Je suis désolé, mais le problème de base reste un problème de prix des logiciels.
Pour une société importante, payer les licences de ses logiciels est normal et faisable. Mais quand Microsoft (entre autres) met en place des coûts de licences exorbitants ou une politique de mises à jour inepte, les responsables informatiques râlent, s'interrogent et paient ou trichent.
Pour un auteur indépendant comme moi, le coût d'un soft est un problème difficile à résoudre. Le trilogie Adobe à 1500 ? Trop cher pour moi, surtout au vu de l'usage que je fais d'un Illustrator (un ou deux logos par an) Les prix des mises à jour ? Trop cher aussi quand il faut payer pour Filemaker, Photoshop, XPress ou beaucoup d'autres en même temps. Les sharewares non payés ? Pas chez moi, car beaucoup me sont très utiles et je soutiens vivement ce type de distribution intelligente.
Pour un particulier qui se paie cher un ordi et veut donc découvrir ce qu'on peut faire avec, même un shareware à 30 coûte cher. Parce qu'il en faut plusieurs, que l'ordi à crédit a déjà mis à mal les comptes familiaux, que le petit dernier veut tel ou tel jeu ou volant avec retour de force qu'il faut aussi lui faire faire un peu de sport, de musique
Alors pourquoi les éditeurs n'imitent-ils pas plus souvent ce que fait Lemke Software avec GraphicConverter : un shareware dont l'essentiel fonctionne mais qui ne révèle toute sa puissance que par l'obtention d'un numéro de série donc, en théorie, du paiement de sa licence.
[08 juillet 2002 : message édité par eric.garanderie]
Pour une société importante, payer les licences de ses logiciels est normal et faisable. Mais quand Microsoft (entre autres) met en place des coûts de licences exorbitants ou une politique de mises à jour inepte, les responsables informatiques râlent, s'interrogent et paient ou trichent.
Pour un auteur indépendant comme moi, le coût d'un soft est un problème difficile à résoudre. Le trilogie Adobe à 1500 ? Trop cher pour moi, surtout au vu de l'usage que je fais d'un Illustrator (un ou deux logos par an) Les prix des mises à jour ? Trop cher aussi quand il faut payer pour Filemaker, Photoshop, XPress ou beaucoup d'autres en même temps. Les sharewares non payés ? Pas chez moi, car beaucoup me sont très utiles et je soutiens vivement ce type de distribution intelligente.
Pour un particulier qui se paie cher un ordi et veut donc découvrir ce qu'on peut faire avec, même un shareware à 30 coûte cher. Parce qu'il en faut plusieurs, que l'ordi à crédit a déjà mis à mal les comptes familiaux, que le petit dernier veut tel ou tel jeu ou volant avec retour de force qu'il faut aussi lui faire faire un peu de sport, de musique
Alors pourquoi les éditeurs n'imitent-ils pas plus souvent ce que fait Lemke Software avec GraphicConverter : un shareware dont l'essentiel fonctionne mais qui ne révèle toute sa puissance que par l'obtention d'un numéro de série donc, en théorie, du paiement de sa licence.
[08 juillet 2002 : message édité par eric.garanderie]