Ce n'est que le vent qui s'agite

Le vent est souvent cruel, au mois le plus cruel

Il souffle dans le sens où nous ne voulons pas aller

Pour nous mener vers ces rivages anciens où la douleur est pourtant si vive

Et il n'y a rien à faire, nous y serons

Seules les vagues nous rapelleront qu'il est encore là

Elles qui le gardent après nous l'avoir pris
 
tout a valsé , tout est allé trop loins , les mots , les objets ,les actes et , la colere comme le vent , elle agite et emporte tout , parfois meme des vies

demain cette agitation sera calmé ?
le vent changera de direction ?

on est perdu dans cet tourbillon ,on ne reconnait plus la route , quelle direction prendre

la tempete a tout detruit , reconstruire sera difficile voire impossible


:zen:
 
Le vent souffle sur les jours,
c'est déjà demain?
je devais, hier...
mais je n'ai pas le temps.

Pas grave.
J'irais ce midi sur une esplanade
voir passer le temps,
voir passer les filles
et sourire.

A la traîne, mais souriant.
 
J'ai pensé à toi hier en me déshabillant sur la pointe face à l'ile du Guesclin… à toi, mon cher frangin, à toi et à ce Pic St-Loup de ton arrière-pays même si c'est la mer qui roule qui me le fit découvrir… le vent n'était pas trop puissant, le soleil luttait contre la brume de ses derniers feux et au beau milieu du chemin, je me suis déshabillé pour sentir le vent rouler sur ma poitrine, je me suis offert au vent comme au regard et à la pellicule… je me suis dit que tu aurais apprécié le geste… encore merci de ton accueil frangin, les tourterelles surent utiliser le vent pour voler jusque la Baie du Mont St Michel…
 
J'essaye de monter régulièrement sur cette aspérité rocheuse. Et lorsque je peux, je m'offre aussi au vent et à ses courants. Comme on se met à la proue d'un navire.
C'est un bon point d'envol, pour les tourterelles. M'étonne pas que tu l'ais facilement trouvé.
 
À l'avenir
Laisse venir
Laisse le vent du soir décider

Laisse venir
Laisse venir
L'imprudence



Oui.. mais j'en ai marre de ce vent. Qui charrie cette bête immonde à trois têtes. Qui transforme l'imposture en piedestal. Qui magnifie le dire et méprise le faire. Trop facile.
Pas beau de voir l'envers du décor, non, vraiment pas.

La nuit je mens ? Même pas..
 
Quand reprendrai-je Ma place ?

Je perds mon temps.
Je perds patience.
J'y perds des plumes, aussi.
Je n'ai pas fini de faire mes preuves.


Le vent souffle et n'efface rien.

Le vent ne souffle pas assez fort pour chasser ces odeurs de rance.
Ce n 'est qu'un brouillard épais, une purée indigeste, un nuage pesant de tout son poids.
 
Ce n'est que ce vent qui s'agite.
Sous cette courbe.
Odeur implacable et austère.
Il n'efface rien.

Il cache, assome d'un trait.
Un truc qu'on appelle goutte ou parfois sueur.
Et nous revoilà parti, près à étourdir l'assomant envahisseur.
Ce n'est que mon déo qui s'agite.

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Qu'est-ce-qui est nature au fond ?...Que ne contrôlons-nous pas ? Ce vent qui se déchaîne n'est-il pas le résultat que de ce battement de cil que nous avions décider de faire juste pour lui faire signe, à elle, la vie ?
Une seconde s'écoule et tout notre monde change : Les bleus, les jaunes, les roses et les verts éclatants passent au flou du rouge, du gris et du noir. Les molécules que nous observons ne sont que le résultat du tableau chimique de nos pensées.
Regarde fillette, une demi dose de C19H20FNO3 t'as fait passer du meilleur de ta vie en souffrances inommables. Tout ce que tu as construit, tout ce que tu disais avoir enfin réussi, toute cette joie que tu ne pouvais contenir au vu de ce que tu avais finalement obtenu...tout ce en quoi tu croyais encore il y a 5 jours et tout ce que tu affirmais haut et fort pourri au fond de ton cerveau aujourd'hui. Tu en es revenue à vouloir rompre avec ce que tu disais être ce qu'on ne pouvais espérer de mieux.
Alors quoi ? La vie n'est qu'une drogue. Le vent qui nous emporte n'est qu'une connexion synaptique. L'endroit où il nous mène ne dépend que de la molécule qui a décidé de sortir de son nid ce jour là. Qu'elle est la vérité dans tout ça ?! Moi qui attache dans d'importance à la puissance du contact, à quoi me fier aujourd'hui ?!
On veux LA molécule. Celle qu'on crois nous ressemble...

Concentrez-vous sur ce vent, fouillez dans ses entrailles, sur quel recepteur se pose-t-il ??
 
Le vent souffle et le vent sait

Il sait ce qu'il y a à effacer

Il sait aussi ce qui doit être préservé

Il souffle dans le sens de l'éternel retour

Là où se jouera notre sort
 
Et ben voilà.
Ca y est. Il a fallu que je recommence comme un c.. ! Ah oui je le répète : comme le dernier des c... !
Chez la Hortense. Au bourg. J'aurais jamais du y aller. Mais enfin, comme dit l'autre, hein, on se r'fait pas...
Je sais bien que j'l'ai mauvais dès qu'j'en bois un peu de trop. Me réussit mal. Et voilà que je cherche le coup de poing.
Ce soir il y avait le Gustave. Non pas celui de La Noire Epine, celui des Bachauds. Doit me dépasser de 3, ou même 4 têtes. Capable de soulever une demi-carcasse de bœuf à lui tout seul.
Alors voilà que j'en bois un, de canon. Puis deux. Puis trois. Je commande un fillette, ensuite. La Hortense elle essaye bien de m'arrêter, mais pas trop non plus. Faut bien que le commerce i' marche, pas vrai ?
Alors voilà que je commence à faire un œil noir au Gustave. Lui i' fait d'abord comme s'il a rien vu. Mais çà m'agace encore plus. Et j'ai déjà vidé la moitié de ma fillette. Du blanc en plus. Celui qui m'énerve le plus. Alors que voilà que je me mets à monter le ton. Et tout s'enchaîne, je sais pu comment... Toujours est-il qu'à la fin je ressors au Gustave la vieille histoire des terres au Bidouin. L'est patient le Gustave, mais sur çà : jamais ! Et que je te me mets à te l'enguirlander : Toi le Gustave t'es qu'un sale voleur ! Et pis un menteur ! J'm'en vas venger le Bidouin ! J'vas t'casser ta sale gueule de pilleur de terres ! Pour sûr que çà rate pas.

Je me retrouve au carreau. Raide d'un coup. Et encore heureux qu'il a dosé sa force le Gustave, sinon...
Les tommettes chez la Hortense elle font du froid dans mon dos. Elle s'approche avec une bassine d'eau glacée et un linge. Me le met sur le cocard. L'est ben brave tout d'même la Hortense.

Mais enfin quand c'est-i qu'tu vas arrêter avec tes bêtises ? Qu'est-ce que t'as donc pour te mettre dans des états pareils ? qu'elle me dit.

C'est rin, c'est rin... que je la rassure.

Ce n'est que le vin qui m'agite.
 
Dis donc Monsieur le Vent, tu voudrais pas aller voir ailleurs si j'y suis ?!

Hein dis ! Il fait beau là, j'aimerais en profiter. Si ça ne te dérange pas.

Merci.
 
Avec Tom Waits...
Lui, au moins, il est toujours là...


croquis036qf6.jpg
 
ce vent qui s'agite me fait perdre la route , me déstabilise, il fait peur

j'avance d'un pas pour en reculer de deux , j'avance vers l'inconnu et cet inconnu ne me rassure pas , au contraire me terrorise....

j'ai besoin de sommeil, de retrouver des nuits calmes , de retrouver mon insouciance que j'ai perdu depuis fort longtemps


dans ce vent je suis perdu , demain est un autre jour mais ce n'est pas dit que ce vent cessera de s'agiter :zen:
 
Des fois, l'envie me prend de raconter une connerie.
De dire gentiment des choses bêtes. De dire que j'aie en rigolant.
Et des fois, je me sers de ce je ne sais quoi qui fais que sans le savoir, je sais.
Et au lieu de dire des conneries, j'imagine une vérité que je ne connais pas.
Et je m'aperçois que je ferais mieux de me taire.
Heureusement, ici, une fenêtre ouverte, un bon coup de vent, et tout s'en va.
:zen:



Mais je t'embrasse quand même, robertina.
 
J'étais... concentrée, enthousiaste et déterminée.
Et puis, il y eut l'Imprévu.

Je suis... vautrée dans la rêverie, bercée par l'Imprévu.
Je ne maîtrise plus rien.

Et c'est si bon.

Je sais... que ce n'est que le vent qui s'agite, qu'il va retomber. Inéluctablement.
Le moment en n'est que meilleur.


:)
 
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