Destins de Gloire...

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Vu l'immense succès qu'elle a suscitée ces derniers temps, il était normal de faire plus ample connaissance avec Kate Khy.

Donc Kate, vague héroïne d'un vague roman à l'eau de rose, est une personne bien réelle avec un destin de gloire bien réel, lui aussi.

N'ayant pas un physique "facile", on ne peut pas dire que les premières années de sa vie furent des plus agréables. Aujourd'hui encore, il lui arrive par moment d'avoir à affronter la triste réalité de cette discrimination à l'élégance.

Kate est née dans les années 30 (et oui les gars, ça va faire un peu juste...), dans une petite maison, plantée au milieu d'une prairie. Son père avait pour habitude de passer beaucoup de temps à couper du bois, même en été. La mère, niaise comme c'est pas permis, s'occupait des tâches ménagères et domestiques, bref, rien de plus normal pour une femme. La grande sœur et le petit frère passaient leur temps à courir dans les champs, ne trouvant rien de plus malin que de piétiner la faune et la flore qui n'avaient rien demandé d'autre que de s'épanouir en paix.

On aurait pu dire que cela devait se passer ainsi tout au long de leurs vies, mais, hélas, non. Le drame vint frapper à la porte, par un triste matin d'hiver. L'hiver, c'est toujours triste. D'ailleurs, la veille, on avait trouvé, allongée contre le mur d'une des maisons du village, une petite fille, morte de froid, avec une boite d'allumettes vide dans une de ses mains. Quelle conne ! Si la boite avait été pleine, elle aurait pu faire un feu et se réchauffer. Bon, revenons à nos moutons. On frappa donc à la porte, par un triste matin d'hiver. C'est Kate qui ouvrit. Aussitôt, l'inconnu dit : bonjour, je suis le méchant promoteur immobilier, et nous allons raser la colline pour construire des HLM. Vous avez 3 jours pour débarasser les lieux. Puis, il partit. Qui était-ce ? demanda le père. Je sais pas, répondit Kate. Bon, bah j'vais couper du bois... Qui était-ce ? demanda la mère. Je sais toujours pas, répondit Kate. Bon, bah j'vais m'préparer un fix, dit la mère. Et oui... un fix ! Car il faut savoir, que malgré son sourire niais de femme bien sous tout rapport, la mère de Kate ne trouvait, finalement, son bonheur, que dans les paradis artificiels. C'est que c'était pas tous les jours facile avant, même si Jean-Pierre Pernaut proclame le contraire.

Trois jours plus tard, les buldozers envahissaient la prairie. Kate était partie remplir les seaux, à la rivière, en aval de l'usine à déchets toxique, avec son amie Cosette. En revenant, il n'y avait plus rien qu'un immense terrain vague sur lequel les enfants d'origines brésiliennes du village avaient improvisé une petite partie de foute. Qu'est devenu le reste de la famille Khy, mystère. Jacques Pradel cherche encore.

Kate prit donc la route, toute la sainte journée. Elle n'avait pas vu le doute en elle, s'immiscer. Mais qu'importe, elle était décidée, et voulait partir, là-bas, où tout est neuf et tout est sauvage. Un genre de continent libre, sans grillages. Malheureusement, elle n'arriva jamais là-bas, où tout est.... Faut dire qu'il y a bien un truc qu'elle n'avait pas pour elle, en plus de sa laideur, c'est le sens de l'orientation. Comme toutes les femmes en gros (ouai, je sais, j'en profite, c'est votre journée aujourd'hui). Elle erra comme ça, durant de nombreuses années, pour finalement se retrouver dans la citée HLM, construite entre temps sur sa propre petite maison de jadis.

Pour subvenir à ses besoins, elle fut monstre de foire, doublure sans maquillage dans les films d'Ed Wood, et elle m'inspira un vague roman à l'eau de rose qui me permis de devenir millionnaire, et pour lequel elle ne reçu aucun centime. Elle n'a pas de compte bancaire, comment je fais moi ?! Je voulais bien lui donner un chèque emploi service, mais vous avez vu le boxon que c'est ce truc. Finalement j'ai lâché l'affaire. Trop compliqué.

Voilà, vous savez tout de Kate. Allez, je vous laisse, il faut que je m'occupe de récupérer la fortune que va me procurer cette biographie exceptionnelle de vous savez qui.
 
krystof a dit:
Vu l'immense succès qu'elle a suscitée ces derniers temps, il était normal de faire plus ample connaissance avec Kate Khy.
...
Voilà, vous savez tout de Kate. Allez, je vous laisse, il faut que je m'occupe de récupérer la fortune que va me procurer cette biographie exceptionnelle de vous savez qui.

Inutile d'essayer de nous endormir avec ton ron ron, tu as du quitter kate ! :rateau:

:D
 
krystof a dit:
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Vu l'immense succès qu'elle a suscitée ces derniers temps, il était normal de faire plus ample connaissance avec Kate Khy.

Donc Kate, vague héroïne d'un vague roman à l'eau de rose, est une personne bien réelle avec un destin de gloire bien réel, lui aussi.

N'ayant pas un physique "facile", on ne peut pas dire que les premières années de sa vie furent des plus agréables. Aujourd'hui encore, il lui arrive par moment d'avoir à affronter la triste réalité de cette discrimination à l'élégance.

Kate est née dans les années 30 (et oui les gars, ça va faire un peu juste...), dans une petite maison, plantée au milieu d'une prairie. Son père avait pour habitude de passer beaucoup de temps à couper du bois, même en été. La mère, niaise comme c'est pas permis, s'occupait des tâches ménagères et domestiques, bref, rien de plus normal pour une femme. La grande sœur et le petit frère passaient leur temps à courir dans les champs, ne trouvant rien de plus malin que de piétiner la faune et la flore qui n'avaient rien demandé d'autre que de s'épanouir en paix.

On aurait pu dire que cela devait se passer ainsi tout au long de leurs vies, mais, hélas, non. Le drame vint frapper à la porte, par un triste matin d'hiver. L'hiver, c'est toujours triste. D'ailleurs, la veille, on avait trouvé, allongée contre le mur d'une des maisons du village, une petite fille, morte de froid, avec une boite d'allumettes vide dans une de ses mains. Quelle conne ! Si la boite avait été pleine, elle aurait pu faire un feu et se réchauffer. Bon, revenons à nos moutons. On frappa donc à la porte, par un triste matin d'hiver. C'est Kate qui ouvrit. Aussitôt, l'inconnu dit : bonjour, je suis le méchant promoteur immobilier, et nous allons raser la colline pour construire des HLM. Vous avez 3 jours pour débarasser les lieux. Puis, il partit. Qui était-ce ? demanda le père. Je sais pas, répondit Kate. Bon, bah j'vais couper du bois... Qui était-ce ? demanda la mère. Je sais toujours pas, répondit Kate. Bon, bah j'vais m'préparer un fix, dit la mère. Et oui... un fix ! Car il faut savoir, que malgré son sourire niais de femme bien sous tout rapport, la mère de Kate ne trouvait, finalement, son bonheur, que dans les paradis artificiels. C'est que c'était pas tous les jours facile avant, même si Jean-Pierre Pernaut proclame le contraire.

Trois jours plus tard, les buldozers envahissaient la prairie. Kate était partie remplir les seaux, à la rivière, en aval de l'usine à déchets toxique, avec son amie Cosette. En revenant, il n'y avait plus rien qu'un immense terrain vague sur lequel les enfants d'origines brésiliennes du village avaient improvisé une petite partie de foute. Qu'est devenu le reste de la famille Khy, mystère. Jacques Pradel cherche encore.

Kate prit donc la route, toute la sainte journée. Elle n'avait pas vu le doute en elle, s'immiscer. Mais qu'importe, elle était décidée, et voulait partir, là-bas, où tout est neuf et tout est sauvage. Un genre de continent libre, sans grillages. Malheureusement, elle n'arriva jamais là-bas, où tout est.... Faut dire qu'il y a bien un truc qu'elle n'avait pas pour elle, en plus de sa laideur, c'est le sens de l'orientation. Comme toutes les femmes en gros (ouai, je sais, j'en profite, c'est votre journée aujourd'hui). Elle erra comme ça, durant de nombreuses années, pour finalement se retrouver dans la citée HLM, construite entre temps sur sa propre petite maison de jadis.

Pour subvenir à ses besoins, elle fut monstre de foire, doublure sans maquillage dans les films d'Ed Wood, et elle m'inspira un vague roman à l'eau de rose qui me permis de devenir millionnaire, et pour lequel elle ne reçu aucun centime. Elle n'a pas de compte bancaire, comment je fais moi ?! Je voulais bien lui donner un chèque emploi service, mais vous avez vu le boxon que c'est ce truc. Finalement j'ai lâché l'affaire. Trop compliqué.

Voilà, vous savez tout de Kate. Allez, je vous laisse, il faut que je m'occupe de récupérer la fortune que va me procurer cette biographie exceptionnelle de vous savez qui.

Enorme...:D :D

Oui mais alors c'est qui ??
 
krystof a dit:
Voilà, vous savez tout de Kate. Allez, je vous laisse, il faut que je m'occupe de récupérer la fortune que va me procurer cette biographie exceptionnelle de vous savez qui.
Tu sais que c'est de la confiture donnée aux pourceaux tout ça ?

Je ne peux que te redire, une fois encore, mon admiration et mon amitié. :up:
 
Raymond PUDUCU. Il eut une enfance très difficile. Car en plus d'avoir un nom qui faisait rire tous ses petits camarades, il avait de sérieux problèmes de transit intestinal qui faisaient que, lorsque l'envie de déféquer le prenait, il avait rarement le temps d'atteindre la fameuse cabane au fond du jardin (immortalisée depuis par Laurent GERRA dans une imitation de Francis Cabrel) ou pire les toilettes de l'école. Il se faisait donc régulièrement dessus et était la risée de ses camarades qui lui chantaient plusieurs fois par jour "Raymond pue du cul, Raymond pue du cul,....".
La suite de ses études ne fut guère brillante (bien qu'après moult efforts il parvint à contrôler enfin son transit intestinal) et il finit ouvrier dans une usine qui fabriquait du papier toilette. Là, il rencontra Eugénie LACROTTE, ouvrière elle aussi. Ils avaient au moins une chose en commun : un nom qui faisait rire tout le monde. Mais à la différence de Raymond, Eugénie n'avait jamais eu de problème de transit intestinal. Ils se marièrent un an plus tard.Las ! Au bout de 3 mois, la belle Eugénie commença à se faire chier et décida peu après de divorcer et d'aller vivre chez ses parents à Montcuq dans le Lot. Le pauvre Raymond était au bord du suicide après que sa chère Eugénie qu'il aimait tant l'eut quitté. Et puis, un jour, il eut un éclair de génie et il inventa le WC chimique transportable. Invention qui lui fut bien évidemment inspirée par ses problèmes intestinaux de jeunesse. Hélas, trois fois hélas : tout à sa joie d'avoir eu une idée aussi lumineuse, il oublia de breveter son invention. Et c'est un autre qui le fit à sa place et fit fortune. Le reste de sa vie ne fut qu'une suite d'échecs et il mourut l'année dernière d'un cancer colo-rectal. Sur sa tombe a été inscrite l'épitaphe suivante : "Ci-gît Raymond Puducu qui a vraiment eu une vie de merde".


:D :D :D
 
krystof a dit:
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Vu l'immense succès qu'elle a suscitée ces derniers temps, il était normal de faire plus ample connaissance avec Kate Khy.

Donc Kate, vague héroïne d'un vague roman à l'eau de rose, est une personne bien réelle avec un destin de gloire bien réel, lui aussi.

N'ayant pas un physique "facile", on ne peut pas dire que les premières années de sa vie furent des plus agréables. Aujourd'hui encore, il lui arrive par moment d'avoir à affronter la triste réalité de cette discrimination à l'élégance.

Kate est née dans les années 30 (et oui les gars, ça va faire un peu juste...), dans une petite maison, plantée au milieu d'une prairie. Son père avait pour habitude de passer beaucoup de temps à couper du bois, même en été. La mère, niaise comme c'est pas permis, s'occupait des tâches ménagères et domestiques, bref, rien de plus normal pour une femme. La grande sœur et le petit frère passaient leur temps à courir dans les champs, ne trouvant rien de plus malin que de piétiner la faune et la flore qui n'avaient rien demandé d'autre que de s'épanouir en paix.

On aurait pu dire que cela devait se passer ainsi tout au long de leurs vies, mais, hélas, non. Le drame vint frapper à la porte, par un triste matin d'hiver. L'hiver, c'est toujours triste. D'ailleurs, la veille, on avait trouvé, allongée contre le mur d'une des maisons du village, une petite fille, morte de froid, avec une boite d'allumettes vide dans une de ses mains. Quelle conne ! Si la boite avait été pleine, elle aurait pu faire un feu et se réchauffer. Bon, revenons à nos moutons. On frappa donc à la porte, par un triste matin d'hiver. C'est Kate qui ouvrit. Aussitôt, l'inconnu dit : bonjour, je suis le méchant promoteur immobilier, et nous allons raser la colline pour construire des HLM. Vous avez 3 jours pour débarasser les lieux. Puis, il partit. Qui était-ce ? demanda le père. Je sais pas, répondit Kate. Bon, bah j'vais couper du bois... Qui était-ce ? demanda la mère. Je sais toujours pas, répondit Kate. Bon, bah j'vais m'préparer un fix, dit la mère. Et oui... un fix ! Car il faut savoir, que malgré son sourire niais de femme bien sous tout rapport, la mère de Kate ne trouvait, finalement, son bonheur, que dans les paradis artificiels. C'est que c'était pas tous les jours facile avant, même si Jean-Pierre Pernaut proclame le contraire.

Trois jours plus tard, les buldozers envahissaient la prairie. Kate était partie remplir les seaux, à la rivière, en aval de l'usine à déchets toxique, avec son amie Cosette. En revenant, il n'y avait plus rien qu'un immense terrain vague sur lequel les enfants d'origines brésiliennes du village avaient improvisé une petite partie de foute. Qu'est devenu le reste de la famille Khy, mystère. Jacques Pradel cherche encore.

Kate prit donc la route, toute la sainte journée. Elle n'avait pas vu le doute en elle, s'immiscer. Mais qu'importe, elle était décidée, et voulait partir, là-bas, où tout est neuf et tout est sauvage. Un genre de continent libre, sans grillages. Malheureusement, elle n'arriva jamais là-bas, où tout est.... Faut dire qu'il y a bien un truc qu'elle n'avait pas pour elle, en plus de sa laideur, c'est le sens de l'orientation. Comme toutes les femmes en gros (ouai, je sais, j'en profite, c'est votre journée aujourd'hui). Elle erra comme ça, durant de nombreuses années, pour finalement se retrouver dans la citée HLM, construite entre temps sur sa propre petite maison de jadis.

Pour subvenir à ses besoins, elle fut monstre de foire, doublure sans maquillage dans les films d'Ed Wood, et elle m'inspira un vague roman à l'eau de rose qui me permis de devenir millionnaire, et pour lequel elle ne reçu aucun centime. Elle n'a pas de compte bancaire, comment je fais moi ?! Je voulais bien lui donner un chèque emploi service, mais vous avez vu le boxon que c'est ce truc. Finalement j'ai lâché l'affaire. Trop compliqué.

Voilà, vous savez tout de Kate. Allez, je vous laisse, il faut que je m'occupe de récupérer la fortune que va me procurer cette biographie exceptionnelle de vous savez qui.


Mais où vas tu chercher tout ça ? Enfin j'ai une petite idée, mais je la garde pour moi ;) :up:

En tout cas ton style s'amèliore de fil en fil, bientôt tu pourras te comparer à moi, bravo champion ;)
 
Il était une fois un homme, je devrais dire un jeune homme, qui se perdait dans son existence. Le destin lui avait joué un sale tour.
Doté d'une capacité extraordinnaire à maitriser l'outil informatique, notament les logiciels Adobe et tout ce qui concerne le PAO, DAO, cet homme était enfermé dans un dogme, une bulle dont il ne pouvait s'échapper. Une sorte de Le prisonnier N°6.
Lui qui pourtant avait fait preuve de son talent dans bien d'autre domaines était donc coincé dans un annuaire.
La société qui l'employait ne voulait en aucun cas le laisser partir, menaces, lettres d'injures, augmentation, tout était réglé pour que l'animal reste en cage.
L'homme, qui ne révait que de travailler dans les plus grands magazines, The Rolling Stones, Studio, Première, Voici, décida un jour de creuser un tunnel pour s'échapper de sa prison dorée.
Il commença, avec un trombonne à creuser derriere l'unité centrale de son G5. Puis au bout de quelques mois, il entrevit une faible lueur au bout du dit tunnel, il se décida de le terminer le jour même d'autant qu'il ne lui restait que deux trombonnes.
Arrivé au bout de son tunnel il se trouva nez à nez avec le visage de son PDG qui lui parlait, parlait, en s'évertuant de l'appeler "Lou".
L'homme ne compris pas tout de suite, puis grace à son ami cinéphile, il se souvint d'un film dans lequel il était question de rentrer dans la peau de John Mallovich.
Ni une ni deux, il avait fait le rapprochement, il était dans la peau de son patron "Lou". Ce qui s'en suivi fut inévitable, il rendit visite à son maquettiste qui n'était autre que lui même et lui ordonna de quitter la société sur le champ.
L'homme ne compris pas pourquoi lui même voulait se mettre à la porte, ce n'est qu'en reprenant sa place dans son cerveau, après avoir fait sens inverse dans le tunnel, qu'il comprit le bienfait de la chose, l'homme avait été généreux avec lui-même.
Il franchit donc le couloir qui le séparait de la sortie, puis fut héler par son patron :"Où vas tu l'homme ?", celui ci lui glissa sous les yeux éberlués de son Lou de patron, sa lettre de licenciement, tourna les talons, descendit par les escaliers (l'ascenceur étatit en panne) et une fois dehors se mit à rugir de joie en regardant le soleil...et les mouettes.
Il advint ce qu'il devait advenir, les propositions fusèrent de tous cotés, et obtint finalement une place à mi-temps chez Charlie Hebdo, ainsi qu'une autre dans The Rolling Stones Magazine.
L'homme était heureux....
 
Aujourd'hui, je vais vous compter la véritable histoire de Jacob Delafont.
Le petit Jacob naquit chez ses parents.
Sa maman, assise au dessus des toiletes à la turque pensait être constipée et c'est au milieu des gazs odorants que JAcob découvrit la vie et manqua, par la même occasion de se noyer.
Signe du destin? Vie pré-écrite? Le petit Jacob, tombé dans les toilettes la tête la première à la naissance vit sa vie entière guidée par ce signal. La salle de bain serait son domaine, la révolution des toilettes à al turque guettait le monde.
Jacob tenta de nombreuses expériences et inventa très vite la lunette de toilette. Invention parfaitement inutile puisque poser une lunette de toilettes sur des toilettes à la turque ne change rien au confort de la chose.
La puberté faisant son affaire, Jacob ne s'intéressait que très peu à ses camarades de sexe féminin et encore moins à leur anatomie, excepté à leur anus, source de joie et de bonheur pour le jeune Jacob. Je vois déjà l'oeil goguenard du lecteur de ce récit. Eh bien non, le jeune Jacob n'était point sodomite, mais il mettait en oeuvre sa devise de l'époque: "défécation bien menée vaut mieux que coït banal".

Ce fut un peu plus tard, alors qu'un problème intestinal lui taraudait les boyaux que Jacob eut la révélation en sentant ses sphincters lacher sur le fauteuil Louis XV de sa maman.

"Mon Dieu!" se dit-il en entendant chanter les anges. "Que c'est agréable de déféquer assis"

Mu par une énergie débordante, il découpa le malheureux fauteuil et le posa au dessus des toilettes à la turque. Une première étape était franchie.

L'appareil fut perfectionné et devint ce que l'on en sait grace à une rencontre fortuite lors d'un voyage à Limoges.
Jacob réalisa qu'il était beuacoup plus facile de nettoyer les mouchetis d'explosion anale sur de la faïence que sur du velours Louis XV. Il conçut donc la fameuse cuvette et eu l'idée géniale d'y adjoindre la lunette inventée quelques années plus tôt.

Jacob allait changer la fesse du monde avec cette révolution.


Il mourrut heureux et il demanda à ce que cette maxime soit gravée sur sa tombe:

"Je fais donc j'essuie"
 
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Réactions: Himeji
Fab'Fab a dit:
"Je fais donc j'essuie"

L'infirmière dit : "je panse, donc j'essuie ! "

Elle peut dire aussi : "Poussez, poussez l'escarre, Paulette ! "

(Elle travaille en gériatrie et sa collègue s'appelle Paulette.) :rolleyes: :siffle:
 
Fab'Fab a dit:
Aujourd'hui, je vais vous compter la véritable histoire de Jacob Delafont.
Le petit Jacob naquit chez ses parents.
Sa maman, assise au dessus des toiletes à la turque pensait être constipée et c'est au milieu des gazs odorants que JAcob découvrit la vie et manqua, par la même occasion de se noyer.
Signe du destin? Vie pré-écrite? Le petit Jacob, tombé dans les toilettes la tête la première à la naissance vit sa vie entière guidée par ce signal. La salle de bain serait son domaine, la révolution des toilettes à al turque guettait le monde.
Jacob tenta de nombreuses expériences et inventa très vite la lunette de toilette. Invention parfaitement inutile puisque poser une lunette de toilettes sur des toilettes à la turque ne change rien au confort de la chose.
La puberté faisant son affaire, Jacob ne s'intéressait que très peu à ses camarades de sexe féminin et encore moins à leur anatomie, excepté à leur anus, source de joie et de bonheur pour le jeune Jacob. Je vois déjà l'oeil goguenard du lecteur de ce récit. Eh bien non, le jeune Jacob n'était point sodomite, mais il mettait en oeuvre sa devise de l'époque: "défécation bien menée vaut mieux que coït banal".

Ce fut un peu plus tard, alors qu'un problème intestinal lui taraudait les boyaux que Jacob eut la révélation en sentant ses sphincters lacher sur le fauteuil Louis XV de sa maman.

"Mon Dieu!" se dit-il en entendant chanter les anges. "Que c'est agréable de déféquer assis"

Mu par une énergie débordante, il découpa le malheureux fauteuil et le posa au dessus des toilettes à la turque. Une première étape était franchie.

L'appareil fut perfectionné et devint ce que l'on en sait grace à une rencontre fortuite lors d'un voyage à Limoges.
Jacob réalisa qu'il était beuacoup plus facile de nettoyer les mouchetis d'explosion anale sur de la faïence que sur du velours Louis XV. Il conçut donc la fameuse cuvette et eu l'idée géniale d'y adjoindre la lunette inventée quelques années plus tôt.

Jacob allait changer la fesse du monde avec cette révolution.


Il mourrut heureux et il demanda à ce que cette maxime soit gravée sur sa tombe:

"Je fais donc j'essuie"


Il a peut-être connu Raymond PUDUCU. ;) :p :D :D
 
Le vrai destin de....


Nous avons toujours aimé les adorables personnages de Disney. Pendant des années et encore maintenant, ils nous ont fait pleurer, rire, espérer, et servi de modèles.
Récemment, Disney a accepté de divulguer la vérité : les personnages n'ont pas tous été ces modèles de bonheur parfait et de joie perpétuelle. Voici, pour la première fois, les destins REELS des personnages de chez Disney :


-MICKEY : mort de maladie vénérienne au contact des prostituées, après avoir attendu pendant 50 ans que Minnie lui dise "oui".
-MINNIE : cf Mickey
-DINGO : assassiné pendant son deuxième mandat de Président des Etats-Unis.
-PLUTO : attrapé par la brigade canine ; jamais réclamé, il a été euthanasié.
-PAT HIBULAIRE : liquidé par la mafia russe.
-DONALD : servi laqué dans un restaurant chinois d'Hollywood.
-DAISY : cueillie par une balle perdue lors d'une fusillade.
-GONTRAN BONHEUR : a eu la chance de pouvoir attraper à temps le Boeing 800 de la TWA en 1996.
-ONCLE PICSOU: mort dans la plus noire misère après avoir subi le plus gros redressement de toute l'histoire du fisc américain, suivi du crash de ses investissements dansla nouvelle économie .
-FLAIRSOU : mort étouffé dans la piscine de pièces de Picsou qu'il avait rachetée.
-RIRI, FIFI & LOULOU : inculpés dans une affaire de pornographie pédophile en Belgique.
-BLANCHE NEIGE : s'est à nouveau faite avoir au vieux truc de la pomme empoisonnée (aux OGM cette fois).
-LE PRINCE CHARMANT : a fini la tête au bout d'une pique lors de la révolution.
-ATCHOUM : mort de pneumonie.
-GRINCHEUX : mort sur la chaise électrique pour avoir abattu quinze personnes dans un MacDo.
-JOYEUX : tué par un déséquilibré dans un MacDo.
-DORMEUR : ne s'est jamais réveillé.
-SIMPLET : a confondu pistolet et sucette.
-MARY POPPINS : abattue par un F16 dans l'espace aérien irakien.
-WINNIE l'OURSON : mort de crise cardiaque ; a pulvérisé tous les records mondiaux de taux de cholestérol.
-ALICE (du Pays des Merveilles) : a passé presque toute sa vie dans un asile psychiatrique.
-LE LAPIN PRESSE : pressé, n'a pas fait attention au collet.
-LA REINE DE COEUR : guillotinée lors de la révolution.
-LE CHAPELIER FOU : mort d'un empoisonnement au mercure.
-LE LIEVRE : noyé dans sa théière.
-LA BELLE AU BOIS DORMANT : réveillée en 1986, est morte du sida que le Prince Charmant lui avait refilé.
-LE PRINCE CHARMANT : A confondu dragon et char d'assaut.
-CENDRILLON : assassinée par sa mâratre et ses demi-soeurs dans un accès de jalousie.
-LE PRINCE : mort en exil après un coup d'Etat communiste.
-PINOCCHIO : devenu une armoire normande de valeur.
-GEPETO : mort du tétanos après s'être mis une écharde dans le doigt.
-JIMINY CRICKET : mort dans un impact à grande vitesse contre une vitre.
-FIGARO : tombé dans le bocal du poisson.
-DUMBO : a percuté un Boeing 747 en plein vol.
-PETER PAN : prostitué au bois de Boulogne, mort d'une overdose.
-CLOCHETTE : a succombé aux avances trop pressées d'une luciole mâle.
-CROCHET : attrapé par le crocodile.
-LE CROCODILE TIC-TAC : pulvérisé par la police lors de Vigipirate à cause de son bruit.
-MOUSSE : heureux propriétaire d'un bordel à Porto Rico.
-BAMBI : abattu par un membre de la National Rifle Association armé d'un AK-47 ; le corps n'a jamais été retrouvé.
-PANPAN : engagé dans le déminage à Sarajevo, a fait 'pan' une fois de trop.
-BERNARD & BIANCA : disparus en 1996 lors d'une mission en Belgique.
-EVINRUDE : bêtement gobée par un brochet.
-SOS SOCIETE : récupérée par l'Eglise de Scientologie.
-BALOO : sert de descente de lit dans un hôtel de luxe de New Delhi.
-MOWGLI : victime de Riri, Fifi et Loulou.
-BAGHEERA : avait élu domicile à Bhopal.
-LA BELLE & LE CLOCHARD : vendus à un restaurant coréen ; servis ensemble lors d'une réception.
-LES 101 DALMATIENS : 53 écrasés par des véhicules divers, 5 empoisonnés par de la mort-au-rats, 3 euthanasiés pour agressivité, 6 euthanasiés à la SPA faute de nouveau maître, 3 abattus dans des accidents de chasse, 2 déchiquetés par le sanglier chassé, 12 partis paisiblement de leur belle mort, 10 de maladie, 6 tués dans des combats de chien, 1 tué par un chat.
-CRUELLA : repentie, travaillait pour la SPA ; euthanasiait les chiens et s'est piquée avec son aiguille.
-ELLIOT LE DRAGON : évoluait trop près de Washington le 11 septembre ; probablement abattu en vol.
-TRON : victime d'un écran bleu de Windows.
- JESSICA RABBIT : choriste des Guns & Roses après avoir arrêté les fims pornos ; aurait été victime d'un snuff movie.
-ALADIN : attrapé à voler une fois de trop, mort lors de l'ablation de son pouce.
-LE GENIE : suicidé après avoir constaté que même ses pouvoirs ne pouvaient plus éponger les pertes de la nouvelle économie.
-LE ROI LION : fierté du zoo de Plouc-sur-Somme.
-POCAHONTAS : Morte de pneumonie à Londres avant 30 ans.
-LA BÊTE : Déprimé et suicidé à cause de problèmes identitaires.
-LA BELLE : Recluse dans un monastère tibétain, ne supporte plus le moindre poil.
-ROX : Attrapé par un piège à loup.
-ROUKI : Enragé, à dû être piqué.
-LA PETITE SIRENE : Suicidée en se noyant (Relisez Andersen).
-ESMERALDA : Pendue pour sorcellerie.
-LE BOSSU : Bourré, a fait une chute de 70 mètres.

Et Amélie Poulain?
-Retirée à Morteau après s'être prise pour la descendante de Jésus, elle finira ses jours à Sainte Croix sur Mer.
 
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Réactions: N°6 et joubichou
Aujourd'hui chers petits amis, je vais vous comter la belle histoire de Marie Kouchtoalah, scientifique éminament cméconnue pour ses recherches sur les ressorts de matelas.

Marie, fille de Aimé Kouchtoalah et de Desdémone Foumoalah, tous deux importateurs en tissus indiens, avait, comme son non le laisse voir, des origines tibétaines.
Origines qui firent beaucoup dans son chemin de vie.
La petite Marie, dont je parle pour que dans dix mille ans de ça, on se retrouve à l'abris sous des milliers de roses, ne semblait pas briller par une intelligence exceptionnelle à l'école. En effet, la petite Kouchtoalah passait le plus clair de son temps à s'endormir en cours, ce qui, il faut bien l'avouer faisait un peu désordre en classe.
Elle avait gardé cette habitude depuis la maternelle où la sieste était obligatoire. Elle gardait d'ailleurs un souvenir ému de sa première sieste à l'école qui avait été précédée d'un dialogue mémorable avec son institutrice:
- Maitresse, j'arrive pas à à dormir sur le lit
- C'est pas grave, Marie, couche toi là, lui dit l'institutrice en lui désignant un tas de coussin.
C'est là que son destin fût gravé dans la pierre. Marie deviendrait chercheuse en matelas, afin d'améliorer les nuits de ses congénères.

A l'adolescence, Marie découvrit les joies de la vie dans une écurie avec un jeune amant aussi inexpérimenté que pressé. Comme la paille lui rentrait, dans les fesses, Marie, s'en plaint à son partenaire qui lui dit en lui désignant sa veste:
- C'est pas grave Marie, couche toi là.

Pour elle, ce fût un signe de la vie.
Elle passa les 19 années suivantes à concevoir un matelas révolutionnnaire qu'elle n'eut de cesse d'améliorer au fur et à mesure des années.
Mais comme un matelas ne s'essaye pas eul, Marie eut recours à de nombreux partenaires.

La première version de son matelas ne fut pas très concluante puisqu'un ressort perça le tissu et vint meurtrir les chairs de la pauvre Marie.
Son ami, attentionné lui désigna l'autre côté du matelas:
-C'est pas grave Marie, couche toi là, dit il avec bonté alors qu'il la lutinait de plus belle.

Ce n'est qu'au bout de ces 19 années, qu'elle atteint la perfection avec son matelas à triple ressort inversé, invention qu'elle testa à de nombreuses reprises avant de déposer le brevet.
Grand mal lui en fit quand elle découvrit que l'un de ses partenaires avait déposé le modèle avant elle.
Jacob Dinlaupileau, un homme sans foi ni loi, avait usurpé l'invention de la pauvrette.

Elle s'en fut se plaindre à celui qu'elle avait tant aimé. Il refusa de se laisser attendrir. Marie proposa donc ses charmes en échange du brevet tout en versant de chaudes larmes.
-C'est pas grave Marie, couche-toi là, lui dit le jeune homme en lui désignant le canapé en cuir de son bureau.

Mais, son forfait accompli, le vilain refusa de restituer le brevet à Marie qui de dépression en dépression finit par se suicider.
Peu avant de mourir, elle reconnut le croque mort qui venait présenter des modèles de cercueil à sa famille.
Tous étaient bien trop chers pour une famille qui avait investi toutes ses économie dans l'invention de Marie et s'était fait spollier.
Le père, bien triste dit alors à Marie en désignant un cercueil en pin de la plus mauvaise facture:

C'est pas grave Marie, couche toi là...
 
Aucun recours contre Jacob Delunpilau?:confused:

Pauvre fille qui doit retourner à sa paille...:( :D

Fab :up: :zen:
 
Dory a dit:
-PLUTO : attrapé par la brigade canine ; jamais réclamé, il a été euthanasié.
(...)
-DONALD : servi laqué dans un restaurant chinois d'Hollywood.
(...)
-MARY POPPINS : abattue par un F16 dans l'espace aérien irakien.
(...)
-ALICE (du Pays des Merveilles) : a passé presque toute sa vie dans un asile psychiatrique.
(...)
-PETER PAN : prostitué au bois de Boulogne, mort d'une overdose.
(...)
-BERNARD & BIANCA : disparus en 1996 lors d'une mission en Belgique.
(...)
-ROX : Attrapé par un piège à loup.
-ROUKI : Enragé, à dû être piqué.

Du bon Dory, du très très bon :up: :love: :D

N'empêche ça m'a tiré une larme, tout ça, savoir comment ont terminé les héros qui ont bercé mes premiers rêves, quand je lisais le Journal de Mickey dans mon bain (juste avant l'âge où les garçons ne veulent plus se laver...) le mardi soir, de la première jusqu'à la dernière page et jusqu'à ce que l'eau du bain soit froide.

Leçon sur la vanité de toutes choses : la plupart ont fini tragiquement, la presse n'en a même pas fait écho, malgré l'étincelle éphémère d'une notoriété de paillettes et de vent, la fortune immense et volatile, les admirateurs sans mémoire et les humains sans humanisme. Dommage. Mary Poppins (qui parlait aux animaux bien avant Boris Cyrulnik) tenait une place particulière dans mon petit panthéon personnel, Bernard et Bianca furent longtemps mon modèle de couple, Pluto et Donald m'agaçaient mais méritaient sans doute mieux... :(

Tiens au fait que sont devenus Loana, Lord Sinclair, Magali, Robert Hue et Frédéric François ? :confused:
 
C'est dans un sursaut d'incompréhension fébrile sur le monde que naquit dieu dans la tête des gens. Il passa son enfance à changer de formes, se démultipliant au gré des fantasmes, il aurait été adoré en déesse de fécondité, en astre solaire ... prenant la forme la plus adaptée selon les époques, aujourd'hui vous le reconnaitrez à la boîte lumineuse et bruyante qui trône dans la majorité des salons.
On lui a imputé la naissance du monde, qui selon les trois biographies de dieu les plus connues à ce jour, n'a pas la même saveur. Selon toujours ces biographes, Dieu recommanderait de manger casher les pieds de porcs, sauf les vendredis et samedis, jour de beuverie mondiale.
Certains disent l'avoir rencontré, d'autre qu'il aurait couché avec sa propre mère qui est resté vierge car comme dit le dicton : "toutes les femmes sont des ******* sauf ma mère". Cet homme ayant découvert la sexualité à l'âge de 33 ans se serait laissé cloué par dépit sur une croix.
Certains l'ont traité d'imposteur et se sont proposés pour le remplacer, d'autres ont souhaités sa mort, d'autres encore ont massacrés en son nom. Ce qui me fait dire que si Dieu est mort, il a dut finir par brûler sa tombe à force de se retourner, d'où peut être l'origine des feux folets.
Il est connut pour sa timidité maladive. Pas d'apparition en public, il daigne seulement parler de temps en temps dans des grottes, où traîne de pauvres filles telle Bernadette Soubirou qui mourut en d'atroces souffrances psychique. On comprends mieux ainsi pourquoi il ne montre pas le bout de son nez.
On a construit des cathédrales en som mais il n'est jamais venu aux inaugurations. Ce qui a rendu aigri les batisseurs et leurs mécènes, obligés de brûler vives des femmes rousses qui cherchait le prince charmant en embrassant des crapauds.
Mais il ne serait pas juste d'oublier qu'il a aussi inspiré ses fils et filles, tels l'abbé Pierre, Georges W Bush ou Soeur Marie Thérèse des Batignolles. Ses messages étant obscures, les interprétations les plus diverses ont vues le jour.

Il est aujourd'hui activement recherché pour pagaille foutue en son nom au moyen orient. Tâche ardue pour les enquêteurs car bon nombre d'entre nous ne l'on pas vu et ceux qui peuvent témoigner n'existent plus. Il semblerait qu'il est déserté ce monde ...

Si vous le trouvez, ne le dîtes à personne, gardez le pour vous et n'imaginez pas que vous allez changer le monde en pondant un livre, d'autres l'ont fait en des temps anciens sans avoir eut le temps d'établir un glossaire, ce qui eut la facheuse conséquence de nous foutre dans la merde.
 
Jean-François Bertillon, inventeur et écrivain français (Paris, 28 avril 1935 - Nouakchott, 15 octobre 2007). On lui doit notamment l'invention du cyclotron à spirale gazeuse, du colonomètre syphoïde périphéral et du couteau à beurre. Membre de l'Académie des Sciences depuis 1972, il reçoit le Grand Prix de l'Académie française en 1983 pour son unique roman, Le Petit pédalo bleu. Passionné d'aviation, il meurt aux commandes de son Cesna 172 lors d'un survol de la côte mauritanienne. D'après l'enregistrement de la boîte noire de l'appareil, ses derniers mots auraient été : « Ah non, c'est pas ce bouton. »