- Statut
J'adore ces petites tranches de vie qui rendent la grande plus agréable ... des petites touches de bonheur qui font fleurir le regard...!!!Roberto Vendez a dit:N'empêche.
Qu'il est sympa ce clébard moche !!
D'ailleurs, on devrait ouvrir un thread "tranches de vie" ou on collectionnerait tous nos petits instants insiginfiants mais combien attachants...
ps : c'était pas un "bichon de poils" ???
thebiglebowsky a dit:J'adore ces petites tranches de vie qui rendent la grande plus agréable ... des petites touches de bonheur qui font fleurir le regard...!!!
D'ailleurs, on devrait ouvrir un thread "tranches de vie" ou on collectionnerait tous nos petits instants insiginfiants mais combien attachants...
ps : c'était pas un "bichon de poils" ???
Alors là tout à fait de ton avis, sauf que quand ça déborde de conneries ( les sujets qui peuvent devenir bons) on a plus envie de lire les jolies choses qui sont écrites, ça lasse.....
Alors là, Hélène, je suis entièrement d'accord avec toi que la lecture des sujets sérieux un peu "parasités" par des conneries est fastidieuse ...macelene a dit:
Mais personnellement, et si je considère plus particulièrement mon thread "les petits bouts de craie bleue" (à titre d'exemple), je refuse qu'il devienne un mausolée dans lequel on ne posterait que des choses sérieuses et un peu languissantes ou tristounettes...
J'aime bien ces conneries qui donnent le rythme, j'aime bien quand des choses sérieuses se mélangent allègrement avec le flood le plus dément... ça donne à nos mots la couleur de la vraie vie...!!!
D'ailleurs, j'avoue que je suis le premier à "casser" mes propres threads et à participer à toute manifestation un peu loufoque...
En fait, j'aime assez le désordre !
macelene a dit:
Faut se faire une raison.
Quand tu veux poster sérieusement, tu te fais parasiter en moins de trois posts.
Si tu essaies de recadrer tu te fais envoyer dans le mur.
Pour peu que tu te rebiffes un peu, on te fait comprendre que tu t'énerves tout seul.
Alors, alors ...
Alors, ne reste que ma méthode : accepter que chaque thread (meme sérieux) ne devienne un immense melting pot dans lequel chacun pourra y trouver son compte...PetIrix a dit:Alors, alors ...
...ça me rappelle quand ma mère faisait de la "ratatouille" le midi ... qu'est-ce que je passais comme temps à repérer et à extirper les meilleurs morceaux de viande !!!
thebiglebowsky a dit:Alors, ne reste que ma méthode : accepter que chaque thread (meme sérieux) ne devienne un immense melting pot dans lequel chacun pourra y trouver son compte...
...ça me rappelle quand ma mère faisait de la "ratatouille" le midi ... qu'est-ce que je passais comme temps à repérer et à extirper les meilleurs morceaux de viande !!!
thebiglebowsky a dit:...ça me rappelle quand ma mère faisait de la "ratatouille" le midi ... qu'est-ce que je passais comme temps à repérer et à extirper les meilleurs morceaux de viande !!!
De la viande dans la ratatouille ????
Euh ! pas trop quand meme !!! (y'a Krystof qui traine dans le coin !!!)macelene a dit:Bon, ok je m' incline...........
thebiglebowsky a dit:Alors, ne reste que ma méthode : accepter que chaque thread (meme sérieux) ne devienne un immense melting pot dans lequel chacun pourra y trouver son compte...
...ça me rappelle quand ma mère faisait de la "ratatouille" le midi ... qu'est-ce que je passais comme temps à repérer et à extirper les meilleurs morceaux de viande !!!
Donc tu casses tes propre threads, de peur que l'on te les casse ?
Pour la ratatouille avec la viande, je connais pas (ça doit ressembler au poulet basquaise ?).
thebiglebowsky a dit:Alors, ne reste que ma méthode : accepter que chaque thread (meme sérieux) ne devienne un immense melting pot dans lequel chacun pourra y trouver son compte...
Pas d'accord avec toi le dude.
Faire baisser la pression dans des threads dit plus sérieux que d'autres je veux bien, mais se retrouver avec 2 pages de jeux de mots à la con pour trouver la perle, le post qui sort du lot : NON !!
Moi, ça ne me donne pas envie de les lires, ces sujets qui finissent par se ressembler tous, qui finissent toujours par se remplir des mêmes conneries.
Je ne dis pas qu'il ne faille pas déconner, mais pas tout le temps et systématiquement.
thebiglebowsky a dit:Euh ! pas trop quand meme !!! (y'a Krystof qui traine dans le coin !!!)
bon exemple de "dé-sanctuarisation" d'un thread, bravo
nato kino a dit:
d'accord aussi
De la tenue, svp, ne mélangeons pas les posteurs avec attitude et les posteurs par lassitude
nato kino a dit:
Quand un sujet tient à coeur et que t'essaie de réellement converser, en échangeant des points de vue (principe même du débat) ça n'interresse personne, et on te fait comprendre que tu peux t'occuper de tes oignons!
J'me trompe ?
Faut pas s'étonner après si ça dérape .
PetIrix a dit:Quand un sujet tient à coeur et que t'essaie de réellement converser, en échangeant des points de vue (principe même du débat) ça n'interresse personne, et on te fait comprendre que tu peux t'occuper de tes oignons!
J'me trompe ?
Faut pas s'étonner après si ça dérape .
que cela ne nous empêche pas de tartiner
Et d'ailleurs à propos de tartines, je reconnais que certaines sont émouvantes et dignes d'intérêt. Mais - car il y en a un bien sur - je trouve difficile aux heures de travail, et de travailler (un peu), et de faire semblant (beaucoup), et de me plonger dans la lecture de posts de 50 lignes, qui pourraient m'arracher, qui sait, une larme, ou en tout cas me distraire et me détourner irrémédiablement de mon gagne-pain.
Alors, je zappe, je picore, les plus lisibles étant les plus courts.
Sur ce
Aujourd'hui c'est un jour particulier pour moi. C' est son anniversaire et celui de son Papa.
La Vie a décidé pour nous, pour ELLE, et c'est moche des fois la vie. Même si je vous répète tant de fois "E bella la vita" .
Mes parents avaient choisi que nous serions trois, et des trois, tu es la petite dernière, ma petite soeur. Et tu nous manques. Tu me manques.
Cette soeur que j'ai connue, pas assez en tous cas. On a partagé ensemble sûrement un tas de choses, nos années d'enfance heureuse, baignées d'amour, de joie, de soleil, de peine, de séparation, de petits tracas et des grands, et surtout le bonheur.
On a partagé nos chambres, avec les cabanes sous les édredons.
On a fait du vélo sur les chemins de Suffren, on a fait des sifflets avec des roseaux (c'est maman qui nous a appris), on a fait de la planche à roulettes dans la grande descente, on allait à la plage, et il y avait les oursins , les vagues, le gravier de la plage, la grosse bouée. Que de souvenirs pêle-mêles.
Te souviens-tu de la grosse tortue qui se cachait dans le grand figuier de barbarie au fond du jardin. Le chat Kiki tout roux,
La belle ville, d' Alger La Blanche, berceau de nos balades partout dans les montagnes, dans les déserts, sur les plages, où nos parents nous ont si souvent enmené, pour garder plus tard dans nos yeux toutes ces images magnifiques .
Et puis un jour on a changé de pays, on a partagé encore notre chambre, on grandissait, on devait s' aimer, je crois ?
Et encore une fois on change de ville, la même chambre toutes les deux, tu bosses, je bosse, on est des ados, on devait être pénibles. Ces années où on ne sait pas encore ce que l'on va devenir et ce que le monde nous réserve, où tout est floue et avec un peu de désordre qui trouble l' harmonie de la maison.
Un jour je pars, ton tour viendra.
Tu étais une sacrée jolie fille et tu apprenais la vie.
Toutes ces années sont là dans mon coeur, je m' en parle souvent, on le dirait pas . Mais tu me manques.
Un jour tu as décidé de venir te réfugier là où nos parents avaient décidés de refaire la maison du bonheur, pour nous tous, avec du soleil, des chiens, le chat, des cris d'enfants, des cigales, des odeurs, des grandes tables de copains. Trois années à partager de nouveau. C' était parfois dur. Quelle culpabilité j'ai trimballée d' avoir des enfants, un foyer et pas toi.
Je me sentais un peu l' intruse, mais il m' a semblé trouver un peu de bonheur dans toutes ces années. Tu as donné beaucoup à tes parents. Tu as eu la joie de connaître deux de mes enfants. Ils t' aimaient et t' aiment encore.
On parle souvent de toi, et nous avons mis des photos de toi sur les murs de ma maison. Pour garder cette image, ce visage, ne jamais l' oublier.
Je ne t' oublierai jamais.
Et maintenant, quand arrive l' automne, ton anniversaire et celui de Papa, mon coeur saigne. Elle a tellement de mal à se refermer cette blessure.
Tu me manques, je ne peux plus partager avec toi, mes joies, mes peines. Je peux enfin dire, ce qui chaque fois me fait souffrir. Cette absence cruelle. Qui jamais ne sera comblée. J' aurais tant aimé te confier ce qui fait ma vie. Je sais que tu es seulement passée dans la pièce à côté. Le fil n' est pas rompu. Je sais que tu m' attends pour te raconter la vie, juste de l' autre côté du chemin.
Merci Doc Evil et Thebig (ds "Villes de garndes solitude") de m' avoir donné l' occasion de dire à ma soeur ce que mon coeur pense si fort, en ces jours de Novembre.
.
La Vie a décidé pour nous, pour ELLE, et c'est moche des fois la vie. Même si je vous répète tant de fois "E bella la vita" .
Mes parents avaient choisi que nous serions trois, et des trois, tu es la petite dernière, ma petite soeur. Et tu nous manques. Tu me manques.
Cette soeur que j'ai connue, pas assez en tous cas. On a partagé ensemble sûrement un tas de choses, nos années d'enfance heureuse, baignées d'amour, de joie, de soleil, de peine, de séparation, de petits tracas et des grands, et surtout le bonheur.
On a partagé nos chambres, avec les cabanes sous les édredons.
On a fait du vélo sur les chemins de Suffren, on a fait des sifflets avec des roseaux (c'est maman qui nous a appris), on a fait de la planche à roulettes dans la grande descente, on allait à la plage, et il y avait les oursins , les vagues, le gravier de la plage, la grosse bouée. Que de souvenirs pêle-mêles.
Te souviens-tu de la grosse tortue qui se cachait dans le grand figuier de barbarie au fond du jardin. Le chat Kiki tout roux,
La belle ville, d' Alger La Blanche, berceau de nos balades partout dans les montagnes, dans les déserts, sur les plages, où nos parents nous ont si souvent enmené, pour garder plus tard dans nos yeux toutes ces images magnifiques .
Et puis un jour on a changé de pays, on a partagé encore notre chambre, on grandissait, on devait s' aimer, je crois ?
Et encore une fois on change de ville, la même chambre toutes les deux, tu bosses, je bosse, on est des ados, on devait être pénibles. Ces années où on ne sait pas encore ce que l'on va devenir et ce que le monde nous réserve, où tout est floue et avec un peu de désordre qui trouble l' harmonie de la maison.
Un jour je pars, ton tour viendra.
Tu étais une sacrée jolie fille et tu apprenais la vie.
Toutes ces années sont là dans mon coeur, je m' en parle souvent, on le dirait pas . Mais tu me manques.
Un jour tu as décidé de venir te réfugier là où nos parents avaient décidés de refaire la maison du bonheur, pour nous tous, avec du soleil, des chiens, le chat, des cris d'enfants, des cigales, des odeurs, des grandes tables de copains. Trois années à partager de nouveau. C' était parfois dur. Quelle culpabilité j'ai trimballée d' avoir des enfants, un foyer et pas toi.
Je me sentais un peu l' intruse, mais il m' a semblé trouver un peu de bonheur dans toutes ces années. Tu as donné beaucoup à tes parents. Tu as eu la joie de connaître deux de mes enfants. Ils t' aimaient et t' aiment encore.
On parle souvent de toi, et nous avons mis des photos de toi sur les murs de ma maison. Pour garder cette image, ce visage, ne jamais l' oublier.
Je ne t' oublierai jamais.
Et maintenant, quand arrive l' automne, ton anniversaire et celui de Papa, mon coeur saigne. Elle a tellement de mal à se refermer cette blessure.
Tu me manques, je ne peux plus partager avec toi, mes joies, mes peines. Je peux enfin dire, ce qui chaque fois me fait souffrir. Cette absence cruelle. Qui jamais ne sera comblée. J' aurais tant aimé te confier ce qui fait ma vie. Je sais que tu es seulement passée dans la pièce à côté. Le fil n' est pas rompu. Je sais que tu m' attends pour te raconter la vie, juste de l' autre côté du chemin.
Merci Doc Evil et Thebig (ds "Villes de garndes solitude") de m' avoir donné l' occasion de dire à ma soeur ce que mon coeur pense si fort, en ces jours de Novembre.
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