Les petites bulles

Moi, dimanche dernier, j'ai fait de la méga bulle dans le TGV, mais de la bulle France d'en-haut, cette fois.
Je me suis retrouvé en 1ere classe, je ne sais plus trop comment ( histoires de tarifs 12/25 et tout )... Je savais que la 1ere était mieux que la 2de, mais là, dis donc... :p
Des fauteuils qu'on peut rester une heure assis en somnolant sans bouger tout le temps parce qu'on est jamais bien, de la lumière tamisée, le silence, une prise pour le boobook....

Et puis un couple de beaufs avec un clebs... :rateau:

La bulle éclate... :p
 
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Punaise là aussi ça va trop vite.. On voit pas le post de pierrou ou c'est le truc que j'ai fumé avant de monter dans le train ?

Bon a priori il parle de 1ère classe..

Moi j'essaierai bien L'Orient Express, un vieux fantasme.
 
Punaise là aussi ça va trop vite.. On voit pas le post de pierrou ou c'est le truc que j'ai fumé avant de monter dans le train ?

Bon a priori il parle de 1ère classe..

Moi j'essaierai bien L'Orient Express, un vieux fantasme.


(edit : ah ben je vois pas mon post non plus. Je dois voyager clandestinement :D )
 
Han ! C'est clair :eek:

On voit pas mon post ! :affraid:

Aaaah, voilà encore un exemple de la basse censure qui sévit dans les milieux corrompus de la SNCF !!! :mad: :rateau:

Le service public n'est plus ce qu'il était ! :rolleyes:

Je les aurais tous, tas de cloportes boursouflés d'ignorance grasse ( comme disait l'autre ), et ils paieront tous, tous ! à moi les rames de TGV pour moi tout seuls, à moi la casquette du contrôleur et la clé du wagon restaurant ! :D


Hum... Je m'égare (SNCF ) là... :rateau:
 
Longtemps, je me suis couché tard.

Une fois la séance de cinéma terminée, il y avait souvent le temps de prendre un verre en ville avant qu'une amie ne m'accompagne vers le centre du monde. Minuit était passé, la gare baignait dans une vacuité tranquille. Les quelques voyageurs épars ne semblaient partager que l'heure de départ de leur train, le dernier : militaires en permission, voyageurs sans habitudes équipés pour la longue expédition vers la capitale, stressés par la terra incognita de cette nuit à traverser, routards à sac à dos.

Le bruit de la gare s'évanouissait, ne restait que la sourde rythmique du train. Les lumières de la ville glissaient à leur tour dans le passé. Il était temps de profiter de ces heures improbables. Souvent, un compartiment pour moi tout seul (les trains corail n'étaient pas encore là) me permettait de laisser la lampe allumée. Plus rarement, je devais entrer dans un monde déjà clos où dormaient déjà d'autres voyageurs, il fallait laisser la nuit rester nuit.

Peu importait, en réalité. Malgré les apparences, avec ou sans lumière, avec ou sans papier, sans livre, tous ces voyages relevaient du même rite. Derrière les fenêtres, soulevant d'un doigt le rideau, je voyais revenir les mêmes sentinelles : les étangs quand la lune les barrait ; puis plus loin, une fois passée la gare où le train longtemps manoeuvrait, la ville au bord du fleuve, sa cathédrale haut levée. La torchère de la raffinerie me donnait le premier signal d'une arrivée proche tout en me laissant à chaque fois l'impression si forte qu'elle avait autre chose à me dire, quoi, je ne le saurais jamais, il y a longtemps qu'elle est éteinte mais elle est restée là, en moi, acquérant à travers la nuit et le train l'épaisseur de ces endroits qui comptent pour moi. Il ne restait plus à passer que les quatre grands réverbères avant de retrouver l'autre ville. Deux heures étaient passées plus.

Toute une année, semaine après semaine, tous les mardis ou presque, et parfois le vendredi, j'ai "perdu" mon temps dans ces trains de nuit qui pour moi n'en étaient pas vraiment : je mettais simplement longtemps à regagner mon lit. 30 ans plus tard, j'ai changé mais reste persuadé comme je l'étais déjà à l'époque : ces heures-là, c'était le contraire du temps perdu, c'était et c'est resté le temps retrouvé.
 
Les wagons en bardage d'inox brinquebalaient sur les rails, traversant un paysage de neige. Le froid inhabituel de cet hiver semblait faire se rapprocher les gens. Et, fantasme ou réalité, il me semble qu'une ambiance semblable, véritablement chaleureuse, règne ainsi dans le trans-sibérien ; ce train qui m'a toujours fait rêver.

Il n'y avait que des compartiments. Avec leurs photos "touristiques" en noir et blanc enchâssées dans un cadre métallique. Quatre par compartiment : placées aux deux extrêmités de chaque banquette, fixées sur la feuille de formica qui recouvre les parois.

A un moment je me suis retrouvé seul. J'ai réglé le chauffage tout en gardant mon duffle-coat, me laissant engourdir par la chaleur un peu sourde. Telle un cocon, la petite bulle prenait peu à peu sa forme douce.
Il m'est arrivé quelques fois de faire de longs trajets, comme des vols longs-courriers, mais aujourd'hui aucun d'entre eux ne me laisse ce goût de "voyage" comme surent le susciter ces retours hebdomadaires au domicile familial, secoué dans ce vieux matériel roulant d'un autre temps. Car c'est peut-être cela le voyage authentique : plus qu'une prise de distance aussi lointaine soit-elle, mais bien davantage l'expérience d'une dimension temporelle autre.

Du compartiment voisin j'entendais s'entrechoquer les cannettes de bière de permissionaires en train de se prendre une cuite.

Puis il est entré dans le compartiment, vif, fringuant, presque nerveux avec son survêtement porté comme un emblème de sportivité permanente. Il avait une façon de souffler entre ses dents, "Scheu!", censée montrer son tonus physique, de l'air du gars qui en a vu et sait réagir à toute éventualité. Ses cheveux rasés et son gros barda ne laissaient aucun doute sur sa condition de militaire.
Immédiatement il baissa le chauffage pour le mettre sur le niveau "Froid". "Scheu ! 'Fait chaud ici !". Langage télégraphique typique des casernes. Il saisit mon premier mot, voire ma seule première expression - je ne sais plus - pour me déclarer immédiatement : "Scheu ! Cherbourg ! Artillerie de Marine ! On a moins 18 sur nos affûts ! Scheu !". Une telle fierté dans ses mots ne pouvaient que révéler l'appelé qui avait rempilé. Ce qu'il était.

Moi il m'emmerdait avec sa démonstrativité martiale. Il avait crevé ma bulle, c'était déjà pas marrant, et maintenant voilà qu'il me la refroidissait.
Mais après un autre "Scheu !" il remonta légèrement le chauffage.
Entra un autre appelé qui proposa jus de fruits et gâteaux récupérés à "l'ordinaire". Le mot fut prononcé par mon artilleur, qui le ponctua d'un "Scheu !" suivi d'un nouveau coup de poignet sur la molette de réglage du chauffage. Aussitôt les deux "bidasses" se regardèrent d'un air entendu et échangèrent les rituels propos des conscrits : T'es d'la combien? T'es au combien ?. Le petit nerveux expliqua avec ses "Scheu !" son engagement, continuant sensiblement d'augmenter le chauffage. Alors son interlocuteur prit un air de grand sérieux pour lui répondre : J'crois qu'çà passe à un moment par la tête de tous les mecs de s'engager.... L'autre prit un air poseur, suivit d'un nouveau "Scheu !" qui lui fit mettre le chauffage désormais à fond. Dans le silence qui suivit cette profonde réflexion, on put entendre les rires éthyliques du compartiment voisin.

Mais j'arrivais à destination et il était temps : le compartiment était devenu une étuve !
 
Retour de Paris.
J'aime cette ville. Elle est si belle. A vélo, je la redécouvre. Je l'ai trop longtemps parcouru dans ses voies souterraines. Je viens de quitter les militants de l'éducation populaire qui me payaient pour leur dire comment leur monde s'écroule, et pourquoi il faut qu'ils se réinventent. Pas facile, comme exercice.
Du coup, le temps est à moi, quelques heures.
De Parmentier, je trace sur le faubourg Saint Denis. J'ai envie de fruits exotiques. De litchis. J'avale deux minis pains fourrés indiens et un bol de soupe. Je fume une cigarette épicée face au passage Brady. Que ce quartier a changé depuis que je l'ai quitté. Changé, mais pas transformé. Il est plus propre, les bobos viennent y faire leur course, mais les ateliers sont toujours là, je suis prêt à le parier. Je remonte sur ce drôle d'engin, le vélib. J'attrape la voie cycliste le long du canal, direction le cadran de la gare de Lyon.
J'ai encore faim. Mon salon de thé préféré du 12° est fermé. Je me rabats sur le traiteur russe du boulevard Diderot. Dégustation de vodka. J'achète un bout d'esturgeon fumé, du pain noir, des œufs de sandre, et une mignonnette de vodka ukrainienne pur grain.
Dans le train, ça me fera un pique-nique des plus agréables.

270kmh050801.jpg


Ma place est en face de celles occupées par deux étudiantes. 19-20 ans. Elles parlent de matières que j'ai enseignées longtemps. Elles n'ont pas l'air d'y comprendre grand chose. N'ont pas leur carte 12-25. Lorgnent la jeune contrôleuse avec morgue. Laquelle, du coup, ne leur fait pas de cadeau. Après tout, pour elle, les deux minettes qui crient au scandale pour dix euros ressemblent surtout à deux filles à papa qui rentrent d'avoir fait les courses à Paris, avec leurs sacs griffés étalés autour d'elles.
Ça leur apprendra.
L'esturgeon fumé fait plus que tenir ses promesses, c'est un délice. Et la vodka, même un peu chaude, est délectable.
Mais les merdeuses m'ennuient, à insulter la jeune contrôleuse, une fois qu'elle est partie. Je pars à la recherche d'un thé, que je parfumerais avec le fond de la vodka.
Le soleil se couche. Des traces lumineuses, à 270 km/h.



Qui est cette brune ? Ouf, j'ai cru qu'il s'agissait de cette cruche qui, un temps, squattait chez moi, quatrième convive, alibi d'une partie qui se jouait à trois, sans qu'elle ne le sache. Ce n'est pas elle, tant mieux. Aucune envie de voir ressurgir ce passé-là.
Il faut que j'écrive. Que je couche sur le papier ma discussion d'hier soir avec Pierre, ce drôle d'homme. Qui fuit les jeux d'appareils, alors qu'il faudrait que nous capitalisions cette victoire dans les idées. Etre arrivés à remettre au centre du projet de ce parti fatigué l'idée que le politique peut influer sur l'économie, ce n'était pas gagné au départ.
L'occasion est encore ratée de peser au long cours sur le sens des choses. Je ne lui en veut pas. Il nous faut creuser. Imprimer une marque, rendre visible ce drôle de think tank militant, cet objet hybride que nous construisons avec lenteur et détermination. Avec abnégation, aussi. Et, parfois, avec un profond découragement. Condamnés à la cyclothymie militante. Dépression-enthousiasme. Marquer des points, pour garder un espoir, un sens. Et s'assurer que toute cette énergie n'est pas, tout le temps, dépensée en vain.
Six minutes d'arrêt à Valence. Le temps de griller une autre cigarette épicée. Dans cette drôle de gare à ciel ouvert. Histoire d'accélérer encore un peu le temps.
 
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Réactions: jpmiss et CouleurSud
Pitain, t'étais à Paris et même pas tu me préviens ? :eek: :eek: :mad:
 
J'ai assisté à un pugilat de bulle de train l'autre fois en allant à Strasbourg : Le concept IDZEN.
Qui a inventé cette annerie?
Quand on reserve un billet, il y a plusieurs thèmes de wagon tgv : IDzap, IDzen, IDzinc.
Notre assistante avait réservé nos billets sur internet, si on prend une réservation directe, on choisit son IDtgv mais ça ne précise pas tout de suite à quoi cela correspond. Bref.

J'avais pas fait attention, avec mes 3 potes on se met dans notre carré et on commence à papoter tranquille (pas fort, tranquilou quoi, c'est le matin il est 7h30).
Un mec à côté nous dit gentiment mais avec insistance de fermer nos gueules ! On était dans un wagon IDzen.
Bref on papote moins fort histoire de la faire civilisé hein.
Le mec nous en remet une tartine en nous disant de se barrer dans un wagon IDzap ou d'aller au bar IDzinc.

Sur ce, une dame à côté de nous avec sa copine, qui papotait tranquille aussi commence a engueuler le type relou en lui disant qu'on est déjà bien gentils de la jouer profil bas mais qu'il nous laisse parler quand même, que son ton autoritaire était un peu déplacé. Que si il voulait être peinard il se prenne une 1ère classe.

Résultat mon pote Stef s'y met, le mec réenchérit, et ça part en cacahuètes. Ca presque fini en wagon IDfight.

J'avoues que nous n'étions pas au courant du concept, mais pour moi le train dans un silence de mort ça n'existe pas. On avait l'impression d'être en didacture. Chacun dans sa case et les moutons sont bien gardés.

Enfin la prochaine fois on fera gaffe à notre wagon.
:mouais::sleep:



 
sans rire ca s'appelle des niches ( de marché)
ici on peut dire que chaque chien-chien va se mettre dans la niche correspondant au style qu'il souhaite adopter pour son déplacement tarifé que certains appellent encore voyage.
Certains toutous veulent le calme et sont prêts à payer pour ca.
La seuneucefeu répond à ca

petite note pour l'écrieur
le passage Brady ( ou l'autre partie , la ruelle en face de l'autre coté du Sebasto) ne sont plus ce qu'ils étaient*
la communauté indo pakistano-srilankaise s'est déployée ailleurs ( Stalingrad , le haut du 18 è par exemple)
Des rues entieres d'épiciers, restaus ( depuis luxe à cantine pas chere) , bazars à sari, videoclubs , temples divers
la fête "éthnique" locale , Ganesh ( vers fin Aout début Septembre) est d'ailleurs passée de confidentielle à evenement municipal
( et c'est tant mieux)

* et en redeployment strictement local , deplacement vers le haut rue Faubourg St denis ( partie vers Gare de l'est , succession de cantines indiennes pakistanaises)
 
J'ai assisté à un pugilat de bulle de train l'autre fois en allant à Strasbourg : Le concept IDZEN.

Enfin la prochaine fois on fera gaffe à notre wagon.
:mouais::sleep:




Mais nan justement mon Ned :love:

Regarde :

Le propriétaire du billet IDtêtedecon est dans son wagon, mais si tu as un billet IDtartedanslagueule, ben t'es aussi dans le bon wagon.

IDtruk c'est vachement bien, un peu comme les sites de rencontres, ils font correspondre les gens en fonction de leur profil. :D
 
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Réactions: NED
Presque tous Hors sujet ? :siffle:

Toujours vérifier au moment du choix la catégorie de iTGV désiré et demander un changement au contrôleur quand la place ne correspond pas au style choisi ce qui arrive régulièrement à l'impression du billet.

Je trouve ce type de partage de rames assez pratique (en plus des prix très intéressants), la seule chose que je regrette et tu sembles en avoir été le participant malheureux: le manque d'informations en gare et en train sur ce que chacun doit respecter suivant les rames.
Je suis un adepte de l'IDzen quand je n'ai pas envie de me tartiner les blablatérations téléphoniques de la pouffette de service ou de son homologue masculin (en général à gourmette). IDzen permet de dormir tranquille, de ne pas subir les assauts des enfants en bas âge… tout est histoire de décibels à supporter ;)
Existe en version iDnight aussi, avec concert ou soirée. Mais c'est plus un train de nuit qu'autre chose :D
En groupe, préférez IDzap…

J'ai testé l'inscription sur le truk de rencontres moi qui ait toujours fantasmé sur une aventure sur rail, me voilà tout déçu: l'inscription est très modérée :siffle:

Pour encore moins cher ou si vous annulez un voyage… les trocs de billets :zen: Attention, il me semble que les idTGV sont hors liste ;)
 


J'ai testé l'inscription sur le truk de rencontres moi qui ait toujours fantasmé sur une aventure sur rail, me voilà tout déçu: l'inscription est très modérée :siffle:
just'ment une question

Pour encore moins cher ou si vous annulez un voyage… les trocs de billets :zen: Attention, il me semble que les idTGV sont hors liste ;)
Ca marche bien la drague sur les sites de trocs prem's?
:D

( mefie toi si tu as une offre d'echange impliquant Vesoul venant de B le biker ou de B a capella ou de B le gamer :siffle: :D)
 
Par contre les nouveaux TGV sont vraiment plus confortables, là je dis bravo. Auparavant en 2ème classe si tu n'était pas dans un carré, tu étais coincé comme une sardine, je sais pas comment des gens arrivent à dormir dans si peu de place.

Le bercement du train, ça génère aussi une bonne petite bulle pour se faire des beaux rèves.

tadzio.jpg


:sleep:
 
Mouais... encore un coup je ne suis pas d'accord avec le principe.

Plutôt que de laissez et d'encourager la cohabitation, on créé des catégories pour parquer les gens selon leur envie.

A quand selon leur conviction politique, religieuse ? IDBlack, IDJuif, IDCatho ??

Un vieux relent de pré apartheid
 
Attention avant de lacher les grands mots
jusqu'à present le choix est libre ( contrairement aux politiques segragationistes)

et la seuceneucefeu joue sur le fait qu'un voyage en train n'est justement pas percu -vecu par la majorité comme un deplacement " transport en commun"( au contraire c'est souvent cet aspect qui est critiqué) , mais bien un acte personnel, un "voyage individuel"
 
Attention avant de lacher les grands mots
jusqu'à present le choix est libre ( contrairement aux politiques segragationistes)

et la seuceneucefeu joue sur le fait qu'un voyage en train n'est justement pas percu -vecu par la majorité comme un deplacement " transport en commun"( au contraire c'est souvent cet aspect qui est critiqué) , mais bien un acte personnel, un "voyage individuel"

Je ne connais pas le concept, mais dans ces TGV IDbidule a-t-on le choix d'être dans un wagon ou un compartiment IDriendutout ou IDpasdID?

Mais globalement on a le choix de ne pas prendre ces trains c'est sûr, ou de rester chez soi, mais il fut un temps où il était naturel de ranger les gens selon certaines catégories, celles dont parle Bassman. Evidemment, là c'est gentillet, mais le parallèle est fait, et peu s'offusquent de cette tendance.

Idem pour le fichage, qui fait encore dresser les cheveux du plus grand nombre... ceux-là même qui possèdent une fiche avec moult détails concernant leur vie privée sur Facebook. Mais, ils ont le choix évidemment... Dernier exemple, les applications qui apparaissent petit à petit sur les mobiles, et qui permettent de retrouver ses connaissances grâce au GPS. Effarant au demeurant, pourtant, on y viendra.

Tout ça pour dire que l'on saute pieds joints sur ce que l'on abhorrait, il y a quelques années, ou quelques dizaines d'années, tout simplement parce que c'est bien vendu, bien fichu, et que l'on va quand même pas s'emmerder à se compliquer la vie hein...