Average Joe.
Lorsqu'un
Fusion Drive solidarise 2 disques hétérogènes (un SSD et un HDD) dans un
Groupe de Volumes : CoreStorage unique, exportant un
Volume Logique lui aussi unique, alors la partition majeure du SSD
disk0 = la
/dev/disk0s2 (moins 10% réservés à une mémoire tampon dédiée à des écritures provisoires rapides avant transfert à leur destination-disque) est consacrée
exclusivement aux données, avant tout celles de l'OS lors de son installation [j'exclus la petite partition
/dev/disk0s1 de 209 Mo qui est l'
EFI System Partition servant au boot de l'
EFI]. Ce privilège est logique : qu'un maximum d'espace-disque de type SSD soit utilisable pour les écritures OS/Utilisateur.
Le HDD =
disk1 (si tu n'as pas connecté d'autre disque externe qui a pris la précédence sur lui en terme de numérotation dans la table des
devices) a, pour sa part, une situation de "queue de peloton" : outre une
EFI System Partition de 209 Mo encore (
/dev/disk1s1), la partition majeure :
/dev/disk1s2 est celle qui est captive du
Fusion Drive à l'instar de la
/dev/disk0s2 du SSD et sert d'entrepôt de données sans accès rapide. La «
Recovery HD» de 650 Mo s'installe alors toujours
hors CoreStorage, en
/dev/disk1s3 sur le HDD
exclusivement. Et, au cas où il y aurait création d'une partition dédiée à
Windows par l'«
Assistant BootCamp», c'est toujours
exclusivement aussi sur le HDD qu'elle est créée, en
/dev/disk1s4 [il est aisé de conclure qu'un «
Fusion Drive» est incompatible avec un Système
Windows rapide, du fait que
Windows sera toujours installé sur le HDD].