teo a dit:
Roger Pfund est double national, il est bourguignon et bernois (et donc aussi "Switzerdutsch"), son atelier est en Suisse et il vit en France. Donc français. Peut-être donc pas la peine d'écrire en capitale
Jeanba, je partage ton point de vue. L'½il c'est comme tout ça s'éduque. Et la France s'en fout. Dommage quand on a eu des Garamond et des Savignac.
Français d'adoption, comme pratiquement tous les bon graphiste que la france ai eu jusqu'ici (j'ai bien dit pratiquement, mais en fait, le reste c'est plus que fortement inspiré?).
Et non, le pré n'est pas plus vert chez les autre. Il est très malheureux de dire que cela fait bien longtemps que la culture française dans sont ensemble est en déclin, c'est aussi valable pour les arts graphiques. Notez que ce n'est pas une critique anti-francophone, puisque je suis moi aussi de cette culture. Mais notez aussi qu'un problème en france, c'est une sorte de mini monarchie d'état, je m'explique en bref: à chaque foi que change un ministre ou ou directeur (dans l'administration), il se permet de tout changer, et c'est particulièrement flagrant dans le domaine de la culture. Dans d'autres pays, on a des commissions qui statuent avec des jurys et lorsqu'un nouveau débarque, il ne peut pas se permettre de tout changer (ex. anciens Francs, identités visuelles de diverses institutions ou musées... Orsay, Beaubourg...)
Encore un truc, ici (à Genève, en Suisse?), une personne qui vit en France et qui travail en Suisse, on appel ça un frontalier. Par ailleur, si c'est comme ça c'est probablement que ça coûte moins cher d'habiter en France. Rappelons aussi que la majorités des employés de Rogers nous viennent de Suisse alémanique, seuls quelques rares et les stagiaires sont romands ou français?
Et puis pour terminer, n'oublions pas que Baur, Pfund? ne font pratiquement plus de graphisme, c'est leur employés qui travaillent pour eux. Il ne sont la que pour corriger, signer, faire des conférences et assister aux banquets, autrement dit, s'occuper de leurs gloire très personnelle (qui se souvient de l'ex femme de M. Pfund, avec laquelle il a construit sa renommée)