Essaye toujours, *******.
Bonjour,
Je vous mets quoi comme pain ? Baguette, pain de campagne, tranché, baguepi ?
domaine privé ou professionnel ?
- Créateur du sujet kisbizz
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Bonjour,
Je vous mets quoi comme pain ? Baguette, pain de campagne, tranché, baguepi ?
Buvez c'est mon sang, mangez c'est ma chair, touchez pas c'est mon c.ul.
Bon, ma milanaise chérie.
Ta fille a le sang chaud de sa mère qui lui coule dans les veines, elle sera, elle aussi, la reine des
En attendant, faut raison garder.
Elle a collé une beigne à l'aut' ******* qui l'avait traité. C'est mal. Mais l'aut' l'avait traité. C'est mal.
Alors vu qu'elle croit dur comme fer à son ascension dans la finance internationale, elle va voir le dirlo, elle lui dit que sa charmante camarade n'est pas chrétienne, que elle fait rien qu'à lui chercher des noises, qu'elle l'a insulté en cours devant les témoins qu'elle aura amené, et que donc, ça lui a fait perdre la tête et outillé le bras.
Que promis, elle le refera plus.
Et si y'a sanction, faudra que tu donnes un peu de ta personne auprès du dirlo.
Que veux-tu, les filles cognent, les mères avalent, c'est ça la France d'aujourd'hui.
A
Anonyme
Invité
Tout tenancier d'établissement de restauration qui ne propose du pain qu'à la sortie de son boui-boui mérite qu'on l'insulte copieusement !
A
Anonyme
Invité
Pas con ! En plus, si j'ai bien tout suivi, 'doit rester une place de 16h30 à 18h00 le vendredi. Mais par contre, faut négocier les RTT…
Merci.
:zen:
Que veux-tu, je suis, moi z'aussi, toujours très au fait des disponibilités de chacune, on ne se refait pas.
A
Anonyme
Invité
Je ne crois pas qu'attaquer l'autre quant à ses tort, que "porter plainte" (on est pas au commissariat) pour l'insulte apporte quoi que ce soit à la carrière de ta fille... il faut que ta fille fasse comprendre qu'elle à l'esprit d'entreprise et que ce qu'elle veut c'est dénouer la situation sans toutefois oublier sa dignité. Donc excuses les plus complètes et les plus sincères possibles et volonté de ne pas passer au dessus de l'insulte qui elle aussi demandent "réparation" (ou plus précisément excuses).
Dans ce genre de situation en milieu professionnel, les deux seules réactions possibles face à une insulte sont en premier la diplomatie, et en second la voie hiérarchique (a utiliser avec beaucoup de précautions car il ne faut pas non plus passer pour geignard et procédurier).
Dans ce genre de situation en milieu professionnel, les deux seules réactions possibles face à une insulte sont en premier la diplomatie, et en second la voie hiérarchique (a utiliser avec beaucoup de précautions car il ne faut pas non plus passer pour geignard et procédurier).
Sur la question de droit elle-même (pour rappel, les fits s'étant passés à l'extérieur de l'établissement, la "justice interne" de l'établissement est-elle applicable ?), voici ce que disent les textes qui régissent les établissements publics.
Les textes en question sont :
Décret n°85-924 du 30 août 1985 modifié par le décret n°2000-620 du 5 juillet 2000
Décret n°85-1348 du 18 décembre 1985 modifié par le décret n°2000-633 du 6 juillet 2000
Circulaire n°2000-105 du 11 juillet 2000
Circulaire n°2000-106 du 11 juillet 2000
Bien entendu, s'agissant d'un établissement privé, dont je ne sais s'il est ou non sous contrat, je ne peux présumer de si les textes cités s'appliquent ou pas. En tout état de cause, l'établissement a un règlement intérieur. Mais que cette situation soit ou non mentionnée, le chef d'établissement peut décider d'une convocation à un entretien, s'il le juge nécessaire pour assurer la bonne marche de son établissement.
Les textes ne fixent pas de liste des fautes disciplinaires susceptibles de donner lieu à sanction.
Ces fautes sont constituées par :
un manquement à l'une des obligations que la loi assigne aux élèves ou aux modalités que le règlement intérieur de l'établissement a fixées pour leur exercice. " Les obligations des élèves consistent dans l'accomplissement des tâches inhérentes à leurs études ; elles incluent l'assiduité et le respect des règles de fonctionnement et de la vie collective des établissements " (art. L. 511-1 du Code de l'éducation) ;
une atteinte aux activités d'enseignement ou à l'un des principes régissant le fonctionnement du service public de l'éducation.
une atteinte aux personnes ou aux biens.
Ce sont les établissements, dans le cadre du règlement intérieur, qui peuvent donner des exemples de ces manquements ou atteintes.
L'établissement des faits et l'imputation à l'élève concerné
Les faits reprochés doivent être précisément relatés dans le cadre de rapports écrits complétés selon les cas par :
- des preuves matérielles,
- des témoignages directs,
- des présomptions précises et concordantes.
Doivent être également précisés le lieu et la date.
Des faits commis à l'extérieur de l'établissement peuvent être retenus, dès lors qu'ils ont un lien avec les obligations et la qualité de l'élève en cause (à titre d'exemple, un lycéen qui commet un acte de violence vis-à-vis d'un enseignant à l'extérieur de l'établissement).
Les textes en question sont :
Décret n°85-924 du 30 août 1985 modifié par le décret n°2000-620 du 5 juillet 2000
Décret n°85-1348 du 18 décembre 1985 modifié par le décret n°2000-633 du 6 juillet 2000
Circulaire n°2000-105 du 11 juillet 2000
Circulaire n°2000-106 du 11 juillet 2000
Bien entendu, s'agissant d'un établissement privé, dont je ne sais s'il est ou non sous contrat, je ne peux présumer de si les textes cités s'appliquent ou pas. En tout état de cause, l'établissement a un règlement intérieur. Mais que cette situation soit ou non mentionnée, le chef d'établissement peut décider d'une convocation à un entretien, s'il le juge nécessaire pour assurer la bonne marche de son établissement.
Donc nous avons
1- Jeune fille qui insulte fifille dans l'établissement ( pendant un cours )
concernés :fifille +Jeune fille + prof + directeur
2-fifiile qiui gifle jeune fille
concernés : fifille + jeune fille et c'est tout
(sauf si dans le perimetre exterieur couvert par l'établissement)
3- convocation par Directeur
( ce qui est normal )
fifille se serait tenu tranquille , le directeur passait un savon à la jeune fille
Vu la suite à tort ou à raison le directeur VA tenir compte de la gifle dans sa perception du conflit
Après pas mal de choses dépendent de l'objectif visé qui n'est pas forcément le même pour tous
--faire sortir la vérité
-se justifier
-calmer le jeu
-sanctionner
-faire un scandale
Comme il semble que à la fois fifille et jeune fille souhaitent poursuivre formation voire carrière dans le cadre de cet établissement + entreprise et que les torts sont partagés c'est pas le moment de se montrer machiavélique retors et indigne de confiance aux yeux et de l'établissement et par ricochet de l'entreprise
Mettre les choses au clair calmement en s'expliquant, et concernant les " torts "( de tous) les reconnaitre ou faire reconnaitre par toutes les parties
Dans cette affaire il faut aussi voir que tout le monde est embêté
fifille jeune fille prof et directeur ( qui se serait bien passé d'avoir à régler ca)
Donc il est possible de trouver un terrain d'entente
1- Jeune fille qui insulte fifille dans l'établissement ( pendant un cours )
concernés :fifille +Jeune fille + prof + directeur
2-fifiile qiui gifle jeune fille
concernés : fifille + jeune fille et c'est tout
(sauf si dans le perimetre exterieur couvert par l'établissement)
3- convocation par Directeur
( ce qui est normal )
fifille se serait tenu tranquille , le directeur passait un savon à la jeune fille
Vu la suite à tort ou à raison le directeur VA tenir compte de la gifle dans sa perception du conflit
Après pas mal de choses dépendent de l'objectif visé qui n'est pas forcément le même pour tous
--faire sortir la vérité
-se justifier
-calmer le jeu
-sanctionner
-faire un scandale
Comme il semble que à la fois fifille et jeune fille souhaitent poursuivre formation voire carrière dans le cadre de cet établissement + entreprise et que les torts sont partagés c'est pas le moment de se montrer machiavélique retors et indigne de confiance aux yeux et de l'établissement et par ricochet de l'entreprise
Mettre les choses au clair calmement en s'expliquant, et concernant les " torts "( de tous) les reconnaitre ou faire reconnaitre par toutes les parties
Dans cette affaire il faut aussi voir que tout le monde est embêté
fifille jeune fille prof et directeur ( qui se serait bien passé d'avoir à régler ca)
Donc il est possible de trouver un terrain d'entente
A
Anonyme
Invité
A
Anonyme
Invité
Sans déconner, Pascal… pardonne moi mais…
Parfois, tu me fais peur…
Ces types qui peuvent pas aimer à la fois la carbonnade flamande et l'escalope milanaise, ça me laisse rêveur, pas vous ?
A
Anonyme
Invité
Si ça pouvait se contenter d'être une répulsion culinaire, effectivement, ça serait moins graveCes types qui peuvent pas aimer à la fois la carbonnade flamande et l'escalope milanaise, ça me laisse rêveur, pas vous ?
Et histoire d'aller encore plus loin dans la goujaterie, tout en ramenant ça sur un plan gastronomique, j'ajouterais fortuitement que je préfère les huîtres dans mon assiette plutôt (non, non… que dans mon lit.Bon allez, je le rajoute…
De toute façon...Si ça pouvait se contenter d'être une répulsion culinaire, effectivement, ça serait moins grave
Bon allez, je le rajoute
C'est pas bon, les huîtres !... :o
:siffle:
:rateau:Bande de mangeurs de bananes:rateau:
Personnellement je dirais que dans mon lit toute huitre est bonne à prendre
Si elle est blonde et a forte poitrine :siffle:
tiens c'est pour toi:
Ces types qui peuvent pas aimer à la fois la carbonnade flamande et l'escalope milanaise, ça me laisse rêveur, pas vous ?
d'autant qu'après une bonne carbonnade, une escalope milanaise, ça se mange sans faim...
C'est vrai que depuis que je me suis mis à la cuisine à l'huile d'olive, je vois le monde différemment
d'autant qu'après une bonne carbonnade, une escalope milanaise, ça se mange sans faim...
C'est vrai que depuis que je me suis mis à la cuisine à l'huile d'olive, je vois le monde différemment
Ah ben t'as édité..
J'allais dire que tu avais découvert les plaisirs du sud, toi :love:
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