la blague du lundi
- Créateur du sujet Alex666
- Date de début
- Statut
Alex666 a dit:Les vrais programmeurs aiment le pop-corn. Les vrais programmeurs utilisent la chaleur dégagée par leur microprocesseur pour faire éclater le pop- corn. De plus, ils peuvent dire quel programme tourne sur l'ordinateur en écoutant le rythme d'éclatement du maïs.
A tient!? J'ai jamais essayé ça....
moi j'en ais une petite,seulement entendu hier,c'est peut etre du réchauffé pour vous,mea culpa
.
un homme se ballade dans une rue de dresden,il aperçoit des femmes en petite tenue dans une vitrine,il demande a son pote qui lui est du coin,
qu'est ce que c'est ?
"ce sont des femmes du sexe,tu paye et tu consomme"
"ah oui ? et c'est combien"
"ça depend tu te ballade devant les vitrines et tu choisis,tu frappe sur le carreau et tu demande le tarif"
"ah bon,j'y vais"
.
il deambulle sur le trottoir et choisis,il frappe sur une vitre,une femme s'approche du carreau
"bonjour madame c'est combien ?"
"dix milles euros"
"fichtre,c'est diablement cher chez vous"
"d'accord,mais c'est du double vitrage "
.
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un homme se ballade dans une rue de dresden,il aperçoit des femmes en petite tenue dans une vitrine,il demande a son pote qui lui est du coin,
qu'est ce que c'est ?
"ce sont des femmes du sexe,tu paye et tu consomme"
"ah oui ? et c'est combien"
"ça depend tu te ballade devant les vitrines et tu choisis,tu frappe sur le carreau et tu demande le tarif"
"ah bon,j'y vais"
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il deambulle sur le trottoir et choisis,il frappe sur une vitre,une femme s'approche du carreau
"bonjour madame c'est combien ?"
"dix milles euros"
"fichtre,c'est diablement cher chez vous"
"d'accord,mais c'est du double vitrage "
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A lire avec l'accent belch une foué...
Deux cammionneurs Belges semblent un peu égarés sur la route quand ils se retrouvent face à l'entrée d'un tunnel. Un panneau signale que la hauteur limite est de 3,90 m, alors que celle du camion est de 4,00 m...
Le chauffeur s'exclame « Ah zut une fois ! Regarde on ne peut pas passer. »
Son collègue descend alors du camion, en fait le tour, regarde à gauche, à droite, puis remonte dans le camion : « C'est bon vas-y ! J'ai regardé, ya pas de flic (une fois) !!! »
Deux cammionneurs Belges semblent un peu égarés sur la route quand ils se retrouvent face à l'entrée d'un tunnel. Un panneau signale que la hauteur limite est de 3,90 m, alors que celle du camion est de 4,00 m...
Le chauffeur s'exclame « Ah zut une fois ! Regarde on ne peut pas passer. »
Son collègue descend alors du camion, en fait le tour, regarde à gauche, à droite, puis remonte dans le camion : « C'est bon vas-y ! J'ai regardé, ya pas de flic (une fois) !!! »
Vous l'aurez compris, ce qui devait arriver arriva et le camion s'est retrouvé coincé pour quelques centimètres au beau milieu du tunnel. Nos deux amis regardent l'étendue des dégats et cherchent une solution. C'est alors que passe un automobiliste, français par exemple.
« Alors Monsieur (une fois) s'il vous plaît (une fois) serait-il possible (1x) que vous nous emmeniez à la ville la plus proche, s'il vous plaît (une fois) ? Voyez-vous notre camion est coincé...
Mais il semble ne pas manquer grand chose, peut-être qu'en dégonflant un peu les pneus vous pourrez sortir du tunnel.
Ah ça (une fois) c'est fort de café hein ! Mais mon bon Monsieur, vous voyez bien que c'est en haut que ça coince (une fois n'est-ce pas), pas en bas ! »
Sinon, je confirme ma présence à l'AES Belge 2.0. Je prendrai mon duvet et dormirai sur le bout de trottoir que vous voudrez m'accorder.
« Alors Monsieur (une fois) s'il vous plaît (une fois) serait-il possible (1x) que vous nous emmeniez à la ville la plus proche, s'il vous plaît (une fois) ? Voyez-vous notre camion est coincé...
Mais il semble ne pas manquer grand chose, peut-être qu'en dégonflant un peu les pneus vous pourrez sortir du tunnel.
Ah ça (une fois) c'est fort de café hein ! Mais mon bon Monsieur, vous voyez bien que c'est en haut que ça coince (une fois n'est-ce pas), pas en bas ! »
Sinon, je confirme ma présence à l'AES Belge 2.0. Je prendrai mon duvet et dormirai sur le bout de trottoir que vous voudrez m'accorder.
histoire véridique:
Appelez un de vos amis et dites lui de venir vous voir à Amsterdam.
Dites lui de sortir à la huitième sortie après le premier panneau Amsterdam.
Prenez le téléphone et essayer de rediriger votre copain vers Amsterdam alors que celui ci maudit ces Néerlandais d'avoir que des sorties numéro "Uit"
On s'est bien fendu la poire après son premier appel
"bah je suis sorti à la sortie numéro Uit mais y'a ke des sorties numéros Uit ici"
Appelez un de vos amis et dites lui de venir vous voir à Amsterdam.
Dites lui de sortir à la huitième sortie après le premier panneau Amsterdam.
Prenez le téléphone et essayer de rediriger votre copain vers Amsterdam alors que celui ci maudit ces Néerlandais d'avoir que des sorties numéro "Uit"
On s'est bien fendu la poire après son premier appel
Un curé qui se promène dans la nature est pris dans les sables
mouvants.
Alors qu'il s'enfonce jusqu'au aux chevilles, un camion de pompiers
passe par là.
- Vous avez besoin d'aide ?
- Ce n'est pas nécessaire, le seigneur me viendra en aide !
Alors que le curé s'enfonce jusqu'à la ceinture , le camion repasse et
les pompiers lui redemandent :
- Vous avez besoin d'aide ?
- Ce n'est pas nécessaire, le seigneur me viendra en aide !
Lorsque le curé n'a plus que la tête hors du sable, les pompiers
passent une troisième fois.
- Vous n'avez toujours pas besoin d'aide ?
- Ce n'est pas nécessaire, le seigneur me viendra en aide .
Alors le curé s'enfonce complètement et lorsqu'il arrive au paradis, il
dit au seigneur :
- Je suis vraiment déçu, je pensais vraiment que vous me viendriez en
aide !
Et le seigneur lui répond :
- Je t'ai envoyé 3 fois les pompiers gros con, je ne vois pas ce que
je peux faire de plus !!!
mouvants.
Alors qu'il s'enfonce jusqu'au aux chevilles, un camion de pompiers
passe par là.
- Vous avez besoin d'aide ?
- Ce n'est pas nécessaire, le seigneur me viendra en aide !
Alors que le curé s'enfonce jusqu'à la ceinture , le camion repasse et
les pompiers lui redemandent :
- Vous avez besoin d'aide ?
- Ce n'est pas nécessaire, le seigneur me viendra en aide !
Lorsque le curé n'a plus que la tête hors du sable, les pompiers
passent une troisième fois.
- Vous n'avez toujours pas besoin d'aide ?
- Ce n'est pas nécessaire, le seigneur me viendra en aide .
Alors le curé s'enfonce complètement et lorsqu'il arrive au paradis, il
dit au seigneur :
- Je suis vraiment déçu, je pensais vraiment que vous me viendriez en
aide !
Et le seigneur lui répond :
- Je t'ai envoyé 3 fois les pompiers gros con, je ne vois pas ce que
je peux faire de plus !!!
dude a dit:histoire véridique:
Appelez un de vos amis et dites lui de venir vous voir à Amsterdam.
Dites lui de sortir à la huitième sortie après le premier panneau Amsterdam.
Prenez le téléphone et essayer de rediriger votre copain vers Amsterdam alors que celui ci maudit ces Néerlandais d'avoir que des sorties numéro "Uit"
On s'est bien fendu la poire après son premier appel"bah je suis sorti à la sortie numéro Uit mais y'a ke des sorties numéros Uit ici"
Euh... apparemment ça veut dire quelque chose "Uit" en flamand... ???
Uit en flamand, ça veut dire simplement sortie !lumai a dit:Euh... apparemment ça veut dire quelque chose "Uit" en flamand... ???
J'ai fait la meme blague à un pote qui allait en Allemagne... je lui avait dit de prendre la sortie qui indiquait "Ausfahrt" ... bien entendu, il a pris la première et s'est paumé dans la nature !!!
thebiglebowsky a dit:bien entendu, il a pris la première et s'est paumé dans la nature !!!
Tu as des nouvelles depuis
Ouais ! Il s'est retrouvé en Bavière, s'est laissé pousser deux grosses tresses blondes ... et, en désespoir de cause, il s'est pendu avec ses bretelles à une edelweiss ... (bon, c'est vrai qu'en plus, il était très petit !!!)krystof a dit:Tu as des nouvelles depuis
thebiglebowsky a dit:Ouais ! Il s'est retrouvé en Bavière, s'est laissé pousser deux grosses tresses blondes ... et, en désespoir de cause, il s'est pendu avec ses bretelles à une edelweiss ... (bon, c'est vrai qu'en plus, il était très petit !!!)
C'est du propre. Tout ça à cause d'une mauvaise blague. Honte à toi.
C'est un Homme qui va dans un laboratoire chercher les resultats d'analyse de sa femme.
en arrivant Le Medecin lui dit " monsieur jai deux mauvaises nouvelles.
la premiere c'est que nous avons echangé les resultats de votre femme avec une autre personne
La seconde est que nous ne savons pas si votre femme a le sida ou la maladie dAlzheimer .
L'homme dépité par ces deux nouvelles demande alors au medecin comment faire pour savoir laquelle des deux maladies a contracté sa femme
Le medecin embetté lui dit " ecoutez emmener votre epouse faire un tour et perdez la en foret
si elle revient alors surtout ne la baiser pas !
en arrivant Le Medecin lui dit " monsieur jai deux mauvaises nouvelles.
la premiere c'est que nous avons echangé les resultats de votre femme avec une autre personne
La seconde est que nous ne savons pas si votre femme a le sida ou la maladie dAlzheimer .
L'homme dépité par ces deux nouvelles demande alors au medecin comment faire pour savoir laquelle des deux maladies a contracté sa femme
Le medecin embetté lui dit " ecoutez emmener votre epouse faire un tour et perdez la en foret
si elle revient alors surtout ne la baiser pas !
c'est un commercial qui débarque dans un bled paumé en pleine nuit, il a froid et faim et cherche un hôtel, il trouve une sorte d'auberge pas très reluisante, entre, sonne au comptoir............rien, il passe dans la salle, derrière le comptoir, car il croit avoirentendu des voix et découvre, confus, un couple en train de faire l'amour, il s'en va vivement pour ne pas les déranger, va dans la salle de restaurant, et bingo, il trouve la femme de ménage bien occupée avec un jeune homme, de plus en plus géné, il quitte la pièce, monte à l'étage, re-bingo, un couple enlacé en haut des marches.........dépité, il fait demi-tour et dans la rue, croise un couple de chiens collés, alors il saisit les deux pauvres bètes, retourne à l'auberge et les jette sur le comptoir en hurlant : EXCUSEZ MOI, JE CROIS QUE VOTRE ENSEIGNE EST TOMBÉE !!!!!.
KABINDA, ZAÏRE Dans un geste que les officiels d'IBM ont qualifié de percée majeure dans l'actuelle révolution mondiale des télécommunications menée par la compagnie, M'wana Ndeti, un Bantou du Zaïre, a utilisé hier un modem "IBM global uplink network" pour ouvrir une noix.
Ndeti, qui a tenté pendant vingt minutes de casser la noix à mains nues, l'a écrasée facilement en la frappant à plusieurs reprise avec le puissant modem.
"Je n'arrivais pas a ouvrir la noix par moi-même", a affirmé l'homme de 47 ans, qui a ajouté la savoureuse noix à un épais bouillon à base d'arachides quelques instants plus tard. "Avec l'aide d'IBM, j'ai réussi à la casser". Ndeti avait découvert ce casse-noisettes, le modem 28.8 V.34, alors qu'IBM filmait un commercial dans son village du sud-ouest du Zaïre. Pendant un arrêt dans le tournage, qui montrait des villageois africains dans une téléconférence passionnée avec des écoliers japonais via l'ordinateur, Ndeti s'est faufilé sur le plateau et s'est empare du modem, afin de s'en servir comme ustensile contondant. Les officiels d'IBM n'ont pas été surpris que l'immuable géant de l'ordinateur ait pu fournir à Ndeti des solutions pratiques à ses problèmes quotidiens.
"Nos systèmes de télécommunications offrent aux gens de partout à travers le monde des solutions de réseau global qui correspondent à leurs besoins spécifiques", a précisé Herbert Ross, le directeur du marketing chez IBM.
"Que vous soyez une soeur cloîtrée dans un couvent italien ou un aborigène dans le Grand Désert de Sable d'Australie, IBM a les idées pour vous conduire là où vous souhaitez vous rendre aujourd'hui.
" Selon Ndeti, parmi toutes les caractéristiques impressionnantes du modem, la plus remarquable est son solide boîtier de plastique, qui a survécu sans peine à plusieurs minutes de pilonnage vigoureux contre une grosse pierre. "J'ai mis la noix sur une roche, et je l'ai frappée avec le modem", a dit Ndeti. "Le modem n'a pas cassé. C'est un bon modem.
" Ndeti a été tellement impressionné par le modem qu'il s'est procuré une nouvelle station de travail IBM, complètement équipée avec un microprocesseur PowerPC 601, un lecteur CD-ROM octuple vitesse et trois connecteurs de réseau ethernet 16-bit. L'indigène a déjà fait bon usage du système informatique, confectionnant un piège à gazelles avec le câblage, une ancre à bateau avec l'écran et une arme primitive mais efficace avec sa souris.
"C'est un bon ordinateur", a commenté Ndeti, ouvrant avec le processeur interne, plat et tranchant, une gazelle fraîchement capturée. "J'utilise chacune de ses parties.
Je vais faire cuire cette gazelle sur le clavier." Quelques heures plus tard, Ndeti a couronné son délicieux souper de gazelle en fumant les deux cents pages du manuel de l'utilisateur.
Les porte-parole d'IBM ont vanté le choix d'ordinateur fait par Ndeti. "Nous sommes heureux que les Bantous fasse confiance à IBM pour leurs besoins d'affaires", a conclu William Alaire, CEO de la compagnie.
"De Kansas City à Kinshasa, IBM rapproche le monde. Notre technologie d'avant-garde est vraiment en train de créer un village global".
Ndeti, qui a tenté pendant vingt minutes de casser la noix à mains nues, l'a écrasée facilement en la frappant à plusieurs reprise avec le puissant modem.
"Je n'arrivais pas a ouvrir la noix par moi-même", a affirmé l'homme de 47 ans, qui a ajouté la savoureuse noix à un épais bouillon à base d'arachides quelques instants plus tard. "Avec l'aide d'IBM, j'ai réussi à la casser". Ndeti avait découvert ce casse-noisettes, le modem 28.8 V.34, alors qu'IBM filmait un commercial dans son village du sud-ouest du Zaïre. Pendant un arrêt dans le tournage, qui montrait des villageois africains dans une téléconférence passionnée avec des écoliers japonais via l'ordinateur, Ndeti s'est faufilé sur le plateau et s'est empare du modem, afin de s'en servir comme ustensile contondant. Les officiels d'IBM n'ont pas été surpris que l'immuable géant de l'ordinateur ait pu fournir à Ndeti des solutions pratiques à ses problèmes quotidiens.
"Nos systèmes de télécommunications offrent aux gens de partout à travers le monde des solutions de réseau global qui correspondent à leurs besoins spécifiques", a précisé Herbert Ross, le directeur du marketing chez IBM.
"Que vous soyez une soeur cloîtrée dans un couvent italien ou un aborigène dans le Grand Désert de Sable d'Australie, IBM a les idées pour vous conduire là où vous souhaitez vous rendre aujourd'hui.
" Selon Ndeti, parmi toutes les caractéristiques impressionnantes du modem, la plus remarquable est son solide boîtier de plastique, qui a survécu sans peine à plusieurs minutes de pilonnage vigoureux contre une grosse pierre. "J'ai mis la noix sur une roche, et je l'ai frappée avec le modem", a dit Ndeti. "Le modem n'a pas cassé. C'est un bon modem.
" Ndeti a été tellement impressionné par le modem qu'il s'est procuré une nouvelle station de travail IBM, complètement équipée avec un microprocesseur PowerPC 601, un lecteur CD-ROM octuple vitesse et trois connecteurs de réseau ethernet 16-bit. L'indigène a déjà fait bon usage du système informatique, confectionnant un piège à gazelles avec le câblage, une ancre à bateau avec l'écran et une arme primitive mais efficace avec sa souris.
"C'est un bon ordinateur", a commenté Ndeti, ouvrant avec le processeur interne, plat et tranchant, une gazelle fraîchement capturée. "J'utilise chacune de ses parties.
Je vais faire cuire cette gazelle sur le clavier." Quelques heures plus tard, Ndeti a couronné son délicieux souper de gazelle en fumant les deux cents pages du manuel de l'utilisateur.
Les porte-parole d'IBM ont vanté le choix d'ordinateur fait par Ndeti. "Nous sommes heureux que les Bantous fasse confiance à IBM pour leurs besoins d'affaires", a conclu William Alaire, CEO de la compagnie.
"De Kansas City à Kinshasa, IBM rapproche le monde. Notre technologie d'avant-garde est vraiment en train de créer un village global".
Une femme active, responsable d'entreprise se lève tous les matins à
6h00, alors que son mari reste au lit plus longtemps. Ce matin-là, elle
décide d'aller faire une partie de golf et de profiter du lever de l'astre
solaire sur le green. Elle charge ses clubs dans son 4X4 et part.
Elle arrive au club de golf mais il pleut des grêlons comme des balles
de ping-pong !
Elle décide alors de rentrer chez elle regarder la météo à la TV, se
disant qu'en fonction des prévisions, elle reviendra ou se recouchera
douillettement aux cotés de son mari resté au lit. Elle arrive donc
chez elle, allume le téléviseur, et constate que le mauvais temps
devrait durer toute la journée.
Elle rejoint donc discrètement la chambre conjugale, et prise d'une
inspiration soudaine, décide de réveiller son mari de façon érotique !
Celui ci n'a toujours pas ouvert un oeil et dort profondément à
plat-ventre. Elle se déshabille sans bruit, se glisse sous les draps
et commence à caresser et masser son mari en partant des pieds et en
remontant. Celui ci, toujours immobile, émet un grognement de
satisfaction au fur et à mesure que
les caresses remontent. Elle termine couchée sur lui et d'une voix
suave elle lui sussurre à l'oreille :
- "Il pleut des cordes dehors, c'est infernal. On n'est pas bien là,
tous les deux ?" Et celui-ci lui répond d'une voix endormie :
- "Quand je pense que l'autre connasse est partie faire un golf
par un temps pareil !"
6h00, alors que son mari reste au lit plus longtemps. Ce matin-là, elle
décide d'aller faire une partie de golf et de profiter du lever de l'astre
solaire sur le green. Elle charge ses clubs dans son 4X4 et part.
Elle arrive au club de golf mais il pleut des grêlons comme des balles
de ping-pong !
Elle décide alors de rentrer chez elle regarder la météo à la TV, se
disant qu'en fonction des prévisions, elle reviendra ou se recouchera
douillettement aux cotés de son mari resté au lit. Elle arrive donc
chez elle, allume le téléviseur, et constate que le mauvais temps
devrait durer toute la journée.
Elle rejoint donc discrètement la chambre conjugale, et prise d'une
inspiration soudaine, décide de réveiller son mari de façon érotique !
Celui ci n'a toujours pas ouvert un oeil et dort profondément à
plat-ventre. Elle se déshabille sans bruit, se glisse sous les draps
et commence à caresser et masser son mari en partant des pieds et en
remontant. Celui ci, toujours immobile, émet un grognement de
satisfaction au fur et à mesure que
les caresses remontent. Elle termine couchée sur lui et d'une voix
suave elle lui sussurre à l'oreille :
- "Il pleut des cordes dehors, c'est infernal. On n'est pas bien là,
tous les deux ?" Et celui-ci lui répond d'une voix endormie :
- "Quand je pense que l'autre connasse est partie faire un golf
par un temps pareil !"
Un petit garçon de 10 ans, au hasard Gribouille, est en train de jouer avec le train électrique qu'il a reçu pour Noël :
" Tchou tchou... gare de Lille, gare des imbéciles ! Cinq minutes d'arrêt, gare de Lille descendent tous les débiles !"
En entendant son neveu parler comme cela, Tata Zaza le gronde et lui dit que la prochaine fois qu'il dit un gros mot, elle lui confisquera son train.
Et le petit garçon se remet à jouer :
" Tchou-tchou...gare Lyon, gare des couillons ! 2 minutes d'arrêt à la gare de Lyon pour faire descendre ceux qui sont cons !"
Cette fois-ci, Tata Zaza lui donne une baffe et lui confisque son train.
Mais, deux heures plus tard, elle décide de lui rendre pensant que la punition et la gifle lui aura servi de leçon.
Tout content, le garçonnet recommence à jouer avec son train :
" Tchou-tchou... gare Montparnasse, 5 minutes d'arrêt. Gare Montparnasse,
2 heures de retard à cause d'une connasse..."
" Tchou tchou... gare de Lille, gare des imbéciles ! Cinq minutes d'arrêt, gare de Lille descendent tous les débiles !"
En entendant son neveu parler comme cela, Tata Zaza le gronde et lui dit que la prochaine fois qu'il dit un gros mot, elle lui confisquera son train.
Et le petit garçon se remet à jouer :
" Tchou-tchou...gare Lyon, gare des couillons ! 2 minutes d'arrêt à la gare de Lyon pour faire descendre ceux qui sont cons !"
Cette fois-ci, Tata Zaza lui donne une baffe et lui confisque son train.
Mais, deux heures plus tard, elle décide de lui rendre pensant que la punition et la gifle lui aura servi de leçon.
Tout content, le garçonnet recommence à jouer avec son train :
" Tchou-tchou... gare Montparnasse, 5 minutes d'arrêt. Gare Montparnasse,
2 heures de retard à cause d'une connasse..."
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