barbarella a dit:
Sérieusement, qui a lu Qu'est-ce qu'on ne sait pas ?, un hors série des DECOUVERTES GALLIMARD, eh ben c'est pas rassurant, parce qu'on peut répondre sans se vanter : "Tout"
Dans le même esprit, sinon le même genre, chez Pluriel : "Aux frontières de la science. Dictionnaire de l'ignorance".
Quant à ce que dit le Doc, au pourquoi et au comment, j'en dirai peu pour le moment (
. Tout simplement parce que là, je n'ai pas trop le temps
). Simplement que ce post-là, aussi m'a intéressé, comme m'intéressent aussi les déconnades des petits jeunes de MacGé (pour les vieux cons, étant donné que je suis plutôt de ce bord là, vu mon âge, la question ne se pose même pas
). Rien de ce qui est humain ne m'est indifférent a dit je ne sais plus qui, et c'est plein, plein d'humain, tout ça.
Alors juste un peu d'Apollinaire pour l'instant
mais un poème entier, s'il vous plaît et avec le titre(tiré d'Alcools, bien sûr)
Chantre
Et l'unique cordeau des trompettes marines
De quoi parler pour ne rien dire
Je vous renvoie à cette analyse remarquable de la chose :
ici .
Et pour que Barbarella ne se laisse pas emporter par une vague blueso-spleenesque, je lui propose une thérapie que j'employais, sinon à 17 ans, du moins à 20 : gueuler un bon coup (devant sa glace ou chez Delarue, ça n'a guère d'importance) :
"C'est le printemps, bande de cons !"