De la vie des macgéens

C'est quoi Cara Pils ?
Dans mon patelin, le boulevard qui relie le centre ville à la zone industrielle est surnommé le "Boulevard Cara Pils" eu égard au nombre important de canettes vides qui jonchent les trottoirs et les abords ! :woot:

Cette bière bon marché est un fléau dans les milieux défavorisés ... :arghh:

Pour info (prix du jour en supermarché) : une canette de 50 cl de Carapils = 0,45 € tandis qu'une canette 50 cl de Jupiler = 1,14 €
 
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Réactions: lamainfroide
Dis donc, j'ai appris un truc hier soir.
Je me suis trouvé à regarder Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal (au demeurant pas le meilleur, avec un Harrison Ford vieillissant - c'est pas non plus sa faute - et un scénario pas toujours crédible - bref).
Les méchants sont russes et parlent donc souvent en russe.
C'est là que je veux en venir.
À un moment (moi qui ne parle pas cette langue), j'entends un mot qui sonne familier à mon oreille : caran d'ache.
Ni une ni deux, recherche sur le net.
Et j'apprends que la société Caran d'Ache, fondée en 1915 sous le nom Fabrique Genevoise de Crayons, a été rebaptisée Caran d'Ache en 1924 comme un clin d'œil au mot russe karandach qui signifie crayon.
Ça m'a fait ma soirée.
Et visiblement ma journée, puisque j'éprouve le besoin de vous en parler.
 
À sept ans, j'ai eu une boîte de 24 couleurs. Ces crayons fantastiques avaient une particularité.
À sec on crayonnait, avec une petite coupelle d'eau, on pouvait remplir comme avec de l'aquarelle.
J'ai vraiment aimé ces кандаш :up:

Édith : fallait pas trop faire aquarelle parce qu'ils fondaient comme neige au soleil. Une autre technique était de passer un pinceau humide sur le crayon pour diluer le dessin.
 
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Je connaissais. Mais connais tu l’origine du mot bistro en France ?

Il se raconte mais d’aucun disent que c’est faux mais j’aime cette origine.

lors de l’occupation russe en France vers 1810, pendant l’hiver les soldats russes qui entraient dans les bars s’y pressaient en disant bistro bistro. Ce qui veut dire vite vite en russe.

Les parisiens pensaient que c’était le nom d’un troquet en russe. Et le mot est resté.
 
Je ne connaissais pas.
J'avais un pote qui disait bistroquet. J'ai toujours cru que c'était le véritable mot qui avait fini par donner bistrot et troquet.
Je t'avoue que je ne suis jamais allé plus loin.
En attendant, il y a un bistrot dans mon coin qui s'appelle le bistroquet (et qui n'a rien à voir avec mon pote - qui n'est même pas de la région, lui).
 
Une fois avec des potes, nous sommes allés nous claquer un godet de pichetegorne dans un trocson appelé le Dromaludaire...
 
Fréquenté par des adeptes du louchébem?
 
je vous raconte :

je suis testeur pour l'application France identité. (l'application de l'état qui virtualise la carte d'identité) J'ai eu la surprise cet après midi de me faire refuser ma carte d'identité fournie par l'application par un service de l'état : l' ANTS.

on progresse.
 
Donc tu n'es pas testeur mais beta-testeur... :smuggrin:
 
En 1998 à l'UCPA de La Plagne, on a été une dizaine à être beta-testeur des premiers skis paraboliques.
Un gars de l'usine nous a appris un nouveau virage possible avec ces skis : le virage autrichien...
Il n'y avait aucun signe distinctif pour connaître la marque, mais le gars parlait bien français.
 
Vous souvenez-vous de mon feuilleton 'Colissimo, tête de veau' ?
Je vous propose la saison2, en espérant qu'elle sera plus courte que la première.
S2E1
Je dépose hier soir dans ma boite aux lettres deux colis : un paquet et une enveloppe cartonnée, colissimo devant les prendre en charge aujourd'hui.
A 13h et des raouettes, je reçois deux mails : 'nous n'avons pas pu prendre votre colis en charge, il est absent de la boite aux lettres'. Murdre, quelqu'un aurait ouvert ma boite pour piquer son contenu ? Je me précipite, et non, tout va bien, les colis sont la, mais sous le courrier que je n'avais pas encore relevé, et monsieur colissimo n'a pas cru bon de verifier que le carton et l'enveloppe étaient ce qu'il devait prendre (je réalise au passage que celui qui distribue le courrier n'est pas celui qui relève les colis. Pourquoi faire simple...)

S2E2
Gentiment, le mail me dit que je peux demander un nouveau passage : cliquez ici, faites cela, etc.
Ce qui donne, pour les deux colis 'Le numéro que vous avez saisi n’est pas valide. Nous vous invitons à vérifier qu'une demande n'a pas déjà été faite pour ce colis.'. Peut-être que c'est automatique et qu'ils repasseront demain. On verra bien.
Ceci étant, quand je regarde leur état dans mon espace client, l'un est effectivement 'on l'a pas trouvé' mais l'autre est 'en préparation' - alors que les deux sont dans ma boite aux lettres.
Pour finir, le mail fourni un lien pour avoir directement l'état d'avancement. Le lien est pourri (il transcode mal le numéro de colis), et quand on le saisi à la main 'désolé, un incident technique nous empêche de satisfaire votre demande'.

Bref, la totale !
 
Bref, la totale !
Va les porter à la poste mister Radasse !
:p
PS : dans ma cambrousse maritime, je connais le facteur, je lui confie le courrier et les colis, on boit le café et chaque voisin s'occupe des colis des autres. Vive la vieille France...
 
PS : dans ma cambrousse maritime, je connais le facteur, je lui confie le courrier et les colis, on boit le café et chaque voisin s'occupe des colis des autres. Vive la vieille France...
J'aimerai bien que ça se passe comme ça en banlieue de Fancoulaux, mais non. Quant aux voisins ils restent cloitrés chez eux...
 
Colissimo, tête de veau. S2E3
Or donc, reprenant mon courage à deux mains et armé de toute la patience disponible - mais non infinie -, je me reconnecte ce matin au site de la Poste et entreprends d'essayer de faire revenir monsieur colissimo vers ma boite aux lettres.
Pour le premier colis, en suivant la procédure le message a changé, ne me demandez pas pouquoi. Ce n'est pas 'on peut rien faire', mais 'connectez-vous pour continuer'. Sauf qu'il n'y a aucun bouton pour le faire, dans le bandeau supérieur ou il devrait être il n'y a que le logo de la poste. Je decide de biaiser (avec i), ouvre un nouvel onglet, me connecte à la poste via leur page d'accueil, retourne au précédent, copie l'URL, revient au suivant, colle l'URL, me retrouve bien sur la page kivabien, étape suivante, et la miracle affichage automatique de la mire de connexion (alors que je suis connecté, mais bon). je passe les détails, a priori c'est bon.
Pour le deuxième colis, rien à faire, c'est toujours 'on peut rien faire'. J'appelle donc l'assistance, tape 1, 2, 1, 2 réponds, 'oui, oui, non, oui, colis, expéditeur' à la boite vocale et tombe assez rapidement sur un pauvre marocain qui n'en peut mais, me dit d'attendre un jour ou deux que ça se débloque (sauf que si j'attends trop longtemps mon étiquette sera périmée), me dit aussi que de toutes façons il ne peut pas faire la demande à ma place, me suggère de passer par un autre navigateur (déjà fait), et termine en me suggérant de passer par une fenêtre privée.
Ce que je fais, et tenez vous bien, ça a marché, j'ai aussi pu reprogammer ce colis.

Je subodore une histoire de cookies pour expliquer le comportement différent, mais toujours est-il que le site de la poste fait partie de ceux, trop nombreux, 'pensés avec le c.l, codés avec les pieds'. Parce que c'est pas tout ça : le site me dit que monsieur colissimo va passer demain matin, mais comme je n'ai pas reçu de mail de confirmation j'ai toutefois un doute.
 
Épique !?