Règles px InDesign

...bon ben puisqu'apparemment je n'y arrive pas (jamais été fort en algèbre) alors dis-moi s'il te plaît la valeur à mettre dans la case Vertical/Horizonal ->Personalisés dans Préférences > Unités et incréments > Unités de la règle pour que le pt soit = au px
A priori c'est 72...

...au fait j’ai l’impression qu’il y a grande confusion entre pixel et point. A lire AbracadabraPDF et en faisant la conversion d’1pt en 1px sous Illustrator les valeurs sont les mêmes par contre en faisant la même conversion sous Photoshop 1px ne correspond pas à 1pt et d’autres sites aussi (voir plus haut) disent aussi la même chose qu’1 px n’est pas égale à 1pt... faudrait juste remettre les pendules à l’heure...
C'est parce qu'il y a point et point... Le point PostScript, le point pica, le point Didot, le point de trame, etc.
Et en plus le point est aussi trop souvent une (mauvaise) traduction de "pixel" depuis l'anglais américain.

Tout ceci devient un joyeux fourre-tout dans lequel il est difficile de mettre de l'ordre, voir : http://fr.wikipedia.org/wiki/Point_(unité)

En tant qu'A.C.E. je peux t'affirmer que les problèmes de traduction sont nombreux dans les logiciels Adobe, et qu'en plus ils n'utilisent pas tous les mêmes points...

Donc les pendules sont bien à l'heure, c'est juste qu'elles ne sont pas toutes situées dans le même fuseau horaire !

:zen:
 
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Réactions: Goliath
... je commence vaguement à y voir plus clair... très vaguement :rolleyes:

...ben non au fait j'ai compris...en tout cas en choisissant le pt sans le personnaliser ça tombe pilpoil avec le px donc voilà, t'avais raison depuis le début, c'est clair en étant ACE :D ... faut dire qu'Illustrator et Photoshop avec leurs conversions ne m'ont pas trop aidé (pour ne pas dire pas du tout) a comprendre les "mécanisme" pt <-> px !

inch'allah

:zen: ;)
 
...un grand merci au papa de Cyril pour les explications suivantes :up: ;)


Prenons l'exemple avec 10 millimètres dans x-press ..

X-press me donne : 28,35 points pour 10 mm

10 mm divisé par 28,35 pt = 0,3527

donc je sais que j'ai "0,3527mm" pour 1 point

-----------------------------------------

(1 pouce = 25,4mm)

72 dpi divisé par 25,4 = 2,83 pixels au millimètre
donc 28,3 pixels pour 10 millimètres


-----------------------------------------

10 millimètres divisé par 28,3 pixels = "0,3533mm" pour 1 point


------------------------------------------

En Math 0,3533 et 0,3727 c'est la même chose puisque nous somme dans l'exemple ci dessus
au 10000ème de millimètres

-----------------------------------------



Conclusion à 72 dpi le point= le pixel (à 72dpi uniquement)
 
Il est aussi "tordu" que toi le papa de Cyril : quand on te dit qu'il y a 72 points (PostScript) par pouce, il n'y a pas besoin de faire aucun calcul pour comprendre que c'est la même chose que 72 pixels par pouce et que dans ce cas il n'y a que le nom de l'unité de mesure qui change...

:rolleyes:


PS : si le point PostScript est équivalent à la résolution écran conventionnelle ce n'est pas un hasard !
 
...tu m'excuseras si ce genre d'exercice m'aide à y voir plus clair... :hein:
 
comme méthode de calcul pour le pixel, il y a plus simple:


la résolution de référence de 72 dpi donne 1 pixel de 1" / 72 (un pouce ou 25,4 divisé par 72) soit 0.3527 mm.

0.3527 correspond, aussi, à un point pica, une unité typographique anglo-saxonne...

;)

.
 
Je confirme de façon empirique avec InDesign CS4.

J'ai une image EPS qui fait 1024x768 px. J'ai créé un fichier InDesign dans lequel je vais mettre cette image. D'office à la création du fichier InDesign, dans la première boite de dialogue, on me propose 1024x768 px avec la correspondance en mm. Donc je valide. J'ai bloqué tout comme Goliath car la règle est en mm. J'ai pensé au point moi aussi mais est-ce que ça correspond bien au pixel ?

La réponse je l'ai eu lorsque j'ai créé un bloc rectangulaire pour importer mon image. J'ai sélectionné "point" comme vous l'avez suggéré via les préférences et d'office j'ai retrouvé 1024 x 768 non pas en pixels mais en point. Hé hé hé hé !!! C'est tout bon.
 
Tu n'as pas bien écouté pendant les cours : pour une image matricielle le choix de l'EPS est un des pires que l'on puisse faire…
;)
:)

En tiff, bien sûr ! mais après quelques recherches, j'avais compris que les imprimeurs (bon là c'est pas le cas, c'est pour les écrans) préféraient l'EPS ...
 
Citation extraite du site de B. Milic :

Quid de l’EPS ?
- code inflexible (PostScript) et incompréhensible pour le commun des mortels
- vieux
- plus lourd qu’un TIFF
- impossible de modifier la colorimétrie (profil ICC) du fichier
- code illisible par les logiciels de mise en page “antiques” d’où la nécessité de la prévisualisation en basse résolution (36 ppp, RVB, 256 couleurs) dans l’en-tête du fichier
- aplati, donc pas de transparence
- donc totalement inutile et inefficace en PAO depuis InDesign 2.0 (2002), sauf dans certains rares cas vus lors de formations de niveau “expert”.



Citation extraite d'un post de Claude72 :

- quand elles sont non-compressées les EPS-Photoshop sont toujours plus lourdes que des TIFF ou des PSD et sur les systèmes d'il y a 10 ans cet accroissement de poids faisait perdre du temps à toutes les étapes du travail, depuis la copie du fichier sur le disque-dur jusqu'au rippage,

- lors d'une impression en séparation le fichier de flashage est environ 5 fois plus lourd avec des images EPS-Photoshop qu'avec des images TIFF : 4 fois car les images EPS sont envoyées entières à chaque séparation, c'est à dire avec leurs 4 couches (je passe sur les détails techniques qui provoquent ce problème) alors que les images TIFF sont envoyées couche par couche, plus les 25% moyens de poids supplémentaire des EPS-Photoshop par rapport aux TIFF, d'où encore beaucoup de temps perdu au flashage, autant lors de la création du fichier d'impression que de son transfert vers le RIP que pour la rastérization.

:up:
 
Citation extraite du site de B. Milic :

Quid de l’EPS ?
- code inflexible (PostScript) et incompréhensible pour le commun des mortels
- vieux
- plus lourd qu’un TIFF
- impossible de modifier la colorimétrie (profil ICC) du fichier
- code illisible par les logiciels de mise en page “antiques” d’où la nécessité de la prévisualisation en basse résolution (36 ppp, RVB, 256 couleurs) dans l’en-tête du fichier
- aplati, donc pas de transparence
- donc totalement inutile et inefficace en PAO depuis InDesign 2.0 (2002), sauf dans certains rares cas vus lors de formations de niveau “expert”.



Citation extraite d'un post de Claude72 :

- quand elles sont non-compressées les EPS-Photoshop sont toujours plus lourdes que des TIFF ou des PSD et sur les systèmes d'il y a 10 ans cet accroissement de poids faisait perdre du temps à toutes les étapes du travail, depuis la copie du fichier sur le disque-dur jusqu'au rippage,

- lors d'une impression en séparation le fichier de flashage est environ 5 fois plus lourd avec des images EPS-Photoshop qu'avec des images TIFF : 4 fois car les images EPS sont envoyées entières à chaque séparation, c'est à dire avec leurs 4 couches (je passe sur les détails techniques qui provoquent ce problème) alors que les images TIFF sont envoyées couche par couche, plus les 25% moyens de poids supplémentaire des EPS-Photoshop par rapport aux TIFF, d'où encore beaucoup de temps perdu au flashage, autant lors de la création du fichier d'impression que de son transfert vers le RIP que pour la rastérization.

:up:
Merci MagicPDF,
Tes citations précisent bien EPS-Photoshop. EPS est toujours d'actualité pour les images vectorielles. Ça renchérit ce que j'avais vu en cours. On sort du sujet (pixels et millimètres sur InDesign de ces posts), on va se faire gronder. Encore merci.
 
Tes citations précisent bien EPS-Photoshop.
En ce qui me concerne, oui.



EPS est toujours d'actualité pour les images vectorielles.
Beaucoup préfèrent utiliser le .AI...

... mais, perso, vu qu'un .AI importable dans InDesign est en fait un fichier bi-format dans lequel seule la partie PDF est utilisée, je n'en vois pas bien l'intérêt et j'ai tendance à considérer que l'AI n'est pas un bon format d'import... et qu'il vaudrait mieux utiliser le PDF directement...

... mais comme je n'aime pas le PDF comme format de sortie Illustrator, qu'en plus je le trouve pas pratique (notamment pour des questions de cadrage), et que je travaillais encore avec XPress 7 qui ne reconnaît pas les .AI (et qui gère assez mal les PDF), je préfèrais continuer à utiliser les EPS-Illustrator.

Ceci dit, depuis la version 8 XPress est capable d'importer des .AI, mais la seule fois où j'ai essayé ça avait planté mon RIP... peut-être que la version 9 fonctionne mieux ?
 
Dernière édition:
peut-être que la version 9 fonctionne mieux ?
J'ai, depuis peu, Quark Xpress 9 et je confirme qu'il lit les fichier .AI qui sont pour lui du PDF.

j'ai essayé ça avait planté mon RIP...
Je vais continuer à utiliser l'EPS pour le vectoriel. Je ne souhaite pas planter le RIP de mon imprimeur ...

Merci pour toutes ces infos :)
 
J'ai, depuis peu, Quark Xpress 9 et je confirme qu'il lit les fichier .AI qui sont pour lui du PDF.
Oui, normal : un fichier .AI pur est en fait lisible UNIQUEMENT par Illustrator... donc, quand on enregistre en .AI, avec la case "Compatible PDF" cochée (elle est cochée par défaut) dans la boîte de dialogue d'enregistrement, Illustrator crée un fichier bi-composants qui contient les données AI plus un PDF (1.4 ou 1.5 selon les versions d'Illustrator).

Et comme XPress (comme InDesign) ne sait pas lire les données AI, alors il utilise la composante PDF, et voit le .AI comme un PDF.


Et sur ce point, XPress 9 fonctionne comme XPress 8, qui a été la 1re version à accepter l'import des .AI.




Je vais continuer à utiliser l'EPS pour le vectoriel. Je ne souhaite pas planter le RIP de mon imprimeur ...
J'espère pour lui qu'il a un RIP plus performant que celui que j'avais !!!
Moi c'était un vieux machin complètement obsolète et dépassé, qui datait grosso-modo de l'époque de XPress 4, d'InDesign 1 et du PDF 1.3 !!! donc, pas étonnant qu'il plante avec des logiciels modernes !!!


Ceci dit, un .EPS-Illustrator ou .AI ne sont pas si différents : tous les deux sont des fichiers multi-composantes, avec :
• une composante de données purement Illustrator, qui ne peut être lue QUE par Illustrator...
...et qui ne sert donc strictement à rien pour l'import dans XPress et InDesign,

• plus une composante "universelle" (PostScript pour l'EPS, et PDF pour l'AI) qui permet l'utilisation avec des logiciels autres que Illustrator, comme l'import dans XPress et InDesign, l'ouverture dans Photoshop, la distillation dans Acrobat Distiller pour l'EPS et l'ouverture dans Acrobat Pro/Reader pour le .AI...
... mais qui ne sert strictement à rien pour Illustrator !

• plus une prévisualisation matricielle pour l'EPS, car XPress/InDesign ne savent pas non plus ouvrir les données PostScript...

... donc, en fait, que ce soit du .AI ou de l'EPS le fichier sorti d'Illustrator prévu pour être importé dans XPress et InDesign contient toujours un paquet de merdier inutile qui augmente son poids pour rien :(.


Et donc, dans l'absolu, la seule vraie solution, c'est d'enregistrer depuis Illustrator en PDF sans l'option "Conserver les fonctions d'édition..." : on a alors un vrai PDF, tout seul, et c'est le seul format de fichier sorti d'Illustrator qui peut être importé-dans et/ou utilisé-par tous les logiciels de PAO et qui ne traîne pas des composantes inutiles et encombrantes.
 
Je me dis, Adobe a mis les valeurs en px et en pt sous Illustrator et sous Photoshop pourquoi ne pas les avoir mises aussi sous InDesign?

Adobe c'est le nom de la société mais ça regroupe différentes équipes qui bossent sur différents logiciels. Quelquefois ils se piquent des idées mais pas tout le temps. :D

---------- Nouveau message ajouté à 12h57 ---------- Le message précédent a été envoyé à 12h51 ----------

Citation extraite du site de B. Milic :

Quid de l’EPS ?
- code inflexible (PostScript) et incompréhensible pour le commun des mortels
- vieux
- plus lourd qu’un TIFF
- impossible de modifier la colorimétrie (profil ICC) du fichier
- code illisible par les logiciels de mise en page “antiques” d’où la nécessité de la prévisualisation en basse résolution (36 ppp, RVB, 256 couleurs) dans l’en-tête du fichier
- aplati, donc pas de transparence
- donc totalement inutile et inefficace en PAO depuis InDesign 2.0 (2002), sauf dans certains rares cas vus lors de formations de niveau “expert”.



Citation extraite d'un post de Claude72 :

- quand elles sont non-compressées les EPS-Photoshop sont toujours plus lourdes que des TIFF ou des PSD et sur les systèmes d'il y a 10 ans cet accroissement de poids faisait perdre du temps à toutes les étapes du travail, depuis la copie du fichier sur le disque-dur jusqu'au rippage,

- lors d'une impression en séparation le fichier de flashage est environ 5 fois plus lourd avec des images EPS-Photoshop qu'avec des images TIFF : 4 fois car les images EPS sont envoyées entières à chaque séparation, c'est à dire avec leurs 4 couches (je passe sur les détails techniques qui provoquent ce problème) alors que les images TIFF sont envoyées couche par couche, plus les 25% moyens de poids supplémentaire des EPS-Photoshop par rapport aux TIFF, d'où encore beaucoup de temps perdu au flashage, autant lors de la création du fichier d'impression que de son transfert vers le RIP que pour la rastérization.

:up:

Le seul intérêt de l'eps-photoshop c'est de pouvoir combiner une compression jpeg avec un masque vectoriel de détourage. Moi, j'en fait plus mais j'en reçoit encore pas mal que je convertit en Tiff au fur-et-à-mesure.
 
Le seul intérêt de l'eps-photoshop c'est de pouvoir combiner une compression jpeg avec un masque vectoriel de détourage.
Pas du tout.
Le format TIFF permet aussi la compression JPEG (depuis le TIFF-6 en 1998) et permet aussi les masques vectoriels (depuis toujours).

Le seul intérêt du Photoshop-EPS c'est la gestion des tons directs et des multicouches dans certains cas particuliers.
;)
 
Le seul intérêt de l'eps-photoshop c'est de pouvoir combiner une compression jpeg avec un masque vectoriel de détourage.
Autrement dit, son seul intérêt était de faire chier les imprimeurs, puisque ce genre de combinaison (JPEG + masque) ne sert que pour les anciennes versions de XPress, ces mêmes anciennes versions qui étaient incapable d'imprimer les images EPS-Photoshop-JPEG en séparation... donc, au flashage, toutes ces images sortaient en niveaux de gris sur le film du noir... :mad::mad::mad:
 
Pas du tout.
Le format TIFF permet aussi la compression JPEG (depuis le TIFF-6 en 1998) et permet aussi les masques vectoriels (depuis toujours).

Le seul intérêt du Photoshop-EPS c'est la gestion des tons directs et des multicouches dans certains cas particuliers.
;)



Hein? Du tiff compressé en jpeg ? Ben si c'est vrai l'eps a vraiment plus de raison d'être !

---------- Nouveau message ajouté à 20h21 ---------- Le message précédent a été envoyé à 20h18 ----------

Autrement dit, son seul intérêt était de faire chier les imprimeurs

Ah oui j'avais oublié cet intérêt là... Pas mal non plus