J'ai un logo qui est en fait un mot en une typo rounded bold outlined.
L'intérieur des lettres est blanc l'extérieur un contour noir , on est sous illustrator CS Mac Os X 3.9.
Si j'importe ce logo sous XPress et que je fais le pdf, le logo a changé d'aspect : le contour est étiré dans le sens horizontal, de façon non homothétique, tandis que l'intérieur blanc semble tronqué sur les bords. Quelle horreur.
Retour dans Illustrator, vectorisation des contours haute résolution, re-pdf : no problem !
Tant mieux ! Mais pourquoi alors j'ai fait des centaines d'illustrations en Illustrator auparavant, sans rien vectoriser comme contours ni rien applatir, et sans avoir aucun problème de ce genre ? (sous Mac Os mais aussi Windows XP, et avec Illustrator 9)
Avant je pouvais conserver un seul fichier Illustrator, modifier l'épaisseur du contour, modifier un truc ou 2 etc...
Maintenant avec cette vectorisation obligatoire des contours je suis obligé d'avoir un fichier natif non vectorisé non applati, et un deuxiéme fichier pour l'exportation. Une manipulation de plus. On n'arrête pas le progrès.
L'intérieur des lettres est blanc l'extérieur un contour noir , on est sous illustrator CS Mac Os X 3.9.
Si j'importe ce logo sous XPress et que je fais le pdf, le logo a changé d'aspect : le contour est étiré dans le sens horizontal, de façon non homothétique, tandis que l'intérieur blanc semble tronqué sur les bords. Quelle horreur.
Retour dans Illustrator, vectorisation des contours haute résolution, re-pdf : no problem !
Tant mieux ! Mais pourquoi alors j'ai fait des centaines d'illustrations en Illustrator auparavant, sans rien vectoriser comme contours ni rien applatir, et sans avoir aucun problème de ce genre ? (sous Mac Os mais aussi Windows XP, et avec Illustrator 9)
Avant je pouvais conserver un seul fichier Illustrator, modifier l'épaisseur du contour, modifier un truc ou 2 etc...
Maintenant avec cette vectorisation obligatoire des contours je suis obligé d'avoir un fichier natif non vectorisé non applati, et un deuxiéme fichier pour l'exportation. Une manipulation de plus. On n'arrête pas le progrès.