Ça n'est pas le scud que j'ai renvoyé à l'expéditeur mais la suite bassement politicienne. Autrement dit qu'en moins de soixante signes dans la notification de suppression, la situation de la terrasse n'a pas changé en ton absence. Elle exclue toujours les élans partisans !
Je préfère ne pas produire de déchets inutiles que de devoir les recycler. Pas faire plus peut-être, autrement ce doit être possible.
On est à priori tous dans ce cas. Ne pas produire de déchets inutiles. Seulement là, on va se consoler en se disant qu'on aura feuilleter la liasse des "engagés dans la course" avant d'y piocher une liste. Et qu'à cet exercice d'avant "renvoi à l'expéditeur", on était plus d'un inscrit sur deux. Quand l'inscrit abstentionniste n'aura fait aucun effort avant de benner son courrier.
On pourrait imaginer que l'imprimerie nationale fasse le boulot pour l'ensemble des "engagés dans la course", histoire de minimiser le coût du remboursement des frais de publicité. Sur le papier c'est économe et avantageux. Mais dans les faits, pas sûr que cela plaise aux partis ni aux imprimeurs locaux – bien heureux de facturer "large".
Obliger c'est bien mais si la non-participation n'est pas suivie d'une sanction, à la longue l'obligation perd de son sens. Elle devient optionnelle. Et le bouche à oreille ne fera qu'amplifier la chose.
il ne faudrait pas nous faire voter en semaine – sur les heures de travail !
