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krystof a dit:Vu l'immense succès qu'elle a suscitée ces derniers temps, il était normal de faire plus ample connaissance avec Kate Khy.
...
Voilà, vous savez tout de Kate. Allez, je vous laisse, il faut que je m'occupe de récupérer la fortune que va me procurer cette biographie exceptionnelle de vous savez qui.
krystof a dit:
Vu l'immense succès qu'elle a suscitée ces derniers temps, il était normal de faire plus ample connaissance avec Kate Khy.
Donc Kate, vague héroïne d'un vague roman à l'eau de rose, est une personne bien réelle avec un destin de gloire bien réel, lui aussi.
N'ayant pas un physique "facile", on ne peut pas dire que les premières années de sa vie furent des plus agréables. Aujourd'hui encore, il lui arrive par moment d'avoir à affronter la triste réalité de cette discrimination à l'élégance.
Kate est née dans les années 30 (et oui les gars, ça va faire un peu juste...), dans une petite maison, plantée au milieu d'une prairie. Son père avait pour habitude de passer beaucoup de temps à couper du bois, même en été. La mère, niaise comme c'est pas permis, s'occupait des tâches ménagères et domestiques, bref, rien de plus normal pour une femme. La grande sur et le petit frère passaient leur temps à courir dans les champs, ne trouvant rien de plus malin que de piétiner la faune et la flore qui n'avaient rien demandé d'autre que de s'épanouir en paix.
On aurait pu dire que cela devait se passer ainsi tout au long de leurs vies, mais, hélas, non. Le drame vint frapper à la porte, par un triste matin d'hiver. L'hiver, c'est toujours triste. D'ailleurs, la veille, on avait trouvé, allongée contre le mur d'une des maisons du village, une petite fille, morte de froid, avec une boite d'allumettes vide dans une de ses mains. Quelle conne ! Si la boite avait été pleine, elle aurait pu faire un feu et se réchauffer. Bon, revenons à nos moutons. On frappa donc à la porte, par un triste matin d'hiver. C'est Kate qui ouvrit. Aussitôt, l'inconnu dit : bonjour, je suis le méchant promoteur immobilier, et nous allons raser la colline pour construire des HLM. Vous avez 3 jours pour débarasser les lieux. Puis, il partit. Qui était-ce ? demanda le père. Je sais pas, répondit Kate. Bon, bah j'vais couper du bois... Qui était-ce ? demanda la mère. Je sais toujours pas, répondit Kate. Bon, bah j'vais m'préparer un fix, dit la mère. Et oui... un fix ! Car il faut savoir, que malgré son sourire niais de femme bien sous tout rapport, la mère de Kate ne trouvait, finalement, son bonheur, que dans les paradis artificiels. C'est que c'était pas tous les jours facile avant, même si Jean-Pierre Pernaut proclame le contraire.
Trois jours plus tard, les buldozers envahissaient la prairie. Kate était partie remplir les seaux, à la rivière, en aval de l'usine à déchets toxique, avec son amie Cosette. En revenant, il n'y avait plus rien qu'un immense terrain vague sur lequel les enfants d'origines brésiliennes du village avaient improvisé une petite partie de foute. Qu'est devenu le reste de la famille Khy, mystère. Jacques Pradel cherche encore.
Kate prit donc la route, toute la sainte journée. Elle n'avait pas vu le doute en elle, s'immiscer. Mais qu'importe, elle était décidée, et voulait partir, là-bas, où tout est neuf et tout est sauvage. Un genre de continent libre, sans grillages. Malheureusement, elle n'arriva jamais là-bas, où tout est.... Faut dire qu'il y a bien un truc qu'elle n'avait pas pour elle, en plus de sa laideur, c'est le sens de l'orientation. Comme toutes les femmes en gros (ouai, je sais, j'en profite, c'est votre journée aujourd'hui). Elle erra comme ça, durant de nombreuses années, pour finalement se retrouver dans la citée HLM, construite entre temps sur sa propre petite maison de jadis.
Pour subvenir à ses besoins, elle fut monstre de foire, doublure sans maquillage dans les films d'Ed Wood, et elle m'inspira un vague roman à l'eau de rose qui me permis de devenir millionnaire, et pour lequel elle ne reçu aucun centime. Elle n'a pas de compte bancaire, comment je fais moi ?! Je voulais bien lui donner un chèque emploi service, mais vous avez vu le boxon que c'est ce truc. Finalement j'ai lâché l'affaire. Trop compliqué.
Voilà, vous savez tout de Kate. Allez, je vous laisse, il faut que je m'occupe de récupérer la fortune que va me procurer cette biographie exceptionnelle de vous savez qui.
sonnyboy a dit:Enorme...
Oui mais alors c'est qui ??
Tu sais que c'est de la confiture donnée aux pourceaux tout ça ?krystof a dit:Voilà, vous savez tout de Kate. Allez, je vous laisse, il faut que je m'occupe de récupérer la fortune que va me procurer cette biographie exceptionnelle de vous savez qui.
krystof a dit:
Vu l'immense succès qu'elle a suscitée ces derniers temps, il était normal de faire plus ample connaissance avec Kate Khy.
Donc Kate, vague héroïne d'un vague roman à l'eau de rose, est une personne bien réelle avec un destin de gloire bien réel, lui aussi.
N'ayant pas un physique "facile", on ne peut pas dire que les premières années de sa vie furent des plus agréables. Aujourd'hui encore, il lui arrive par moment d'avoir à affronter la triste réalité de cette discrimination à l'élégance.
Kate est née dans les années 30 (et oui les gars, ça va faire un peu juste...), dans une petite maison, plantée au milieu d'une prairie. Son père avait pour habitude de passer beaucoup de temps à couper du bois, même en été. La mère, niaise comme c'est pas permis, s'occupait des tâches ménagères et domestiques, bref, rien de plus normal pour une femme. La grande sœur et le petit frère passaient leur temps à courir dans les champs, ne trouvant rien de plus malin que de piétiner la faune et la flore qui n'avaient rien demandé d'autre que de s'épanouir en paix.
On aurait pu dire que cela devait se passer ainsi tout au long de leurs vies, mais, hélas, non. Le drame vint frapper à la porte, par un triste matin d'hiver. L'hiver, c'est toujours triste. D'ailleurs, la veille, on avait trouvé, allongée contre le mur d'une des maisons du village, une petite fille, morte de froid, avec une boite d'allumettes vide dans une de ses mains. Quelle conne ! Si la boite avait été pleine, elle aurait pu faire un feu et se réchauffer. Bon, revenons à nos moutons. On frappa donc à la porte, par un triste matin d'hiver. C'est Kate qui ouvrit. Aussitôt, l'inconnu dit : bonjour, je suis le méchant promoteur immobilier, et nous allons raser la colline pour construire des HLM. Vous avez 3 jours pour débarasser les lieux. Puis, il partit. Qui était-ce ? demanda le père. Je sais pas, répondit Kate. Bon, bah j'vais couper du bois... Qui était-ce ? demanda la mère. Je sais toujours pas, répondit Kate. Bon, bah j'vais m'préparer un fix, dit la mère. Et oui... un fix ! Car il faut savoir, que malgré son sourire niais de femme bien sous tout rapport, la mère de Kate ne trouvait, finalement, son bonheur, que dans les paradis artificiels. C'est que c'était pas tous les jours facile avant, même si Jean-Pierre Pernaut proclame le contraire.
Trois jours plus tard, les buldozers envahissaient la prairie. Kate était partie remplir les seaux, à la rivière, en aval de l'usine à déchets toxique, avec son amie Cosette. En revenant, il n'y avait plus rien qu'un immense terrain vague sur lequel les enfants d'origines brésiliennes du village avaient improvisé une petite partie de foute. Qu'est devenu le reste de la famille Khy, mystère. Jacques Pradel cherche encore.
Kate prit donc la route, toute la sainte journée. Elle n'avait pas vu le doute en elle, s'immiscer. Mais qu'importe, elle était décidée, et voulait partir, là-bas, où tout est neuf et tout est sauvage. Un genre de continent libre, sans grillages. Malheureusement, elle n'arriva jamais là-bas, où tout est.... Faut dire qu'il y a bien un truc qu'elle n'avait pas pour elle, en plus de sa laideur, c'est le sens de l'orientation. Comme toutes les femmes en gros (ouai, je sais, j'en profite, c'est votre journée aujourd'hui). Elle erra comme ça, durant de nombreuses années, pour finalement se retrouver dans la citée HLM, construite entre temps sur sa propre petite maison de jadis.
Pour subvenir à ses besoins, elle fut monstre de foire, doublure sans maquillage dans les films d'Ed Wood, et elle m'inspira un vague roman à l'eau de rose qui me permis de devenir millionnaire, et pour lequel elle ne reçu aucun centime. Elle n'a pas de compte bancaire, comment je fais moi ?! Je voulais bien lui donner un chèque emploi service, mais vous avez vu le boxon que c'est ce truc. Finalement j'ai lâché l'affaire. Trop compliqué.
Voilà, vous savez tout de Kate. Allez, je vous laisse, il faut que je m'occupe de récupérer la fortune que va me procurer cette biographie exceptionnelle de vous savez qui.
Fab'Fab a dit:"Je fais donc j'essuie"
Fab'Fab a dit:Aujourd'hui, je vais vous compter la véritable histoire de Jacob Delafont.
Le petit Jacob naquit chez ses parents.
Sa maman, assise au dessus des toiletes à la turque pensait être constipée et c'est au milieu des gazs odorants que JAcob découvrit la vie et manqua, par la même occasion de se noyer.
Signe du destin? Vie pré-écrite? Le petit Jacob, tombé dans les toilettes la tête la première à la naissance vit sa vie entière guidée par ce signal. La salle de bain serait son domaine, la révolution des toilettes à al turque guettait le monde.
Jacob tenta de nombreuses expériences et inventa très vite la lunette de toilette. Invention parfaitement inutile puisque poser une lunette de toilettes sur des toilettes à la turque ne change rien au confort de la chose.
La puberté faisant son affaire, Jacob ne s'intéressait que très peu à ses camarades de sexe féminin et encore moins à leur anatomie, excepté à leur anus, source de joie et de bonheur pour le jeune Jacob. Je vois déjà l'oeil goguenard du lecteur de ce récit. Eh bien non, le jeune Jacob n'était point sodomite, mais il mettait en oeuvre sa devise de l'époque: "défécation bien menée vaut mieux que coït banal".
Ce fut un peu plus tard, alors qu'un problème intestinal lui taraudait les boyaux que Jacob eut la révélation en sentant ses sphincters lacher sur le fauteuil Louis XV de sa maman.
"Mon Dieu!" se dit-il en entendant chanter les anges. "Que c'est agréable de déféquer assis"
Mu par une énergie débordante, il découpa le malheureux fauteuil et le posa au dessus des toilettes à la turque. Une première étape était franchie.
L'appareil fut perfectionné et devint ce que l'on en sait grace à une rencontre fortuite lors d'un voyage à Limoges.
Jacob réalisa qu'il était beuacoup plus facile de nettoyer les mouchetis d'explosion anale sur de la faïence que sur du velours Louis XV. Il conçut donc la fameuse cuvette et eu l'idée géniale d'y adjoindre la lunette inventée quelques années plus tôt.
Jacob allait changer la fesse du monde avec cette révolution.
Il mourrut heureux et il demanda à ce que cette maxime soit gravée sur sa tombe:
"Je fais donc j'essuie"
Dory a dit:-PLUTO : attrapé par la brigade canine ; jamais réclamé, il a été euthanasié.
(...)
-DONALD : servi laqué dans un restaurant chinois d'Hollywood.
(...)
-MARY POPPINS : abattue par un F16 dans l'espace aérien irakien.
(...)
-ALICE (du Pays des Merveilles) : a passé presque toute sa vie dans un asile psychiatrique.
(...)
-PETER PAN : prostitué au bois de Boulogne, mort d'une overdose.
(...)
-BERNARD & BIANCA : disparus en 1996 lors d'une mission en Belgique.
(...)
-ROX : Attrapé par un piège à loup.
-ROUKI : Enragé, à dû être piqué.
Fab'Fab a dit:Jacob réalisa qu'il était beaucoup plus facile de nettoyer les mouchetis d'explosion anale sur de la faïence que sur du velours Louis XV.