odré a dit:j'édite, c'est pratique
comment faîtes vous les ratures d'ailleurs moi j'y arrive pas
voir même
edit : Quand roberto se laisse saler, il en oublie d’aplatir des calques qui alors se perdent.
odré a dit:j'édite, c'est pratique
comment faîtes vous les ratures d'ailleurs moi j'y arrive pas
marrant, ca : schwepps qui fait du Co*akanako a dit:ah non ! j'ai gouté, bin c'est trop trop trop sucré ! beuark
par contre si vous voulez tester un coca sympa : schweps en a un aussi qui est très bon
Ici, pas de femmes poupées. Pas de trous à boucher
monsieur a besoin de finesse, tendresse et doigté ?!
As tu bien lu
le message initial ?
:o
:siffle:
Minis thé ?
Le thé se fait avec de l'eau brûlante. Elle doit être tout juste frémissante.
Les feuilles de thé sont déposées. Des mois dans leur sécheresse, elles sont restées recroquevillées, deshydratées, craquantes et ridées.
Puis l'eau est versée dessus. Certaines feuilles refusent son contact et essayent de s'échapper à sa surface. Vite elles sont rattrappées et suivent d'autres qui ont sombré bien avant, emportées dans les tourbillons brûlants.
Les premières volutes brunes apparaissent.
L'eau pénètre les entrelacs des feuilles. Imbibées elles gonflent et s'ouvrent, offrent leur jus à cette eau dévorante. D'insignifiantes brindilles ternes, elles deviennent bras, mains, qui s'entrelacent, grandissent, s'épanchent, luisantes. C'est l'eau maintenant qui ne peut plus leur échapper, toute entière engloutie dans leur suc entêtant.
Le thé bientôt est prêt, mais bien trop brûlant encore pour être bu. Il faut alors le laisser et se laisser errer, entourés des parfums qu'il nous offrira.
Peut-être quand nous serons revenus il sera froid. Tout sera à recommencer alors.
Hmmm, c'est donc ça cette effluve enivrante. Unizu a rouvert son antre..