RIP Steve Jobs

  • Créateur du sujet Créateur du sujet Ernest
  • Date de début Date de début
Statut
Ce sujet est fermé.
647417RIPSTEVE.jpg

Mon vieux Mac et moi même lui souhaitons de rester en paix .. :zen:
 
Bon, la petite note d'humour du livreur UPS. Il me livre mon appleTV à l'instant :

"- Bonjour, bah vous avez de la chance d'être livré, c'est les derniers, ils vont plus en faire le patron de makintock est mort, je viens de l'entendre à la radio !! ..

- Ah ? Tiens........... oui oui merci, c'est une chance.. bonne journée !" :rolleyes:



Sinon je reste optimiste pour l'avenir, il faut il faut... ;)

Thanks Steve..
 
En fait quand j'utilise des produits apple, cela me fait plaisir, j'ai du plaisir, c'est tout bête mais tellement rare, et j'adore ça, comme par exemple colin chapman avec sa lotus seven, du plaisir, donc merci monsieur Job pour cela, le plaisir vous survivra :)
 
Un copain vient de me faire remarqué que iPhone 4S faisait iPhone for Steve. :mouais:

scaled.php
 
Dernière édition:
Quand Edison est mort, l'Amérique a éteint ses ampoules, éteignez votre mac :zen:
 
Sans lui, je ne serais jamais devenu (heureux) graphiste...

Nous sommes quelques millions dans ce cas, à travers le monde. Et c'est pourquoi aujourd'hui nous ressentons une sorte de "vide étrange". Un ressenti plus important que j'imaginais, un sentiment mélangé de grande tristesse pour l'homme et ses proches -car sa fin a probablement été terriblement douloureuse, et de respect pour celui qui a fait que ma vie professionnelle est différente de ce qu'elle serait s'il n'avait existé. :zen:
 
  • J’aime
Réactions: jugnin
Nous sommes quelques millions dans ce cas, à travers le monde.

Oui, et, sans y avoir vraiment pensé auparavant, sans le Mac, et donc sans Steve Jobs, je ne ferais peut-être pas le métier que je fais actuellement... Ça fait effectivement... bizarre.
 
Comme témoin de cette époque des débuts d'Apple, il reste encore un génie : Steve Wozniak !
 
Nous sommes quelques millions dans ce cas, à travers le monde.

J’en fait parti, mon premier ordi fut LCII … et j’écris ici sur iMac 27’’

ce siège vide de la dernière keynote etait’il prémonitoire ??
 
Nous sommes quelques millions dans ce cas, à travers le monde. Et c'est pourquoi aujourd'hui nous ressentons une sorte de "vide étrange". Un ressenti plus important que j'imaginais, un sentiment mélangé de grande tristesse pour l'homme et ses proches -car sa fin a probablement été terriblement douloureuse, et de respect pour celui qui a fait que ma vie professionnelle est différente de ce qu'elle serait s'il n'avait existé. :zen:

Et parmi eux, certains seraient sans doute passés à côté de quelques-unes des plus belles rencontres humaines de leur vie sans le prétexte de cette pomme :zen:
 
Dernière édition:
Steve Jobs était un visionnaire et un créateur, c'est certain. Et mourir à 56 ans est injuste pour quiconque, sans compter qu'après 7 ans de cancer, il a dû souffrir, le pauvre.

Cela étant, cet étalage d'hommages dans le monde entier me met mal à l'aise. Car derrière l'hommage à l'homme et au créateur, on a le sentiment qu'Apple n'est rien sans Steve Jobs. Il y a un côté gourou qui me gêne.
Mais Apple, c'est 40 000 salariés, qui ont pour beaucoup du talent à revendre et surtout un boulot et un salaire à garder. J'aimerais bien que la mort de Jobs n'ait pas de conséquences néfastes pour ces travailleurs.

Par ailleurs, je ne veux pas plomber l'ambiance car je sais qu'il est malvenu de dire du mal des morts, mais les propos de l'ancien dirigeant d'Apple France me font froid dans le dos : «Steve Jobs a mis des personnes mal à l'aise et il en a fait pleurer», a confié Jean-Louis Gassée, ancien dirigeant d'Apple France, au magazine Fortune. «Mais il avait raison presque à chaque fois, et même lorsqu'il avait tort, il apportait une telle créativité que cela demeurait étonnant. Les démocraties ne font pas de superbes produits. Vous avez besoin pour ça d'un tyran compétent.» (source : Le Figaro)

Je ne suis pas certaine qu'il s'agisse là du plus bel hommage qui soit...
En tout cas, ça renvoie à l'image du patron tyrannique, le genre de tyrannie prétendue nécessaire pour obtenir le meilleur des gens. Comme si la politesse et le respect avaient empêché la créativité... Comme si, derrière l'innovation technologique joliment présentée et intelligemment vendue, ne se cachait pas, comme dans toutes les grosses entreprises, l'exploitation des sous-traitants, la pression des salariés tenus au secret comme si l'iPad méritait le secret défense, le matériel lambda fabriqué à bas coûts et vendu à prix d'or...

Alors oui, je rends hommage au visionnaire qui a su trouver les arguments commerciaux pour me faire acheter quatre Mac (ce que je ne regrette absolument pas), mais il y a tout un aspect non négligeable du personnage et de sa fonction que je ne veux pas oublier. Par respect pour ceux qui restent, les anonymes, qui vont continuer de se creuser les méninges pour nous vendre les joujoux et outils high-tech de demain.
 
56 ans c' est jeune...

Ah oui, c'est trop con, il sera mort avant de pouvoir encaisser ses bonus à la retraite…

nb : je sais, ce n'est pas la place, mais les regrets humides, c'est pas mon truc.
 
[…]cet étalage d'hommages dans le monde entier me met mal à l'aise. Car derrière l'hommage à l'homme et au créateur, on a le sentiment qu'Apple n'est rien sans Steve Jobs. Il y a un côté gourou qui me gêne.
Mais Apple, c'est 40 000 salariés, qui ont pour beaucoup du talent à revendre et surtout un boulot et un salaire à garder. J'aimerais bien que la mort de Jobs n'ait pas de conséquences néfastes pour ces travailleurs.

Par ailleurs, je ne veux pas plomber l'ambiance car je sais qu'il est malvenu de dire du mal des morts, mais les propos de l'ancien dirigeant d'Apple France me font froid dans le dos : «Steve Jobs a mis des personnes mal à l'aise et il en a fait pleurer», a confié Jean-Louis Gassée, ancien dirigeant d'Apple France, au magazine Fortune. «Mais il avait raison presque à chaque fois, et même lorsqu'il avait tort, il apportait une telle créativité que cela demeurait étonnant. Les démocraties ne font pas de superbes produits. Vous avez besoin pour ça d'un tyran compétent.» (source : Le Figaro)

Je ne suis pas certaine qu'il s'agisse là du plus bel hommage qui soit...
En tout cas, ça renvoie à l'image du patron tyrannique, le genre de tyrannie prétendue nécessaire pour obtenir le meilleur des gens. Comme si la politesse et le respect avaient empêché la créativité... Comme si, derrière l'innovation technologique joliment présentée et intelligemment vendue, ne se cachait pas, comme dans toutes les grosses entreprises, l'exploitation des sous-traitants, la pression des salariés tenus au secret comme si l'iPad méritait le secret défense, le matériel lambda fabriqué à bas coûts et vendu à prix d'or...

Alors oui, je rends hommage au visionnaire qui a su trouver les arguments commerciaux pour me faire acheter quatre Mac (ce que je ne regrette absolument pas), mais il y a tout un aspect non négligeable du personnage et de sa fonction que je ne veux pas oublier. Par respect pour ceux qui restent, les anonymes, qui vont continuer de se creuser les méninges pour nous vendre les joujoux et outils high-tech de demain.

Ce que dit Axaba me semble très juste. Mais si la politesse et le respect n’empêchent pas la créativité, le fait est que nombre de « chefs », quelque soit leur domaine d’activités, sont de bêtes machines à détruire de manière systématique la créativité et l’enthousiasme de leurs collaborateurs ; et nombre d’entreprises exploitent de manière éhontée leur personnel, sans apporter en compensation le dixième de l’innovation que l’on doit à Apple.

Je ne prétends pas que l’un (l’autoritarisme, l’exploitation forcenée du travail d’autrui) soit le prix à payer pour l’autre (la créativité, l'innovation). Mais il importe, me semble-t-il, d’avoir à l’esprit ces réalités si l’on veut porter un jugement objectif sur l'œuvre de Steve Jobs et sur Apple.
 
En tout cas, ça renvoie à l'image du patron tyrannique, le genre de tyrannie prétendue nécessaire pour obtenir le meilleur des gens. Comme si la politesse et le respect avaient empêché la créativité...

Pousser les gens à donner le meilleur d'eux même ne l'a pas empêché d'avoir de la politesse et du respect pour ces personnes. C'est ça le monde du travail.

Adieux Steve.

stevejobs.jpg
 
C'est bizarre.
Enfin, le crabe du pancréas, il laisse peu de survivants.
Mais c'est brai que c'est un type qui a changé la donne de nos vies.

Par contre, il faut dire aux administrateurs du site que ce n'est pas la peine de mettre un truc en rouge marqué urgent. Y'a plus rien d'urgent, concernant Jobs.
 
  • J’aime
Réactions: mistik
Je ne sais pas qui était M. JOBS au quotidien. Je sais qu'Apple aime bien faire de très gros profits, quitte à laisser sur la paille des employés.

Mais aujourd'hui une chose est certaine : on peut être puissant, très puissant, on n'est pas grand chose malgré tout en particulier devant la maladie.

Et tout cela je m'en moque momentanément : ce que je vois, c'est que sans Steve JOBS, et même si je le dois aussi à tous ceux qui travaillent dans l'ombre chez Apple, je ne serais pas en train de saisir mon post sur mon iMac G5 qui a maintenant 7 ans, et qui est pourtant encore bien vaillant et toujours aussi agréable à utiliser.
Je ne suis pas informaticien, mais j'utilise mon ordinateur quotidiennement, et toujours avec le même plaisir.

Pour ça, merci Monsieur JOBS. Merci pour cette machine fantastique qu'est le Mac. (Je ne me prononce pas pour les iPod, iPhone & Co qui ne m'intéressent pas ;-)
 
Statut
Ce sujet est fermé.