Actualités amusantes... Ou pas [V.5].

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Plus dangereux que le Requin, le Parasole de Floride, il s'en prend même à la jambe de son propriétaire, voir le thorax, comme à la fin de l'article. Après Rubber, le pneu tueur, Quentin Dupieux tient peut être le scénario de son prochain film. Sauf si Spielberg le signe avant.
Toujours étonnant ce genre de trucs.
Dans le registre mourir connement, j'avais vu des histoires tout aussi étonnantes.
Je ne m'en souviens que d'une seule.
Tué par des poissons congelés.
Le commerçant se faisait livrer des poissons congelés dans un pays froid plutôt du nord.
Bourrasque terrible tandis que le commerçant ouvre au livreur, les poissons sont projetés direct dans la tronche du commerçant.
Bim, mort du type.
 
Plus dangereux que le Requin, le Parasole de Floride, il s'en prend même à la jambe de son propriétaire, voir le thorax, comme à la fin de l'article. Après Rubber, le pneu tueur, Quentin Dupieux tient peut être le scénario de son prochain film. Sauf si Spielberg le signe avant.
Très drôle, avec l'ajout du "e" j'ai cru qu'il s'agissait d'une espèce de poisson que je ne connaissais pas :p
 
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Réactions: Gwen
Alors... panne de climatisation dans le car, ils finissent aux urgences...

Moi, je dis: si il n'y a pas le wi-fi aux urgences, les jeunes; ils vont agoniser, ils vont mourrir dans d' atroces souffrances!!!!

Pas vrai, Dédé???
 
Il y a tout de même une fragilité des conditions physiques qui fait peur, surtout chez des jeunes. Autour de ça, et avant ça, il y a aussi un discours ambiant qui tend à tout médicaliser. Autrement dit, on fait de tout un drame !
Comment on faisait avant ? 1990, déjà le moyen-âge...
 
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Réactions: Louisjoudig
Il y a tout de même une fragilité des conditions physiques qui fait peur, surtout chez des jeunes. Autour de ça, et avant ça, il y a aussi un discours ambiant qui tend à tout médicaliser. Autrement dit, on fait de tout un drame !
Comment on faisait avant ? 1990, déjà le moyen-âge...
Je pense que c'est l'abondance des moyens de diffusions qui nous mènent à croire que l'on fait de tout un drame bien plus qu'avant.
Un exemple (et vous allez voir si ça tombe bien, j'ai justement une anecdote relative à des enfants et un autocar).
83 ou 84, je dois avoir dans les 13 ans, je vis dans un bled campagnard, je vais au collège dans le gros bled le plus proche.
Je prends le bus scolaire, on doit être dans les 45, tous du village.
Un jour on a un nouveau chauffeur (que nous n'aurons qu'une seule fois, finalement).
Fin de journée, on rentre.
Ça parle, ça rigole, ça chahute, ça fout le bordel, m'enfin pas plus que d'habitude.
Le chauffeur s'arrête et nous demande de nous calmer.
Ça se calme un peu et ça recommence.

Il s'arrête de nouveau, redemande la même chose.
Même résultat.
Là, tout en conduisant, il nous hurle de faire moins de bruit.
Quelqu'un (c'est pas moi, je le jure) gueule : "Ta gueule, vieux con".
Pas de réaction du chauffeur.
Le bordel ambiant continue jusqu'à l'arrêt du bus.
Plein centre village, on se lève tous pour sortir, le chauffeur n'ouvre pas les portes, nous gueule de nous asseoir et nous prévient qu'on ne descendra pas tant que celui qui a fait ça ne se dénonce pas.
Je vous passe les détails, nous avons été séquestrés pendant une bonne heure.
Les téléphones portables n'existent pas et sont loin de l'être. Nous sommes restés coincés, sans pouvoir demander d'aide à quiconque.
Quand un type débarque en bagnole (son gamin qui prenait le car avec nous, nous racontera plus tard qu'il s'était inquiété de ne pas le voir rentrer et qu'il avait décidé de se taper tout le parcours dans l'autre sens depuis l'arrêt final pour vérifier, en l'absence d'info, que le car n'avait pas eu d'accident).
Le mec cogne à la porte, grosse engueulade avec le chauffeur quand il comprend ce qu'il vient de se passer.
Le mec nous libère. Tu peux me croire que je suis rentré direct tout balancer à ma mère.
Cette histoire a fait un drame à 15 bornes à la ronde (il y a de quoi, c'est un peu plus grave qu'une simple histoire de clim en panne) mais guère plus que ça puisque seul le bouche-à-oreille servait de vecteur de diffusion.

À l'époque actuelle ça aurait été facebouqué, touité, instagrammé. Rien qu'avec ça, ça aurait fait le tour de l'Hexagone. Ce qui aurait forcé les journaux (au moins ceux en ligne) à reprendre les faits. Et après, quoi. Une citation dans les actualités télévisées locale (et plus, va savoir).
Bref.
On a toujours fait de tout un drame.
Ce qui change maintenant c'est qu'on peut faire chier le monde entier avec ça.
Ajoute à ça le besoin impérial de produire toujours plus de contenu (frisant bien souvent la simple anecdote) pour avoir toujours plus de vues et ainsi pouvoir balancer toujours plus de pub et tu en arrives à avoir le sentiment que maintenant on fait un drame de tout.

 
fin des années 80, je rentrais du collège en bus, il pleuviotait, la route était mouillée, dans un village notre chauffeur arrivait trop vite, pour éviter le bus scolaire qui nous précédait il s'est déporté.
résultat, il a explosé la vitre arrière du bus de devant, et surtout une voiture qui arrivait en face s'est encastré sous notre bus.
il était littéralement sous le bus. c'était une Citroen visa (de mémoire).
moi j'ai failli voler sur toute la longueur du bus (j'étais au milieu, au fond :D )
on nous a fait sorti par derrière. les pompiers sont vite arrivés. les gendarmes aussi.
un bus nous a transporté chez nous (avec un autre chauffeur).
mais le mec dans la voiture y est resté.
pas de réseau sociaux, pas de téléphone. à part dans le journal local, il n'y a rien eux. et encore.
 
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Réactions: lamainfroide et Gwen
La blague à laquelle on n'échappera pas: On l'appelle Trump-la-mort :angelic:
 
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Réactions: lamainfroide
Déjà que l'EUFA et le calendrier allemand ont bien failli retarder le début des feux d'artifices avec leur histoire de finale un jour de fête nationale. Heureusement les espagnols ont gagné en quatre-vingt-dix minutes – plus les arrêts de jeu. Mais il a aussi fallu qu'un dingue armé d'un fusil d'assaut tente d'assassiner un candidat à la présidence américaine en meeting électoral en Pennsylvanie – sans succès Trump n'est que blessé. Et du coup gâche cette journée du 14 juillet – fête nationale française – habituellement dédiée aux lancers de pétards, mitraillettes et autres fusées.

Et comme si cela ne suffisait pas, voilà qu'un belge me demande si sa caricature de l'un des deux évènements trouble-fête-nationale sur fond de l'autre des deux évènements trouble-fête-nationale est contraire à l'article #6 ?!

Déjà ce belge… Est-ce que je viens l'enquiquiner le jour férié de sa fête nationale à lui ?! Date qui au demeurant m'est totalement inconnue et vu je n'ai aucunement besoin d'échapper au fisc français en allant me réfugier de par ses contrées, la connaître ne m'avancerait à rien d'autre que venir le titiller avec un photomontage, tiré ou pas d'une actualité – ni amusante ni son contraire. Non !? Je ne viens pas l'enquiquiner avec des questions qui n'en sont pas !

Ensuite, et pour en finir avec ça une bonne fois pour toute avec les images de Donald, plutôt que m'enquiquiner avec cette image sarcastique ce belge aurait pu faire dans l'informatif, voire le performatif avec le cliché où l'on voit la balle à l'instant d'après. Mais non ! Il préfère m'enquiquiner ! Si je le tenais… Je lui ferais bouffer ses croquettes !

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Source
 
Oui imagine s'il avait survécu :rolleyes: