Il Etait Une Fois....

NED

Membre expert
Club iGen
28 Octobre 2004
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Système DAGOBAH à Paris
www.9eme.net
Connaissez-vous ce jeu ???



C'est assez sympa c'est un jeu de carte où l'on invente une histoire.
Les joueurs peuvent intervenir dans l'histoire et la changer,
car chaque participant possède une fin différente.
On peut intervenir avec d'autres personnages,
des cartes "évènements", des cartes "objets", etc...



Je vous propose donc de jouer avec les mêmes règles,
mais à la Macgéènne.
Je débute l'histoire, et chacun y apporte sa pierre.
Quand le moment est opportun et que l'histoire est bien pleine,
on la termine en trouvant une fin.

:up:

Allez, zou, je commence


Il était une fois un cavalier....
 
NED a dit:
Allez, zou, je commence


Il était une fois un cavalier....[/CENTER]


...qui sortait du fond de la nuit, cours vers l'aventure au galop...
 
Ichabod Crane a dit:
...qui sortait du fond de la nuit, cours vers l'aventure au galop...

s'arrêta tout net, lorsqu'il s'aperçut de l'erreur de conjugaison qu'on lui avait infligé dans la proposition précédente.:rateau:
 
jugnin a dit:
s'arrêta tout net, lorsqu'il s'aperçut de l'erreur de conjugaison qu'on lui avait infligé dans la proposition précédente.:rateau:

Et se dit : " elle ne va pas faire long feu cette histoire si, à chaque erreur un Maître Cappello met son grain de sel"
 
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Réactions: jugnin
Il repartit de plus belle, dès potron-minet il voulait atteindre l'auberge à l'orée du bois. Richelieu ne pouvait pas attendre et cette lettre cachetée non plus ....... tagada tagada dibidiglop dibidiglop.......
 
Arrivé a l'auberge de l'Orée du bois, notre cavalier ouvre la porte de la gargotte fôrestière.
La nuit commeçait. Bon nombre de voyageurs étaient déjà accoudés au comptoir ou en train de boire une bonne cervoise attablés autour d'un jeu de cartes ou dés.
La fumée épaisse des pipes et des cigares masquaient les visages sulfureux de certains personnages aux alures barbaresques...
:rolleyes:
 
Holaaaaaaaa tavernier !!! Criat-il Occupe toi de ma monture, apporte moi quelques cochonnailles, un chapon... une pinte de cervoise et quelques drôlesses !!!!

Oui monseigneur......

Dans le fond de l'auberge un personnage aux yeux vicieux était tapi dans l'ombre......
 
Il fixait de ces prunelles luisantes, notre bon cavalier en train de tripailler.
Soudain, la creature sorti de l'ombre. En un instant elle etait auprès du cavalier. On aurait dit qu'elle s'était téléporté.
Enlevant sa capuche de cuir rabougri, elle s'adresse a notre voyageur de passage....
:nailbiting:
 
Ho ! Monseigneur..... je ne me fourvoie pas, vous êtes Messire d'Abeille ... ??? A ces mots le cavalier lança une large claque sur la croupe de la souillon qui lui faisait face, bu la moitié de sa pinte et écouta l'étrange personnage.

A cette heure, le document que vous deviez remettre à ..... vous savez qui ..... n'est déjà plus entre vos mains ....... Messire d'Abeille devint livide, tâta sa poche..... vide !!!!!!!!!!
 
Le personnage sombre s'écria :
"Ha! Ha! Ha!
Je rigole...mais cela doit être très désapointant pour vous ".
En Effet notre cavalier Messire D'abeille avait perdu sa lettre cachetée de la main du Roy !
"Mon dieu" s'écria-t-il !
C'est une lettre très importante que je dois donner en mains propres au Duc de Laque.

L'homme sombre aux yeux rouges, plissa ses larges sourcils mals coupés et murmura :
" Mais....mmmm....avez vous vraiment les mains propres Messire?"
:afraid:
 
Messire d'Abeille chancela sous la question ..... Il ouvrit ses larges mains..... Bonté gracieuse !!!!!! Non, ses mains n'étaient pas propres..... Il avait coupé la veille chez sa vieille môman, de nombreux sapins et la résine restait collée à ses paumes ..... De toutes façons, il n'avait plus le document.... Mais quand donc lui avait-on volé ????

Il se remémora ses haltes ... une taverne ici, une taverne là... elles se bousculaient dans sa tête, une ribaude ici, une comtesse là et nous lui pardonnerons, un viel ami aussi... Hé oui...

L'homme au sourcils mal coupés s'exclafait toujours... vos amours vous joueront des tours messire..... Messire d'Abeille s'écria : "Maudit sois tu, chacal et d'abord qui es tu ?" et derechef il tira sur la capuche du bonhomme.

Mais.... tu es le demi-frère du Duc de Laque !!!!! Vertu dieu, que fais tu là ?
 
Mais je suis sur mes terres....
Les terres de Laque Duc resquille l'homme à capuche.
Et nonobstant mon apparence non coutumière, je suis ici chez moi !

Messire l'Abeille hurle :
"Tu as volé la lettre, pour empècher ton frère de s'allier au Roy contre les vampires Déssens"

Le cavalier saute sur une table, empoignant sa lame en déclarant à toute l'assistance :
"Au traitre, Au traitre !"
:eek:
 
Pourfendez ce damoiseau vous autres !!!!! cria messire d'Abeille entre deux touches de fleuret !

"et d'ailleurs comment m'as tu volé cette lettre ... manant !"

Le demi-frère du Duc de Laque ne vit pas le coup venir, ... il glissa soudain à terre au grand étonnement d'Abeille qui ne l'avait pas blessé ; ce dernier sauta à terre pour regarder le mourant ; en soulevant sa chemise, il vit un couteau enfoncé entre ses flancs !!!!!

.... et un personnage s'enfuir de la taverne...... à peine dehors il sauta sur son cheval et s'enfuit dans un nuage de fumée.....

Messire d'Abeille revint près du corps presque inerte : "qui t'as payé pour ces basses besognes ?" certainement celui qui vient de te réduire au silence......

"c'est.....pppp... arghhhhhhhhhhhhhhhh"

Il mourut entre ses bras.....
 
Dans sa vieille Chevrolet aux bielles agonisantes, Jack F. Daniels se demandait s'il arriverait à l'aube dans ce trou perdu où l'attendait son mystérieux contact. La pluie battante rendait la chaussée glissante, et le raclement régulier des essuies-glaces déglingués faisait battre ses tempes d'un agacement de plus en plus lancinant.
 
Mais c'est que vous vous débrouillez rudement bien tous les deux !! :up: :up:

J'en ai été déçu que l'histoire soit finie.

J'en commence une, mais je ne suis pas certain d'être très ponctuel et présent pour la suite, mais si ça peut amorcer quelque chose...

Sur la route 66, un homme, le visage buriné et tané par le soleil, essuie ses mains, noires de camboui, sur son jean non moins crasseux. Sous un soleil harassant, devant lui un vieux pick up le capot ouvert semble être collé au bitume.
" Bordel cett' caisse, jamais je n'arriverais à la faire repartir"...
 
C'était donc notre ami Jack F Daniels qui avait réussi à traverser la nuit de tempête, mais cette fois-ci, sa voiture semblait décidée à ne plus avancer. Comment allait-il rejoindre son informateur ?
 
Ichabod Crane a dit:
Mais c'est que vous vous débrouillez rudement bien tous les deux !! :up: :up:

J'en ai été déçu que l'histoire soit finie.

J'en commence une, mais je ne suis pas certain d'être très ponctuel et présent pour la suite, mais si ça peut amorcer quelque chose...

Sur la route 66, un homme, le visage buriné et tané par le soleil, essuie ses mains, noires de camboui, sur son jean non moins crasseux. Sous un soleil harassant, devant lui un vieux pick up le capot ouvert semble être collé au bitume.
" Bordel cett' caisse, jamais je n'arriverais à la faire repartir"...

Merci... moi aussi j'étais déçue que ça finisse ainsi, mais ça reprendra...
 
Déjà il y a une règle...
Il faut commencer par IL ETAIT UNE FOIS"

Désolé d'avoir conclu l'histoire précédente mais je trouvait ça marrant que le mec meurt en agonisant, essayant de dire le nom de son assasin "c'est.....C'est....arrrggnnn" et que le générique de fin se mette en route juste après. Du coup on sait jamais qui c'est. j'aime bien ce genre de gag.
(bref).

Continuons le road movie....

La bagnole était très abimée. Cette vieille américaine s'encanaillait a ne pas redémarrer.
Le vent poussait le sable de la route sur la chaussée.
Ha..Jack ! Vas-tu rester toute la nuit dans ce bled pourri?
;)
 
Ichabod Crane a dit:
Mais c'est que vous vous débrouillez rudement bien tous les deux !! :up: :up:

J'en ai été déçu que l'histoire soit finie.

J'en commence une, mais je ne suis pas certain d'être très ponctuel et présent pour la suite, mais si ça peut amorcer quelque chose...

Sur la route 66, un homme, le visage buriné et tané par le soleil, essuie ses mains, noires de camboui, sur son jean non moins crasseux. Sous un soleil harassant, devant lui un vieux pick up le capot ouvert semble être collé au bitume.
" Bordel cett' caisse, jamais je n'arriverais à la faire repartir"...

Oups, désolé jen'avais pas vu le post de jul 29. Du coup oublie mon début pour reprendre à partir de :

C'était donc notre ami Jack F Daniels qui avait réussi à traverser la nuit de tempête, mais cette fois-ci, sa voiture semblait décidée à ne plus avancer. Comment allait-il rejoindre son informateur ?

C'est ça ?