C'est vous qui l'avez fait.

Statut
Ce sujet est fermé.
<blockquote><font class="small">Post&eacute; &agrave; l'origine par thebiglebowsky:</font><hr />
...Je pencherais pour la troisième au feeling !!! Mais je n'en suis pas certain...
frown.gif


[/QUOTE]

La troisième, c'est Paul Personne. En fait il s'agit de la deuxième, qui figure sur son dernier album.
wink.gif
 
<blockquote><font class="small">Post&eacute; &agrave; l'origine par Nephou:</font><hr /> moi je pencherais plutôt pour la deuxième à cause du "Boucan d'enfer"
wink.gif
confused.gif
zen.gif


[/QUOTE]

Rien à rajouter.
zen.gif
wink.gif
 
Petit Portoricain, bien intégré quasiment New-yorkais
Dans mon building tout de verre et d?acier,
Je prends mon job, un rail de coke, un café,

Petite fille Afghane, de l?autre côté de la terre,
Jamais entendu parler de Manhattan,
Mon quotidien c?est la misère et la guerre

Deux étrangers au bout du monde, si différents
Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant,
Pulvérisés, sur l?autel, de la violence éternelle

Un 747, s?est explosé dans mes fenêtres,
Mon ciel si bleu est devenu orage,
Lorsque les bombes ont rasé mon village

Deux étrangers au bout du monde, si différents
Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant,
Pulvérisés, sur l?autel, de la violence éternelle

So long, adieu mon rêve américain,
Moi, plus jamais esclave des chiens
Vite imposé l?islam des tyrans
Ceux là ont-ils jamais lu le coran ?

Suis redev?nu poussière,
Je s?rai pas maître de l?univers,
Ce pays que j?aimais tellement serait-il
Finalement colosse aux pieds d?argile ?

Les dieux, les religions,
Les guerres de civilisation,
Les armes, les drapeaux, les patries, les nations,
Font toujours de nous de la chair à canon

Deux étrangers au bout du monde, si différents
Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant,
Pulvérisés, sur l?autel, de la violence éternelle

Deux étrangers au bout du monde, si différents
Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant,
Pulvérisés, sur l?autel, de la violence éternelle.
smile.gif
blush.gif
smile.gif
 
Elle a de sévères silences,
L’œil noir et vif, et sans clémence,
Et sans pitié… presque méchant
Comme un de ces regards d’enfant
Puni, mais — Quoi ! — injustement
Puni. Elle a cette l’innocence
Et de la gravité pourtant,
Seule et le cœur amer. Silence.

Elle a de folles insouciances
Feintes, de froides insolences,
Mais sous son front lisse, arrogant,
Les hier tristes et les aimants
Demains, mélancoliquement,
Jettent leurs couleurs trop intenses
Sur ses paysages troublants
Et sur son cœur amer. Silence.

Elle a de fières élégances,
Des airs comme de nonchalance,
Comme d’un prince catalan.
Elle a un rire doux pourtant
Et dans la voix des mouvements
D’aile vibrants d’impatience
Ou de souffrance par instants,
Parfois. Le cœur amer… Silence.
 
Ses cheveux noirs et fins
et longs sur ses épaules
ou retenus sur le creux de sa nuque
par un lien bleu
Ses yeux profonds et sombres
piqués d’un feu secret
vif éclair
noir fleuve au reflets bleus et verts
Son regard
Ses yeux d’enfant
si doucement fragiles et rebelles
tristes — Mais innocents ?
Ses sourcils
épais
faits de petits éclats d’ébène
peignés par un souffle discret
Sa joue ferme et saillante
un peu, et douce l’on devine
comme l’écorce d’un fruit mûr
Sa bouche vermeille
froncée de plis fins et blancs presque
sur la chair pleine de ses lèvres.
 
Je remplirai
mon amour barré
au front
d'un pli mal satisfait
l'absence
et souvenirs obsolescents
de l'été tant vert de
beaux jours et papillons
— s'il en est —
improbables encore.

Il est si grand ce vide
et si lourd
et léger.

J'irai
paniers entiers portés
de mille fleurs ou d'une mais
jolie fleur
c'est dans l'herbe couchés
que je te donnerai
ces frémissements
ces fléchissements
parmi les mousses
ces tendresses
cette lourde présence sombre
— aussi lourde qu'il faut —
toute prière est dite
en ta chair et ton nom
dans les voluptés graves
résonne comme un fer enfoncé
dans mon cœur
pour toujours
cette fleur
mon amour
ma douceur.

Nous serons là
nous serons bien
et nos jours passent
nos beaux jours de l'été
papillons improbables
— s'il en est.
 
La crème renversée

Déposée dans un bel écrin,
Ravie, elle se laisse parer.
Un peu de rouge couleur cerise
Un peu de vert, c’est angélique.

Un doux parfum, elle dégage
Qui vient nous chatouiller les sens.
Elle sent très bon, elle est très belle,
Un dernier soupçon de cannelle.

De sucre fin, elle se recouvre,
Car, elle se veut vraiment exquise.
Enfin parée de ses atours,
Pour le gala, elle est fin prête.

Au sol, un vieux tapis de Crête,
Fait déraper, son sigisbée,
Et la voilà sur la banquette
Elle en est toute renversée.



 
<blockquote><font class="small">Post&eacute; &agrave; l'origine par bebert:</font><hr /> J'en ai rêvé mais j'ai rien fait.
frown.gif


[/QUOTE]

Sonny t'as devancé. ?
laugh.gif
 
Toi tu m'as tout donné, moi j'ai tout accepté
Avec ou sans amour, depuis le premier jour
Toi tu m'as vu grandir, tu m'as vu obéïr
C'était sûrement écrit, moi je n'ai pas choisi
Et on s'est installé, on a tout déballé
Totale inconscience, avec ou sans méfiance
Et on a galéré et on s'est infiltré
Avec mes ratures je trouvais ça moins dur

Puis le temps a changé avec toutes ces années
Je n'ai plus accepté et j'ai tout refusé
Un été à Paris, un hiver sans soucis
Un adieu, un retour, un détour à l'amour
Plus de tolérance, et puis vient la violence
Ca nous a déchiré, ça nous a séparé
Quelques joies éphémères, mais y a plus rien à faire
Une larme un mouchoir, mais c'est déjà trop tard

Depuis tout ce temps, on se voit autrement
Depuis tout ce temps rien n'est plus comme avant
Malgré ces problèmes, tu restes celle que j'aime
La nuit comme le jour, un retour à l'amour

Quelque fois je revois une image, un visage
Quelque fois je reçois l'ombre de ton message
Une voix, un sourire, c'est toi que je respire
Oui ça en vaut la peine, c'est ton sang dans mes veines
C'est fini les ratures, pour moi c'était trop dur
Une larme, un réveil, revoilà le soleil
Cette chanson est pour toi, cette chanson reçoit la
Tu m'as vu ralentir, tu me vois revenir

Depuis tout ce temps, on se voit autrement
Depuis tout ce temps rien n'est plus comme avant
Malgré ces problèmes, tu restes celle que j'aime
La nuit comme le jour, un retour à l'amour
 
Renouveau

Aujourd’hui pas d’inspiration,
Je ne vois pas d’explication,
Sale tour de l’imagination,
Sans doute besoin d’une suggestion.

Le ciel est bleu, il n’a pas plu,
Il fait pas froid, j’en sais pas plus,
Je vais r’tirer mon pardessus,
Sans doute que la muse s’est tue.

J’ai beau faire toute la gamme,
Pas une idée, non, pas un gramme,
Mais, bon, enfin, c’est pas un drame,
Sans doute un changement de programme.

Demain me semble bien lointain,
Je compte les heures des deux mains,
Mais tout cela me semble vain,
Sans doute un besoin de regain.
 
je suis pas très inspiré alors je vous retranscris une chanson sans parole que j'aime beaucoup, si qqun trouve le titre je lui donne mon G4...


onomatopés

ti kou-tou ti kou-ti
huin huin huin huin huin
poudoum poudoum poudoum poum poum
Lalala pidiboum
Poum poum
huiiiiiiiiiiin, hu-in hu-in hu-in
woouuuuu, wou-hou wou-hou wou-hin
la, la-la-la pidiboum
la, la-la-la pidiboum
la, la-la-la pidiboum
piouuuuu piiiioouuuuu piiouuuu
tikiti ki poum boum boum
tchak tchak tchak
yi hi haaaaaa
boudoum boudoum boum boum boum boum
 
Je ne sais pas pourquoi mon cœur est hésitant,
Quelque chose là arrive, qu’on ne peut empêcher,
Continuer, arrêter, comme ça jusqu’où aller ?
Il faut me décider, tout de suite, maintenant.

Et puis pour tout lâcher, il ne faut rien tenir,
Et puis pour où aller ? Elle va où cette route ?
Il faut vite que j’y aille. Je laisse là mes doutes.
Bon allez, je m’en vais, j’en vois d’autres venir.

Je vais vers l’avenir, je reprends à zéro,
Je recommence tout, adieu lointain passé,
Je m’en vais sans regret, et sans me retourner,
Je recommence tout, je reprends à zéro.
 
La raie au beurre noir

J’ai posé mon pistolet-mitrailleur
Dans l’paquet de beurre.

Il faisait chaud il a fondu,
Ben oui le beurre,
Pas l’pistollet.

Faut vraiment avoir un esprit tordu,
Pour croire qu’un pistolet ça peut fondre.

J’étais témoin, j’ai tout bien vu,
Mais l’pistolet, l’était perdu,
L’était tout gras et plein de beurre,
Et, de mes mains il a glissé

Non, Monsieur, je n’y suis pour rien
Si ce jour là il a fait chaud
Le pistolet il est perdu,
Dans l’caniveau il est tombé
Bien sûr personne n’y a rien vu,
Ils étaient tous bien occupés.

Mais maintenant je me souviens,
Je sortais juste de chez l’coiffeur,
Il m’avait dit, c’est pas malin
La raie à gauche ou bien à droite.

Et comme je n’y voyais plus rien,
Vu qu’il m’avait teinte en noir.
Faites ce qu’il faut, je lui ai dis,
Quand j’ai vu approcher les flics.

Et c’est là que j’me suis trahie
Passant ma main dans mes cheveux,
Sur la raie qui était bien droite
Le beurre était devenu noir.


 
<blockquote><font class="small">Post&eacute; &agrave; l'origine par obi wan:</font><hr /> je suis pas très inspiré alors je vous retranscris une chanson sans parole que j'aime beaucoup, si qqun trouve le titre je lui donne mon G4...


onomatopés

ti kou-tou ti kou-ti
huin huin huin huin huin
poudoum poudoum poudoum poum poum
Lalala pidiboum
Poum poum
huiiiiiiiiiiin, hu-in hu-in hu-in
woouuuuu, wou-hou wou-hou wou-hin
la, la-la-la pidiboum
la, la-la-la pidiboum
la, la-la-la pidiboum
piouuuuu piiiioouuuuu piiouuuu
tikiti ki poum boum boum
tchak tchak tchak
yi hi haaaaaa
boudoum boudoum boum boum boum boum


[/QUOTE]


Le titre ne serait pas onomatopés ?
confused.gif
laugh.gif
 
onomatopés c le titre du poeme de la retranscription de la chanson dont tu doit trouver le titre (faut pas rêver qd même, ma retranscription est très approximative
laugh.gif
laugh.gif
laugh.gif
)
 
Rayon de soleil, à travers le volet
Même plus de glaçons à rajouter
Tous les gestes deviennent pénible
Tous mes espoirs sont impossible
J'entends un bruit dans l'escalier
Mais c'est le loyer que je n'ai pas payé

Par terre mes bottes et mon vieux jean
Sur la poussière de Maryline
Et sur les murs, parfum complice
De ton odeur Gitane Maïs
J'entends un bruit, j'ai pas rêvé
C'est la fenêtre qui a claqué

Maintenant que tu es partie, pour moi, c'est l'enfer
Je sais bien qu'on finira tous six pieds sous terre
Mais en attendant, il faut profiter de la lumière

Tout s'accélère, on a frappé
C'est pas la fenêtre, c'est pas le loyer
Sur le palier, toi, ma beauté
Sur les murs rouge, tout c'est brouillé
Sur la poussière, toi Maryline
T'as décidé que tout se termine

Maintenant que je suis parti, pour toi c'est l'enfer
Tu sais bien qu'on finira tous six pieds sous terre
Mais en attendant, c'est à l'ombre que tu profiteras de la lumière
 
Hier j'ai mangé une choucroute
on aurait dit la soeur d'helmut
Avec une bonne bouteille de blanc
Celle là, ils l'auront pas les allemands...



 
Voyage au bout du monde, y'en a marre de ces ondes
Là-bas y'a pas de saisons, bienvenue dans ta maison
Et le soir sur la plage, avec les coquillages
Au dessus il y a la lune, et y a plus de rancune

Il n'y a rien que toi et moi, le reste n'existe pas
Toi et moi sur le sable, il n'y a rien de regrettable
Sous le soleil la vie, là-bas c'était trop gris
Il n'y a qu'à se laisser vivre, écoute et reste libre

Oui, là-bas c'est dommage, mais il y avait trop de rage
Pas assez de lumière, et un peu trop de galère
Oui, là-bas c'est dommage, faut pas voir de mirages
Si t'as plus rien à faire, tu quittes la galère

Un nouveau paysage, et moi je te dévisage
Quel dommage à notre âge, on est peut-être trop sage
Regarde les coquillages, là-bas sur le rivage
La mer et le ciel bleu, tout pour nous rendre heureux

Oui, là-bas c'est dommage, mais il y avait trop de rage
Pas assez de lumière, et un peu trop de galère
Oui, là-bas c'est dommage, faut pas voir de mirages
Et si tu deviens folle, rejoins-moi sur l'atoll
 
Statut
Ce sujet est fermé.