A
Anonyme
Invité
madonna a dit:
Rhooo ben ..
... T'as de la chance j'ai un sac à faire :siffle: ...
ps : vivement ce soir je suis d'accord !:love:
A
Anonyme
Invité
j'ai pas le droit de bouler... alors je prends le parti de rougir
pis les chiffres je jongle pas avec : c'est un coup à se faire :modo: :rateau:
pis les chiffres je jongle pas avec : c'est un coup à se faire :modo: :rateau:
A
Anonyme
Invité
« J'écris des super trucs, c'est trop d'la balle ! » confiait Marcel Proust à François Mauriac, et force est de constater qu'il n'est pas le seul. Pour celles et ceux qui auraient raté le début du film, voici un résumé des épisodes précédents :
- bengilli
- rezba : 1 | 2
- Foguenne
- Amok : 1 | 2
- supermoquette, alias "Le Coucou inverti de Lausanne".
- sonnyboy
- joanes
- macinside : 1 | 2
- ficelle
- DocEvil
- WebOliver
- anntraxh
- thebiglebowsky
- robertav
- La Suisse, drame bourgeois en deux actes précédé d'un fort émouvant Avis aux nioubies : Première partie | Seconde partie
- Lorna
- Portrait d'une anonyme
- Nephou
- bengilli
- rezba : 1 | 2
- Foguenne
- Amok : 1 | 2
- supermoquette, alias "Le Coucou inverti de Lausanne".
- sonnyboy
- joanes
- macinside : 1 | 2
- ficelle
- DocEvil
- WebOliver
- anntraxh
- thebiglebowsky
- robertav
- La Suisse, drame bourgeois en deux actes précédé d'un fort émouvant Avis aux nioubies : Première partie | Seconde partie
- Lorna
- Portrait d'une anonyme
- Nephou
Les jours passent, puis les saisons et les années. Lui ne change pas ; on reconnait son pas lourd et sa voix fluette aux titres accrocheurs ou abscons mais souvent déjà vus* qu'il sait si bien composer en capitales non accentuées.
Sa patience n'a de limite que le nombre de ses contributions, rarement plus.
Il aime à se fourrer dans la gueule du loup quand il ne se goure pas dans le feule d'Amok.
Il se retrouve tout le temps en slip à force de tomber le futal mais ne prend jamais froid grace à ses nombreuses vestes.
C'est le seul à trembler des menaces de bannissement de mackie
Il sent souvent l'urine.**
Il se révolte pour un rien mais il a sûrement raison non ?
Mais qui ? Le newbie
--------------------------
* on admettra la graphie « déjà bus »
** un petit panneau peut être ?
Sa patience n'a de limite que le nombre de ses contributions, rarement plus.
Il aime à se fourrer dans la gueule du loup quand il ne se goure pas dans le feule d'Amok.
Il se retrouve tout le temps en slip à force de tomber le futal mais ne prend jamais froid grace à ses nombreuses vestes.
C'est le seul à trembler des menaces de bannissement de mackie
Il sent souvent l'urine.**
Il se révolte pour un rien mais il a sûrement raison non ?
Mais qui ? Le newbie
--------------------------
* on admettra la graphie « déjà bus »
** un petit panneau peut être ?
A
Anonyme
Invité
Nephou a dit:
Il y a des nioubies qui n'ont jamais été médiocres et de glorieux anciens qui n'ont jamais pu être autre chose... C'est avant tout une question de personnalité.
A
Anonyme
Invité
Nephou a dit:
on est bien d'accord
Pour la dernière fois : il n'y aura jamais rien de sexuel entre nous !
En fait, c'est plus souvent des Bonjour.Roberto Vendez a dit:
Ce qui est beaucoup plus énervant. :love:
Roberto Vendez a dit:
:zen:
Juste : non non teo ne postillonne pas ses croissants. En tout cas, j'ai pas vu... :siffle:
poildep a dit:Ce qui est beaucoup plus énervant. :love:
Ça c'est un peu fait exprès...
Eh oui, j'ai eu l'insigne honneur de pénétrer dans le bunker de golf... Tout d'abord, il faut se faufiler dans un dédale indescriptible. Ne pas se tromper de secteur, d'immeuble, d'entrée, de couloir, d'ascenseur, de cage d'escalier et enfin de porte.
Enfin, on est arrivé. Mais pas encore à l'intérieur: deux vigiles (ils ressemblent à ceux des points discos négatifs tiens...) vous barrent la porte. Il faut prononcer la phrase magique pour entrer: «Oui, j'ai fais une recherche avant de venir ici.» Miracle, la porte s'ouvre, mais vous n'êtes pas au bout de vos peine: un molosse d'au moins 75 kilos, oreilles comprises, vous accueille, la langue pendante et les pattes acérées. Pas méchant. Plutôt très affectueux, on dira. Après avoir tenté de le repousser, vous arrivez enfin dans l'antre du golf, après vous être accrochés aux lianes de câbles Ethernet et après avoir enjambé des MacPlus/SE traînant un peu partout entre les revues SVM Mac, Vous et votre Mac, et des manuels d'Apple II. Il est là le golf, devant vous, et il modère sec. Ses trois écrans allumés, son G5 et son iBook, à l'affût du moindre nioubie égaré. NetBarrier d'un côté et VirusBarrier de l'autre, nous voilà paré à affronter le Net et ses vandales de grands chemins. Tout va très vite, c'est très impressionnant: fusion, fermeture, scindage de sujets, messagerie privée, iChat et téléphone, tout cela quasi dans la même minute avec quatre ou cinq posteurs différents! :eek:
J'ai tenté d'attraper le réseau Airport: malheur à moi: un système de cryptage avec carte à puce est obligatoire pour y pénétrer, sous l'½il des vigiles. J'ai donc bien vite déchanté pour continuer à contempler ce spectacle inoubliable.
J'ai bien voulu prendre quelques photos. Je m'y suis risqué malgré le panneau l'interdisant à l'entrée: les deux vigiles ont vite fait de me remettre à l'ordre, et de me confisquer au passage mon appareil numérique.
On en revient: mais lessivé.
Tout d'abord, il faut se faufiler dans un dédale indescriptible. Ne pas se tromper de secteur, d'immeuble, d'entrée, de couloir, d'ascenseur, de cage d'escalier et enfin de porte.Enfin, on est arrivé. Mais pas encore à l'intérieur: deux vigiles (ils ressemblent à ceux des points discos négatifs tiens...) vous barrent la porte. Il faut prononcer la phrase magique pour entrer: «Oui, j'ai fais une recherche avant de venir ici.» Miracle, la porte s'ouvre, mais vous n'êtes pas au bout de vos peine: un molosse d'au moins 75 kilos, oreilles comprises, vous accueille, la langue pendante et les pattes acérées. Pas méchant. Plutôt très affectueux, on dira. Après avoir tenté de le repousser, vous arrivez enfin dans l'antre du golf, après vous être accrochés aux lianes de câbles Ethernet et après avoir enjambé des MacPlus/SE traînant un peu partout entre les revues SVM Mac, Vous et votre Mac, et des manuels d'Apple II. Il est là le golf, devant vous, et il modère sec. Ses trois écrans allumés, son G5 et son iBook, à l'affût du moindre nioubie égaré. NetBarrier d'un côté et VirusBarrier de l'autre, nous voilà paré à affronter le Net et ses vandales de grands chemins. Tout va très vite, c'est très impressionnant: fusion, fermeture, scindage de sujets, messagerie privée, iChat et téléphone, tout cela quasi dans la même minute avec quatre ou cinq posteurs différents! :eek:
J'ai tenté d'attraper le réseau Airport: malheur à moi: un système de cryptage avec carte à puce est obligatoire pour y pénétrer, sous l'½il des vigiles. J'ai donc bien vite déchanté pour continuer à contempler ce spectacle inoubliable.
J'ai bien voulu prendre quelques photos. Je m'y suis risqué malgré le panneau l'interdisant à l'entrée: les deux vigiles ont vite fait de me remettre à l'ordre, et de me confisquer au passage mon appareil numérique.
On en revient: mais lessivé.
WebOliver a dit:On en revient: mais lessivé.
Mouarfff...
La Défense, c'est La Défense :rateau:
C'est pas un lieu pour un frêle suisse
WebOliver a dit:Eh oui, j'ai eu l'insigne honneur de pénétrer dans le bunker de golf...
Enfin, on est arrivé. Mais pas encore à l'intérieur: deux vigiles (ils ressemblent à ceux des points discos négatifs tiens...) vous barrent la porte. Il faut prononcer la phrase magique pour entrer: «Oui, j'ai fais une recherche avant de venir ici.» Miracle, la porte s'ouvre, mais vous n'êtes pas au bout de vos peine: un molosse d'au moins 75 kilos, oreilles comprises, vous accueille, la langue pendante et les pattes acérées. Pas méchant. Plutôt très affectueux, on dira. Après avoir tenté de le repousser, vous arrivez enfin dans l'antre du golf, après vous être accrochés aux lianes de câbles Ethernet et après avoir enjambé des MacPlus/SE traînant un peu partout entre les revues SVM Mac, Vous et votre Mac, et des manuels d'Apple II. Il est là le golf, devant vous, et il modère sec. Ses trois écrans allumés, son G5 et son iBook, à l'affût du moindre nioubie égaré. NetBarrier d'un côté et VirusBarrier, nous voilà paré à affronter le Net et ses vandales de grands chemins. Tout va très vite, c'est très impressionnant: fusion, fermeture, scindage de sujets, messagerie privée, iChat et téléphone, tout cela quasi dans la même minute avec quatre ou cinq posteurs différents! :eek:
J'ai tenté d'attraper le réseau Airport: malheur à moi: un système de cryptage avec carte à puce est obligatoire pour y pénétrer, sous l'½il des vigiles. J'ai donc bien vite déchanté pour continuer à contempler ce spectacle inoubliable.
J'ai bien voulu prendre quelques photos. Je m'y suis risqué malgré le panneau l'interdisant à l'entrée: les deux vigiles ont vite fait de me remettre à l'ordre, et de me confisquer au passage mon appareil numérique.
On en revient: mais lessivé.
Enfin du journalisme d'investigation, de l'enquête sur le terrain, de la vraie télé-réalité
LucG (voir ci-dessus et pour cause), est le vieux briscard tel qu'on se l'imagine, du moins tel que l'on peut imaginer les éternels étudiants. Il a parcouru toutes les éditions ayant décidé, alors que les écoles n'étaient pas encore mixtes, que si le jupon valait bien évidemment qu'on le court, rien ne valait de se mettre la science directement dans l'oeil. Au moins, ce "tien" là valait mieux que tous les autres "tu l'auras". N'imaginez pas qu'il vous lorgne d'un mauvais oeil malgré cela. De toute la hauteur de son savoir sélénique, quelques millions de mots vous contemplent. Sa lumière viendra avec de la chance baigner votre frêle demeure d'être au cerveau endormi. Alors il vous fera peut-être ouvrir un oeil voire les deux. C'est là l'une de ses joies. De toute la puissance de son téléobjectif d'érudit il scrute, fouille, cherche. Il va explorer là où vous ne saurez peut-être jamais et où il ne savait pas lui-même, comme nous tous, avant d'y avoir mis sa lunette. Si vous voyez quelque chose briller n'oubliez pas que du haut de sa lune LucG nous contemple.
Je n'ai, hélas, pas son trait de plume pour vous raconter les aventures du WebO au Louvres ou encore au Jardin des Plantes et c'est bien dommageLuc G a dit:Enfin du journalisme d'investigation, de l'enquête sur le terrain, de la vraie télé-réalité
:rateau:Mais je m'appliquerai, à la prochaine ÆS Vaudoise, pour faire un portrait du ch'tit suisse dans les vignes du seigneur puisque telle est la villégiature de celui-ci en Helvétie :siffle:
golf a dit:Je n'ai, hélas, pas son trait de plume pour vous raconter les aventures du WebO au Louvres ou encore au Jardin des Plantes et c'est bien dommage
Mais je m'appliquerai, à la prochaine ÆS Vaudoise, pour faire un portrait du ch'tit suisse dans les vignes du seigneur puisque telle est la villégiature de celui-ci en Helvétie :siffle:
Je suis impatient...
Il y a certainement beaucoup à dire. :siffle: :love:Ce fil est destiné avant tout à décrire des personnes qui nous sont chères, je vais m'employer ici à décrire un lieu... mais qui ne serait rien sans les personnes qui l'on fait et qui le font vivre.
Direction le Sud...
Premièrement, il faut pénétrer dans les remparts. Ensuite trouver la petite ruelle et ensuite apercevoir la porte verte, discrète. C'est là que tout commence alors. La montée, la face nord des Grandes Jorasses. C'est un escalier dingue! J'en voudrais un comme ça chez moi! Comme dans les dessins animés! On tourne, on grimpe, on ne voit jamais arriver le haut, mais on est attiré irrésistiblement par l'odeur des bons petits plats mijotés dans la cuisine, tout là-haut... Pendant la montée, on entend aussi des rires d'enfants qui proviennent du haut, du bas de partout. La maison vit.
Puis, on parvient au sommet, enfin presque tout en-haut. La pièce est accueillante, tout comme les hôtes des lieux. La table est mise et nous invite à faire ripaille. On passe du bon temps dans cet endroit, on rigole, on mange, on parle, on bois, un peu, beaucoup. On vit, on s'amuse, on partage.
On peut aussi continuer l'ascension encore un peu, jusque tout en-haut, on y découvre le Mistral qui nous fouette le visage, mais aussi un paysage magnifique de toits provençaux. On peut fermer les yeux et rêver.
Le moment est venu de redescendre. On a qu'à se laisser glisser pour aller retrouver l'air, parfois frais, du Sud. Pendant la descente, on a alors tout le temps pour se raconter des histoires ou se laisser aller tout simplement.
On a qu'une seule envie, y revenir.
Direction le Sud...
Premièrement, il faut pénétrer dans les remparts. Ensuite trouver la petite ruelle et ensuite apercevoir la porte verte, discrète. C'est là que tout commence alors. La montée, la face nord des Grandes Jorasses. C'est un escalier dingue! J'en voudrais un comme ça chez moi! Comme dans les dessins animés! On tourne, on grimpe, on ne voit jamais arriver le haut, mais on est attiré irrésistiblement par l'odeur des bons petits plats mijotés dans la cuisine, tout là-haut... Pendant la montée, on entend aussi des rires d'enfants qui proviennent du haut, du bas de partout. La maison vit.
Puis, on parvient au sommet, enfin presque tout en-haut. La pièce est accueillante, tout comme les hôtes des lieux. La table est mise et nous invite à faire ripaille. On passe du bon temps dans cet endroit, on rigole, on mange, on parle, on bois, un peu, beaucoup. On vit, on s'amuse, on partage.
On peut aussi continuer l'ascension encore un peu, jusque tout en-haut, on y découvre le Mistral qui nous fouette le visage, mais aussi un paysage magnifique de toits provençaux. On peut fermer les yeux et rêver.
Le moment est venu de redescendre. On a qu'à se laisser glisser pour aller retrouver l'air, parfois frais, du Sud. Pendant la descente, on a alors tout le temps pour se raconter des histoires ou se laisser aller tout simplement.
On a qu'une seule envie, y revenir.
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