M
Le jeu des 5 lettres
- Créateur du sujet thierry37
- Date de début
Ce n'est pas une raison pour le laisser caner ainsi.
M
Membre supprimé 1060554
Invité
quand sert Nini aux gambilles
qu'enserrent des bas résilles
personne n'a plus le cran
d'fixer le match à l'écran
qu'enserrent des bas résilles
personne n'a plus le cran
d'fixer le match à l'écran
Avec son hautbois c'était impossible
de trancher les oreilles,
il avait perdu l'anche
de trancher les oreilles,
il avait perdu l'anche
M
Membre supprimé 1060554
Invité
Minotaures méchants, croyez-vous donc qu'à braire
Que mon train de plaisir arrive au terminus,
Vous me cassiez mes coups ? Au contraire, au contraire,
Je n'ai jamais autant sacrifié à Vénus !
Tenant à s'assurer si ces bruits qu'on colporte,
Ces potins alarmants sont ou sont pas fondés,
Ces dames nuit et jour font la queue à ma porte,
Poussées par le démon de la curiosité.
Et jamais, non jamais, soit dit sans arrogance,
Mon commerce charnel ne fut plus florissant.
Et vous, pauvres de vous, par voie de conséquence
Vous ne fûtes jamais plus cocus qu'à présent.
G.B.
Que mon train de plaisir arrive au terminus,
Vous me cassiez mes coups ? Au contraire, au contraire,
Je n'ai jamais autant sacrifié à Vénus !
Tenant à s'assurer si ces bruits qu'on colporte,
Ces potins alarmants sont ou sont pas fondés,
Ces dames nuit et jour font la queue à ma porte,
Poussées par le démon de la curiosité.
Et jamais, non jamais, soit dit sans arrogance,
Mon commerce charnel ne fut plus florissant.
Et vous, pauvres de vous, par voie de conséquence
Vous ne fûtes jamais plus cocus qu'à présent.
G.B.
...
Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses,
Jeté par l’ouragan dans l’éther sans oiseau,
Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses
N’auraient pas repêché la carcasse ivre d’eau ;
...
A. R.
Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses,
Jeté par l’ouragan dans l’éther sans oiseau,
Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses
N’auraient pas repêché la carcasse ivre d’eau ;
...
A. R.
M
Membre supprimé 1060554
Invité
Voici venir les temps où vibrant sur sa tige
Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ;
Les sons et les parfums tournent dans l'air du soir ;
Valse mélancolique et langoureux vertige !
C.B.
Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ;
Les sons et les parfums tournent dans l'air du soir ;
Valse mélancolique et langoureux vertige !
C.B.
La mer solitaire et vide
N’est plus qu’un désert aride
Où l’oeil cherche en vain l’esquif,
Et sur la grève plus sourde
La vague orageuse et lourde
N’a qu’un murmure plaintif.
A. de L. (G. B.)
N’est plus qu’un désert aride
Où l’oeil cherche en vain l’esquif,
Et sur la grève plus sourde
La vague orageuse et lourde
N’a qu’un murmure plaintif.
A. de L. (G. B.)
Rimbaud, Lamartine, Baudelaire… Wohw ! Je ne sais plus quelles routes emprunter pour rester au niveau !
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