M
Membre supprimé 1137488
Invité
Contenu effacé à la demande de l'auteur
Dernière édition par un modérateur:
Une rencontre torride
Je fis de nombreuses rencontres sans lendemain. Allumeuse, j’avais du potentiel. Je savais que je plaisais. Mais j’avais toujours des sentiments pour « l’autre abruti ».
Quelque temps après, grâce à mon oncle Julien, le mari d’Emmanuelle, je fis la connaissance de son collègue de travail, un jeune homme extraordinaire. Celui-ci me donna son adresse électronique et nous échangions sur internet.
Je constatai très vite que nous avions quelques atomes crochus.
Il me proposa un rendez-vous après son match de rugby. À l’heure du rendez-vous, je vis une superbe voiture s’avancer vers moi.
La Polo que je désirai acquérir ! Elle vint se garer à côté de ma Corsa.
Cet homme en descendit et vint me saluer.
Je découvris un garçon au visage plutôt posé et calme, aux traits fins, tel un Guillaume Canet, avec la carrure d’un rugbyman, à la fois imposante et rassurante, comme Samuel Le Bihan. Sa présence me fut rassurante, comme peut l’être un beau et baraqué rugbyman. Jeune folle et grande excitée de la vie, par son attitude et sa présence, il me calmait.
Cet Apollon répondait au joli prénom de Jordan.
En ce temps-là, Maman se rendait souvent chez mes tantes, dans le département voisin du nôtre. Je profitais de ces samedis après-midi, pour réaliser mes divins fondants dans lesquels j’incorporai, avant qu’ils ne passent au four, une belle boule de chocolat.
Cet après-midi-là, j’étais venu avec ces merveilles de douceur et avant de les déguster, nous eûmes une étreinte câline au salon.
La température montait, montait, montait, …, autant autour de nous, qu’en nous. Il me prit par la main et m’invita à prendre un bain. Dans sa salle de bains, une fois la baignoire remplie, il commença à me déshabiller lentement et sensuellement, malgré ses bras musclés et robustes. Puis, vint mon tour de le dévêtir, avec mes mains profanes et mes bras fins et délicats.
Nus comme des vers, nous nous glissâmes dans cette eau brulante comme nos deux corps. Pendant qu’il continuait à m’embrasser goulument et profondément, il me caressait tout le corps. Il s’arrêta sur ma poitrine, et émoustilla mes tétons du bout de ses doigts charnus, mais habiles.
Il sortit sa langue, s’amusa avec mes bouts de mamelons qui durcissaient. Il finit par refermer ses lèvres sur le téton qui pointait hors de l’eau puis d’une main apaisante, il me pinça l’autre pointe de sein. Il descendit ensuite sur mon bas-ventre et avec sa langue experte, il se posa un moment entre mes jambes. Ses doigts massèrent mes lèvres extérieures pendant que sa langue essaya d’animer du mieux qu’elle pouvait mon petit clitoris.
Il se débrouillait vraiment comme un chef !
Tous ses mouvements étaient parfaitement synchronisés, ses coups de langue, ses succions, la pression de ses doigts…
J’avais l’impression qu’il savait exactement où, quand, et comment appuyer, comme s’il pénétrait mes pensées. Il m’y effleurait délicatement mon clitoris avec sa langue avisée. Je caressai mes seins en même temps, histoire que tout mon corps soit éveillé par ses doux baisers.
Mes mains descendirent lentement vers sa verge et par des mouvements de va-et-vient, intenses et délicats à la fois, je la fis se tendre et gonfler comme si elle allait exploser. Ma bouche lui enveloppa sensuellement, pour ne pas dire lui goba, son gland doux comme la peau d’un nourrisson. Il avait un sexe d’un calibre plutôt majestueux, et je dois avouer que j’adorais ça, surtout en bouche ! Mmmmh…
J’avais l’impression d’avoir un gros sucre d’orge pour moi toute seule, bien lisse et bien sucré ! C’était vraiment délicieux.
Notre excitation était tellement grande, qu’en quelques minutes, je jouis, en me mordillant, jusqu’au sang ma lèvre inférieure, et lui, après l’avoir ressaisi, jubila à son tour dans ma bouche, dans un râle interminable…
Ce moment exaltant restera à tout jamais gravé en moi, et j’en ai encore des frissons et ma culotte s’humidifie, rien que de le revivre par la pensée.
Frigide sentimentale que je suis, encore pleine d’espoirs en mon ex, je ne réussis pas à passer le cap des préliminaires.
Cela reste mon plus gros regret.
Ces rencontres étaient toutes sympathiques et appétissantes. Ces charmants jeunes hommes me faisaient fondre de plaisir, particulièrement ce craquant Jordan, entièrement à mon goût que ce soit physiquement que mentalement.
Je viens de regarder les commentaires, juste maintenant.Bon, vous me direz qu'après avoir parlé des chênes centenaires, c'est normal qu'elle en arrive à parler de glands ! :hilarious: