Il vole, il vole le virus !
- Créateur du sujet louiscypher
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(même qu'une fois – je vous le dis tout net – j'ai essayé de m'auto-bannir… En vain ! J'ai pas les boutons qu'il faut. Pourtant… Au début on en avait plein ! Pis ils ont disparu les uns après les autres. Pas comme par magie, non, à cause qu'on les utilisait mal… Comme si les modérateurs ne savaient pas utiliser leurs outils)
Avec ou sans guillemets ?
Sans.
Du coup, tu ne peux même pas flooder un peu, comme ça, pour rigoler...
Et puis te bannir, pour que justice soit faite ?...
Tu ne peux même pas ???...
Eh non ! Je ne peux pas ! Il me faudrait des droits d'administrateur pour ça…Tu ne peux même pas ???...
Mais là n'est pas la question ! Nous avons une histoire à terminer…
La nuit tombait et les hippies rassemblés autour du feu boucanaient comme des diables, pillavaient comme des outres et gobaient comme des goinfres tout ce qui se présentait à eux. Hippocrate et hippolyte n'étaient pas en reste. Et vas-y que je goûte ceci, que je croque cela, tousse avec ci et m'arrache avec ça… Un vrai festival ! Les substances aidant, les hippo-mâles et hippo-femelles commencèrent à former des couples. Un tel flirtait avec avec sa voisine. Une telle s'amourachait des biceps du chef de bande. Ça devenait hot – comme disent les djeuns. Alors qu'Hippocrate se rapprochait d'une hippo-femelle d'un an son aînée, Hippolyte scotchait sur les reflets des flammes dans l'eau.
Il était pourtant beau gosse notre Hippolyte ! Il savait. Ou plutôt non ! Il ne savait pas qu'il était le centre d'attention de quelques hippo-femelles. Les flammes avaient beau les séparer, elles n'avaient d'yeux que pour lui. Agglutinés à papoter qu'elles étaient, l'une proposa un bain de minuit ! Coquine… Et ignorante du mal qui rongeait Hippolyte.
— C'est con que l'aquaphobie ne soit pas dans les programmes préférés du grand gourou !
— Quoi ?
— Non rien, je cause tout seul ! Ne prête pas l'oreille à ce que je raconte, c'est du fake !
— Du quoi ?
— Du rien ! Je cause tout seul !
— À qui tu causes ?
— Oh pitin ! À personne !
— Qui ?
— Personne !
— Connais pas !
— Normal… Il n'existe pas Personne !
— Ah bah tu causes tout seul alors ?
— Ouiiiiiiiiiiiii ! Voilà !
— Ah… Bah je te laisse soliloquer…
— Merci !
— Ouais… Pense à faire tourner quand même !
— Quoi ?!
— Ouais ! Moi aussi j'aimerai bien causer tout seul… Des fois…
— Ouais mais non… Au fait dis-moi ? T'y connais quelque chose en aquaphobie, toi ?
— Naqoyqatsi ?
— Non… Aquaphobie ?
— Y'a un rapport avec le système Aqua ?
— Hein ?! Environnement Aqua tu veux dire ?!
— Ah mais je ne sais pas moi ! Ça n'est pas moi qui passe mon temps sur un forum informatique non plus !
— Mouais… Bon j'te laisse… Boujou !
— Pis du mieux !
— Quoi ?
— Non rien, je cause tout seul ! Ne prête pas l'oreille à ce que je raconte, c'est du fake !
— Du quoi ?
— Du rien ! Je cause tout seul !
— À qui tu causes ?
— Oh pitin ! À personne !
— Qui ?
— Personne !
— Connais pas !
— Normal… Il n'existe pas Personne !
— Ah bah tu causes tout seul alors ?
— Ouiiiiiiiiiiiii ! Voilà !
— Ah… Bah je te laisse soliloquer…
— Merci !
— Ouais… Pense à faire tourner quand même !
— Quoi ?!
— Ouais ! Moi aussi j'aimerai bien causer tout seul… Des fois…
— Ouais mais non… Au fait dis-moi ? T'y connais quelque chose en aquaphobie, toi ?
— Naqoyqatsi ?
— Non… Aquaphobie ?
— Y'a un rapport avec le système Aqua ?
— Hein ?! Environnement Aqua tu veux dire ?!
— Ah mais je ne sais pas moi ! Ça n'est pas moi qui passe mon temps sur un forum informatique non plus !
— Mouais… Bon j'te laisse… Boujou !
— Pis du mieux !
Donc, si je comprends bien, Hippolyte souffre d'aquaphopie, et de coquines hippo-femelles vont peut-être le guérir de son mal en faisant miroiter dans les reflets de l'eau qu'il regarde fixement les alléchantes promesses d'un bain de minuit...
Et ça semble encore mieux parti pour Hippocrate...
J'ai bien fait de m'abonner à ce thread !...
Malgré son jeune âge et ses quelques 2,000 kilos – ouais à ce sujet, comme ça n'est pas non plus la tasse de thé de Skippy, les hippopotames, je m'y colle un peu mais il peut y avoir des ratés, approximations voire des erreurs flagrantes et remarquables dans les données factuelles rassemblées pour donner l'impression que je m'y connais grave en hippopotamidæ. Mais non ! J'ai horreur de cet animal à défenses. Il me fait peur. D'ailleurs la Savane toute entière m'effraie. Mais bon… On fait avec…
Alors la coquine de deux tonnes – ne riez pas les gars, deux tonnes pour une femelle hippopotame, c'est la taille mannequin affalée dans vos magazines « automobiles » alors piano – contourna le foyer ardent. Elle était déjà chaude comme la braise. Mais là, c'était limite lampyre ardent !
Alors la coquine de deux tonnes – ne riez pas les gars, deux tonnes pour une femelle hippopotame, c'est la taille mannequin affalée dans vos magazines « automobiles » alors piano – contourna le foyer ardent. Elle était déjà chaude comme la braise. Mais là, c'était limite lampyre ardent !
À ce sujet…
Pendant que les coquines lançait l'idée du bain de minuit. Les uns continueaient de s'enivrer tandis que les autres se bécotaient déjà. Et notre Hippocrate draguait Hypothèque, une étudiante en droit venue là avec sa sœur Hyponoïde. Sœur qui s'avère être la coquine du chef des hippies, Hypocentre. Un hippo-mâle des beaux quartiers en totale rébellion d'avec les principes stricts de son paternel, Hypokhâgne…
Et pour ceux qui voudraient déchiffrer les us et coutumes des uns et des autres au-delà même des mots... Hippos ou pas hippos... Je ne saurais trop recommander de re-découvrir ce déconcertant ouvrage de Roland Barthes : "Lampyre des Signes".
:bookworm:
:angelic:
:siffle:
« Alors comme ça ! Monsieur préfère sa musique de dépravés aux Zippo de son père ! » Lui avait-il lancé un soir au dîner. Avant de poursuivre avec des menaces coupant les vivres de ce fils ingrat. À cette époque Hypocentre était sous hippogloutons du matin au soir et inversement.
L'hippoglouton est un puissant stimulant coupant le besoin de dormir. Le cerveau dort par moitié. Le laboratoire & a conduit des expériences sur des rat-taupes. Lesquels aveugles et ne sachant disserner le jour de la nuit ne donnèrent pas de résultats probants quant à la poursuite d'essais sur l'homme. Ils abandonnèrent donc le labo implanté au fin fond de la savane africaine. Et ce qui devait arriver, arriva. Les produits stockés dans des caisses de papiers mâchés ont lâchés !
Le type chargé de l'approvisionnement était fan de Linda de Suza et son tube dont je vous épargne la prononciation – C'est un coup à avoir la chanson dans la tête toute la journée un truc pareil – si bien qu'il commandait toujours des malles en cartons ou assimilés. Un jour qu'ils se baladaient en quête de nourriture pour survivre à l'affreuse sécheresse qui s'abatait sur la région, les hippopotames de la réserve voisine tombèrent sur le butin. Et ce coin de savane si tranquille autrefois devint le repère de l'hippo de Marseille. Çuilà par contre, j'ai oublié son nom…
Hyponoïde, la sœur d'Hypothèque, la fille chauffée à blanc par Hippocrate, le cousin d'Hippolyte… Pfff… Ça en fait du monde à suivre… Trouvez pas ? M'enfin… Hyponoïde avait une connexion avec l'hippo de Marseille. Et Hypocentre avait bien repéré le truc. Venant de la haute, il pensait le coup facile. Draguer à coups de billets de Monopoly n'impressionna pas la miss, loin de là ! Non. Elle craqua pour ses défenses en or ! Hypocentre s'en fichait bien. Tout ce qu'il voulait tenait en trois mots : ne pas dormir !
Et l'hippoglouton qu'Hyponoïde revendait sous le manteau lors des soirées mythic organisés par la plateforme devint, en même temps qu'il partagea sa couche, son second outil de travail. Le premier étant je vous le rappelle la musique de dépravés. Et là… Les spécialistes des reportages sur les hippopotames vont me dire… Gna gna gna un hippo ça dort debout… Ta couche tu peux te la mettre où je pense. Je sais… Sauf que pour l'image mentale suggérée par les mots, couche ça passe mieux que piste de danse par exemple…
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