Hadopi, c'est parti

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Nous, amis Suèdois, vous offrons pour 5€ par mois, le service iPredator.

Du Nord, on pense à vous bien fort,

Erìk
 
On avait remarqué.

Et qu'est-ce qui te permet de dire ça ?... :siffle:


Après, pour développer un peu sur le post de Moonwalker, qui parle d'aveuglement me concernant, l'usage du terme "d'arbitraire administratif" est totalement impropre. Un jugement devant un tribunal va-t-il mieux permettre d'éviter l'arbitraire ? Devant la complexité des dossiers et l'acharnement des grosses maisons de production, qui ont d'énormes moyens pour se défendre, moyens que n'a pas le citoyen lambda qui se retrouvera devant la justice parce que son fils, irresponsable d'autant plus s'il est mineur, aura téléchargé la dernière "Star'Ac", j'en doute*.

* Cette phrase aurait méritée d'être coupée en deux, oui. Mais pour qui raffole de la justice et de ses jugements, la lecture de cette phrase ne sera après tout pas pire qu'une décision de la deuxième chambre du tribunal correctionnel de Trifoully les Oies. :p
 
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Erìk


C'est déjà fait :D

Même si j'aurais voulu tellement donner 5 voire 10€ par mois directement à mon FAI en plus de mon abonnement pour une caisse de répartition en faveur des artistes....

Le téléchargement, ça veut dire quoi exactement ? Posséder une oeuvre alors qu'on en détient pas les droits ? Que l'artiste et autres intermédiaires n'ont pas été rémunérés au passage ?
=> Bullshit.

Je pourrais toujours continuer comme je faisais avant. Copier des CD pris à la médiathèque ou partager des disques dur entre potes ( non surveillable par Hadopi). Certaines personnes disent ne pas télécharger, mais font exactement derrière ce que je viens de dire. Bref.

Imaginons j'achète tous les albums que j'écoute en CD. Le marché de la musique reprendra t-il ? La réponse est non. Pourquoi ? Parce qu'on oublie aussi le marché de l'occasion. Une seule personne achète le CD neuf, et à la revente, les futurs possesseurs ne donneront pas un centime aux artistes. C'est bien légal. J'achète mes CD d'occasion, je ne participe donc pas du tout à l'industrie du disque donc. D'ailleurs c'est ce qui me rebute clairement avec les MP3 légaux. Ils sont à peine plus cher que des CD d'occasion (voire plus si on ne prend pas les derniers albums sortis) et impossible de revendre des MP3 achetés légalement.
Ça ne vaut pas le coup.
D'ailleurs sur une bibliothèque de MP3 en disque dur, comment différencier un MP3 acquis légalement (plate forme légale sans DRM), d'un MP3 illégal, d'une copie capture d'une radio ou webradio (légal) ? ou d'un CD que j'aurais rippé par mes soins.

Cela n'a aucun sens. Le marché de l'occasion est totalement oublié.
 
"Depuis la loi constitutionnelle qui modifie la Constitution. de 2008, il est étendu : les citoyens français pourront demander le contrôle de constitutionnalité des lois en vigueur à l’occasion d’un litige les concernant, s’ils estiment que la loi porte atteinte à leurs droits et libertés, comme c’est le cas dans d’autres pays."

A partir du 1er mars 2010

Hadopi n'est pas la première, ni la seule loi anticonstitutionnelle.

Peu à peu on arrive à contrôle par voie d'exception et par voie d'action, ce qui est plutôt bien. Mélange du modèle européen et américain.
 
Et qu'est-ce qui te permet de dire ça ?... :siffle:


Après, pour développer un peu sur le post de Moonwalker, qui parle d'aveuglement me concernant, l'usage du terme "d'arbitraire administratif" est totalement impropre. Un jugement devant un tribunal va-t-il mieux permettre d'éviter l'arbitraire ? Devant la complexité des dossiers et l'acharnement des grosses maisons de production, qui ont d'énormes moyens pour se défendre, moyens que n'a pas le citoyen lambda qui se retrouvera devant la justice parce que son fils, irresponsable d'autant plus s'il est mineur, aura téléchargé la dernière "Star'Ac", j'en doute*.

* Cette phrase aurait méritée d'être coupée en deux, oui. Mais pour qui raffole de la justice et de ses jugements, la lecture de cette phrase ne sera après tout pas pire qu'une décision de la deuxième chambre du tribunal correctionnel de Trifoully les Oies. :p

Je parlais pas de toi, bien sûr, mais du post dont tu faisais l'éloge. Le tien, celui mis en lien, je l'ai à peine survolé. 15 ? C'est ton âge ? Je n'explique pas ça autrement, sinon c'est consternant.

Celui-ci en est encore un exemple. Achète un dictionnaire et apprend la définition d'arbitraire. Apprend aussi un peu de procédure. Ce qu'est un juge par exemple et ce qui le différencie d'un procureur. Un juge, il faut le convaincre, et pas avec l'argent des majors, ne t'en déplaise. La présomption d'innocence, tu connais ? Heureusement que le Conseil Constitutionnel ne l'a pas oubliée dans sa décision sur Hadopi I. Le principe de proportionnalité des peines ? Non plus ?

Au fait, tant qu'on est pas condamné, on est innocent. C'est même une lapalissade.

Son fils ? Il faudra encore le prouver, avec des éléments solides. Il y a suffisamment de procès qui ont démontré la gageure de l'exercice. Hadopi I était justement destinée à cela, éviter la case justice (apprend aussi le sens de ce mot à l'occasion) parce que les procès concernant les internautes n'étaient pas rentables pour les majors. Ceux enclenchés par Hadopi II ne le seront pas d'avantage, le Conseil Constitutionnel y a aussi veillé. Au fait, "avocat" ne désigne pas qu'un fruit.

N'en déplaise à ceux qui fort de leur bêtise et de leur égotisme sont prompts à railler la décision du CC sur Hadopi I, le plus grand mérite de ce texte, qui dépasse de loin les péripéties d'une loi qu'on aura oublié dans dix ans, c'est que fut affirmé pour la première fois le principe qu'Internet est constitutif de la Liberté d'expression telle que garantie par la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789.

La bataille ne fait que commencer, et les "idiots utiles" dans ton genre et celui des "artistes de gôche" ont choisi le mauvais camp. Nous saurons nous en souvenir.
 
"N'en déplaise à ceux qui fort de leur bêtise et de leur égotisme sont prompts à railler la décision du CC sur Hadopi I, le plus grand mérite de ce texte, qui dépasse de loin les péripéties d'une loi qu'on aura oublié dans dix ans, c'est que fut affirmé pour la première fois le principe qu'Internet est constitutif de la Liberté d'expression telle que garantie par la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789.

La bataille ne fait que commencer, et les "idiots utiles" dans ton genre et celui des "artistes de gôche" ont choisi le mauvais camp. Nous saurons nous en souvenir."
??? Je comprend pas ta première phrase. Pour toi le CC avait tort avec HADOPI I ?

Je comprend encore moins ta dernière phrase .... Ils ont fait quoi les artistes de gauche et les idiots utiles ?
 
??? Je comprend pas ta première phrase. Pour toi le CC avait tort avec HADOPI I ?

Je comprend encore moins ta dernière phrase .... Ils ont fait quoi les artistes de gauche et les idiots utiles ?


Pour répondre, je me permets de citer à nouveau Moonwalker.
N'en déplaise à ceux qui fort de leur bêtise et de leur égotisme sont prompts à railler la décision du CC sur Hadopi I, le plus grand mérite de ce texte, qui dépasse de loin les péripéties d'une loi qu'on aura oublié dans dix ans, c'est que fut affirmé pour la première fois le principe qu'Internet est constitutif de la Liberté d'expression telle que garantie par la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789.

La réponse à la légitimité de rejet de la loi Hadopi par le Conseil Constitutionnel est la partie en gras de la citation. Mine de rien, c'est l'affirmation d'une extension fondamentale du domaine des libertés.

Qui ne légalise en rien le téléchargement illégal.

Parmi les artistes de gauche, l'un d'eux a clairement dit en public que les pirates étaient des criminels, interprétation personnelle déduite des propos de l'artiste qui les stigmatisait avec un qualificatif particulièrement odieux, que je n'oserai pas rapporter ici, tant il est ignominieux. Cœur à gauche, portefeuille à l'extrême droite. Et pourtant, cet artiste est l'auteur d'une des plus belles chansons sur la "différence". Comme quoi … le doute est permis.
 
Je trouve au contraire ce post caractéristique d'un grave aveuglement (pour ne pas dire autre chose).

Sa logique c'est : on a décidé de vous couper une main. Puisque vous n'êtes pas d'accord, on vous crèvera aussi les yeux.

On n'a pas à accepter l'inacceptable.

Entre passer devant un juge pour me défendre ou supporter l'arbitraire administratif piloté par des officines privées, le choix ne se pose même pas dans une démocratie digne de ce non.

Mais certains ici ne sont pas dignes de la démocratie et ne se soucient que de préserver et étendre (du moins le croient-ils) leurs avantages corporatistes, fusse au détriment des libertés communes.

Un texte de loi anti-constitutionnel est celui d'une loi dirigée contre le contrat social, contre la République. On ne peut en aucun cas le défendre, sauf à être l'ennemi du bien commun.

Et bien entendu télécharger et copier illégalement c'est parfaitement en accord avec le contrat social et la république :)
Sans faire le panagérique d'hadopi, il faudrait peut être envisager un poil d'honneteté...réelle et intellectuelle, car brandir les libertés pour combattre hadopi est une bonne chose...à condition que le reste suive non?
 
brandir les libertés pour combattre hadopi est une bonne chose...à condition que le reste suive non?
Non !!! Ce n'est parce que les autorités n'ont pas pris le temps, pas su ou pas voulu régler le problème qu'il faut dire adieu à nos libertés. Dans le cas présent il y avait d'autres choix de solution possibles.

Ce n'est pas parce que la police ne court pas assez vite derrière les voleurs à l'étalage qu'il faut attacher des boulets de fonte aux pieds de toute la population.

Le manque de résultat dans la protection d'un principe n'est pas un prétexte valable pour violer des principes plus fondamentaux.

C'est pourtant ce que font quelques lois récentes, Hadopi n'étant que la dernière en date... mais sûrement pas la dernière, au train où vont les choses.
 
Et bien entendu télécharger et copier illégalement c'est parfaitement en accord avec le contrat social et la république :)
Sans faire le panagérique d'hadopi, il faudrait peut être envisager un poil d'honneteté...réelle et intellectuelle, car brandir les libertés pour combattre hadopi est une bonne chose...à condition que le reste suive non?
L'inquiétude vient d'un pouvoir qui multiplie les lois ou règlementations répressives (voir les cas récents de français qui doivent prouver qu'ils sont français pour renouveler leur carte d'identité), sans aborder en face les problèmes de fond.

Ces lois multiples sont rarement, parfois jamais, appliquées, faute de moyens, de décrets d'application. Avant Hadopi, le téléchargement était déjà illégal, et il y avait déjà des lois, auxquelles ont ne donnait pas de moyens d'application. Le gouvernement met en place un scenario pour donner le sentiment qu'Hadopi va être appliquée rapidement. Il y a cependant déjà des retards, déjà des annonces pour affirmer qu'on va surtout faire de la "pédagogie", bref, il se peut que les premiers temps passés, l'application relève essentiellement de la communication (spots télé notamment), sauf que l'outil est là, et s'ajoute à une panoplie d'autres textes qui tissent un filet qui apparaît pour l'instant souvent inutile et absurde, mais qui inquiète en ce qui concerne de possibles utilisations futures.

Il ne faut sans doute pas céder à la paranoïa. Nous ne sommes probablement pas encore dans un régime totalitaire. Mais l'inutile et l'absurde dans la loi et la réglementation sont des caractéristiques de tels régimes. A quel moment se situe le point de bascule ? Quand et comment faut-il s'alarmer et dire non ? Qu'on soit amené à se poser ces questions à propos d'une loi est peut-être déjà une raison suffisante de la combattre.
 
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Réactions: iluro_64
Et bien entendu télécharger et copier illégalement c'est parfaitement en accord avec le contrat social et la république :)
Sans faire le panagérique d'hadopi, il faudrait peut être envisager un poil d'honneteté...réelle et intellectuelle, car brandir les libertés pour combattre hadopi est une bonne chose...à condition que le reste suive non?
La malhonnêteté intellectuelle est celle de ceux qui continuent à vouloir piétiner nos droits sous prétexte de maintenir une rente de situation et à accuser chacun soucieux de préserver les libertés publiques d'être défenseur de la contre-façon.

Il est évident que tu n'as pas lu la décision du Conseil Constitutionnel sur Hadopi I. Un autre grand principe de 1789 rappelé dans ce texte et celui de la propriété intellectuelle.

Il n'y a pas à sacrifier un principe au nom de l'autre. Encore que Victor Hugo s'est un jour très clairement exprimé sur les priorités :
Victor Hugo lors de son discours d'ouverture du Congrère littéraire international, en 1878 :

"Le livre, comme livre, appartient à l’auteur, mais comme pensée, il appartient—le mot n’est pas trop vaste—au genre humain. Toutes les intelligences y ont droit. Si l’un des deux droits, le droit de l’écrivain et le droit de l’esprit humain, devait être sacrifié, ce serait, certes, le droit de l’écrivain, car l’intérêt public est notre préoccupation unique, et tous, je le déclare, doivent passer avant nous."

Les attendus de la décision du Conseil Constitutionnel étaient l'occasion d'ouvrir un vaste débat, un vrai, réunissant tous les acteurs du monde internet et non pas une commission des amis de Monsieur et Madame, mais la bande de malfaisants législatifs avec laquelle vous vous êtes acoquinés n'a jamais voulu en saisir l'occasion.

Aujourd'hui, vous, les "artistes", vous l'aurez doublement dans le cul (pardonnez l'expression) :
— les majors mettent en place une licence globale qui n'ose pas dire son nom grâce à des accords ciblés. Exemple aux Etat-Unis avec les accords passés avec les Universités, mais encore en France avec Vivendi-Universal-Neuf-SFR, celui qui mange à tous les râteliers. Vous n'en aurez que des miettes.
— les contre-facteurs mettent en place une économie parallèle (les VPN payants et autres abonnements à des systèmes anonymisants) dont vous n'aurez jamais aucun retour.

Ce sont les premiers fruits d'Hadopi. Vous les avez cultivés, vous les mangerez et vous en chierez.

Ce gouvernement infâme, au discours moisi et aux actes vils, avait besoin de vous pour prétexte à sa politique de mise sous séquestre de l'internet. En cela vous avez bien été des "idiots utiles".

Comme le dit aujourd'hui le titre de ce sujet, "Hadopi, c'est fini". Une loi est passée qui aura surtout pour conséquence un gaspillage éhonté des deniers publics. Ce n'est pas la première fois. Maintenant, la lutte se déplace plus précisément sur le champ des libertés publiques (LOPSSI) et les armes de nos adversaires sont toujours les mêmes : la peur, le mensonge, la brutalité.
 
Il ne faut sans doute pas céder à la paranoïa. Nous ne sommes probablement pas encore dans un régime totalitaire. Mais l'inutile et l'absurde dans la loi et la réglementation sont des caractéristiques de tels régimes. A quel moment se situe le point de bascule ? Quand et comment faut-il s'alarmer et dire non ? Qu'on soit amené à se poser ces questions à propos d'une loi est peut-être déjà une raison suffisante de la combattre.

Heureusement. Quand cela bascule-t-il ? Seuls quelques spécialistes non atteints par la paranoïa pourraient en témoigner. Il y a un autre indice publié il y a quelques mois, qui permet de se faire une idée du basculement des institutions dans une voie ou dans un autre grâce à des lois et/ou des règlements plus ou moins opaques quand ce n'est pas incompréhensibles "au bon peuple". Il s'agit de la mesure de la corruption. Depuis le changement de président la potentialité (ou la réalité ?) de la corruption dans notre "cher et beau pays pays" est passé de l'indice 7 à l'indice 25, s'enfonçant ainsi dans les bas-fonds des nations corrompues. Cela a été possible grâce à des articles bien cachés et incompréhensibles et concernent la finance en général, les grosses entreprises … et les paradis fiscaux. N'oublions pas que la France dont le président est le co-Prince, possède en quelque sorte son paradis fiscal privé quelque part dans les Pyrénées, à défaut de pouvoir utiliser une autre principauté méditerranéenne juchée sur un rocher. Sur le sujet de la corruption en France sur le Web, de nombreux articles, parfois contradictoires, laissent perplexes, laissent un goût amer dans la bouche, et font penser à une certaine dérive des institutions de notre si vertueux pays (ce qu'on veut faire croire au monde …). Or la corruption est un des signes qui mettent en lumières le mépris de ceux qui ont ou fréquentent le pouvoir au détriment des autres. La fameuse démocratie française … … … apte à dénoncer … … ferait bien de balayer etc., etc., … …

La Loi Hadopi n'est qu'un exemple visible et particulièrement mal gérée d'une tentative de restriction des libertés, qui a conduit à l'inverse par l'extension du domaine de la liberté d'expression à Internet, que la loi se proposait de museler. Le téléchargement n'a jamais été qu'un prétexte. Et il n'est pas le seul ! Comment appeler ce zèle à faire en sorte que des Français nés de Français soient en difficulté à être Français parce que nés à l'étranger, parfois même en raison du service de l'État ! Ce zèle absurde a remis en selle l'application de lois anciennes, plus ou moins obsolètes, non appliquées par usage, instituant un déni de nationalité. La carte d'identité et le passeport ne sont lus des preuves d'identité ! Voilà où on en est en invoquant que ces pièces délivrées par l'administration peuvent être des faux ! :mad: Voilà un second exemple qui commence à faire surface, une atteinte au droit légitime de la nationalité par la filiation, ou part l'accueil de populations persécutées d'Europe de l'Est. C'est aussi grave qu'une atteinte à la liberté d'expression.


Nous ne sommes pas encore, loin de là je pense, dans un régime doucement totalitaire. Tout juste moins doucement autoritaire, ce qui est loin d'être la même chose. Mais, il est vrai que certaines mesures laissent à penser que dérive il y a.
 
En période de supra législation ( période actuelle ), ta méthode me semble difficile.

Quant à la corruption je citerai l'Italie, pour ne dire qu'elle ne suffit pas à renversé un régime, y contribue surement.

La constitution n'est """""""qu'une"""""" barrière intellectuel.
 
…

Quant à la corruption je citerai l'Italie, pour ne dire qu'elle ne suffit pas à renversé un régime, y contribue surement.

….


Notre voisine latine n'est pas la pire …

Je surenchérirai en disant que le but de la corruption n'est peut-être pas contribuer à renverser un régime, mais davantage à le maintenir, et à en profiter …
 
Notre voisine latine n'est pas la pire …

Je surenchérirai en disant que le but de la corruption n'est peut-être pas contribuer à renverser un régime, mais davantage à le maintenir, et à en profiter …

Pour rester sur HADOPI II je dirai plutôt que c'est une loi qui montre l'incapacité du gouvernement à faire face, plus que autres choses. C'est dans un cas comme ça que l'on fait appelle à la dénonciation ce qui est à mon gout est une très mauvaise solution.
 
Pour rester sur HADOPI II je dirai plutôt que c'est une loi qui montre l'incapacité du gouvernement à faire face, plus que autres choses. C'est dans un cas comme ça que l'on fait appelle à la dénonciation ce qui est à mon gout est une très mauvaise solution.

Il y a dénonciation et dénonciation …
Il est vrai que la dénonciation institutionnelle a très mauvaise odeur … :mad:
 
Il y a dénonciation et dénonciation …
Il est vrai que la dénonciation institutionnelle a très mauvaise odeur … :mad:

Je parle évidemment de la dénonciation dans HADOPI II. J'ai toujours pas trouvé les informations que je cherche d'ailleurs concernant la dénonciation.
 
Mais une des grosses inconnues, à mon avis, reste ce logiciel de "sécurisation" non inter-opérable et certainement payant :eek: :mad:
 
Mais une des grosses inconnues, à mon avis, reste ce logiciel de "sécurisation" non inter-opérable et certainement payant :eek: :mad:

C'est tout le versant technique qui n'a jamais été détaillé et qui pour l'instant n'a pas donnée lieu à un décret. Et vu la problématique, il ne verra peut être jamais le jour.

Et si il voit le jour, dans les 90 secondes, tu auras 10 sites t'expliquant comment en exploiter les failles techniques et légales.
 
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