Quelle est la différence entre ceux qui détruisent Palmyre
et ceux qui, à Versailles, exhibent l'anus d'Anish ?
et ceux qui, à Versailles, exhibent l'anus d'Anish ?
Le problème est que la répétition de ces expositions temporaires deviennent un vandalisme permanent. Après Amish un autre "artiste" sera l'occasion de continuer l'œuvre de destruction patrimoniale.À noter : il y a une erreur dans le nom de l'artiste dans la légende.
Quant aux ronchons : ça n'y restera pas, à Versailles donc, rassurez-vous, vous pourrez l'admirer à nouveau pour la Toussaint ou, mieux encore, pour le 11 novembre [ça fait encore plus National].
Ca m'étonnerait que l'EI considère sa démarche de destruction comme artistique :wacky:Quelle est la différence entre ceux qui détruisent Palmyre
et ceux qui, à Versailles, exhibent l'anus d'Anish ?
:rolleyes:
Ca m'étonnerait que l'EI considère sa démarche de destruction comme artistique :wacky:
Je ne pense pas qu'il soit amish... Son nom est Anish Kapoor (et son patronyme est Kapoor, pas Anish ; là, c'est comme si tu parlais de "Pablo" pour Picasso).Le problème est que la répétition de ces expositions temporaires deviennent un vandalisme permanent. Après Amish un autre "artiste" sera l'occasion de continuer l'œuvre de destruction patrimoniale.
Au fait, voilà ce qu'on a fait subit au parc de Versailles y exposer Amish : http://www.latribunedelart.com/le-degre-zero-du-debat
Je ne pense pas qu'il soit amish... Son nom est Anish Kapoor (et son patronyme est Kapoor, pas Anish ; là, c'est comme si tu parlais de "Pablo" pour Picasso).
À part ça, dans sa page Ouikipedia, on cite Andrea Mantegna comme référence. Pas évident à déceler...
Le problème est que la répétition de ces expositions temporaires deviennent un vandalisme permanent. Après Amish un autre "artiste" sera l'occasion de continuer l'œuvre de destruction patrimoniale.
Au fait, voilà ce qu'on a fait subit au parc de Versailles y exposer Amish : http://www.latribunedelart.com/le-degre-zero-du-debat
Son nom est Anish Kapoor (et son patronyme est Kapoor, pas Anish ; là, c'est comme si tu parlais de "Pablo" pour Picasso).
Allez, j'remets 5 balles dans l'flipper !
Hin hin hin, inutile de renvoyer vers La tribune de l'art — sous-titré, l’actualité du patrimoine et de l’art occidental du moyen-âge aux années 30 — je sais bien que les ayatollahs (pour reprendre ta logorrhée fallacieuse) du bon goût ont toujours plus ou moins un siècle de retard… Comme je sais et lis qu'ils usent d'une savante incorrection vis-à-vis des artistes actuels, notamment en écorchant l'orthographe de leurs noms. En fait, si je suis capable de me rapetisser à ton niveau de re-connaissance des arts, tu es par contre incapable de t'élever jusqu'à mon degré de conscience. Pire, tu considères cette incapacité comme une force qu'il faut défendre bec et ongle au motif que ta culture ignore tout des transversalités présentes dans les différentes périodes et courants artistiques. Pire encore, ton simulacre de réponse qui laisse à croire que les sens et désirs n'ont d'influence dans l'acte de création que dans la recherche du gain et surtout n'ont cours que depuis la seconde moitié du siècle dernier. Mon pauvre chéri, faire étalage de telles absurdités, c'est au mieux faire preuve de paresse intellectuelle…
Pour finir en beauté — parce que je ne vais pas nourrir le troll indéfiniment — je ne suis pas sûr que ta tribune de l'art traite de l'actualité des arts jusqu'aux années trente car — et je reviens à la genèse de mon intervention sur ce fait d'actualité illustré par cette citation de Duchamp — je ne suis pas certain que ces pense-petits ne se forgent une vision flatteuse en contemplant la Fountain de Duchamp.
Bah ! Il n'a plus qu'à prendre son courage à deux mains et aller prêcher la bonne parole. En leur lisant Céline et Muray, aux Ch'tis, il devrait leur remonter le moral.Dommage, je l'aimais bien Luchini ...
Selon l'AFP, Luchini a décrit le Nord de la France comme "une région où la République a disparu, un coin de grande misère sociale où les gens boivent beaucoup et votent Front national", ou encore "un pays abandonné par la France, un îlot de désespérance". Sympa.
Mais probablement qu'on ne connaît ni les mêmes personnes, ni les mêmes endroits ...
Bah ! Il n'a plus qu'à prendre son courage à deux mains et aller prêcher la bonne parole. En leur lisant Céline et Muray, aux Ch'tis, il devrait leur remonter le moral.