C'est vous qui l'avez fait.
- Créateur du sujet krystof
- Date de début
- Statut
Si seulement, ne serait-ce qu'une journée
Tu pouvais juste au moins essayer
Peut-être un peu de penser
A ne plus jamais me faire ch....
si j'avais connu ça plus tot
tu n'aurais pas eu de marmots
toi ma cheri que j'aimais tant
tu est si moche maintenant
tes bas tombant sur tes chaussures ( hé ! hé )
t'est pas gironde je t'assure
et tu n'a presque plus de dents
retourne donc chez tes parents
ya la poulette qu'habite au s'gond
celle qu'a du monde au balcon
je lui ais fait quelques avances
et je devrais conclure je pense
j'ai une boite pleine de viagra
pour cette nuit ça me suffira
et j'en aurais pour mon pognon
car mon zoziau c'est du béton
" texte inédit,créée et frappé d'une seule traite sur mon petit clavier mignon"
poil au ?
tu n'aurais pas eu de marmots
toi ma cheri que j'aimais tant
tu est si moche maintenant
tes bas tombant sur tes chaussures ( hé ! hé )
t'est pas gironde je t'assure
et tu n'a presque plus de dents
retourne donc chez tes parents
ya la poulette qu'habite au s'gond
celle qu'a du monde au balcon
je lui ais fait quelques avances
et je devrais conclure je pense
j'ai une boite pleine de viagra
pour cette nuit ça me suffira
et j'en aurais pour mon pognon
car mon zoziau c'est du béton
" texte inédit,créée et frappé d'une seule traite sur mon petit clavier mignon"
poil au ?
Mayo, get up and fight,
ce soir c'est la victoire,
et ce s'ra pas du light.
Mayo, get up, stand up,
ce soir ce s'ra la gloire,
KO, les pauv Ketchups.
ce soir c'est la victoire,
et ce s'ra pas du light.
Mayo, get up, stand up,
ce soir ce s'ra la gloire,
KO, les pauv Ketchups.
Elle est arrivée, pendant la journée
J'l'ai déshabillé, et j'l'ai admiré
J'l'ai prise dans mes bras, pour la faire crier
Vous n'me croirez pas, ça a bien marché
Toute la soirée, on s'est amusé
Toute la soirée, je l'ai taquiné
Je bougeais mes doigts, et elle aimait ça
Toutes les positions, pour elle c'était bon
Et puis un moment, tout doucement
J'me suis arrêté, j'étais obligé
Ce cri mystérieux, me rendit nerveux
J'lui en voulais pas, pour une première fois
On s'est mis d'accord, sur quelques accords
Remise sur pieds, je l'ai rebranché
Et...
On est reparti, jusqu'au bout d'la nuit
Je n'avais pas peur, d'ma Stratocaster
Oui car c'est d'ma guitare, dont je vous parle ce soir
Oui c'est ma guitare, qui a fait cette histoire
J'l'ai déshabillé, et j'l'ai admiré
J'l'ai prise dans mes bras, pour la faire crier
Vous n'me croirez pas, ça a bien marché
Toute la soirée, on s'est amusé
Toute la soirée, je l'ai taquiné
Je bougeais mes doigts, et elle aimait ça
Toutes les positions, pour elle c'était bon
Et puis un moment, tout doucement
J'me suis arrêté, j'étais obligé
Ce cri mystérieux, me rendit nerveux
J'lui en voulais pas, pour une première fois
On s'est mis d'accord, sur quelques accords
Remise sur pieds, je l'ai rebranché
Et...
On est reparti, jusqu'au bout d'la nuit
Je n'avais pas peur, d'ma Stratocaster
Oui car c'est d'ma guitare, dont je vous parle ce soir
Oui c'est ma guitare, qui a fait cette histoire
Ma petite Maman,
Aujourd'hui c'est ta fête,
ne fais pas cette tête,
j'ai un joli cadeau,
un truc très rigolo.
j'ai longtemps hésité
entre un joli bouquet
un parfum de Guerlain
et des sels de bain.
Ne m'étant décidée
j'ai eu cette bonne idée
je te fais ce cadeau :
ce gentil petit mot
Aujourd'hui c'est ta fête,
ne fais pas cette tête,
j'ai un joli cadeau,
un truc très rigolo.
j'ai longtemps hésité
entre un joli bouquet
un parfum de Guerlain
et des sels de bain.
Ne m'étant décidée
j'ai eu cette bonne idée
je te fais ce cadeau :
ce gentil petit mot
c'est bientot les vacances
plus de dependances
je vais m'eclater
toute la sainte journée
je vais a la mer
sur un bout de terre
qu'on appelle une ile
je serais tranquille
pour te butiner
et te papouiller
si tu prend ton pied
j'veux t'entendre crier
au bout de ma gaulle
les pieds sur le mole
si j'te vois sauter
moi je vais ferrer
ho le joli poisson
plus de dependances
je vais m'eclater
toute la sainte journée
je vais a la mer
sur un bout de terre
qu'on appelle une ile
je serais tranquille
pour te butiner
et te papouiller
si tu prend ton pied
j'veux t'entendre crier
au bout de ma gaulle
les pieds sur le mole
si j'te vois sauter
moi je vais ferrer
ho le joli poisson
barbarella a dit:
On dirait bien que c'est ça.
Et hop, on remonte en même temps ce magnifique thread.
Pour J.
Du haut de ses vingt ans, et de ses beaux yeux bleus
Un bleu un peu azur, de tristesse mêlée,
Et de ses cheveux bruns largement gominés
Il regarde le monde qui lui semble fermé.
Il ne sait où il est, il est un peu pommé.
Il a fait des erreurs, qui donc peut len blâmer
Il ne sait où il est, qui va lui indiquer ?
Il va passer un an et quelques mois encore
Entre ces quatre murs qui sont très bien gardés.
Je noublierai jamais son regard, sa détresse,
Parce que ce gamin là, cest rien que dla tendresse.
Et quand il dit Maman, il appelle au secours
Mais son père ne voit pas le fond de sa tristesse
Il a fait des bêtises, qui peut donc le punir
Si ce nest que son père avec beaucoup damour.
Du haut de ses vingt ans, et de ses beaux yeux bleus
Un bleu un peu azur, de tristesse mêlée,
Et de ses cheveux bruns largement gominés
Il regarde le monde qui lui semble fermé.
Il ne sait où il est, il est un peu pommé.
Il a fait des erreurs, qui donc peut len blâmer
Il ne sait où il est, qui va lui indiquer ?
Il va passer un an et quelques mois encore
Entre ces quatre murs qui sont très bien gardés.
Je noublierai jamais son regard, sa détresse,
Parce que ce gamin là, cest rien que dla tendresse.
Et quand il dit Maman, il appelle au secours
Mais son père ne voit pas le fond de sa tristesse
Il a fait des bêtises, qui peut donc le punir
Si ce nest que son père avec beaucoup damour.
le spleen du retraité
.
je suis sur une mauvaise pente
et j'ai trés peur de la chose
t'a déja réduit ma rente
et j'en connais pas la cause
si on me coupe les vivres
qu'on m'écorne ma retraite
comment faire pour survivre
jean pierre j'ai mal a la tête
de misere j'ai l'overdose
de m'aider étais ta quête
et tout ce que tu propose
c'est faire crever la bête
aidé par la canicule
t'a déja fait le ménage
et les vieux sans mandibules
tu leur fait tourner la page
heureusement grace au ciel
j'ai encore dans mon bas d'laine
avec une ame sereine
un corps dur a la peine
toi tu n'auras pas ma peau
d'autres ont essayé avant
et je bois mon apero
et t'emmerde ci devant
.
je suis sur une mauvaise pente
et j'ai trés peur de la chose
t'a déja réduit ma rente
et j'en connais pas la cause
si on me coupe les vivres
qu'on m'écorne ma retraite
comment faire pour survivre
jean pierre j'ai mal a la tête
de misere j'ai l'overdose
de m'aider étais ta quête
et tout ce que tu propose
c'est faire crever la bête
aidé par la canicule
t'a déja fait le ménage
et les vieux sans mandibules
tu leur fait tourner la page
heureusement grace au ciel
j'ai encore dans mon bas d'laine
avec une ame sereine
un corps dur a la peine
toi tu n'auras pas ma peau
d'autres ont essayé avant
et je bois mon apero
et t'emmerde ci devant
Nous irons vers la victoire
En buvant bien des canons
Car rester un jour sans boire
C'est bien le jour le plus long
En buvant bien des canons
Car rester un jour sans boire
C'est bien le jour le plus long
.
tu est toujours comme un soleil
qui souvent rechauffe mon coeur
et quand mes sens se reveillent
de la mort je n'ai plus peur
quand le soir au creux de tes reins
comme un bateau qui fait naufrage
si je sombre au petit matin
il me faudra tourner la page
j'emporterai dans mon voyage
mes souvenirs emerveillés
et comme le dirait un sage
et bien je jetterais la clé
.
tu est toujours comme un soleil
qui souvent rechauffe mon coeur
et quand mes sens se reveillent
de la mort je n'ai plus peur
quand le soir au creux de tes reins
comme un bateau qui fait naufrage
si je sombre au petit matin
il me faudra tourner la page
j'emporterai dans mon voyage
mes souvenirs emerveillés
et comme le dirait un sage
et bien je jetterais la clé
.
voila elle est parti
comme l'espoir que j'avais
son ame etait si jolie
et son corps que j'aimais
grace a elle je subsiste
elle est cette voix dans la nuit
cette bonte qui l'habite
me donne l'espoir en autrui
mais sans elle mon coeur bat a moitié
mes organes depourvu de son souffle
demandent trop souvent a se reposer
je n'irai pas loin sans sa bouche
je l'aime vraiment l'amour c'est tout
l'amour fait oublier le reste
son depart a causer ma perte
car dans mes reves elle est partout
a mon reveil plus rien ne subsiste
partout je suis si triste
je n'ose plus sortir ni me lever
du fond de mon lit mon coeur est apaisé
seulement pour elle je ferais tout
et dans mes reves de grands espoirs naissent
je vois une societe changée par nous
comme les fourmis qui par milliers grandissent
l'humanité pourrait commencer par supprimer les frontieres
prouver scientifiquement qu'on est tous fait de la meme chair
que l'on ne devrait plus preparer nos defenses
mais construire le monde sans crainte ni méfiance
De cet espoir né mon desespoir
a mon reveil je suis seul
sans elle sans ni les autres partageant mes espoirs
je ne suis rien qu'une fourmi fragile qui parle...
comme l'espoir que j'avais
son ame etait si jolie
et son corps que j'aimais
grace a elle je subsiste
elle est cette voix dans la nuit
cette bonte qui l'habite
me donne l'espoir en autrui
mais sans elle mon coeur bat a moitié
mes organes depourvu de son souffle
demandent trop souvent a se reposer
je n'irai pas loin sans sa bouche
je l'aime vraiment l'amour c'est tout
l'amour fait oublier le reste
son depart a causer ma perte
car dans mes reves elle est partout
a mon reveil plus rien ne subsiste
partout je suis si triste
je n'ose plus sortir ni me lever
du fond de mon lit mon coeur est apaisé
seulement pour elle je ferais tout
et dans mes reves de grands espoirs naissent
je vois une societe changée par nous
comme les fourmis qui par milliers grandissent
l'humanité pourrait commencer par supprimer les frontieres
prouver scientifiquement qu'on est tous fait de la meme chair
que l'on ne devrait plus preparer nos defenses
mais construire le monde sans crainte ni méfiance
De cet espoir né mon desespoir
a mon reveil je suis seul
sans elle sans ni les autres partageant mes espoirs
je ne suis rien qu'une fourmi fragile qui parle...
jle a dit:voila elle est parti
comme l'espoir que j'avais
son ame etait si jolie
et son corps que j'aimais
grace a elle je subsiste
elle est cette voix dans la nuit
cette bonte qui l'habite
me donne l'espoir en autrui
mais sans elle mon coeur bat a moitié
mes organes depourvu de son souffle
demandent trop souvent a se reposer
je n'irai pas loin sans sa bouche
je l'aime vraiment l'amour c'est tout
l'amour fait oublier le reste
son depart a causer ma perte
car dans mes reves elle est partout
a mon reveil plus rien ne subsiste
partout je suis si triste
je n'ose plus sortir ni me lever
du fond de mon lit mon coeur est apaisé
seulement pour elle je ferais tout
et dans mes reves de grands espoirs naissent
je vois une societe changée par nous
comme les fourmis qui par milliers grandissent
l'humanité pourrait commencer par supprimer les frontieres
prouver scientifiquement qu'on est tous fait de la meme chair
que l'on ne devrait plus preparer nos defenses
mais construire le monde sans crainte ni méfiance
De cet espoir né mon desespoir
a mon reveil je suis seul
sans elle sans ni les autres partageant mes espoirs
je ne suis rien qu'une fourmi fragile qui parle...
De biens beaux vers, de bien belles phrases
Tu es ici le bienvenu
Un premier post bien moins naze
que les tradionnels "Salut"
Un texte admirable d'abba zaba
Ça tournait mal... dans son château de Moulinesque, le roi faisait les cents pas sur le damier de marbre, tandis que ses troupes faiblissaient sous les assauts répétés de l'adversaire.
Déjà, l'une des tour était tombée, comme un vulgaire édifice de cartes à jouer. En contrebas, dans la prairie, les gentianes disparaissaient sous un flot de sang. La reine, à qui l'on avait conseillé de filer à l'anglaise, se retrouvait maintenant encerclée par une escouade de cavaliers, sans plus d'espoir d'en sortir vivante.
Les conseillers pressaient le vénérable monarque :
-Sire, il nous faut utiliser l'arme secrète...
Terrible décision, que celle d'engager sur le champ de bataille cette mortelle invention dont la puissance n'avait jamais connu d'égal et dont la barbarie ternirait à jamais, le roi en prenait conscience, l'image de son reigne...
Foin des considérations historiques ! On ne baffouait pas ainsi l'hégémonie de sa majesté, et ordre fût donc donné d'abaisser le pont levis pour lancer la riposte sur les assaillants.
La surprise fût de taille pour ces derniers. Oh ! Des fous, ils en avaient vus, et mis hors-jeu plus d'un... mais celui-ci !
Chevauchant, si l'on peut dire, un lapin-géant (par opposition à lapin nain : n.m. marsupial originaire des contrées australes et qui devait par la suite se voir affubler du nom de kangourou), le fou en question arborait en guise de haume une plaque à induction et rôtissait tout sur son passage, mettant bientôt ce qui restait de l'armée adverse en déroute.
Ainsi naquit le fou à micro-ondes, que le mon...
- Bon, tu rêves ou tu joues ?
- HEIN ?
oui j'ai du coeur Doc' tu le sais
, de l'esprit aussi un peu... mais surtout j'ai comme toi et beaucoup d'autre un peu de politesse et de respect
Ça tournait mal... dans son château de Moulinesque, le roi faisait les cents pas sur le damier de marbre, tandis que ses troupes faiblissaient sous les assauts répétés de l'adversaire.
Déjà, l'une des tour était tombée, comme un vulgaire édifice de cartes à jouer. En contrebas, dans la prairie, les gentianes disparaissaient sous un flot de sang. La reine, à qui l'on avait conseillé de filer à l'anglaise, se retrouvait maintenant encerclée par une escouade de cavaliers, sans plus d'espoir d'en sortir vivante.
Les conseillers pressaient le vénérable monarque :
-Sire, il nous faut utiliser l'arme secrète...
Terrible décision, que celle d'engager sur le champ de bataille cette mortelle invention dont la puissance n'avait jamais connu d'égal et dont la barbarie ternirait à jamais, le roi en prenait conscience, l'image de son reigne...
Foin des considérations historiques ! On ne baffouait pas ainsi l'hégémonie de sa majesté, et ordre fût donc donné d'abaisser le pont levis pour lancer la riposte sur les assaillants.
La surprise fût de taille pour ces derniers. Oh ! Des fous, ils en avaient vus, et mis hors-jeu plus d'un... mais celui-ci !
Chevauchant, si l'on peut dire, un lapin-géant (par opposition à lapin nain : n.m. marsupial originaire des contrées australes et qui devait par la suite se voir affubler du nom de kangourou), le fou en question arborait en guise de haume une plaque à induction et rôtissait tout sur son passage, mettant bientôt ce qui restait de l'armée adverse en déroute.
Ainsi naquit le fou à micro-ondes, que le mon...
- Bon, tu rêves ou tu joues ?
- HEIN ?
oui j'ai du coeur Doc' tu le sais
- Statut
