C'est une tentative d'assassinat raciste maquillée! :o
C'est une tentative d'assassinat raciste maquillée! :o
Je ne pense pas te convaincre mais bonIl y a 500 ans, la "communauté scientifique" s'accordait à dire que la Terre était plate et qu'elle était le centre de l'univers.
On a même brûlé vifs d'autres "scientifiques" qui affirmaient le contraire.
On a longtemps cru que l'atome était la plus petite particule existante parce qu'on n'avait pas les moyens de voir plus loin.
Ce n'est pas parce que des choses sont inexpliquées ou non encore mesurable avec les techniques actuelles qu'elles ne marchent pas.
Je ne m'estime pas "croyant", mais si tu savais le nombre d'"incroyants" dans mon entourage qui ont vu comment ma môme est soignée et la voir rétablie en 2 jours en cas de grippe contre plus d'une semaine avec la médecine classique et qui sont finalement passé à l'homéopathie...
Et ne me redis pas le coup du placebo parce qu'un bébé qui a deux mois n'en a rien à foutre du placebo. il ne sait même pas qu'on lui administre un médicament (je lui en donne depuis qu'elle est bébé. Elle a maintenant 10 ans et se porte très bien, merci.)
Une question : ceux qui affirment que l'homéopathie est une "croyance", qui n'a d'effet que "placebo", renient donc la véracité des vertus thérapeutiques des plantes ?
Les scientifiques chercheraient à démontrer les non-vertus de l'homéopathie, mais ce serait l'industrie homéopathique qui étoufferait toute étude pour ne pas tuer sa poule aux oeufs d'or ?
Mais il est où le monopole ? Du côté de l'homéopathie ou du côté des laboratoires de médecine traditionnelle ? Je renverse donc l'accusation ; ne serait-ce pas les labo et scientifiques de ces labos qui chercheraient à étouffer l'homéopathie pour ne pas tuer leur propre industrie monopolitique ? :siffle:
Je ne suis pas un féru d'homéopathie ; mais je suis loin d'être un féru de scientifiques obstinés et obtus, et de laboratoires profiteurs, à la fois du marché, des médecins et des peurs des patients. Mettre toute sa confiance et sa croyance en l'Idéal scientifique est au moins aussi dangereux que de croire en et de soigner par l'homéopathie
Une question : ceux qui affirment que l'homéopathie est une "croyance", qui n'a d'effet que "placebo", renient donc la véracité des vertus thérapeutiques des plantes ?
Comme quoi le gilet jaune tant décrié peut également se révéler utile pour la cueillette des champignons...Je ne sais plus combien il y a d'accidents de chasse dans la région, ça doit être du genre entre 2 et 5 mortels, et 20 et 50 graves ou légers par an.
Je ne pense pas te convaincre mais bon
Il ne vous ait jamais venu à l'esprit que cela pouvait être les médicaments administrés au départ qui pouvaient avoir finalement eu raison de la grippe de l'enfant (en réalité, ils n'auront pas eu raison de la grippe, mais de ses symptômes) même si leur emploi avait été arrêté deux jours auparavant ? Ou bien, que c'est le corps de l'enfant lui même qui a développé suffisamment d'anticorps ?
Est-ce que la science n'a pas su encore comprendre le pourquoi du comment de l'homéopathie et que celle-ci a finalement toute sa validité et que ce sera prouvé par la science plus tard ? Non et définitivement non. Car la méthode de création des médicaments homéopathique est invalidé par toutes les études scientifiques. Je rappelle qu'un simple calcul mathématique permet de voir que la méthode de dissolution a pour conséquence qu'il ne reste aucune particule du principe actif de départ. De là à dire que le néant soigne... Les défenseurs de l'homéopathie n'ont aucune réponse scientifique à opposer à ce constat-là et donc vu que dans leur produit il n'y a rien qui soigne ils sont en mal d'expliquer pourquoi cela "soigne" selon eux. Et ce n'est pas la fumeuse théorie de la "mémoire de l'eau" qui a put leur sauver la mise, même si pendant un temps ils ont espéré.
Ensuite, aucune étude clinique n'est venue démontrer que l'homéopathie avait un degré d'efficacité supérieur à l'effet placebo. Si mon souvenir est exact, il n'y a que les études faites par le laboratoire "bip !" qui disent que leur efficacité est supérieure. Or, pour qu'un médicament soit validé, il faut que dans les tests en double aveugle celui-ci soigne mieux que l'effet placebo. Chose surprenante, je crois bien qu'un tel critère n'est pas requis pour les médicaments homéopathiques.
Ensuite, il faut tout de même se remettre en tête (de façon très succincte, je l'accorde) le premier principe du traitement homéopathique. Samuel hahnemann l'a établi en essayant de comprendre pourquoi la quinine traitait les fièvres. En remarquant qu'à haute dose, la quinine provoquait les mêmes symptômes que les fièvres sensées être soignées, il a établit le principe de similitude (principe assez vieux en fait, issu des différentes tentatives de comprendre pourquoi un "produit" soigne. On faisait parfois un parallèle entre la forme d'une plante médicinale par exemple et l'organe qu'elle soigne). Il en a déduit qu'il suffit pour chaque maladie de trouver un produit qui provoque les mêmes symptômes et de l'administrer à plus faibles doses que celles toxiques (d'où le principe de dilution qui en a découlé). La science a depuis prouvé que ce n'est pas une quelconque similitude qui explique qu'un produit soigne (les principes actifs peuvent se trouver dans des choses tellement variables et provoquer des effets secondaires tellement divers qu'on ne peut prétendre à une quelconque similitude), malgré ça l'homéopathie reste et elle conserve ses défenseurs.
Il est cependant, une chose que je considère comme bien dans l'homéopathie et que la médecine actuelle a un peu trop tendance à oublier, c'est que chaque patient est considéré comme particulier et que le traitement est adapté en conséquence, mais c'est assez difficile aujourd'hui (au vu de comment fonctionne l'industrie pharmaceutique) de doser les médicaments en fonction de chaque personne.
Une question : ceux qui affirment que l'homéopathie est une "croyance", qui n'a d'effet que "placebo", renient donc la véracité des vertus thérapeutiques des plantes ?
Voilà, en deux lignes, tu as démontré que tu n'as aucune idée de ce qu'est l'homéopathie, que tu confond avec la phytothérapie.
l'homéopathie n'a rien à voir avec les plantes, son principe est basé sur le postulat erroné que si une substance produit tel effet à dose normale, elle produira l'effet contraire à dose infinitésimale. donc, par exemple, pour te soigner d'une intoxication au pyralène (assez à la mode en ce moment), l'homéopathie te ferait absorber du pyralène dilué, mélangé avec du sucre.
Là ou le bas blesse, ce sont les taux de dilution. Une grande partie des médicaments homéopathiques est, par exemple, à 16CH, ce qui signifie qu'un gramme de principe actif est dilué 1000 fois 16 fois de suite, soit 10 puissance 48 fois (un suivi de 48 zéros). Reprends donc ton livre de chimie, et regarde le chapître qui parle du nombre d'Avogadro (de mémoire 6,022 et quelques décimales x par 10 puissance 23, soit entre 24 et 25 ordres de grandeur plus élevé qu'une dilution à 16CH), tu verra ainsi qu'il ne peut pas y avoir ne serait-ce qu'une seule particule de substance active par tube de granulés à ce niveau de dilution !
les labos homéopathiques, eux, ils mettent des granules de sucre dans de petits tubes, et les mettent directement sur le marché, leurs seuls frais de recherche et développement, c'est de trouver les noms à la con qu'ils vont mettre sur les étiquettes !
Intéressant. Surtout quand on sait que la presque totalité de l'homéopathie est en 4CH.
Alors, il ont du prendre en compte lune partie des critiques faites à leur encontre, parce que lorsque j'ai eu à en connaître, dans les années 80, on ne trouvait rien en dessous de 8CH, et la majorité était à 12 ou 16.
Pour les sources fiables, niveau recherche et développement, rien de plus facile, c'est la législation en vigueur !
Et pour le "non mesurable", je ne te répond pas, car tout est mesurable, et ni l'eau ni le sucre n'ont de mémoire, on a donc mesuré ce qu'il pouvait y avoir, et ce qu'il ne pouvait pas y avoir.
Ah... C'est pour ça que tu es toujours aussi choupinet ?... :love:Je prends de l'homéopathie depuis tout petit, et c'est rarement au dessus de 4 ou 5CH.
:love::love::love:Ah... C'est pour ça que tu es toujours aussi choupinet ?... :love:
Alors, il ont du prendre en compte lune partie des critiques faites à leur encontre, parce que lorsque j'ai eu à en connaître, dans les années 80, on ne trouvait rien en dessous de 8CH, et la majorité était à 12 ou 16.
Pour les sources fiables, niveau recherche et développement, rien de plus facile, c'est la législation en vigueur !
Et pour le "non mesurable", je ne te répond pas, car tout est mesurable, et ni l'eau ni le sucre n'ont de mémoire, on a donc mesuré ce qu'il pouvait y avoir, et ce qu'il ne pouvait pas y avoir.
La réponse de la Commission européenne.
«Mise à jour, 15h : Martin Seylmar, porte-parle de la Commission européenne pour les questions touchant à la société de l'information et des médias, indique aujourd'hui à Clubic.com que l'institution a bien pris connaissance de la lettre envoyée par Nicolas Sarkozy. Il y rappelle que l'amendement 138 a été adopté à une large majorité, et que la Commission européenne respecte le choix fait par le parlement.
« Du point de vue de la Commission, cet amendement est un rappel important de principes légaux clé, inhérents à l'ordre légale de l'Union européenne, et tout particulièrement des droits fondamentaux du citoyen. Le texte de cet amendement est délibérément rédigé de manière à laisser aux Etats membres la latitude nécessaire à l'obtention d'un équilibre entre certains droits fondamentaux, en l'occurrence le droit au respect de la vie privée, le droit à la propriété et des recours efficaces et le droit à liberté d'information et d'expression », explique Martin Seylmar.
« La Commission comprend que ce problème est d'une importance politique certaine en France, où se prépare une loi qui propose l'instauration d'une nouvelle Autorité nationale de l'Internet qui pourrait avoir un rôle de surveillance et éventuellement de restriction de la connexion à Internet des Français », poursuit-il, avant d'inviter le gouvernement à discuter de cette question avec les 26 autres Etats membres.
Interprétation ? Par la voix de leur représentant, Martin Seylmar, Viviane Reding et José Manuel Barroso accusent réception du message, mais ne semblent pas enclins à donner suite à la requête. La bataille se jouera donc maintenant au niveau du Conseil de l'Union, puis de la seconde lecture du texte au Parlement européen.»