Proverbes et expressions en tout genre

odré a dit:
slogan vu sur un camion de ramonage :

"La fumisterie c'est du sérieux"
Ça me rappelle cette camionnette que je vois parfois circuler dans la région, avec sur chacun de ses flancs en grosses lettres bien voyantes :

[size=+1]TRAVAUX DE MACONNERIE[/size]​

D'où l'intérêt de mettre des cédilles là il en faut... (et d'accentuer les lettres capitales !)
 
PATOCHMAN a dit:
D'un pote bourré : "Ta femme te trompe avec un lapin!" :confused:

'tain ! sont terribles, les lapins corses ! :D :D :D
 
Vous devriez donner des points de réputation à d'autres avant d'en offrir de nouveau à guytantakul.



:mad: :mad: :mad:
 
joubichou a dit:
A nos femmes,a nos chevaux, et a ceux qui les montent!(je ne sais plus de qui c'est):siffle:
C'est la devise des cavaliers de Saumur, son origine est confuse et peut-être pas authentique.
M. Jacques Chirac l'aurait reprise lors d'un toast devant Silvio Berlusconi à l'occasion de la visite en France de ce dernier, en novembre 2001.

Plus de citations de Jacques Chirac ici.
On épinglera notamment :

J'apprécie plus le pain, le pâté, le saucisson, que les limitations de vitesse. (L'Auto-Journal, août 77)
Les promesses n'engagent que ceux qui les reçoivent. (Le Monde, février 88)
La France est une puissance musulmane et une société multiraciale. (Le Monde, janvier 85)
Personne ne pense que je réfléchis. (L'Express, juin 94)
On peut rester actif après une bonne bière. (Attribuée)
S'opposer, c'est comme faire du vélo : quand on ne pédale plus, on tombe. (Le Parisien, mai 2000)
Bien sûr que je suis de gauche ! Je mange de la choucroute et je bois de la bière. (Libération, février 95)
Les prévisions sont difficiles, surtout lorsqu'elles concernent l'avenir. (Le Figaro, février 93)
Etc, etc.

Bonne soirée !
Ph. :zen: :cool: :cool: :cool:
 
Philippe a dit:
Plus de citations de Jacques Chirac ici.
On épinglera notamment :

J'apprécie plus le pain, le pâté, le saucisson, que les limitations de vitesse. (L'Auto-Journal, août 77)
Les promesses n'engagent que ceux qui les reçoivent. (Le Monde, février 88)
La France est une puissance musulmane et une société multiraciale. (Le Monde, janvier 85)
Personne ne pense que je réfléchis. (L'Express, juin 94)
On peut rester actif après une bonne bière. (Attribuée)
S'opposer, c'est comme faire du vélo : quand on ne pédale plus, on tombe. (Le Parisien, mai 2000)
Bien sûr que je suis de gauche ! Je mange de la choucroute et je bois de la bière. (Libération, février 95)
Les prévisions sont difficiles, surtout lorsqu'elles concernent l'avenir. (Le Figaro, février 93)
Etc, etc.

J'ai jeté un oeil... C'est plutôt affligeant. Ce qui est une constante chez les politiques, c'est leur vulgarité dès qu'ils relâchent un peu leur rôle de représentation. Comme si ils décompensaient leur retenue et leur langage "châtié" par les mots "crus".
Il y a ainsi, dans les années 30, le célèbre : Quand je pète c'est Mandel qui pue., de Daladier, je crois (plus très sûr... si qqn connait mieux ? :confused: )
 
Philippe a dit:
Les promesses n'engagent que ceux qui les reçoivent. (Le Monde, février 88)

Celle là est bien plus ancienne que ça, elle à été sortie (devant témoins) pour la première fois en 1976, je crois, juste après les municipales où il avait été réélu maire de Paris, après que Giscard l'ait viré de Matignon, à un haut fonctionnaire de la ville de Paris, qui s'étonnait qu'il fasse le contraire de ce sur quoi il avait été élu maire : "Les promesses électorales n'engagent que ceux qui les reçoives". :zen:
 
Pascal 77 a dit:
Celle là [Les promesses n'engagent que ceux qui les reçoivent] est bien plus ancienne que ça, elle à été sortie (devant témoins) pour la première fois en 1976, je crois, juste après les municipales où il avait été réélu maire de Paris, après que Giscard l'ait viré de Matignon, à un haut fonctionnaire de la ville de Paris, qui s'étonnait qu'il fasse le contraire de ce sur quoi il avait été élu maire : "Les promesses électorales n'engagent que ceux qui les reçoives". :zen:
Oui.
Ok Pascal 77 et merci pour cette précision :zen:.
Finalement je me suis mal exprimé en présentant ces "citations" de Jacques Chirac. J'aurais dû préciser qu'il s'agissait là, par le lien que j'ai donné, d'une compilation de citations de Jacques Chirac réalisée par...
Je reviens donc sur la réponse de jul29 :

jul29 a dit:
J'ai jeté un oeil... C'est plutôt affligeant. Ce qui est une constante chez les politiques, c'est leur vulgarité dès qu'ils relâchent un peu leur rôle de représentation. Comme si ils décompensaient leur retenue et leur langage "châtié" par les mots "crus".
Car une certaine forme de "méfiance" s'impose, ou tout au moins une vérification minimale (que je n'ai pas effectuée, mea culpa !). Ces citations n'ont donc pas été vérifiées, - ou pas bien vérifiées ! Il y a de plus un effet d'accumulation qui joue et tend à rendre cet amoncellement de banalités d'une "affligeante" vulgarité ; c'est en tout cas comme ça, jul29, que tu les as perçues !
D'autre part toutes ces citations sont décontextualisées, et l'on sait que toute citation privée de son contexte peut prendre un sens particulier, tronqué ou déformé. C'est vrai pour l'image :
Voyez d'abord ceci.
Bof. Intéressant, sans plus... Cette image pourrait être titrée "Une belle victoire" (par exemple).
Maintenant, ceci.
Titre de cette image : "Méfiez-vous des morceaux choisis" !
Édifiant n'est-ce pas ? Cette image de Gilles Perrin, recadrée, est extraite d'un ouvrage de Claude Duneton intitulé Anti-manuel de français ! Car ce qui est vrai pour l'image l'est également pour le texte ; citons de nouveau Duneton :
"UN RYTHME ENDIABLÉ ! ÉTONNANTE PERFORMANCE DES ACTEURS"... Alléchant ! Surtout si on ne dit pas ce qu'il y avait autour : "Plaisanteries niaises et gags ratés s'enchaînent à un rythme endiablé. Étonnante performance des acteurs, qui ont le courage de jouer chaque soir jusqu'au bout cette comédie indigeste..."
Conclusion : en matière de citation... gardons-nous de toute conclusion hâtive :zen: !
Ph.
 
Conclusion : en matière de citation... gardons-nous de toute conclusion hâtive

Je ne peux que m'incliner devant tant de sagesse, Philippe :zen:. C'est bien évident.

Mon propos sur le "relâchement" des politiques s'expliquent au-delà des citations, je précise. Je fréquente des politiques (des élus comme : maires, conseillers généraux, régionaux et de temps en temps des députés ou sénateurs), et j'ai pu constater çà fréquemment.
Mais bon je dévie, là...