Edition spéciale : le micazara canal authentique passe à l'offensive
- Créateur du sujet l'écrieur
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Par l’interstice, sous la porte fermée, il se répand du lait et par le trou de la serrure il vient une odeur fade qui me donne mal au cœur.
Elles sont là, les étincelles d'été qui jaillissent en ether, elles n'ont pas plus de sens que les paroles dévotes. Et la fadeur de l'homme entouré de sueur ne peut que différer l'orgasme et sa peur.
Je suis la femme qui n'est pas la poupée. Rejoignez-nous dans nos tours à baisers.
Elles sont là, les étincelles d'été qui jaillissent en ether, elles n'ont pas plus de sens que les paroles dévotes. Et la fadeur de l'homme entouré de sueur ne peut que différer l'orgasme et sa peur.
Je suis la femme qui n'est pas la poupée. Rejoignez-nous dans nos tours à baisers.
A
Anonyme
Invité
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Anonyme
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Tu me rassures : la fréquentation du Bar ne m'a pas fait perdre le sens commun.Roberto Vendez a dit:Tu parles !
J'ai fait une recherche rapide sur internet, ça me disait quelque chose...
:siffle:
C'est de Edgar Allan Poe, "The dream of the knight in the night" (1823).
A
Anonyme
Invité
Bon.. ben on dira que c'est le Poe de départ alors. Allez. Au suivant... J't'en foutrais d'la fadeur, moi ! Tu vas vite allez me soigner cette vilaine agueusie, qu'on n'en parle plus !
Non mais !
Non mais !
Le sexe est le plus étrange apanage de la création. Hallucinant parce qu'il découle directement de la pensée. C'est une belle invention !
mouais.... pour certains le sexe et la pensée sont tellement... imbriqués qu'ils ne font plus qu'un........ :siffle:[MGZ] alèm a dit:
On appelle ça une pipe, ou un cuni, selon le point de vue.
Pas pour déplaire à mi©a qui a certainement testé les deux.
Pas pour déplaire à mi©a qui a certainement testé les deux.
Vous délirez totalement, les deux vieux, là.DocEvil a dit:Tu me rassures : la fréquentation du Bar ne m'a pas fait perdre le sens commun.
Voilà ce que j'ai trouvé, moi :
"Par l’interstice, sous la porte fermée, il se répand du lait et par le trou de la serrure il vient une odeur fade qui me donne mal au cœur. On n’entend rien dans cette pièce, il y règne un silence d’une chambre d’accouchée. Ce silence moelleux et profond. A l’époque j’aurais préféré qu’il durât toujours. Mais aujourd’hui, tout a changé affreusement et c’est pourquoi la chambre des seins ne m’inspire que désespoir."
L'auteur s'appelle Unica Zürn, et le poême s'appelle L'Homme.
Le reste, j'ai pas encore trouvé l'auteur, mais ça arrive.
Edith : Ah ouais, Unica Zürn. Je vois. Elle a écrit aussi "Anagrames". Je comprends mieux l'unizu carn...
Et devinez quoi ?
Ah pis non, je vous laisse vous dem...
Y'a sonny avec son poing dans le cul, ça va vous distraire.
Je préfèrerais interscalaire.mado a dit:Je peux t'appeler intercalaire ?
La manipulation interscalaire dans les politiques culturelles, c'est le nom de mon dernier papier...
Pas encore référencé dans Google, alors comment je peux savoir !
Oups.. parlé trop vite
Oups.. parlé trop vite
Il eut fallu que tu le susses, c'est vrai.
Papier de colloque, pas encore paru.
J'ai retrouvé notre unizu, c'est pas mal :
Enfin, l'Unica Zürn.
Papier de colloque, pas encore paru.
J'ai retrouvé notre unizu, c'est pas mal :
Enfin, l'Unica Zürn.
TibomonG4 a dit:
Ils en oublient leurs partenaires :siffle:
(de la chance d'être en début d'alphabet l'écrivain ! )
