C'est vous qui l'avez fait.

Statut
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Oh oui grand fou...
Mais pourquoi tu m'serres le cou ?
Aieuuuurrrfff, et ben alors ?
ça y est je suis mort...
 
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Boum, boum,boum, boum
Tadoum, tadoum, tadoum
C’est l’heure de commencer,
Faut pas s’laisser aller,
La journée sera longue,
Pour qui sonne le gong,
Boum, boum, boum, boum,
C’est l’heure de se lever,
Et d’aller se doucher,
Après le déjeuner.
Boum, boum, boum, boum,
A tous bonne journée.
 
Je m'accoude au comptoir, seul avec ma guitare
Et je commande à boire, lorsque cet homme en noir
Me dit : "Je vais être bref, penses-tu aux S.D.F. ?"
Je lui est filé ma veste, et je suis reparti vers l'Est

Seul avec ma guitare, je roule dans le noir
Je m'arrête dans une station, voilà qu'on me pose une question :
"Mec ! As-tu l'intention de donner pour le téléthon ?"
Je lui est filé mon pognon, j'ai rechangé de direction

Là bas une demoiselle. Mon dieu ce qu'elle a l'air belle
Je lui demande par hasard : "Veux-tu jouer de la guitare ?"
Elle me dit : "Ecoute moi, c'est pas que je ne veux pas
Mais si tu ne te couvres pas, tu auras peut-être le sida."

Je poursuis mon chemin, ma guitare à la main
Je ne me sens pas très bien, c'est que j'ai un peu faim
Un mec me crit : "Horreur ! T'en vas pas, n'ai pas peur
Pour les Restos du Coeur, donne moi ton jambon-beurre."

Je continu ma route, un peu à la déroute
C'est fou toute la misère, qu'il y a sur notre terre
Je ressors ma guitare, et je m'asseois sur le trottoir
Je joue le blues, quel dommage, pour moi d'être au chomage.
 
Il n’est pas là pour jouer
Il est là pour parier
Les cartes sont en ses mains
C’est sûr, il a la main
Un pique, un cœur, un trèfle
C’est sûr, il va gagner
Le poker est sa vie
Et il y a tout mis.
Les mégots se consument
Dans un vieux cendrier,
Il annonce ses cartes
Un autre se rabat,
Au milieu de la table
Les billets sont en joie
Juste vingt-cinq pour voir
Il ramasse la mise.
C’est au petit matin,
Fatigué et languide
Qu’il regagne sa chambre
Qui lui semble bien vide
Sur le vieux lit défait, il s’étend
Et s’endort, en rêvant de sa vie
Qu’il voudrait autrement.

 
Pas de chance, c'est toi qui a encore pris le stylo
Mais de toute façon, que faisait-il sous le bureau ?
Ok, tu dors, comme toujours tu as trop chaud
Mais je n'y peux rien, si le thermomètre est au plus haut

Bon d'accord, je me lève, je récupère mon pen
Je reprends ma feuille, et je recommence en peine
L'écriture d'un couplet à en perdre haleine
D'une chanson, d'un refrain, de notes qui s'enchaînent

Et toi tu es là, tu veux que je te dise
Des tonnes de mots, et même des bêtises
Et toi tu attends, de moi des décisions
Tu veux que je t'emmène autour du monde

Voilà le sujet, l'histoire d'un homme ordinaire
Qui se retrouve seul, au beau milieu de l'hiver
Sa femme le quitte, elle veut changer d'univers
Mais c'est bien triste, pour une chanson populaire

Non, c'est pas ça, ce n'est pas la bonne histoire
Mais c'est la mienne, face à une feuille pleine d'espoir
Que je remplis, de mots qui sont dérisoires
Que je remplis, de mots qui sont dérisoires

Et toi tu es là, tu veux que je te dise
Des tonnes de mots, et même des bêtises
Et toi tu attends, de moi des décisions
Tu veux que je t'emmène autour du monde

Alors voilà, la feuille est lourde de phrases
Qu'il faut que je vende, qu'il faut que je chante, que je case
Alors voilà, cette feuille lourde de phrases
C'est mon espoir, d'enlever ce poids qui m'écrase.
 
Aujourd’hui, il pleut,
C’est’y pas malheureux
Surtout pour un samedi,
C’est vraiment mal parti,
Tant pis, on f’ra avec,
On va rester au sec.
 
Les jours de nonchalance
Voilé blue sky
Les graminées s'balancent
Dans l'vent que vaille
Et mon cœur hésitant
Doucement s'abandonne
Au lent balancement
De la brise d'automne

C'est là dans l'air confus
Oh, le curieux malaise !
C'est là que vient à mon heure mauvaise
Le triste souvenir des paradis perdus.

Les je t'aime en suspens
Sur ton front dans l'air tiède
Ont séché vitement
Et nos amours anciennes
Qui se souvient de nos antiennes ?
Que reste-t-il de nos aimants
Beaux jours quand vient l'automne
Et la fin de l'amour ?
Du vent, du vent...

Les jours de nonchalance
Voilé blue sky
Les graminées s'balancent
Dans l'vent que vaille
Et mon cœur hésitant
Doucement s'abandonne
Au lent balancement
Du vent d'automne.
 
Je n'ai pas dormi de la nuit
Les soubresauts de ton corps m'ont empêchés de le faire
J'ai ouvert les yeux pour te regarder, attendri
Tu souriais, tu rêvais, cela ne fait aucun mystère
J'ai déposé délicatement un baiser interdit
Puis, contre ton coeur, je me suis endormi
 
Demain, c’est dimanche,
il faudra en profiter,
Le jour de la grasse matinée,
on va pouvoir se légumer
Ne rien faire que de rêver,
se détendre, se prélasser,
Demain on se laisse aller

 
Il n'y a pas une minute, pas une seconde, sans que je ne pense à toi
Pas un instant, pas un souffle, sans que tu ne sois en moi
Il n'y a pas un soleil, pas une lumière, sans que je ne t'aperçoive pas
Pas une odeur, pas un parfum, sans que je ne te respire pas

J'ouvre mes bras, je t'offre mon coeur, nous sommes deux
Viens contre moi, donne moi la main
Et ensemble, parcouront ce chemin
Il n'y a aucun doute, rien n'est plus beau, nous sommes amoureux
 
C'est à nouveau la nuit qui tombe
Et c'est mon cœur qui, bas et sombre
Rêve à-demi dans l'ombre
Aux beaux jours de l'été

Déjà tu vois je t'imagine
Dans le silence ensoleillé
Couché à l'ombre des glycines
Et des résédas parfumés

Déjà sous les fleurs anodines
Je sens tes lèvres purpurines
Oh, la fraîcheur de tes baisers !
Oh, les odorantes glycines
Du bel été !

Ta hanche fine et ta caresse
À l'ombre de ces fleurs rêvées
Auront raison de ma paresse
Et de mes peurs vite en allées
Sous les rassurantes promesses
Doucement murmurées
Dans l'ivresse
D'un baiser

Mais à nouveau le soir descend
Sur mai et sur mon cœur morose

C'est à nouveau la nuit qui tombe
Et c'est à nouveau sur mon cœur
Comme penchée sur une tombe
Où l'été déposa ses fleurs
 
Assis, seul, le yeux révulsés
Une goutte de sueur au front
Je pense encore à tes nénés
Oui je les revois tes p'tits nichons

Dans cette humble posture
Cette petite pièce sombre
au loin j'entends bruno masure
ouah il est gros comme un concombre...

Et oui comme vous l'aurez compris
Si je me retrouve ainsi assis
Avec cette ces p'tites gouttes au front
Ce n'est pas que je suis maboule

Tout simplement je fais caca.
 
<blockquote><font class="small">Post&eacute; &agrave; l'origine par FEELGOOD:</font><hr />Avec cette ces p'tites gouttes au front [...]
Tout simplement je fais caca.


[/QUOTE]

Bel effort.
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<blockquote><font class="small">Post&eacute; &agrave; l'origine par FEELGOOD:</font><hr />
Tout simplement je fais caca.


[/QUOTE]
J'espère qu'après tu feelgood mieux !!!
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laugh.gif
 

Les doux baisers
Aujourd'hui échangés
Me resteront gravés
Toute ma vie, à Jamais.

(et aussi, dans la même collection : "cette éphémère euphorie")
 
Là ! Derrière moi, un bruit une ombre
Là ! Devant moi, sous les décombres
Un gémissement, un appel au secours
Sans hésitation, sans aucun détour
Je me précipite, et je déblaie
De cette ruine, mon reflet

Toujours ce bruit, toujours cette ombre
Je ne vois rien dans la pénombre
Sauf cette ombre, comme une trace
Indélébile, je dois faire face
A ce mystère, cette inquiétude
Ce pressentiment, cette solitude

Un écho, un souffle qui m'attirent
Comme un amant que l'amour inspire
Comme toi avant que l'amour désire
Un écho, un souffle qui m'aspirent
Un antidote, une solution
Un remède, une transfusion

Des sueurs froides, et des mirages ce soir
Phénomène surnaturel, ou magie noire
La peur me gagne, les démons sont là
Je n'y crois pas, ça n'existe pas
Ce cri strident, ces coeurs charmeurs
Cette dimension me fait horreur

Cette ombre, de plus en plus menaçante
Un regard, c'est mon âme qu'elle hante
Une attaque, un combat
Une arme, c'est pour moi
Elle attaque, je riposte
Je m'approche, je l'accoste
J'arme, et je tire, c'est fini de rire
Une balle en plein coeur, c'est mon ombre, je meurs
 
Là, derrière toi, une ombre, un bruit
ZIP...
Hop, hop, trop tard...

Et oui on te l'avait dit
Tu vois ça ripe
la prochaine fois soit pas en r'tard

 
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