"Le Manneken-Pis est habillé 130 fois par an".
Je suis allé un paquet de fois à Bruxelles et je ne l'ai jamais vu habillé.
Je suis maudit, ou quoi ?
"Le Manneken-Pis est habillé 130 fois par an".
"Le Manneken-Pis est habillé 130 fois par an".
Je suis allé un paquet de fois à Bruxelles et je ne l'ai jamais vu habillé.
Je suis maudit, ou quoi ?
Non. Mais le Manneken-Pis est devin, il lit dans la bière et les frites et connaît ton emploi du temps."Le Manneken-Pis est habillé 130 fois par an".
Je suis allé un paquet de fois à Bruxelles et je ne l'ai jamais vu habillé.
Je suis maudit, ou quoi ?
Le sacripan.Non. Mais le Manneken-Pis est devin, il lit dans la bière et les frites et connaît ton emploi du temps.
Donc...
Mais la question que doit trancher l'instruction n'est pas celle là, mais de savoir si il y avait, ou non, travail effectif de ses assistant(e)s parlementaire(s) (femme, fils, fille et ami en la personne de Mael Renouard).
C'est toute la question... soit il y a eu travail effectif et l'affaire va faire pschiit, soit il ne sera pas possible de l'établir et on sera face à un détournement d'argent public (ou abus de bien social pour le contrat de travail à la Revue des 2 Mondes). C'est au juge desormais d'instruire et trancher.elle a effectué des tâches pour son mari
C'est au juge désormais d'instruire et trancher.
Contrat de travail et fiches de paie.On est vraiment pas sur qu'elle savait qu'elle était "embauchée". Ces diverses déclarations à la presse laissent penser le contraire.
De quel droit ? Aucun. En tout cas aucun qui ne soit permis de part les règles constitutionnelles.
Encore une fois, François Fillon était à l'époque entièrement libre de l'emploi de l'argent destiné à l'embauche de ses collaborateurs et entièrement libre d'embaucher qui il voulait. Mme Fillon était régulièrement embauchée, elle a effectué des tâches pour son mari (c'est d'ailleurs reconnu même dans les articles de presse les plus hostiles). La qualité de ce travail et son volume ne relève pas du jugement des magistrats, pas plus que les galipettes de Strauss-Kahn au Carlton de Lille n'avaient à se retrouver devant un tribunal. La morale n'est pas le droit.
L'auto-saisie du parquet national financier (création de Hollande, peuplé de ses créatures) est anti-constitutionnelle, l'instruction est anti-constitutionnelle. On ira jusqu'au bout de la procédure pour en arriver à cette conclusion (comme avec l'inculpation de DSK dans l'affaire du Carlton) et en attendant on aura truqué l'élection présidentielle.
Qui s'occupe de l'emploi des fonctionnaires à rien foutre qu'on rencontre aux guichets des administrations ? Ces personnes qui préfèrent discuter de leurs affaires de cœurs ou des potins du bureau avec leurs collègues plutôt que d'assurer le service du publique ? Je connais de part chez moi quelques postières et employées de mairie qui ne sont pas loin de l'emploi fictif.
Après, reste le côté indécent des rémunérations versées à ses collaborateurs familiaux comparé à ceux des collaborateurs lambdas.
À noter que la mère Le Pen, elle-même empêtrée dans diverses affaires, adore aussi ce genre de délire et se contredire (à quelques années de distance).
Primo, je n'ai pas de gourou. Et mon choix pour cette présidentielle à venir est fait depuis longtemps : ce sera vote blanc au premier comme au deuxième tour. OK ?
Un député a une enveloppe fixe pour rémunérer ses collaborateurs. Il répartit le contenu de cette enveloppe comme il l'entend, sauf pour les conjoints où il est limité à 50% de l'enveloppe. J'attends le même travail d'inquisition sur les 576 autres députés et 348 sénateurs sur la même période.
http://www.lefigaro.fr/emploi/2017/...1-ce-que-gagne-un-assistant-parlementaire.php
http://www2.assemblee-nationale.fr/...e-parlementaire/les-collaborateurs-de-deputes
Encore une fois, les autres parlementaires ne sont pas candidats à l'élection présidentielle.
Et dans certains pays, dans une situation pareille, il se serait retiré sans même attendre la fin de l'instruction. Mais c'est le charme de la politique française : même avec des casseroles au cul, on s'accroche.
Déjà, je ne vois pas pour quelle raison il devrait se retirer. Il a commit quelle infraction ? Quelle casserole ? À ce jour, aucune n'a été démontrée.
Les juges n'ont pas à être les arbitres du débat politique en France. Le peuple est souverain. Pas eux.