Gros problème de lissage de police

khivet

Membre confirmé
4 Août 2008
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Bonjour à tous,

J'ai un drôle de souci !
Je suis en train de reprendre un fichier sous Photoshop CS3, celui-ci est en 72 dpi.
Ce fichier ne comprend que de l'Arial.
Premier problème à l'ouverture, il me demande si je veux mettre à jour certains calques pour une sortie vectorielle, je lui dit non.

Ensuite, et c'est là que ça devient très étrange, tous les textes (en arial, 10pt) ne reconnaissent pas l'Arial ! Du coup, je double-clique sur le calque, il me dit que le rendu va changer et PAF, toutes les lettres accentuées sont remplacées par des signes cabalistiques ! Si je sélectionne un lissage net par exemple, les accents réapparaissent !
Evidemment, la loi de l'emmerdement maximum veut que ces polices restent en 10pt et en arial et bien sûr sans lissage !
Je pense que j'ai tout fait, j'ai vérifié les polices dans le livre des polices, j'en ai d'ailleurs profité pour virer les doublons, j'ai vérifié également si j'étais bien en français et non en français numérique et rien n'y fait !

Avez-vous une idée ?

Merci de votre aide à tous
 
As-tu essayé simplement d'accepter la mise à jour proposée à l'ouverture du fichier ? Tant que tu n'enregistres pas le fichier après puis que tu le fermes, cette modification n'est pas définitive.
 
En fait, les accents deviennent des caractères cyrilliques !
 
Avez-vous une idée ?
Oui : Photoshop n'est pas fait pour gérer correctement du texte, tout simplement...

(en plus, à 72 dpi, c'est normal que du texte en 10 points apparaisse tout pourri...)

Donc, si c'est pour du Print, tu n'as plus qu'à tout refaire correctement dans un logiciel de mise en page, c'est à dire InDesign ou XPress.
 
En fait, j'ai repris ce fichier tel quel car en réalité le rendu sera une page web, du coup je n'avais pas trop envie de me faire suer.
Après moult recherches, car je ne voulais pas en rester là, j'ai farfouillé un peu partout (l'univers mac est très nouveau pour moi, eh oui je suis un bébé Windows !) et j'ai découvert en fin de compte que je croyais avoir supprimer les doublons de polices dans le livre de polices, or il n'en était rien ! Je ne sais pas ce que j'avais trafiqué au début, mais malgré tout je m'en suis sortie en redédoublonnant la fameuse polices Arial qui ne comptait pas moins de 4 gras, 3 italiques et 3 normal !!!
Au bout de 3 heures de recherches, çà marche maintenant !
En tous cas un grand merci à vous deux d'avoir bien voulu me donner quelques éléments de réponses et surtout désolée d'avoir moisi ce forum pour une maladresse que j'aurai pu éviter !
 
Mais la résolution, donc le lissage des polices, n'a rien à voir avec un Mac ou un PC :D
 
J'entends bien, c'était juste pour préciser le contexte.
 
En fait, j'ai repris ce fichier tel quel car en réalité le rendu sera une page web, du coup je n'avais pas trop envie de me faire suer.
Ok, dans ce cas, pas de problème ! (tu aurais dû le dire tout de suite !!! :D)


(quoique, je maintiens que 10 pt, c'est petit...)
 
Oui : Photoshop n'est pas fait pour gérer correctement du texte, tout simplement...
(en plus, à 72 dpi, c'est normal que du texte en 10 points apparaisse tout pourri...)

Depuis les versions CS le moteur typographique utilisé par Photoshop est le même que celui utilisé par Illustrator et InDesign.

De plus tant qu'on reste en PSD (ou PDF, ou TIFF version 6) les calques de texte restent vectoriels, donc indépendants de la résolution des calques image.

:cool:
 
Depuis les versions CS le moteur typographique utilisé par Photoshop est le même que celui utilisé par Illustrator et InDesign.
Oui, mais il n'est pas utilisé pareil : dans Illustrator et dans InDesign, l'affichage est basé sur les données vectorielles : même zoomé à fond, les textes restes lisses...



De plus tant qu'on reste en PSD (ou PDF, ou TIFF version 6) les calques de texte restent vectoriels, donc indépendants de la résolution des calques image.
Les calques restent vectoriels, oui c'est vrai... mais les textes vectoriels sont toujours pixellisés à la résolution de l'image pour l'affichage à l'écran...

... donc, effectivement, si tu changes la résolution de l'image, les textes se re-pixellisent à partir des données vectorielles pour l'affichage à la nouvelle résolution...

... mais quand tu zoomes, les textes sont pixellisés..., quand tu aplatis, tout est pixellisé, quand tu importes dans un bloc image de InDesign soit c'est pixellisé, soit ça merde, et de toute façon ça ne gère pas les défonces et les surimpressions...

... donc même si son moteur typographique est le même que celui utilisé par Illustrator et InDesign, même si les calques de texte restent vectoriels, Photoshop n'est pas fait pour gérer correctement du texte pour le Print.
 
Oui, mais il n'est pas utilisé pareil.
Mais si !
(voir + bas)

Les calques restent vectoriels, oui c'est vrai... mais les textes vectoriels sont toujours pixellisés à la résolution de l'image pour l'affichage à l'écran...
... donc, effectivement, si tu changes la résolution de l'image, les textes se re-pixellisent à partir des données vectorielles pour l'affichage à la nouvelle résolution...
Ca ça vaut également pour tous les logiciels, ceux de PAO et de 3D au moins.

quand tu aplatis, tout est pixellisé, quand tu importes dans un bloc image de InDesign soit c'est pixellisé, soit ça merde, et de toute façon ça ne gère pas les défonces et les surimpressions...
Mais pourquoi aplatir ??? Pour multiplier les fichiers et les sources d'erreurs ?

Pour pouvoir exploiter correctement un fichier Photoshop (lissage, défonce, etc) contenant du texte et/ou des éléments vectoriels lorsqu'on l'importe dans InDesign il faut impérativement l'enregistrer au format Photoshop-PDF (qui conserve le fichier original intact avec ses calques et tout, à l'identique des formats PSD ou TIFF-6).

Dans ce cas ID va chercher les infos sur les calques vectoriels, alors que dans un PSD ou un TIFF-6 il se contente de reprendre les infos de la couche composite sur laquelle tout est pixellisée (à la résolution de l'image), y compris les éléments vectoriels et donc les textes.

Ce "truc" est expliquée en détail sur le site de Milic, consacré à ID : http://www.milic.com/indesign/index.html

... donc même si son moteur typographique est le même que celui utilisé par Illustrator et InDesign, même si les calques de texte restent vectoriels, Photoshop n'est pas fait pour gérer correctement du texte pour le Print.
Depuis la version 7 (ou 6 ?) Photoshop dispose d'un certain nombre de fonctions vectorielles copiées/collées depuis d'Illustrator, ce sont les formats de fichiers qui imposent des limites, pas les outils du logiciel.

;)
 
Mais si !
(voir + bas)


Ca ça vaut également pour tous les logiciels, ceux de PAO et de 3D au moins.
Mais non ! dans InDesign, Illustrator, et XPress, il n'y a pas cette couche composite pixellisée de Photoshop...

... donc dans InDesign, Illustrator, et XPress les données vectorielles sont exploitées directement, alors que dans Photoshop elles passent par une pixellisation : donc ce n'est pas la même façon d'utiliser le moteur typo.


Mais pourquoi aplatir ??? Pour multiplier les fichiers et les sources d'erreurs ?
Non, les fichiers arrivent aplatis parcequ'il y a des brêles qui après avoir fait une 1re connerie en faisant leur mise en page dans Photoshop, ne peuvent pas s'empêcher d'en faire une 2e en aplatissant tout pour l'enregistrer en JPEG...



Pour pouvoir exploiter correctement un fichier Photoshop (lissage, défonce, etc) contenant du texte et/ou des éléments vectoriels lorsqu'on l'importe dans InDesign il faut impérativement l'enregistrer au format Photoshop-PDF
Ça marche également avec un fichier .EPS... sauf que dans les 2 cas, j'ai déjà eu des trucs bizarres, du genre les ombres portées qui se décalent par rapport à leur texte... donc ce n'est pas toujours fiable.



alors que dans un PSD ... il se contente de reprendre les infos de la couche composite sur laquelle tout est pixellisé (à la résolution de l'image), y compris les éléments vectoriels et donc les textes.
Ben oui... et c'est quand-même un comble que le format natif de Photoshop ne soit même pas capable de traiter correctement les données vectorielles contenues dans le doc !!! c'est vraiment du grand n'importe quoi... Adobe aurait mieux fait de s'abstenir de faire cette connerie...
 
Mais non ! dans InDesign, Illustrator, et XPress, il n'y a pas cette couche composite pixellisée de Photoshop...
... donc dans InDesign, Illustrator, et XPress les données vectorielles sont exploitées directement, alors que dans Photoshop elles passent par une pixellisation : donc ce n'est pas la même façon d'utiliser le moteur typo.
Tous les logiciels pixellisent leurs données vectorielles pour les afficher à l'écran, il n'y a pas plus de pixellisation intermédiaire dans Photoshop que dans les autres logiciels.


Non, les fichiers arrivent aplatis parcequ'il y a des brêles qui après avoir fait une 1re connerie en faisant leur mise en page dans Photoshop, ne peuvent pas s'empêcher d'en faire une 2e en aplatissant tout pour l'enregistrer en JPEG...
Ah les c..s !
Mais en même temps c'est bien : ils pourraient te les aplatir en BMP... ou je ne sais quoi de pire ;-)))


Ça marche également avec un fichier .EPS... sauf que dans les 2 cas, j'ai déjà eu des trucs bizarres, du genre les ombres portées qui se décalent par rapport à leur texte... donc ce n'est pas toujours fiable.
L'EPS est un format complètement obsolète, qui ne retient pas les calques et qui n'a pas été prévu pour gérer les transparences.
Ce que je disais ne vaut que pour le format Photoshop-PDF (même si l'EPS ne se comporte pas toujours mal de ce point de vue là).


Ben oui... et c'est quand-même un comble que le format natif de Photoshop ne soit même pas capable de traiter correctement les données vectorielles contenues dans le doc !!! c'est vraiment du grand n'importe quoi... Adobe aurait mieux fait de s'abstenir de faire cette connerie...
Le format PSD est le format de travail de Photoshop et en tant que tel il possède les qualités inhérentes pour répondre à cette nécessité, mais ce n'est surtout pas un format d'échange entre logiciels de PAO : il y en a d'autres pour cela, et c'est ceux là qu'il faut utiliser.

Et ce n'est pas le PSD qui traite ou non les données qu'il contient : c'est le logiciel dans lequel on l'importe.

La vraie "connerie" c'est d'utiliser n'importe quel format au hasard pour faire n'importe quoi : c'est comme prendre une semi-remorque pour aller faire les courses au supermarché ou prendre une Ferrari pour aller chercher les enfants à l'école à l'autre bout de centre-ville.

;)
 
Tous les logiciels pixellisent leurs données vectorielles pour les afficher à l'écran, il n'y a pas plus de pixellisation intermédiaire dans Photoshop que dans les autres logiciels.
Ben si : il suffit de regarder l'écran et de zoomer : avec ID ou Illustrator, tu peux zoomer au maxi, les caractères et les formes vectorielles sont toujours nettes... alors qu'avec Photoshop, tout est pixelisé à la résolution du doc : Photoshop, lui, n'est même pas capable d'afficher des éléments vectoriels dans un mode qui correspond à du vectoriel... ça ne fonctionne pas pareil, et ça se voit : les données vectorielles ne sont pas directement "accessibles", elles sont dans une "couche" inférieure, et la "couche" visible est pixellisée. Et c'est bien ce que tu dis toi-même ici :

"alors que dans un PSD ou un TIFF-6 il (InDesign) se contente de reprendre les infos de la couche composite sur laquelle tout est pixellisée (à la résolution de l'image), y compris les éléments vectoriels et donc les textes."



Mais en même temps c'est bien : ils pourraient te les aplatir en BMP... ou je ne sais quoi de pire ;-)))
Bof, tu sais, le BMP, ce n'est que du TIFF de chez Microsoft... ce n'est pas si mauvais, c'est même mieux que du JPEG !!!



L'EPS est un format complètement obsolète, qui ne retient pas les calques et qui n'a pas été prévu pour gérer les transparences.
Oui, certes, mais il permet de récupérer les données vectorielles d'une mise en page merdée dans Photoshop...



Ce que je disais ne vaut que pour le format Photoshop-PDF (même si l'EPS ne se comporte pas toujours mal de ce point de vue là).
Oui, puisque à chaque fois que j'ai eu des problèmes avec des trucs qui se calaient mal dans un des formats, ça marchait quand j'enregistrais dans l'autre... donc, en général je fais un enregistrement en EPS et en PDF, et je regarde lequel est le plus conforme à l'original...



La vraie "connerie" c'est d'utiliser n'importe quel format au hasard pour faire n'importe quoi : c'est comme prendre une semi-remorque pour aller faire les courses au supermarché ou prendre une Ferrari pour aller chercher les enfants à l'école à l'autre bout de centre-ville.
(quoique, moi ça m'aurait pas déplu que mon Papa vienne me chercher à l'école en Ferrari, plutôt qu'en Dauphine ou en 4 CV...)

Non, la vraie connerie c'est d'avoir mal bricolé un logiciel de traitement d'image pour lui faire mal faire du texte...
... et l'autre vraie connerie, c'est d'utiliser n'importe quel logiciel au hasard pour faire n'importe quoi : c'est comme prendre un marteau et un burin pour desserrer les écrous pour changer une roue, ou un décapeur thermique comme sèche-cheveux, ou de mettre la vaisselle dans un lave-linge... bref tous les exemples que tu veux de mauvaise utilisation par une brêle incompétente d'un outil pas adapté au travail à faire...

... et qui va faire des dégâts : parceque la Ferrari, même si ce n'est pas le plus pratique pour aller dans le centre-ville, ça reste utilisable pour aller chercher les gosses, et le semi-remorque même si il ne passe pas le portique du parking de Carrouf, tu peux toujours le garer à l'extérieur, voire même dans le parking "livraison" du super-marché, et tu n'auras pas de problème pour mettre tes courses dans la remorque... donc là aussi ça reste utilisable, sans faire de dégâts... (un peu comme d'utiliser Illustrator pour faire de la mise en page)...
... alors que le burin et le marteau, ça laisse des vilaines traces sur les écrous et ça fait des dégâts dans les vis, le décapeur thermique ça brûle un peu la tête, et la vaisselle dans le tambour de la machine à laver, tu imagines le résultat... (mais au moins les morceaux sortent propres :D)

... donc, Photoshop est un excellent logiciel de traitement d'image, mais ce n'est pas un logiciel de mise en page, et il n'est pas fait pour traiter correctement du texte pour le Print, point final... même avec n'importe quel format de sortie, même en PDF !!!
 
Ben si : il suffit de regarder l'écran et de zoomer : avec ID ou Illustrator, tu peux zoomer au maxi, les caractères et les formes vectorielles sont toujours nettes... alors qu'avec Photoshop, tout est pixelisé à la résolution du doc : Photoshop, lui, n'est même pas capable d'afficher des éléments vectoriels dans un mode qui correspond à du vectoriel... ça ne fonctionne pas pareil, et ça se voit : les données vectorielles ne sont pas directement "accessibles", elles sont dans une "couche" inférieure, et la "couche" visible est pixellisée.
La seule différence c'est que Photoshop ne se fatigue pas : il ne pixellise pas plus que la résolution de l'image mais en même temps ça à du sens en terme de "wysiwig".

Et c'est bien ce que tu dis toi-même ici :
"alors que dans un PSD ou un TIFF-6 il (InDesign) se contente de reprendre les infos de la couche composite sur laquelle tout est pixellisée (à la résolution de l'image), y compris les éléments vectoriels et donc les textes."
Ce que je dis concerne InDesign, pas Photoshop.


Bof, tu sais, le BMP, ce n'est que du TIFF de chez Microsoft... ce n'est pas si mauvais, c'est même mieux que du JPEG !!!
Le JPEG retient les profils colorimétriques, lui...


Oui, puisque à chaque fois que j'ai eu des problèmes avec des trucs qui se calaient mal dans un des formats, ça marchait quand j'enregistrais dans l'autre... donc, en général je fais un enregistrement en EPS et en PDF, et je regarde lequel est le plus conforme à l'original...
Ca ça me plait !
On reconnaît le réflexe du pro (ou du curieux).


(quoique, moi ça m'aurait pas déplu que mon Papa vienne me chercher à l'école en Ferrari, plutôt qu'en Dauphine ou en 4 CV...)
Moi ce qui m'aurait plu c'est qu'il vienne, même à pied, au moins une fois...
(bouhhhh, snifffff):rose:


donc, Photoshop est un excellent logiciel de traitement d'image, mais ce n'est pas un logiciel de mise en page, et il n'est pas fait pour traiter correctement du texte pour le Print, point final... même avec n'importe quel format de sortie, même en PDF !!!
Apparement ce n'est pas négociable !
De toute façon je ne contredirai personne là dessus... sauf ceux qui n'ont objectivement pas le choix mais c'est un autre sujet.

;)
 
La seule différence c'est que Photoshop ne se fatigue pas : il ne pixellise pas plus que la résolution de l'image mais en même temps ça à du sens en terme de "wysiwig".
Non, non : InDesign et Illustrator exploitent directement les données vectorielles, alors que Photoshop les pixellise sur la couche de l'image... je te répète, ça se voit quand on zoome : regarde bien.

D'autre part, quand les polices sont manquantes dans InDesign ou Illustrator, les textes correspondants sont affichés à l'écran avec une police de substitution...

... alors que Photoshop peut afficher sa couche composite pixellisée même si les polices sont manquantes : en fait il n'a besoin des polices que :
- quand tu modifies la résolution de l'image, pour recréer la couche composite à la nouvelle résolution à partir des données vectorielles,
- quand tu modifies le texte, pour pixelliser le nouveau texte dans la couche composite.





Ce que je dis concerne InDesign, pas Photoshop.
Tssst, tssst : Abra, pas de mauvaise foi s'il te plaît : ce que tu dis concerne l'utilisation par InDesign de la couche composite d'une image PSD... : je te recolle la phrase dont j'ai extrait ce passage (j'avais pourtant bien fait attention à ce que l'extraction n'en change pas le sens !!!) :

" Pour pouvoir exploiter correctement un fichier Photoshop (lissage, défonce, etc) contenant du texte et/ou des éléments vectoriels lorsqu'on l'importe dans InDesign il faut impérativement l'enregistrer au format Photoshop-PDF (qui conserve le fichier original intact avec ses calques et tout, à l'identique des formats PSD ou TIFF-6).

Dans ce cas ID va chercher les infos sur les calques vectoriels, alors que dans un PSD ou un TIFF-6 il se contente de reprendre les infos de la couche composite sur laquelle tout est pixellisée (à la résolution de l'image), y compris les éléments vectoriels et donc les textes.
"
Là, tu dis bien clairement que dans le cas d'un fichier PSD importé dans InDesign, InDesign utilise la couche composite du fichier PSD... donc il y a bien une couche composite pixellisée à partir des données vectorielles...

... et ce que tu dis-là corrobore exactement les infos que j'avais déjà, et ce qu'il est facile de constater dans une image Photoshop contenant des calques de texte : le texte est pixellisé sur une couche non-vectorielle, et le vectoriel n'est qu'en sous-couche et n'est pas utilisé directement par Photoshop, contrairement à InDesign et Illustrator.



Le JPEG retient les profils colorimétriques, lui...
Oui... mais souvent ce n'est pas un avantage... quoique, ça permet au moins de savoir à l'ouverture de l'image quel mauvais profil a été utilisé...



Moi ce qui m'aurait plu c'est qu'il vienne, même à pied, au moins une fois...
(bouhhhh, snifffff)
Pardon.
(en fait, moi non plus il n'ai jamais venu me chercher à l'école... c'était une image...)



sauf ceux qui n'ont objectivement pas le choix
On n'a toujours le choix de ne pas faire une connerie... le coup du "J'suis pas responsable, j'étais obligé", ce n'est toujours que la solution de facilité pour ne pas prendre ses responsabilités et accuser les autres de sa propre incompétence... (je parle bien-sûr toujours de l'utilisation des textes photoshoppiens dans le domaine du Print et dans une image contone...

... en revanche pour le Web ou la vidéo ou d'autres utilisations capables de conserver les pixels de l'image, le texte dans Photoshop ne pose aucun problème.)
 
Tssst, tssst : Abra, pas de mauvaise foi s'il te plaît :
Il n'y a pas de mauvaise foi, je parle de Photoshop-PDF et de InDesign et tu me répond Photoshop.
En tout cas c''est ce que j'en ai compris, et c'est ce que je voulais préciser, relis bien :
Ben si : il suffit de regarder l'écran et de zoomer : avec ID ou Illustrator, tu peux zoomer au maxi, les caractères et les formes vectorielles sont toujours nettes... alors qu'avec Photoshop, tout est pixelisé à la résolution du doc : Photoshop, lui, n'est même pas capable d'afficher des éléments vectoriels dans un mode qui correspond à du vectoriel... ça ne fonctionne pas pareil, et ça se voit : les données vectorielles ne sont pas directement "accessibles", elles sont dans une "couche" inférieure, et la "couche" visible est pixellisée. Et c'est bien ce que tu dis toi-même ici :

"alors que dans un PSD ou un TIFF-6 il (InDesign) se contente de reprendre les infos de la couche composite sur laquelle tout est pixellisée (à la résolution de l'image), y compris les éléments vectoriels et donc les textes."

;)
 
Il n'y a pas de mauvaise foi,
Un chouïa quand-même (ou alors tu te mélanges un peu ?) : un coup tu dis que ça marche exactement pareil,

... 3 phrases plus loin tu dis qu'il y a dans Photoshop "une couche composite sur laquelle tout est pixellisée (à la résolution de l'image), y compris les éléments vectoriels et donc les textes,

... et 4 lignes plus loin tu réaffirmes que ça marche exactement pareil...

... alors il faudrait savoir ce que tu dis : soit ça marche exactement pareil, soit il y a en plus cette couche composite...



je parle de Photoshop-PDF et de InDesign et tu me répond Photoshop.
Non, relis bien toi aussi : dans le passage que tu cites, tu parles de comment InDesign utilise les PSD et les TIFF...
(... et non pas les PDF : l'utilisation des PDF, c'était la phrase juste avant...)

... et tu expliques qu'avec les PSD, InDesign reprend les infos de la couche composite du PSD, couche composite "sur laquelle tout est pixellisée (à la résolution de l'image), y compris les éléments vectoriels et donc les textes" : donc tu confirmes bien l'existence de cette couche supplémentaire pixellisée dans les fichiers Photoshop, et donc un fonctionnement différent des textes vectoriels dans Photoshop.

Et là nous sommes bien d'accord : dans Photoshop il y a une pixellisation intermédiaire, donc ça ne marche pas pareil que dans Illustrator et InDesign, et justement c'est là qu'est le problème.