Le jeu des 5 lettres

ça me rappelle Histoire de Claude Simon, où le narrateur
se remémore ses exploits d'enfant de chœur chantant :
en trou si beau adultère est béni en superposition de :
introibo ad altare Dei, le curé sourcillant de subodorer
une anomalie acoustique sans parvenir à la déterminer.
 
la règle au post n°1 ici --> #1 revisitée par le bienveillant modérateur de jeux permet d'utiliser les verbes à
l'infinitif et participes passé & présent et déconseille les autres conjugaisons (en fait c'est une interdiction !)


je reprends donc à partir du recours de loustic pour porter
⟶ secours
aux participants l'ayant enfreinte de bonne foi, palsambleu !
 
une règle, mal fichue ou bien roulée ne saurait être source de mésentente,
passons en direct un intéressant brin de poésie de l'ami mâtin Léo ferré.. ..

... ...
Ta dune, je la vois, je la sens qui m'ensable
Avec ce va-et-vient de ta mer qui s'en va
Qui s'en va et revient mieux que l'imaginable
Ta
source, tu le sais, ne s'imagine pas

Et tu fais de ma bouche un complice estuaire
Et tes baisers mouillés dérivant de ton cygne
Ne se retourneront jamais pour voir la Terre

Ta
source s'est perdue au fond de ma poitrine

Ta source... je l'ai bue
 
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