Lettres mortes

  • Créateur du sujet Créateur du sujet Anonyme
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proche de l'anéantissement et comme épuisés
ces restes d'une matière ensevelie se perdaient
dans la connivence du jour qui finissait.

venait le soir
et son cortège funèbre de figures en détresse.
 
Qu'y a-t-il de plus insupportable?
L'attente ou le fait de savoir déjà que tu ne répondras pas?
Reste l'espoir. Cet infime rayon de lumière sur la vie.
Et le temps qui joue pour ou contre moi.
Va savoir...
 
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Réactions: kisbizz
2 nuits que tu n'es pas là. 2 nuits que je dors. 2 nuits que je n'ai plus d'insomnie.
2 matins où je me lève avec le sourire.
2 jours que je revis. 2 jours que j'apprivoise ma solitude. 2 jours que je me sens bien.

Si j'avais le moindre doute sur ma décision, il s'est envolé. Les prochaines semaines ne vont pas être faciles, mais pour une fois, je vois de la lumière où bout de ce tunnel.
 
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Réactions: Fab'Fab
Espèce de petite enfoirée de batarde de bactérie en grappe.
Je sais que tu es là.
Je te sens.
Je sais bien que j'ai remporté une victoire, et pas la guerre.
Mais puisque tu m'as l'air joueuse, tu vas apprendre que je le suis aussi.
Round 1
L'écrieur 1 - SA 0

2ème round.
Prépare-toi à prendre ta pilée.
 
chère amie,
Ça fait deux ans que ça dure!! T'en as pas marre de te faire autant d'illusions? T'en as pas marre de me pousser à te dire que tu n'as rien à te reprocher? Parce que moi, j'en ai marre de devoir te consoler alors que je devrais te sermonner, j'en ai marre de devoir te comprendre alors que je devrais être outrée!
Est ce que tu comptes te rendre compte que ça ne collera jamais entre vous ou est ce que tu vas continuer à souffrir et à croire que lui aussi, il souffre? NON, il n'en souffre pas!!
Ne vois tu pas que tu lui donnes tout, absolument tout alors que lui il ne donne rien de rien! Comment tu oses me dire qu'il en a fait, des sacrifices??? De quoi tu parles?? Quand est ce que tu es devenue si aveugle??
A chaque fois que je te vois, que je le vois, j'ai envie d'aller lui parler, de lui dire que s'il a réussi à t'hypnotiser, à faire de toi ce qu'il veut, eh bien il n'a pas réussi à me faire croire à son jeu... mais je n'ose pas car je sais qu'il en profitera pour susciter ton soutien encore et encore et qu'il n'en sortira qu'encore plus "pauvre" à tes yeux ..
Pourquoi tu l'aimes autant????

(Si seulement je réussis à lui dire ça un jour!! Ça arrangerait beaucouuuuup de choses)
 
Toi qui ne sait jamais faire un compliment sans un "mais" après
Toi qui sait toujours tout mieux que tout le monde
Toi qui classe le monde en deux catégories: ceux qui sont contre toi et ceux qui ne méritent pas ton intérêt
Toi qui ne sait pas vivre sans échafauder des théories sur le mal qui t'entoure
Toi qui fait tout ce qu'il faut pour m'éloigner de plus en plus

Tu me fais c.hier.
Mais grave...
 
Chère collègue,
comment te dire ........
Comment te dire que tu es aussi moche que tu es conne.
Comment te demander de rentrer tes dents de requin qui rayent le parquet de mon bureau.
Comment te demander gentiment, sans exploser ta face de cul, d'enlever tes grôles de mes arpions.
Comment te dire que ton regard est aussi vif que celui d'une truie. Hommage à la truie qui elle au moins a une utilité.
Comment te dire que ta présence physique me procure les mêmes impressions visuelles et sensitives qu'une méduse.
Pourrais-tu enfin voir à quel point ce que tu prends pour un "style" vestimentaire n'est qu'un exact mélange de tous les mauvais goûts existant.
Comment te faire comprendre que t'es pas la lumière incarnée et que seuls tes gros seins lourds et diformes sont à la même hauteur que ton cul et ton intelligence ....c'est-à-dire très près du sol.
Comment ai-je pu te laisser me dire en réunion que j'avais mauvais caractère sans broncher ?

...Sûrement parce que le calme que j'ai gardé à ce moment là sera mon meilleur alibi quand, entre 4 yeux (dont les deux tiens globuleux et porcins), je te dirai tout cela....

...en toute amitié !
 
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Réactions: jugnin et Aurélie85
Chers gamin,
te rends-tu compte à quel point tu condenses à toi seul toutes mes peurs les plus profondes ?
Combien ton existence même remet en cause les certitudes que j'ai pu et pourrai avoir sur la mienne.
Tout ce dont je croyais ne plus avoir peur pour moi et que je crois avoir peur pour toi.
Mesures-tu, du haut de ta juvénile et éxhubérente insoucience, la puissance et le pouvoir que tu as sur moi.
Le présent de ton attention, de ce sentiment d'admiration, d'amour ou de colère que tes yeux m'envoient sont à chaque fois des mondes à porter sur mes épaules. Une opportunité de me dépasser ou l'occasion de me perdre à jamais.
Mon fils, attends encore un peu avant de devenir un homme...
Je n'ai pas tout compris de l'enfant que j'étais.
 
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Réactions: meskh et Lalla
Comme vous êtes triste !
S’il y a bien quelque chose qui me fait horreur, ce sont les faux-semblants.
Vous êtes idiot. Vous êtes vide. Vous êtes très certainement un peu malade aussi. Stupidité et la maladie font rarement bon ménage. C’est étrange, on ne vous demande rien, mais vous réussissez toujours à nous parler de vous. De vos malheurs banals comme ils nous en arrivent à chacun, nous savons tout. Avec vous l’échange n’existe pas car vous pensez que tout vous est dû. Il n’y a que votre avis qui vous intéresse. Pourtant vous prétendez haïr la race humaine dont vous en êtes dépendant. Tiens, c’est original...
Pauvre de vous, vous êtes incapable d’aimer quiconque. Vous ne savez pas ce que vous manquez. Certes, il faut de la mesure et de la parcimonie comme pour tous plaisirs (l’histoire a trop souvent montré que l’issue des abus passionnés est souvent catastrophique). Oh, vous devez posséder quelques « amis ». Mais oui, ceux que vous choisissez précautionneusement non parce que cela vous fait du bien d’être avec eux (pour une fois que l’occasion de vous faire plaisir sincèrement se présentait), mais parce que cela fait bien d’être avec eux ! Hélas cela ne fonctionne pas. Votre petit manège est transparent et vous n’en restez pas moins risible. Vous jugez, vous parlez, vous gesticulez, vous monopolisez. Ou vous essayez du moins, dans des comédies grotesques, à force de grandiloquence et de longs discours sur l’incommensurable difficulté de l’être. A vous entendre, être « vous » est la pire des malencontres et en même temps le plus beau des cadeaux. Mais votre drame c’est que vous passez pour un raté ou un rigolo, au mieux. Pourtant, malgré vos efforts désespérés, vous transpirez l’insécurité par tous les pores. Vous pensez avoir manqué votre vocation et paradoxalement vous pensez être bien au-delà de cette humanité crasse que vous exécrez et néanmoins vous colle à la peau. Acceptez cette ignoble condition humaine ou maudissez-la, changez le monde si vous vous en croyez capable, mais par pitié, TAISEZ-VOUS !
 
Salut p'tit con,
Je me permet, tu m'excuses, j't'aime bien, tu le sais, mais avec tes cheveux gras, ton acné, tes fringues trop grandes dans lesquelles tu flottes et tes idées de même, comme une sorte de Che de supermarché - la révolution mais sans bouger de ton canapé, tu vois...
Ouais, je sais - vieux con, c'est ça ? Bourgeois...
Tu n'y croyais pas, tu ne voulais pas, pas toi, tu pensais pouvoir échapper à ça. Et finalement non. Tu es devenu moi, c'est comme ça.
Pas la peine de gueuler, si ça ne te plaît pas, fallait devenir quelqu'un d'autre, mon gars !

( Sinon, tu sais, j'ai foiré à peu près tout ce dont tu révais...
Désolé.
Pas tant que ça en vrai - quand je vois à quel point tu es mal dans ta peau et moi bien dans la mienne, je me dis que je n'ai pas tant foiré que ça. )

Ce serait marrant de pouvoir se croiser, en vrai, tu ne crois pas ? - tu me foutrais au poteau et je te foutrais bien quelques coups de pied au cul, pour commencer.
Après, on pourrait discuter.
On inviterait d'autres nous, le mioche gueulard sur le perron, le bouffeur de livre au fond de la classe, pourquoi pas le bedonnant à cheveux blancs qu'on finira bien par devenir un jour - tu verrais comme il ressemble à Papa, celui là !
Ce serait marrant - un peu flippant, peut-être.
Ouais.
Assez flippant.

Je t'écris à toi plus qu'aux autres parce que, je ne sais pourquoi, j'ai une tendresse particulière pour toi.
Je n'ai pas de conseil à te donner, non, ni les numéros du loto, tiens - tu vois, tout n'a pas changé, j'ai toujours la mémoire aussi vérolée.

Rien à te dire - sinon que je t'aime bien.
Voilà.
Petit con, va !
 
Je ne sais pas à quoi tu ressembles aujourd'hui

A une bimbo décorticalisée
A une normalienne surcorticalisée

Comment tu t'habilles
Ce que sont les couleurs des murs que tu longes
Ce que tu aimes
Et ceux que tu aimes

Non, je ne sais pas
Tu sais, je m'en fous
Enfin, juste un peu...

Je ne sais même pas si tu es brune ou blonde

Toi qui n'est pas née
 
Ça fait trois ans.
Déjà trois ans.
Tu ne me manques pas. Tu es seulement là, aux confins de ma conscience.
Comme depuis trois ans, je ne suis pas arrivé à travailler, ce jour-là.
Mais je n'ai plus besoin d'être seul avec toi, comme avant.
J'ai remonté ton cairn, cet hiver. C'était une belle journée, pleine de soleil.
Mardi aussi, c'était une belle journée, pleine de soleil.
 
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Réactions: meskh
Tu sais, j'en ai connu des connes dans ma vie. Sous toutes leurs formes, et des formes différentes, crois moi que vu de côté des mecs, il y en a. Mais jamais, jamais, je n'avais rencontré aussi peu d'intelligence. Mes amis me diront "c'est pas grave, laisse tomber, ignore". Oui, c'est vrai. Mais face à la vraie bêtise, noire et sans fond, à l'absence de réflexion, de compréhension basique, j'ai du mal. Sûrement parce que j'attends plus des femmes que des hommes. Tu es encore plus bête qu'un homme et crois moi : c'est pas simple. Ca nécessite un don, un vrai.
C'est idiot ; il est stupide de vouloir expliquer à quelqu'un de pas très malin qu'il n'est pas très malin, justement. Et moi je persiste. Je suis aussi bête que toi : j'aimerais que tu comprennes que tu es idiote, Justement. Juste pour que tu en tiennes compte, et que tu changes. Combat perdu d'avance. Je n'ai pas la prétention d'avoir la vérité absolue, crois moi. Si je parles de ton Q.I qui ne décolle que difficilement de 0,2, c'est objectif. T'es pas maline, c'est un fait. Accepte le. Nous naissons tous avec une base. Il y a des tas de gens imbitables qui sont malins, et cela ne les rends pas plus sympas à mes yeux. Mais au moins ils savent se situer : ils sont emmerdeurs, ca leur plait, et voilà. Toi tu es idiote, et tu ne le sais pas. Merde, pourquoi as tu croisée ma route ? Pourquoi suis-je si stupide de m'intéresser encore a tes conneries ? Parce que je sais qu'au fond tu n'es pas méchante, volontairement ? Parce que tu es sensible ? Ce n'est pas une raison, ca. Regarde tes amies. Une sensible mais aimant à galères (c'en est même une référence) : un plan foireux, et c'est pour elle, l'autre salope et tellement imbue d'elle même que c'est probablement pour ca qu'elle plait aux mecs : ils veulent juste la baiser pour lui montrer qu'elle n'est bonne qu'a ca. il n'y a que toi et elle pour ne pas le comprendre, et qu'elle pour s'en vanter. Plaire au mecs, être respectable, ce n'est pas juste écarter les jambes pour tendre la cellulite. C'est déclencher l'admiration. Putain de génération : vous êtes nul(les) : à peine capables d'ouvrir un bouquin, un vocabulaire de 3 mots, souvent mal utilisés, d'ailleurs, et le cervelet si peu habitué à fonctionner qu'il est à peine concurrentiel à celui d'un molusque.

Tu veux que je dise ? Ce qui me fait mal en toi, c'est l'humain. J'ai honte d'être comme toi. Je ne te pardonne pas d'avoir honte, parfois, d'être hétéro.
 
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Réactions: meskh
Espèce de vieux c.o.n!
Ouais j'étais à 7h58 dans la buanderie en train d'enlever mes affaires encore mouillées. A 8h c'est ton tour. "Ah non c'est pas possible, faut s'arranger!" Et ton crâne chauve et luisant fracassé contre l'escalier, c'est un arrangement? Tu vois bien que je suis en train d'enlever mes affaires! Une fois, ça arrive une fois et tu gueules? Comment veux-tu que je m'arrange avec une lessive toutes les trois semaines? Moi j'ai une vie active, tu vois... et quand je bosse le matin, comment veux-tu que je fasse? Evidemment, toi tu as trois slips (un par semaine) alors ça ne te prend pas trop de temps... Aaah ça t'a surpris que la jeune dame elle réagisse, hein ? Comme je te l'ai aboyé, dans deux mois je suis partie et tu pourras te rattraper sur le(la) suivant(e)! Alors pour le moment tu te la coinces!
Et tu sais quoi ? Tu pues!
 
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Réactions: Lila et meskh
M. Entité de la chose,

Oui, on ne dort pas. On attend.
Ce futur est entre tes mains quelque part. On théorise, on stratège à donf du slip de mami, on a chaud aussi. Tu n'as pas de pitié. Tu imposes ton rythme merdique au temps qui stagne.
On est objet. Passif extérieurement, actif entre les deux tempes.
Ca boue. Au moins la palme des oeufs durs.
Avec ton sourire vicieux, tu apportes la mayonnaise pour relever cette fade plâtrée de neurones.
On bénie ton existence comme on crache sur ton monument; amer reproduction d'un palais en marbre usé recouvert de lianes épineuses et de mousses asphyxiantes.
Tu nous pourries pour un moment, pi' une pause, pi' ça repart; jusqu'à ce que tu nous aies bouffé le palpitant plus palpitant.

Non. Franchement. Tu nous les brises. On a mal.

Allez zou, nique moi encore une fois, bien acide, avec du gravier, verre et piment.
 
Chère Madame la Rumeur,

Une nouvelle fois je croise votre chemin. Jusqu'à maintenant vous n'aviez touché qu'à ma vie privée dira-t-on, et je vous avoue, j'ai toujours bien ri en vous écoutant. J'ai eu de la chance, vous ne m'avez jamais nuit . Tout était toujours faux, mais vous avez eu le mérite de m'amuser.

Là, vous vous en prenez à ma vie professionnelle. Pendant combien de temps comptez-vous courir ? Ne pourriez-vous pas céder votre place aux certitudes, aux faits ? Je préférerais pour être franche.

"Il paraîtrait que...." "Tu savais que... ?" "On m'a dit que..." Je vous ai assez entendu!

Allez Messieurs les hauts-placés, chassez la rumeur, et ayez le courage de nous dire ce que vous nous réservez. Cela sera beaucoup plus simple pour tout le monde honnêtement.
 
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Réactions: Lalla
bonjours a toi.

je suis désolé, je t'es fait chier pendant des mois et des mois, je suis passer au moins 2 fois par jours, et j'ai eu des question a la con.

mais ne t'en fait pas tout est fini je vais retourné a mes premiers amours, ma zenitude.

et promis je viendrais te voir histoire de boire un café ou bien discuter le bout de gras.

bisous a toi
 
Nous nous connaissions sans vraiment nous connaître. Tu es mon "p'tit cousin". Nous nous voyions à Noël, aux mariages, aux enterrements... Et là, c'est au tien que je vais devoir aller.
Tu viens de finir tes examens, tu les as réussis. Mais à quoi ça sert maintenant...
Comment est-ce arrivé ? Peut-être que nous ne le saurons jamais. J'espère juste que tu n'as pas souffert...

Je garderai de toi le souvenir d'un p'tit gars sympa et intéressant. Je me souviens d'une journée de vendanges il y a 6-7 ans. Tu m'as expliqué pendant tout l'après-midi les légendes de "la Grotte", ses spécificités géologiques...

De où tu es, donne un peu de courage et de force à ton p'tit frère et ta p'tite soeur...

Merde... c'est tout le temps trop jeune pour mourir, mais là, 18 ans, c'est vraiment trop jeune...

S.
 
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Réactions: l'écrieur