Travailler les photos en RVB

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claude72 a dit:
La numérisation est faite en RVB avec des scanners à plat, mais les (vieux) scanners rotatifs de qualité à tubes photomultiplicateurs scannent en CMJN directement.
tu veux dire qu'ils convertissent directement en CMJN dès la numérisation en RVB, non ?
 
Moi j'ai résolument opté pour le tâtonnement empirique. J'ai une liste des principaux types de papier (si on veut simplifier, bouffant et couché, crème et blanc neige, etc.) et puis je tiens à jour la liste des jaquettes, couvertures, hors texte et ouvrages quadri, avec chaque fois les couleurs utilisées en à-plats et en dégradés (pourcentages RVB et CMJN et proches équivalents Pantone et autres nuanciers s'il y a lieu).
J'ai donc une sorte de carnet sur lequel je porte des commentaires : description plus subjective de la nuance, effet obtenu, fidélité dans le cas de retirages ultérieurs, etc.
il y a aussi une « liste noire » de celles à éviter » pour qu'au moins les erreurs servent à quelque chose...
Ça donne des trucs du genre « Belle teinte sable, sans risque, passe bien du mat au brillant» ou alors «danger, tourne vite au caca d'oie» ou bien : «peut tourner violacé, valable seulement si on va faire des essais». Je découpe même des échantillons de l'objet réel imprimé.
mon pense-bête indique notamment, dans le cas d'une impression en faux bichro, quelles sont les couleurs qui supportent le mieux le tramage : tel vert superbe à 100 % sera affreux à 20 ou 30 % , tel brun foncé banal donne un superbe sépia, etc., etc.
C'est pas très spectaculaire, mais ça a le mérite d'éviter le pire :D :D
 
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Réactions: Yama
gabian fadoli a dit:
tu veux dire qu'ils convertissent directement en CMJN dès la numérisation en RVB, non ?
Non, non, ils scannent directement en CMJN avec 4 tubes photomultiplicateurs... (j'ai trouvé cette info sur une doc Agfa, mais je n'en ai jamais démonté pour vérifier !!!)
 
Pour CMYK:

Tu dis qu'on peut régler les couleurs (dans la palette des couleurs) en CMJN. Mais une fois j'ai eu un problème, car j'avais une image en RVB, j'ai entré une teinte que j'avais choisie dans un nuancier, et avec les transformations entre RVB et CMJN... La teinte n'est pas du tout sortie comme je l'avais décidé... Est-ce que je n'avais pas bien régler Photoshop?... Je ne sais pas...

Je viens d'Apples en suisse, c'est un petit village en dessu de Morges. Et je bosse tout les jours sur Lausanne.



Pour Claude72:

Pour le dernier moment. Cela dépend tout de qui tu es... Je m'explique. Tu es indépendant, tu ne bosses pas avec une imprimerie fixe,... Je pense qu'il est préférable d'envoyer l'image en RVB à l'imprimerie, car comme ça, c'est l'imprimeur qui la convertit avec ses réglages par rapport à sa presse...

Je ne sais pas quelle est l'équivalence du terme «Polygraphe» en France. Je m'occupe du traitement de texte et image dans une imprimerie. C'est las contraction des deux métiers Photolitho et Typo... Tu as compris?... je ne sais pas comment l'expliquer autrement? Quel est le terme en France?

Je pense qu'il n'y pas UN réglage parfait. Pour la bonne raison que cela dépend de tellement de point pour le traitment des couleurs... Les encres, les machines offsets, l'écrasement du point, UCR/GCR,... A mon avis, chaque imprimerie devrait avoir des réglages propre à leurs presses. Et pour ceux qui donnent du travail aux imprimeries, de bonnes images RVB sont les bienvenues. Dites-moi si je me plante!

Un grand merci à tous!
Et je profite vite pour remercier les fondateurs de ce site, ceux qui s'en occupe, et tous les autres que j'ai bien entendu oublié! lol! C'est grâce à eux qu'on avance!!!

A+
 
Seb_Bassiste a dit:
Pour CMYK:

Tu dis qu'on peut régler les couleurs (dans la palette des couleurs) en CMJN. Mais une fois j'ai eu un problème, car j'avais une image en RVB, j'ai entré une teinte que j'avais choisie dans un nuancier, et avec les transformations entre RVB et CMJN... La teinte n'est pas du tout sortie comme je l'avais décidé... Est-ce que je n'avais pas bien régler Photoshop?... Je ne sais pas...
C'est bien possible ! C'est tellement délicat tous ces règlages que si tu mets par exemple un mauvais profil ou un mauvais mode de conversion, tu risques d'avoir des problèmes. Des valeurs quadri en soi ne veulent *rien dire*. Tout dépend du papier sur lequel t'imprime après, des encres que tu utlises, de la presse, etc., etc. On ne peut rester cohérent que dans une chaîne calibrée de A à Z. Et dans un circuit "fermé" seulement (je veux dire mêmes périph tout au long de la chaîne et mêmes paramètres) tu pourras reproduire une couleur sur base de valeurs quadri. Et encore...
Il n'y a guère que les couleurs de base et celles qui en sont proches qui risquent le moins de bouger (CMJN). Dès que tu t'aventures vers des bleus, des oranges, des verts ou des rouges trop particuliers, tu risques d'avoir des résultats divergents avec deux valeurs identiques pourtant.

Seb_Bassiste a dit:
Je viens d'Apples en suisse, c'est un petit village en dessu de Morges. Et je bosse tout les jours sur Lausanne.
Apples ? Rien que ça, c'est classieux. Tout le monde est sur Apple, alors ? :D
Allez ! courage à toi en tout cas. Un autre lien intéressant : Gestion des couleurs. :up:
 
Parenthèse polygraphique:
Polygraphe... ça dira aussi quelque chose à WebO... rue de Genève à Lausanne, non ?
Ils ont cassé le moule à typographe et ont sorti le polygraphe juste après nous ! :D

Ce qui est drôle, c'est qu'on retrouve le mot en insulte par le capitaine Haddock dans un Tintin, qu'en français y'a pas de définition précise (à part celui qui écrit sur des matières variées, comme Diderot et son Encyclopédie) et qu'en anglais c'est un détecteur de mensonge !)
 
Seb_Bassiste a dit:
Je ne sais pas quelle est l'équivalence du terme «Polygraphe» en France.
Ça doit être "infographiste".


Seb_Bassiste a dit:
Pour le dernier moment. Cela dépend tout de qui tu es... Je m'explique. Tu es indépendant, tu ne bosses pas avec une imprimerie fixe,... Je pense qu'il est préférable d'envoyer l'image en RVB à l'imprimerie, car comme ça, c'est l'imprimeur qui la convertit avec ses réglages par rapport à sa presse...
D'accord, cette définition du "dernier moment" me convient parfaitement



Seb_Bassiste a dit:
Je pense qu'il n'y pas UN réglage parfait.
Toujours d'accord, mais je vais un peu plus loin que toi : au-delà de chaque imprimeur, chaque travail a ses réglages particuliers.




Seb_Bassiste a dit:
Pour la bonne raison que cela dépend de tellement de point pour le traitment des couleurs... Les encres, les machines offsets, l'écrasement du point, UCR/GCR,... A mon avis, chaque imprimerie devrait avoir des réglages propre à leurs presses. Et pour ceux qui donnent du travail aux imprimeries, de bonnes images RVB sont les bienvenues. Dites-moi si je me plante!
Tu ne te plantes pas !!! bonne formation, bon profs, bon élève !
Mais dans ta liste, tu oublies de tenir compte aussi du support : un vinyl ou un couché brillant n'ont pas le même écrasement de point (nous, on dit plutôt "engraissement des points), même si ils sont roulés sur la même presse, qu'un offset recyclé et un offset 70 g n'acceptera pas la même charge d'encre qu'un couché 250 g.

Bonne formation, mais un peu en avance sur son époque : peu d'imprimeur travaillent en RVB avec des périphérique de sortie calibrés pour faire la conversion "à la volée", la plupart sont encore en CMJN par défaut... donc si tu envoies des images en RVB, il serait bon de prévenir le destinaire, et de bien lui préciser que c'est volontaire, pour qu'il puisse les convertir comme il veut...
Les vieux de la vieille, confortablement installés dans leurs certitudes d'il y a 50 ans râleront probablement, certains autres n'y verront aucun intérêt et convertiront les images avec les réglages par défaut de Photoshop comme ils ont toujours fait (selon le sacro-saint principe du : "Ça fait 15 ans que je fais comme ça, je ne vois pas pourquoi je changerais..."), mais tu feras le bonheur de ceux qui sont un peu au fait de l'évolution des techniques de la PAO et de l'imprimerie ;)
 
Note de synthèse :
contrairement à ce qui a été dit plus haut : les scanners, même vieux et rotatifs (mais excellents), travaillent toujours en synthèse aditive; c'est le "pilote" qui assure la séparation. L'opération se faisait dès l'opération de numérisation car le pilote de scanner était (est toujours ?) le meilleur à ce petit jeu une fois bien paramétré. (Pour les photographes : logiciel du scanner plutôt que par photoshop c'était comme faire le traitement des fichier raw par phase One plutôt que par iPhoto).

Pour les espaces colorimétriques : ils sont certe plus ou moins étendus mais surtout ils ne se recoupent pas (des teintes cmjn ne sont pas reproduisible en rvb standart). De plus, il n'y a pas un espace rvb mais plusieurs. L'espace Lab est, si je me souviens bien, le plus étendu des espace colorimétriques qui représente donc toutes les couleurs visibles par un oeil humain. Travailler dans cet espace permet de ne pas "altérer" les couleurs mais, comme l'espce rvb est moins étendu on ne voit pas ce que l'on fait.

En impression, en dehors des problématiques théoriques il y a des problèmes techniques : l'engraissement ou le couverture maximale par exemple. À la "simple" conversion d'espace viennent s'ajouter donc nos amis "undercolor removal" et "gray component replacement" qu'il faut normalement paramétrer en fonction de l'imprimeur (déjà quand la gamme d'encre dans photoshop est changée pour euroscale on à du bol alors...).

D'ou l'intérêt de garder une version RVB (en dehors des filtres) ou (lab) que l'on sépare en fonction des normes fournies par l'imprimeur.
 
Peau européen: R 150/V 50/B 10
ect.
Bonjour à tous et toutes,
je suis scannériste, retoucheur-chromiste de mon état et cela bien avant l'arrivée de notre soft favori, j'ai nommé Photoshop... Je ne viendrait pas essayer de préché la bonne parole mais une petite question en passant quelqu'un a t'il rentré ces valeur de chair européenne moi juste pour rigoler je l'ai fait bien que je connaissait le résultat... Si ça c'est de la peau "europe" faut tout de suite mettre de la crème anti douleur...
Ok je sors.... :mouais:
 
Helmer a dit:
Je viens mettre mon grain de sel.
Un pro du scan m'a dit un jour qu'il valait mieux scanner en Lab, ni RVB et encore moins CMJN.
Quid ?

Bonjour,
je rentre dans la discussion un peu tard, mais je vais aussi apporter mon grain de sel. Donc pourquoi le LAB ? En fait c'est le format standard de Photoshop. Quand vous travaillé en RVB, en fait PtS fait appel au Lab en permanence. C'est un modèle chromatique mis au point par le Centre International d'éclairage (CIE). Les teintes sont définies mathématiquement, indépendamment des systèmes de couleurs. Contrairement au mode RVB, le Lab n'est pas constitué de 3 couches couleurs R-V-B mais par la couche L (luminosité = niveaux de gris) et 2 couches couleurs : a pour les composants chromatiques du vert au magenta, et b pour ceux allant du bleu au jaune. C'est notamment ce qui permet de travailler les correction Luminosité/contraste, et d'obtenir des images très contrastés comme c'est la mode. Donc quand vous voulez des images très contrastées, il vaut mieux travailler en Lab, parce que vous travaillez les niveaux de gris sans toucher les couleurs. Donc vous n'avez plus besoin de faire des aller-retour sur la saturation des couleurs comme en RVB où des que vous contrastez les images, ça sursature les couleurs. Evidement si c'est destiné à l'imprimerie, vous convertissez en CMJN en fin de parcours.
 
Nephou a dit:
Note de synthèse :
Pour les espaces colorimétriques : ils sont certe plus ou moins étendus mais surtout ils ne se recoupent pas (des teintes cmjn ne sont pas reproduisible en rvb standart). De plus, il n'y a pas un espace rvb mais plusieurs. L'espace Lab est, si je me souviens bien, le plus étendu des espace colorimétriques qui représente donc toutes les couleurs visibles par un oeil humain. Travailler dans cet espace permet de ne pas "altérer" les couleurs mais, comme l'espce rvb est moins étendu on ne voit pas ce que l'on fait.

.

Bravo Nephou! Je connaissais beaucoup de cyberespace mais l'espace RVB ou Lab, c'est de belles bases pour un nouveau monde de sciences fiction. Philip K Dick aurait aimé.
 
Seb_Bassiste a dit:
Pour CMYK:

Tu dis qu'on peut régler les couleurs (dans la palette des couleurs) en CMJN. Mais une fois j'ai eu un problème, car j'avais une image en RVB, j'ai entré une teinte que j'avais choisie dans un nuancier, et avec les transformations entre RVB et CMJN... La teinte n'est pas du tout sortie comme je l'avais décidé... Est-ce que je n'avais pas bien régler Photoshop?... Je ne sais pas...

Je viens d'Apples en suisse, c'est un petit village en dessu de Morges. Et je bosse tout les jours sur Lausanne.



Pour Claude72:

Pour le dernier moment. Cela dépend tout de qui tu es... Je m'explique. Tu es indépendant, tu ne bosses pas avec une imprimerie fixe,... Je pense qu'il est préférable d'envoyer l'image en RVB à l'imprimerie, car comme ça, c'est l'imprimeur qui la convertit avec ses réglages par rapport à sa presse...

A+

Salut polygraphe. Sympa d'habiter un bled qui s'appelle Apples. Tu devrais te faire sponsoriser par Steve Jobs.
Cela dit tu as raison et tu as tord. Raison : oui il vaut PARFOIS mieux que ce soit l'imprimeur qui fasse la conversion parce que ils ont l'habitude de leurs encres et de la manière dont ils travaillent. Le flashage peut grandement modifier les couleurs selon s'ils flashent dur ou soft. Et l'encrage, n'en parlons pas c'est un monde à lui tout seul. Sauf que tu passe par un chroma, en principe et que ça fait référence.
Tu as tord : en principe, si tu es vraiment exigents, tu DEVRAIS créer un profil ICC ou Color Sync pour chaque travail et en fonction du papier, de l'imprimante, etc. Sur le site d'Adobe tu trouves des profils pour les imprimantes du commerce. Dans ton Mac, tu as des profils de sorties et des profils écrans. Dans PtS tu peux (tu dois?) en créer. Pose la question à tes prof. Notamment celui qui t'as dis de travailler en RVB. Pose lui comme colle s'il connait le LAb. S'il ne sait pas répondre....... Je suis formatrice, j'ai besoin de boulot et je suis Suisse. Et j'aime bien le bord du lac du côté de Morges, à part l'Arsenal.
 
forumsquale a dit:
Bonsoir...
He oui ce sont les valeurs qui ont été données à titre d'exemple un plus haut dans les post.... au secours.... vite de la crème.... ok je sors....

Oui, tu peux sortir, la porte est par ici :

« Exemple (totalement au pif):
Ciel sombre: R 20/V 10/B 255
Peau européen: R 150/V 50/B 10
ect. »

(C'est moi qui ai mis en gras.)
 
Bonjours à tous...
Même lorsqu'on donne des valeurs à titre d'exemple, le "pif" doit être mesuré car la couleur c'est quelque chose de précis... On ne peut pas donner des valeurs de peau cramée, voir de Mr Hulk... Le "pif" vient avec l'expérience mais il doit être valable sinon on peut être enrhumé... Cela arrive...
Bon je vais apporter ma contribution tout de même :
Deux écoles :
la première le traditionnel :
Toute gestion de couleur désactivée --------> donc travail effectué uniquement en CMJN avec table de séparation créée en fonction de divers élèments fournis par l'imprimeur tels que : engraissement, encres utilisées, le type de papier, l'encrage maximum, la limite de noir....
ATTENTION cette méthode demande une connaissance pointue en photogravure et en chromie car elle ne s'évalue que par la fenêtre des infos dans Toshop d'où la nécessité d'être un véritable "chromar" (chromiste).

La seconde méthode fiable aussi :
Via la gestion de la couleur (qui demande aussi la connaissance de la chromie mais aussi de la gestion de la couleur). Dans ce cas rien n'empêche le travail en RVB mais avec une gestion de profils qui auront été créés au préalable : la caractérisation et la réalisation du profil de l'écran (attention ne pas le prendre en tant que profil RVB dans toshop car l'écran est la fois entrée et sortie) ensuite les entrées (scan, appareil photo...) doivent être caractérisés et calibrés de même que pour les sorties (presse offset, épreuvage...).
Une vrai gestion de toute façon commence toujours par la sortie... Pourquoi ??.... parce que c'est le résultat final qui compte... Donc une fois que l'on connaît le profil de la presse ou que l'a créé à l'aide d'un spectro et des feuilles de mesure c'est de lui que tout va dépendre, effectivement à quoi ça sert de faire un profil final (donc en CMJN) qui saturerait trop si celui ne peut pas être reproductible à la fin... Biensûr si on travail via cette gestion on ne doit pas oublier le soft proofing pour une bonne simulation écran. Il va de soit que cette gestion se fait dans un environnement et un illuminant standardisé par exemple D50 qui devra resté le même sur l'ensemble de la chaîne. Donc effectivement le RVB est concevable avec une excellent maîtrise de la gestion de la couleur, le fait de connaître la chromie aide énorment la vérification (double affichage des infos RVB/CMJN).
Pour finir et là cela n'engage que moi, je dirais que la conversion final avec cette méthode doit se faire à l'image car cela permet de s'arrurer du résultat optimal final, en effet le profil ne fera pas tout et demande parfois une ultime vérif de la chromie qui ne peut ce faire qu'image par image.
Par contre pour répondre à cetains aucun scan ne travail direct en quadri même un vieux 399, roto qui à l'époque n'affichait que les valeurs, la grad... mais pas l'image (hé oui là c'était un métier...) cela se fait par le soft ou une passerelle.
Alors c'est qui doit sortir....
 
les scanners, même vieux et rotatifs (mais excellents), travaillent toujours en synthèse aditive; c'est le "pilote" qui assure la séparation.
Je n'ai pas réussi à retrouver la doc sur laquelle j'avais vu un beau crobar de scanner rotatif à 4 tubes photomultiplicateurs... (je croyais que c'était la doc de l'ArcusII, mais non, je me suis planté).
Désolé, ma mémoire me joue des tours (c'est l'âge, Alzeimer me guette !) à moins que je n'aies été induit en erreur par une doc foireuse...