...Certains d'entre eux se répandent jeudi dans les colonnes du quotidien libéral Haaretz, évoquant des meurtres de civils de sang-froid et des actes de vandalisme
D'habitude il y a un rapport de 1 à 3 ou 1 à 4, la c'est carrémént 1 à 11 !
Tout augmente, ma bonne dame
C'est bizarre ce décalage... :siffle:
Ils avaient fait l'expérience l'année dernière chez Canal de poser une caméra le long d'une manif et de compter le nombre de personnes.
Bizarrement le vrai nombre était plus proche du côté flic que du côté manifestants...
En petite pensée pour les policiers qui doivent compter jusqu'à 30 000 (c'est pas gagné)
c'est sur que s'ils oublient de compter ceux qui manifeste à la terrasse des bistrots... :siffle:
jusqu'à 30 000 ? :affraid: C'est sûrement des gradés, alors ! :mouais:
Ca c'est le boulot du prefet.Il y a AUSSI une multiplication à effectuer et là, c'est tendu ! :eek: :afraid:
Ca c'est le boulot du prefet.
La neutralité d'un préfet, ça se paye avec plusieurs centaines de policiers, CRS... même dans une bourgade de 1600 habitants.Et on peut compter sur sa neutralité ...
... sinon il se fait "muter" !!
Un bébé né et abandonné dans les airs
jeudi 19.03.2009, 19:30
Lors d’un vol reliant Samoa et la Nouvelle-Zélande, une femme a accouché sans que les autres passagers ne le remarquent. Elle a ensuite abandonné l’enfant dans un seau à déchets dans les toilettes. Selon la télévision néo-zélandaise, c’est l’équipe de nettoyage qui a découvert l’enfant indemne dans les toilettes de l’appareil. Les autorités de l’aéroport d’Auckland ont pu retrouver la mère. La femme a été remarquée par des responsables de l’aéroport alors que, maculée de sang, elle cherchait sa carte d’identité. La mère et l’enfant ont été conduits à l’hôpital pour être soignés. On ignore comment cette femme a pu se retrouver à bord de l’appareil alors qu’elle était sur le point d’accoucher. On ignore également pourquoi les autres passagers n’ont rien remarqué, ni pourquoi la femme a décidé d’abandonner le bébé.
LeSoir
Traduction des propos du pape :
Philippe Visseyrias de France 2: Q. - Sainteté, parmi les nombreux maux qui affligent l'Afrique, il y a en particulier la propagation du sida. La position de l'Église catholique sur la manière de le combattre est souvent considérée comme irréaliste et inefficace. Vous pencherez-vous sur cette question au cours de ce voyage?
R. - Je dirais l'inverse: je pense que la réalité la plus efficace, la plus présente sur le front de la lutte contre le sida est l'Eglise catholique, avec ses mouvements, avec ses diverses réalités.
Je pense à la Communauté de Sant'Egidio, qui fait tant, de façon visible et invisible, dans la lutte contre le sida, aux Camilliennes à toutes les soeurs qui sont disponibles pour les malades ...
Je dirais que ce problème du Sida ne peut pas être vaincu avec un slogan publicitaire. S'il n'y a pas d'âme, si les Africains ne sont pas aidés, vous ne pouvez pas résoudre le fléau avec la distribution de préservatifs, au contraire, le risque est d'accroître le problème.
La solution peut être seulement dans un double rendez-vous: le premier, une humanisation de la sexualité qui est une rénovation spirituelle et humaine qui donne avec elle-même une nouvelle façon de se comporter les uns avec les autres et en second lieu, une amitié vraie aussi et surtout pour les personnes qui souffrent, de la disponibilité, même avec des sacrifices, avec des renoncements personnels, pour être avec les souffrants. Et ce sont ces facteurs qui aident et qui apportent des progrès visibles.
Par conséquent, je dirais que notre double force de renouveler l'homme intérieur, de donner une force spirituelle et humaine pour un comportement correct sur son corps et celui des autres, et cette capacité de souffrir avec la souffrance, d'être présent dans des situations d'épreuve.
Il me semble que c'est la bonne réponse, et l'Eglise le fait, et offre ainsi une grande et importante contribution. Nous remercions tous ceux qui le font.
(traduction par mes soins, avec google+yahoo+Reverso+un peu de langue. . .)