faire naturaliser polonais, aussi, tiens !...
Bien sûr que tu est obligé de signer à un moment donné; si tu veux commencer... :rolleyes:
J'en ai fait l'expérience; puisque tu parles d'expérience par ailleurs...



Il existe des dispositions légales pour lutter contre certains des abus que tu dénonces. Manifestement ces éditeurs comptent sur un turn-over pour continuer à travailler malgré ces pratiques, chacun ses ambitions. Même sans les attaquer en justice, les auteurs concernés travailleront tout simplement avec d'autres éditeurs plus consciencieux (et il y en a) et continueront leur bonhomme de chemin, quand ces éditeurs continueront leur spécialisation en débutants à pressurer. Pas dit que ça leur donne de quoi être fier de leur catalogue, au final.
S'en foutent, d'être fier, ou pas... :rateau:
T'es pas content, tu dégages !...
Certains auteurs sont bichonnés (pour qu'ils n'aillent pas ailleurs), le reste souque en rythme, ou reste en fond de cale...
J'en reviens au syndicat BD...
Il a été créé, non pas pour brandir le drapeau rouge ou monter des barricades, mais pour obliger, par pression, les éditeurs à respecter les termes des contrats...
Il n'y a que les grands "Noms" qui peuvent se permettrent le temps et la dépense d'argent d'une action en justice...

Va falloir descendre de ton nuage, hein !... :mouais:

:)
 
En ce qui me concerne je reste ouvert au débat.


Ah... bien...

Pardon, deux petites secondes steup...


MOUAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHHAAHHAHAHA :D


désolé, franchement... le referais.... mppppffffffff hihihi... plus...

promis

(Hahemmm, touss-touss)


 
Bien sûr que tu est obligé de signer à un moment donné; si tu veux commencer...

Précisément, si tu signes c'est bien que l'opportunité de pouvoir mettre le pied à l'étrier te semble être une contrepartie équitable à ce qui est demandé par ailleurs… autrement, s'il n'y avait que des inconvénients, encore une fois, à quoi bon signer quoi que ce soit?

Certains auteurs sont bichonnés (pour qu'ils n'aillent pas ailleurs), le reste souque en rythme, ou reste en fond de cale...

c'est bien là où je veux en venir : l'auteur, une fois confirmé, n'oubliera pas et saura faire payer à l'éditeur qui l'aura mal traité à ses débuts en signant ailleurs… d'où le calcul à court terme qui se retourne contre eux.
 
Tu vois vraiment toujours le choses de cette façon ? C'est quand même drôle de voir la vie comme on pourrait regarder, participer, bref surfer sur le web qu'au travers des codes sources
 
En quoi le lobbying a-t-il pour vocation de nuire au peuple?
Qui a dit que c'était sa vocation ?

Le lobbying a pour vocation de faire valoir la réalité du quotidien de celui qui le pratique auprès des législateurs. (...)
Le lobbying va bien plus loin que de la simple information. Ça frise parfois le chantage (chantage aux emplois, aux investissements économiques, aux taxes locales, etc.). C'est pourquoi on a dit plus haut que ton point de vue semblait assez simpliste.

Bien, maintenant que tu as énoncé comme principe que toute taxe est illégitime, j'aimerais que tu nous exposes ton alternative (et j'ose une fois encore espérer que tu refuses de bénéficier du fruit de toute taxe étant donné qu'elles sont toutes iniques à tes yeux)
Est-ce un nouveau procès d'intention ? Je me suis contenté d'exposer des faits, je ne vois pas à quel moment j'ai porté un jugement. On a seulement expliqué comment ça se passait. Maintenant, ton point de vue sur le lobbying, ou l'idée que tu as de ce que j'en pense sans l'avoir dit, c'est ton problème.

Non, tu affirmes sans aller plus loin. Je veux bien t'accorder tout le crédit nécessaire, mais s'il s'agit de te croire sur parole et de s'en contenter sans plus, il faut que tu admettes que c'est un peu court… si tu as une expérience quelconque, pourquoi ne pas justement nous en faire profiter?
Exact, il s'agissait d'une affirmation. Et comme je l'ai dit, je n'irai pas plus loin parce que:
- ce n'est pas le lieu (relis la charte du forum),
- je ne suis pas là pour donner des cours de politique appliquée,
- mon expérience est personnelle et ne regarde que moi,
- les détails de ces sujets sensibles n'ont pas à être exposés sur un média public accessible mondialement.

Tu pars encore une fois du principe que le démarchage des législateurs a pour vocation de nuire au peuple, c'est faux, il a pour vocation de défendre les intérêts de ceux qui démarchent. Les intérêts en question peuvent être contraires aux intérêts du peuple, mais ça n'est qu'une conséquence et non une finalité en soi du démarchage.
Mais là on est d'accord. De toute évidence on n'a pas la même acceptation du terme "collusion". De par chez moi, ça signifie exactement "entente secrète au préjudice d'un tiers". La nuisance apparaît nécessairement, mais ce n'est pas forcément la finalité première car elle peut être seulement le moyen ou la conséquence indirecte. Contrairement à la conspiration.

De plus, j'attends toujours qu'on m'explique en quoi la lutte contre le piratage est nuisible au peuple, je crois plutôt, en ce qui me concerne, qu'elle se fait au bénéfice du peuple et pour l'intérêt commun.
En ce qui me concerne je n'ai rien dit de tel.

Et il doit t'en manquer d'autres sur la façon dont une œuvre se crée, se produit, et se rentabilise.
Eh bien j'ai bien plus que de vagues idées sur la question. Et je ne vois pas le rapport avec le lobbying et la taxe.

Il est certain que le travail des distributeurs et des revendeurs va changer de nature avec la dématérialisation des œuvres, qui est vouée à se développer. Pour ce qui est des éditeurs, je ne vois toujours pas. Quel que soit le support, (et ils en ont déjà changé plusieurs fois : vinyl/cd/fichier numérique, VHS/DVD/BluRay…) leur travail reste essentiel et identique.
Grâce à Internet, des artiste arrivent maintenant à se produire, à se faire connaître et à se diffuser tous seuls, sans aucun éditeur accroché à leurs basques. Et ils vivent de leur métier mieux qu'avant. Maintenant tu vois la différence avec les supports physiques ?

Je ne comprends pas pourquoi les ventes baisseraient à cause de l'évolution du marché si on met de côté le piratage (qui n'est pas une évolution du marché ni une évolution de la technologie). Veux-tu dire que d'autres formes de divertissement allaient entrer en concurrence avec la musique ou le cinéma? Quoi donc, les jeux vidéo, les sites internet?… mais même en admettant, tu sais bien qu'il y a toujours des éditeurs derrière ces autres activités pourtant.
La généralisation de la vente dématérialisée en ligne va forcément porter un coup dur à l'industrie qui vit du support physique (fabrication, distribution). Et avec Internet les gros éditeurs tels qu'on les a connus jusque maintenant ne sont plus aussi nécessaires, car d'autres (individus ou petites structures) peuvent très souvent faire leur travail à leur place (comme je le disais, il y a déjà des exemples). Les éditeurs qui veulent survivre ont intérêt à s'adapter, et la plupart le font déjà.

En quoi ceci a un rapport quelconque avec notre problème?
Ça n'est en rapport qu'avec ta remarque concernant ma remarque. Relis.

Il faut être cohérent : si on ne peut estimer le piratage, on ne peut le faire dans aucun sens. On ne peut donc affirmer que le piratage soit ni énorme, ni marginal.
Relis-moi. Je dis seulement que l'ampleur du phénomène reste à prouver. J'émets un avis sur le risque pour les majors de faire découvrir au monde un état de fait qui contredise leurs affirmations, mais je ne préjuge pas du résultat d'une telle étude.

En revanche, ce qu'on peut affirmer:
- il est illégitime
- il met en danger la création par nature : plus les gens pirateront, moins l'industrie sera susceptible de pouvoir vivre de son travail. Il est donc potentiellement dangereux.
Oui, d'accord.
- Si on ne peut affirmer que le piratage soit le premier responsable du ralentissement des ventes, on ne peut en revanche pas nier qu'il y prend une part certaine.
Oui, ok. Mais les différentes formes de piratage n'ont pas toutes le même impact, et dans quelques cas particuliers cela risque même d'être faux (par exemple lorsque la diffusion illégale - notamment d'extraits et de copies de mauvaise qualité - participe à la promotion, poussant l'éditeur à volontairement laisser faire).
En tant que tel, il est donc indispensable de tout faire pour limiter le piratage autant que possible.
Ok. A ceci près que:
- seul un juge peut qualifier un acte d'illicite, le reste n'étant a priori que mésentente entre les protagonistes,
- il convient de fixer plus précisément ce qui ressort ou non du droit de propriété intellectuelle et du piratage. Les récents bouleversements législatifs n'ont pas encore permis de fixer suffisamment la jurisprudence.
- la lutte contre le piratage ne doit pas empiéter sur les droits des consommateurs (jouissance sans entrave du bien acheté) et des citoyens (respect de la vie privée).

Précisément, la taxe sur la copie privée n'a pas de rapport avec le piratage, je me tue à le dire.
Et qu'elle soit légitime ou non, ça ne justifie en rien de s'affranchir des lois (on ne répare pas un tort en en commettant un autre, et on ne se rend pas justice soi-même).
Ok dans le principe. Mais un avocat t'apprendrait que les lois sont faites pour être interprétées et contournées, voire même qu'on peut s'autoriser à tout faire tant qu'on ne se fait pas prendre. Bienvenu dans le monde réel.