Ce que j'aime chez Foguenne, c'est devoir faire un effort pour associer encore son souvenir à MacG.
Ce que j'aime chez Amok, c'est que son imaginaire est plus drôle, plus hétéroclite et plus surprenant que n'importe lequel de ses voyages.
Ce que j'aime chez teo (en dehors de la suite Tour Eiffel), c'est d'avoir remué des cailloux un après-midi avec lui et avoir partagé des moments où l'on n'a plus besoin de se parler.
Ce que j'aime chez Alèm, c'est avoir commencé par ne pas l'aimer. Cela nous laisse de beaux jours.
Ce que j'aime chez yvos, c'est la discrétion de sa curiosité. Ça et un éclat particulier au coin de l'il.
Ce que j'aime chez starmac, c'est la nudité de son cur.
Ce que j'aime chez Sonnyboy, c'est son élégance morale.
Ce que j'aime chez Sindanárië, c'est son génie délirant de l'insulte, la violence de son cur et le talent qu'il met à cacher ses propres fissures en restaurateur scrupuleux.
Ce que j'aime chez Dendrimere, c'est qu'il existe et qu'au moment où j'écris ceci, il y a une rue où il respire.
Ce que j'aime chez BackCat, c'est la nuit.
Ce que j'aime chez Khyu, ce sont ses questions et la fraîcheur de ses remarques.
Ce que j'aime chez rezba, c'est de ne jamais avoir cédé à l'ombre malgré ses tentations.
Ce que j'aime chez LucG, c'est de ne pas permettre qu'on me prenne trop au sérieux.
Ce que j'aime chez supermoquette, c'est le revers de la médaille.
Ce que j'aime chez thebig, c'est l'appeler Jean-Luc et lui écrire quand plus personne ne remarque son absence.
Ce que j'aime chez mado, c'est que, finalement, on ne s'en sort pas si mal tous les deux.