A
de la a dire qu'il y a l'argent sale en suisse :siffle: il n'y a pas qu'un doigt :rateau:GENÈVE (AFP) - Le virus de la grippe peut survivre plus de deux semaines sur un billet de banque, selon une étude de scientifiques genevois effectuée à la demande d'une banque suisse redoutant que les billets contribuent à la propagation d'une éventuelle pandémie.
Pour la seule Suisse, il s'échangerait chaque jour entre 20 à 100 millions de billets de banque.
La banque, dont le nom n'est pas révélé, s'inquiétait de la possibilité de la propagation d'une éventuelle pandémie grippale par les échanges de numéraire, selon le quotidien suisse Le Temps qui a publié mercredi l'information.
Les chercheurs des Hôpitaux universitaires de Genève ont déposé diverses souches de virus grippal sur des billets usagés conservés ensuite à température et humidité ambiantes. Si le virus ne résiste en général à ce régime que quelques heures certains échantillons où les concentrations de virus étaient importantes ont permis la survie des germes pendant plusieurs jours. "Pire: lorsque (le virus) était mélangé à des sécrétions humaines (mucus), il pouvait survivre deux semaines et demie !", a rapporté le quotidien Le Temps.
Pour le virologue Yves Thomas qui a conduit la recherche, "cette stabilité inattendue du virus suggère que ce genre de support inerte non biologique ne doit pas être totalement ignoré dans la préparation à une pandémie".
Les chercheurs genevois vont maintenant étudier dans quelle mesure les billets de banque peuvent réellement contribuer à la propagation du virus, a indiqué M. Thomas en relativisant toutefois largement le risque. Durant les périodes d'épidémie "ce sont avant tout les particules en suspension dans l'air et les contacts directs interhumains (baisers, poignées de main) qui sont la cause première de la transmission du virus", a-t-il souligné.
Et dire qu'on nous reproche le blanchimentLe virus grippal peut survivre plus de deux semaines sur un billet de banque
de la a dire qu'il y a l'argent sale en suisse :siffle: il n'y a pas qu'un doigt :rateau:
Et dire qu'on nous reproche le blanchiment
Cet ajustement est apparu indispensable, chez nous Occidentaux, pour que la machine séduise le consommateur français très à cheval sur la blancheur.
Pour eux, impossible de se passer de poudre dans le tambour, sauf à obtenir un linge «américain» du genre jaunâtre, un peu bouilli et avec une fibre abîmée.
Tais-toi et mange ta soupe...
Est-ce que tout cela fera aimer les épinards, les courgettes aux enfants ? :mouais:
message effacé
Loin de moi l'idée de jouer les Modéro, mais il est strictement interdit de parler politique dans ce sujet, pour ça faut allez voir du côté du Comptoir .
Tous les noms de domaine en .fr ne sont plus seulement régis par le droit commun, mais aussi par de nouvelles règles « beaucoup plus restrictives et limitant, entre autres lexpression et la critique »
« Avant, une marque pouvait lancer une action pour contrefaçon si elle était utilisée pour un même type de produit, explique Manara. Maintenant avec ce décret, elle peut faire supprimer un nom de domaine sans navoir rien à démontrer. Par exemple, Paris peut faire interdire tous les noms de domaine comportant son nom. Ou si vous enregistrez mon-jules.fr, la chaîne de magasins Jules risque de récupérer le nom avant même que vous ayez pu lutiliser pour faire un site pour lhomme que vous aimez. »
Le «Zizi sexuel» leur reste en travers de la gorge
Pédagogie. SOS Education dénonce l’exposition sur la sexualité, plébiscitée par les enseignants.
DIDIER ARNAUD
QUOTIDIEN : lundi 21 janvier 2008
Un comité anti-«Zizi sexuel». Une pétition de 8 000 signatures - selon les organisateurs - pour obliger les chefs d’établissement à expliquer aux parents le contenu de l’exposition dont Titeuf est le héros avant d’y accompagner les enfants. L’association SOS Education, un groupe de pression (lire Libération du 6 janvier 2006) qui dénonce régulièrement l’effondrement du système scolaire, l’omnipotence des syndicats ou la dépravation morale s’en prend cette fois à une expo qui aborde un sujet sensible, la sexualité. Sensible et qui fait recette. Le «Zizi sexuel» ou «l’amour et la sexualité expliqués aux préados», inauguré par Christine Albanel, en octobre, à la Cité des sciences de la Villette, à Paris, ne désemplit pas. 100 412 visiteurs à ce jour, dont 82 000 individuels et 18 000 enfants en groupe, des scolaires, donc.
«Vase».Dans le texte de la pétition, des mots forts. Comme ceux-ci : «Pour corrompre des enfants, nul besoin de leur faire faire des choses ni même de leur montrer des images : quelques paroles suffisent. Le vase de la pureté se brise, les enfants salis ressentent une envie irrésistible de salir les autres.» L’association ne veut pas se taire. Ses membres n’ont pas peur de paraître «réacs ou coincés», comme tous ces «"psys"», journalistes, éducateurs et fédérations de parents qui, eux, n’ont rien trouvé à redire. SOS Education enfonce le clou : «Au contraire, nous devons nous mobiliser pour protéger nos enfants de la pieuvre du sexe cru. Si nous ne trouvons rien à redire à ça, que faudra-t-il pour que nous réagissions ? […] Que les professeurs notent les enfants en classe sur la mise en pratique de ce qu’ils ont vu à l’exposition ? Qu’on leur montre des films pornographiques en maternelle ?» C’est signé Vincent Laarman. Le délégué général de SOS Education ne veut pas «interdire» l’exposition. Juste mobiliser contre.
De quoi s’agit-il ? Le parcours de l’expo traite avec humour et dérision de la sexualité, autour du personnage de Titeuf. On y voit des zizis qui gonflent, des corps qui se couvrent de poils, on y apprend ce qu’est la masturbation, on y trouve des conseils pratiques : «Comment envoyer un message d’amour ?» On y lit aussi des textes délicats sur la pudeur, l’intimité, le coup de foudre… toutes choses qui déplaisent à Elizabeth Pila, 39 ans, mère de quatre enfants, responsable du «comité anti-"Zizi sexuel"» pour SOS Education. Elle trouve les images «très fortes et très crues» etpense que l’exposition, même si «interactive et bien faite», peut déstabiliser les enfants, qui ont besoin d’être éduqués de manière progressive. «Un enfant de 9 ans qui met sa main dans un gant pour activer une essoreuse à langues, ce n’est pas une vision romantique de l’amour», explique Elizabeth Pila. En outre, d’après elle, l’exposition «déresponsabilise les parents», qui ne prennent pas le temps d’aborder le problème de la sexualité avec leurs enfants.
De son côté, Vincent Laarman joue les blasés. Entonne l’air de celui qui «sait déjà ce que Libé va écrire sur le sujet». «A part nous, aucune association n’a protesté», regrette-t-il. «Si vous parlez du sujet sans dire que c’est génial, vous êtes déjà considérés comme suspects», relève-t-il. Il assimile «le concert de louanges» autour de cette exposition à «de la pensée unique». Son action n’a pas été comprise. Certains chefs d’établissement l’ont envoyé balader, lui rétorquant même : «Après votre intervention, on a encore deux fois plus envie d’aller voir l’exposition.» Il persiste. L’expo ne parle pas des valeurs, n’enseigne pas le respect, mais ne se «focalise que sur la parité, le consentement mutuel ou la sécurité (le préservatif) et réduit l’être humain à son aspect physique».
Maud Gouy, la commissaire de l’exposition de La Villette, s’étonne de ces attaques. Elle conseille à ceux qui parlent du «Zizi sexuel» de venir juger sur pièces. Elle rappelle qu’elle a voulu présenter une «approche globale», reste «sûre» de son choix. «Je pense qu’on respecte l’intégrité et la pudeur des enfants», rappelle-t-elle. Pour concevoir l’exposition, elle a, depuis deux ans, rencontré beaucoup d’élèves, des professeurs, soumis ses orientations à un comité scientifique (psychiatre, médecins de PMI).
«Démarche saine».Le public qui se rend à l’exposition vient de tous horizons. Certains n’ont aucune connaissance de leur intimité. Maud Gouy a beaucoup observé les réactions : «A cet âge, le public oscille entre envie de savoir et gêne», dit-elle. De futurs enseignants d’un IUFM de Namur (Belgique) ont guetté les enfants qui visitaient. Ils n’ont «rien trouvé de choquant, trouvé les sujets plutôt abordés avec humour et répondant bien à leurs questions». Pierre Dehalu accompagne ces futurs professeurs. C’est un psychopédagogue de l’IUFM qui trouve «la démarche très saine. On fait une confusion entre les tabous et la vulgarité. Ce qui est montré ici n’est pas vulgaire, c’est intime».
Au ministère de l’Education nationale, on a reçu quatre cartons de pétitions de SOS Education, mais c’est sans commentaires. Vincent Laarman ne parie guère sur ses chances : «On ne s’attend pas à des actes déterminants de leur part.»
Une drôle de veillée funèbre sest déroulée dans le petit village chilien dAngol: un octogénaire sest relevé de son cercueil, sous le regard effaré de ses proches qui étaient en train de le pleurer.
Cest un psychopédagogue de lIUFM qui trouve «la démarche très saine.
IUFM : c'est bien ceux qui appellent un ballon : "un référentiel bondissant" ? C'est bien eux ? Rassurée donc
« Je ne volerais pas une voiture... mais je télécharge des films »
par Astrid Girardeau
tags : politique, vidéo, p2p, téléchargement
« Je ne volerais pas une voiture... mais je télécharge des films » lance le groupe des Verts/Alliance libre européenne dans la vidéo de sa campagne pro-partage I Wouldnt Steal (voir ci-dessous). Le groupe, qui possède 42 sièges au parlement Européen, a en effet décidé de réagir « à la propagande anti-piratage de lindustrie du divertissement » avec un film et un site Internet. Par cette campagne, le groupe sattaque aux multinationales qui, selon lui, cherchent à diaboliser les consommateurs et le partage pour sauver non pas les artistes mais leurs propres bénéfices.
Sur le site, on peut lire le message suivant :
« Chaque fois que vous louez un film, les multinationales de lindustrie des médias vous oblige à regarder leur propagande. Ils prétendent que télécharger des films est la même chose que darracher des sacs, de voler des voitures ou de voler à létalage. Cest tout simplement faux faire une copie est fondamentalement différent de voler.
Lindustrie des médias na pas réussi à offrir des alternatives légales viables et ils nont pas réussi à convaincre les consommateurs que le partage était du vol. Malheureusement, ils ont réussi dans un autre domaine le lobbying pour faire des lois pour criminaliser le partage, en tournant les consommateurs en criminels. Ils affirment que leurs lois sont nécessaires pour soutenir les artistes, mais en réalité, elles sont là pour protéger leurs propres bénéfices.
En Europe et dans le monde entier, les Verts se sont opposés à ces lois. Nous pensons que les consommateurs sont prêts à payer si on leur offre de la bonne qualité à un prix juste. Nous pensons également que le partage favorise lexpansion de la culture non sa mort. »
Sous le slogan « aider les artistes, pas les multinationales », ils lancent également trois propositions pour financer le travail artistique sans attaquer les droits des consommateurs : taxer la publicité (« une forme de pollution mentale, qui vole notre temps et notre attention »), renforcer les droits des créateurs et réformer la répartition des royalties vers un système dégressif (un morceau joué pour la 100 millionième fois rapporterait moins que la 1ère fois) pour éviter quun petit groupe dartistes encaissent la majorité des revenus.
Le film, visible sur YouTube, a aussi été mis à disposition sur BitTorrent via le site de The Pirate Bay. Des politiques qui sassocient à The Pirate Bay ? Une première qui ne manque de ravir ces derniers, qui ont décidé de montrer leur support en affichant un logo aux couleurs de la campagne sur la page daccueil de leur site.
[YOUTUBE]qmXv3naV_IQ[/YOUTUBE]