Chroniques de l'escalier.

  • Créateur du sujet Créateur du sujet PonkHead
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P'tain certains, vous vous sentez pas l'air d'être des gros ratés ? :D


4 pages de conneries (poétiques plus certain en plus, j'vous dit pas l'niveau) sur... des escaliers ! Mais remuez vous, vous avez rien de mieux a faire qu'écrire des conneries sur des marches en nous expliquant en 20 lignes de poésie sans aucun talent que vous préférez les escaliers en colimaçon avec les marches en bois que les escaliers en palier avec des marches en métal ?

Encore, ceux qui racontent une anecdote oh combien intéressante, ça peut passer pour de l'égocentrisme et de la nostalgie du à une décomposition de l'âge avancé ; ceux qui racontent un truc du genre, anecdote ou p'tit truc marrant, ça peut passer, certaines p'tites histoires étaient même vaguement intéressantes ;
Mais ceux (hello LHO) qui font des tas de messages de dizaines de lignes sur de la poésie sur un escalier (jsais pas si c'est lui qui les à écrit ou si c'est une citation [Je sais pas si ce qui est le mieux entre écrire ces trucs ou les citer en les pensant intéressant]), une irrésistible envie de leur demander "Mais... T'as que ça à foutre de tes journées de faire de la poésie a propos d'un escalier sur un forum ?"


Sinon, mon escalier, c'est ce qui réprésente la limite entre le rez-de-chaussé ou y'a généralement toute ma famille (ce qui fait que j'y vais le moins possible) de ma chambre, ou je suis la plupart du temps tranquil' à jouer d'la gratte, écouter d'la musique etc.

ce ne sont pas des citations, mais des écrits. et écrire est une forme de jeu.
et j'ai pour habitude, et ce depuis longtemps, d'avoir plusieurs activités en même temps, ce qui me permet de ne jamais perdre mon temps...

tu écoutes korn et j'écoute zorn, je ne dis pas que korn c'est de la merde et que zorn c'est bien.
je ne dis rien.

et d'une façon générale, quand quelque chose m'est étranger ou loin de ma sphère, je m'abstiens d'en parler...
qui plus est en mal.
 
:love::love::love:

On parle pas là de musique, j'me fout juste de ta gueule parce que tu fait de la poésie sur un escalier :D

Après, si tu veux me rendre la pareille, l'autre fois à cause d'un truc perdu, j'ai du faire le gage de faire une poésie d'amour en alexandrin, et vu que ça me les brisait, j'ai fait un truc qu'on peut potentiellement qualifier de minable :zen:

Le truc c'est que je me fout de la gueule de tout le monde, des gens que j'aime comme ceux que j'aime pas ; Pour la peine j'vais bouler le créateur de ce fil en rouge parce que j'préfère l'ascenseur. :zen:
 
P'tain certains, vous vous sentez pas l'air d'être des gros ratés ? :D


4 pages de conneries (poétiques plus certain en plus, j'vous dit pas l'niveau) sur... des escaliers ! Mais remuez vous, vous avez rien de mieux a faire qu'écrire des conneries sur des marches en nous expliquant en 20 lignes de poésie sans aucun talent que vous préférez les escaliers en colimaçon avec les marches en bois que les escaliers en palier avec des marches en métal ?

Encore, ceux qui racontent une anecdote oh combien intéressante, ça peut passer pour de l'égocentrisme et de la nostalgie du à une décomposition de l'âge avancé ; ceux qui racontent un truc du genre, anecdote ou p'tit truc marrant, ça peut passer, certaines p'tites histoires étaient même vaguement intéressantes ;
Mais ceux (hello LHO) qui font des tas de messages de dizaines de lignes sur de la poésie sur un escalier (jsais pas si c'est lui qui les à écrit ou si c'est une citation [Je sais pas si ce qui est le mieux entre écrire ces trucs ou les citer en les pensant intéressant]), une irrésistible envie de leur demander "Mais... T'as que ça à foutre de tes journées de faire de la poésie a propos d'un escalier sur un forum ?"


Sinon, mon escalier, c'est ce qui réprésente la limite entre le rez-de-chaussé ou y'a généralement toute ma famille (ce qui fait que j'y vais le moins possible) de ma chambre, ou je suis la plupart du temps tranquil' à jouer d'la gratte, écouter d'la musique etc.

Pas bête tout çà... Bien vu...
Pour les escaliers il faut faire court.
Je répète la règle même si personne ne semble l'avoir remarquée :

2h + g = 64​

Voilà une chose importante à dire sur les escaliers.
 

oui, bravo.
il manquait un "patochman-like" pour nous rappeler comment nous devions poster, alors voilà junior qui vient nous la jouer "mais vous tournez en rond les vieux". :p

tu vois, autant ce que tu lis ici ne t'intéresse pas, autant moi de mon côté, simple lecteur et contributeur, je n'en ai mais alors rien à foutre de ton avis.
une pollution parmi tant d'autres.

et, pour rester dans le sujet, les ascenseurs ça pue la pisse tout le temps du trajet.
 
:love::love::love:



Après, si tu veux me rendre la pareille, l'autre fois à cause d'un truc perdu, j'ai du faire le gage de faire une poésie d'amour en alexandrin, et vu que ça me les brisait, j'ai fait un truc qu'on peut potentiellement qualifier de minable :zen:

Ah, mais pas du tout. Je m'en souviens bien, puisque j'étais vaguement concerné par la chose. Le poème était très bien tourné, empreint d'une émotion authentique, exprimant avec adresse les méandres les plus secrètes de ton âme, escaladant avec légèreté les escaliers reliant tes divers niveaux de conscience

:D
 
....

et, pour rester dans le sujet, les ascenseurs ça pue la pisse tout le temps du trajet.

le mien sent bon, parfois on dirait un magasin de parfumerie .... on doit aimer se parfumer par ici :p :p :p



un escalier que j'ai beaucoup aimé .. ou detesté

il etait (et surement il est toujours) tres large , en marbre blanc , il y avait beaucoup du monde mais seulement a un certain moment de la journée , le reste du temp il restait desert ... sauf quand ma copine et moi meme on etait virés de la classe et on allait soit s'assoir soit y faire du step dessus .

chaque lundi matin il fallait le gravir de 2 etages pour aller dans ma classe , chaques semaines mes sentiments vis a vis de lui n'etaient jamais pareil , surtout quand il fallait le gravir pour les cours de topographie ou de chimie .

les lundis aprés-midi il etait souvent notre compagnon/entraineur a ma copine et a moi pendant l'heure creuse avant d'aller dans le gymnase ....

Durant 2 ans je l'ai trahis avec un en bois sombre mais celui ci ne m'a laissé aucun souvenir marquant ... j'ai retrouvé avec joie l'elegant marbre , mes copains qui n'avaient pas renoncée a pursuivre année aprés année mais pas ma copine , elle avait abandonnée .

La derniere année ..... combient de fois on est montés pour redescendre tres vite au risque de nous casser un os jusq'a au demi sous sol pour s'enfuir en moto a la chasse du farniente au bord du lac voisin ?

tiens , si j'etais encore la bas j'aurais surement continué dans la vie professionelles que on m'avait destiné ....et comme c'est un "affaire" de famille il y aurait eu de forte chance que ma fille aille aussi la-bas ....et j'aurais pu continuer a le voir cet escalier et vagabonder dans mes souvenir a chaque fois que je l'aurais pris .
 
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Réactions: G2LOQ
Pour la peine j'vais bouler le créateur de ce fil en rouge parce que j'préfère l'ascenseur. :zen:

Puisses-tu pourrir éternellement en un Enfer en forme d'escalier à 7 niveaux bouclant sur lui même, les bras chargés de seaux de matières fécales issues des ténébreux derrière de toute la clique maudite des démons du cercle puant des digestions difficiles !

Comprendra-t-on un jour cette obsession des plus jeunes qui consiste à traîner en bas des escaliers dans le seul but d'enquiquiner les braves gens ?
N'as-tu donc que cela à faire de ta jeune vie ?

Hé hé.
 
oui, bravo.
il manquait un "patochman-like" pour nous rappeler comment nous devions poster, alors voilà junior qui vient nous la jouer "mais vous tournez en rond les vieux". :p

tu vois, autant ce que tu lis ici ne t'intéresse pas, autant moi de mon côté, simple lecteur et contributeur, je n'en ai mais alors rien à foutre de ton avis.
une pollution parmi tant d'autres.

et, pour rester dans le sujet, les ascenseurs ça pue la pisse tout le temps du trajet.

Certains ascenseurs feraient bien de lâcher :sleep:
 
Je suis assis sur mon escalier

En gros, si je compte bien, il fait trois marches

Je n'ai pas des étages pénibles à monter, car j'ai pu éviter les immeubles, les superpositions de gens dans des espaces verticaux

Je dois avoir de la chance

C'est mon escalier qui me le dit

Il faut le croire

Il descend de vieux escaliers, comme les escaliers descendent souvent

Des ancêtres dont il me parle souvent

Il sait que je parle la langue des escaliers

Je l'écoute

Il me dit parfois que le chemin vers le haut et vers le bas est le même

Alors, je lui demande comment il s'appelle

Mais il ne se livre pas comme ça, mon escalier

Mais l'autre jour, je l'ai menacé de le recimenter et de le peindre en blanc

(il faut parfois être sévère avec les escaliers, même quand on les aime bien, même quand tout marche bien avec eux)

Et là, il m'a dit : je m'appelle l'Obscur

Je suis né, il y a longtemps, à Ephèse
 
Un escalier ? Non, pas vraiment. Juste une ou deux marches.

Depuis la gare, j'observais le paysage qui défilait. Un paysage de ville, d'abord, puis de montagnes. Nous montions.
La porte de la voiture à peine claquée, je vis surgir du brouillard le squelette noir d'un pylône de remonte-pente. Juste posé là, inutile.

Et puis cette maison dans les nuages, car il était plus beau de parler de nuages que de brouillard. Ces deux marches, puis j'entrais et découvrais ces lieux dont je rêvais depuis si longtemps. Nous étions enfin tous les deux. Pas dans le même état d'esprit : tant de temps était passé depuis, mais avec le même sentiment d'ados qui se surprennent à vieillir. Tu n'avais pas encore tes deux filles. Tu étais comme je t'avais quittée, avec ces longs cheveux jusqu'à la taille et ton éternel jean. Et ces yeux bleus, une candeur, une jeunesse que je ne percevais pas encore, ayant la même.

Tu étais comme je t'avais retrouvée dans la capitale ce soir où, crachant toutes mes économies d'étudiant je t'avais entrainée dans un resto de Montparnasse pour un diner entre nous, si loin de la plage, avec des bougies sur la table. Tu te souviens ? tes parents pensaient que tu étais chez une amie, pas loin de chez toi, à 600 Kms. Le mensonge était si bon : l'interdit avait un gout d'aventure. La dernière fois que je t'ai vue, tu m'as dit que si ta fille ainée faisait la même chose tu la tuerais. Cela m'a fait sourire... Si j'avais un fils, et s'il prenait le train sans rien me dire pour rejoindre un amour d'été, j'aurais plutôt envie de le serrer dans mes bras... Après avoir flippé rétrospectivement. Mais tu as peut-être raison : l'époque n'est plus la même. Ou alors c'est nous qui avons changés. Putain, c'est affreux.

Nous avons longuement parlé, ce soir là, à l'ombre des montagnes. Puis, tu m'as emmené passer la soirée chez un de tes amis. Je n'en avais pas vraiment envie, mais bon, c'était une nouvelle découverte. A peine rentrés, tu m'as montré la boite dans laquelle tu avais archivées toutes mes lettres. Ouch : le choc : c'est fou ce que j'ai pu t'écrire. Finalement, c'était bien, l'avant internet. Ca sentait le papier et l'encre, le temps passé. Pour chacune d'entre elles, je me souvenais du moment, de l'odeur, de la musique écoutée en noircissant les pages. J'ai beaucoup moins de souvenirs sur les "iChats".

Cette nuit là, nous avons partagés le même lit, sagement, observant en parlant la lune qui jouait avec les interstices des volets. Et le matin a jeté dans la chambre sa lumière. N. est passée. Elle n'a pas pu s'empêcher, lorsque tu t'es levée pour aller chercher le café, de me demander si "nous avions baisés", avec tout ce que l'aspect vulgaire de la question laissait transparaître de jalousie. Pourtant, avec N, c'était terminé depuis longtemps. Finalement, les femmes sont aussi possessives que les mecs : Le Boulevard Voltaire était loin, dans tous les sens du terme et, te souviens tu, N ? Entre toi et moi il n'avait jamais été question d'amour.

Quelques heures après, je suis remonté dans la voiture. Le soleil perçait les nuages et je me suis aperçu que le pylône était vert, comme tous les pylônes de remonte-pente. Vert comme l'herbe qui l'entourait. C'était le début du printemps : bientôt, l'été allait apporter ses nouvelles aventures. Si mes souvenirs sont exacts, de cet été qui naissait, je n'ai gardé en septembre que quelques grains de sable au fond d'une poche alors que le "notre" m'avait fait découvrir en fin d'un hiver un chalet perdu dans la montagne, avec deux marches.
 
Avec l'escalier de l'age qui monte,
Je remercie bien chaleureusement toutes et ceux qui m'ont souhaité un bon anniversaire !
:love:

Escalator repéré la semaine dernière (pour les jupettes...:rolleyes: )
sortie de la ligne 14 "bibliothèque", la pente possède un bon pourcentage.
Attendons les beaux jours...
;)

Biz,
:up:
 
Avec les années, mon voisin de palier commençais à avoir une démarche claudiquante. Vite essoufflé, marche après marche, la peine se dessinait sur son visage.

Je ne m'en suis pas rendu compte de suite ... C'est un dimanche, quand les petites enfants sont venu me rendre visite que j'ai compris que ça n'allais pas fort.
J'attendais sur le palier après avoir ouvert la porte de l'immeuble à l'interphone. Les petits enfants montaient à toute vitesse et Mussel comme une tortue.

La vieillesse m'a prise d'un seul coup. Mussel était un homme fort, et j'avais gardé en mémoire cette image de robustesse et de puissance qu'il reflétait. Je ne compte plus les fois où il montait mes cabas en montant les marches deux par deux.
Pourtant, j'était obligée de me rendre à l'évidence, tout cela l'avais quitté, les années passant.

Plus tard, je lui ai demandé ce qui n'allait pas.
Il me répondit entre deux souffles "le coeur." La visite chez le cardiologue n'avais pas laissé un bon pronostic. Et de savoir cela ne l'encourageais guerre, d'autant que cela le rapprochais un peut plus de son autre Coeur.

Les choses se sont inversées.... Je lui portait dorénavant ses cabas, même si je ne montait pas les marches 2 à 2. Il me félicitait pour ma santé et mon tonus. Mussel faisais peine à voir. 3 étages, c'était quelque chose d'insurmontable pour lui. Il fallut qu'il s'installe une chaise pliable au deuxième étage, pour pouvoir faire une pause.

J'avais fait de même, non pas pour me reposer, mais pour pouvoir discuter avec lui.
Il me racontais que son traitement lui donnais des migraines, et qu'il avais l'impression d'entendre son coeur battre quand il montait l'escalier.

"Tac Tac" disait-il dans l'escalier, comme pour justifier ses grimasses de douleur et son essoufflement.

Jamais il ne lui serais venue à l'idée de consulter son cardiologue pour modifier son traitement. Il n'en voyais pas l'utilité : Il me disais que même comme ça, il continuerais de prendre son traitement quand il y penserais, et que de toute façon, rien ne pouvais plus aller que dans le sens de la fin, que le contrepoids était dorénavant passé de l'autre coté de sa vie.

À force de discussions, j'ai quand même réussis à le convaincre, quitte à ce que je l'accompagne pour être sûre qu'il irais bien jusque chez son cardiologue, même si cela devait lui prendre 3h de marche et de pause. Finalement, un taxi médical rendu les choses moins héroïques, et donc plus faciles.

Le cardiologue n'y est pas allé par quatre chemins, et lui à bien mis en tête tout ce qu'il fallait faire pour éviter le plus de dégâts possibles. Il a passé plus de 45 minutes en consultation, et nous somme rentrés.

Nous avons monté les deux premiers étages, puis après la pause rituelle, nous avons repris l'ascension vers le 3e. Il me racontait avec un air de petit garçon dans ses petits souliers "Je me suis pas fait engu....."

Tac tac tac. Trois petits tours et puis s'en vont.

Ces escaliers sont magnifiques.
Des boiseries montent sur tous les murs comme des grimpants. Un motif semble essayer de raconter quelque chose. Mais c'est indescriptible. La pierre de Rosette se sentirais bien inutile. Peut-être est-ce pour essayer de nous divertir, que jour après jour, en rentrant chez sois, nos pensées se baladent sur ces moulures, et qu'une fois arrivé chez sois, il ne reste plus qu'à s'émerveiller de sa famille, car la négativité de la journée est restée coincée dans les creux des murs.
Le contraste entre la couleur du bois sombre et la tapisserie qui le surplombe tient sûrement d'une formule savante jamais égalée.
En bas de l'escalier, la porte qui fait office se sas mérite à elle seule toute l'attention de l'oeil. Les battants s'organisent, font de tout leur possible pour ne pas être droits, aussi bien sur le plan que sur la tranche.
Un travail remarquable.

Pourtant, ces escaliers tuent; le gardien est partit, mais je peux attraper le téléphone en glissant mon bras par la fenêtre de sa loge restée ouverte.


La France est atteinte.
 
On dit que monter les escaliers c'est dur, mais les descendre peut être aussi pénible quand c'est sur une longue distance.
Je ne sais pas si certains d'entre vous sont allés en crète.
La-bas il y a de fabuleux endroit dont les gorges de Samaria !

samaria_s1.jpg


Le début de la randonnée commence par une descente avec des rondins de bois formant des marches. 1000 m de dénivelé pendant 2 kilomètres!
je peux vous dire qu'en bas j'ai eu les rotules de jenou qui chauffaient et les cuisses en acier trempé.
:p
:up:
 
On dit que monter les escaliers c'est dur, mais les descendre peut être aussi pénible quand c'est sur une longue distance.
Je ne sais pas si certains d'entre vous sont allés en crète.
La-bas il y a de fabuleux endroit dont les gorges de Samaria !

samaria_s1.jpg


Le début de la randonnée commence par une descente avec des rondins de bois formant des marches. 1000 m de dénivelé pendant 2 kilomètres!
je peux vous dire qu'en bas j'ai eu les rotules de jenou qui chauffaient et les cuisses en acier trempé.
:p
:up:
Ah !...
Tu as des rotules ailleurs qu'aux genoux ?!... :heu:
 
Ah !...
Tu as des rotules ailleurs qu'aux genoux ?!... :heu:

Mince, je pensait que la rotule était la grosse partie arrondie de l'os, alors pour moi il y en avait plusieurs...
Je suis pas medecin, mais on en apprend tous les jours :up:

Tiens j'ai ma rotule de cou qui me fais mal, aïe....
:D
 
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Réactions: tirhum
Mince, je pensait que la rotule était la grosse partie arrondie de l'os, alors pour moi il y en avait plusieurs...
Je suis pas medecin, mais on en apprend tous les jours :up:

Tiens j'ai ma rotule de cou qui me fais mal, aïe....
:D

Ben oui, la rotule du bras. c'est un peu comme le coude du genou... :rateau: :D
 
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Réactions: NED