Actualités amusantes... Ou pas [V.4].

Statut
Ce sujet est fermé.
J'aime le commentaire ""Ce canular ne devrait pas faire l’objet d’une plainte. "On ne souhaite pas donner d’avantage d’importance à ce gag qui ne met pas en cause l’image de l’entreprise", précise la société."

Tu m'étonnes que ça ne met pas en cause l'image de la société. Le bus que je prend le matin roule de la même manière... sans qu'il y ait d'obstacles... juste que le conducteur semble agacé de faire ce boulot et doit prendre des "remontants"... c'est assez réaliste en fait de la réalité... reste à attendre la chute un jour :p :D

C'est pour ça que je ne prends que le métro et le tram. :D
 
Ouais t'as raison, même bourré le metro ça gère :D

[YOUTUBE]<object width="560" height="340"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/v/4mma9w4ecYs&hl=fr_FR&fs=1&"></param><param name="allowFullScreen" value="true"></param><param name="allowscriptaccess" value="always"></param><embed src="http://www.youtube.com/v/4mma9w4ecYs&hl=fr_FR&fs=1&" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="560" height="340"></embed></object>[/YOUTUBE]
 
[Vezøul]Numerø41;5363701 a dit:
Je veux ce canon, ça pourrait me faire gagner du temps quand je fais ma cuisine. :p :D :D

Présentée comme une nouvelle arme non létale, comme le Taser

Cela dit, quand on voit l'effet de quelques simples bières sur Mackie, je pense que dans son cas, le terme d'arme "non létale" ne s'applique pas :siffle:

:D
 
Pas besoin de canon pour vomir. :siffle:

[YOUTUBE]iVroTAfzgRA[/YOUTUBE]

:p :D :D

P'tain p'tain y sort du gros dossier l'iDuck.... Bouge pas...

[YOUTUBE]<object width="425" height="344"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/v/reznkmAwhK8&hl=fr_FR&fs=1&"></param><param name="allowFullScreen" value="true"></param><param name="allowscriptaccess" value="always"></param><embed src="http://www.youtube.com/v/reznkmAwhK8&hl=fr_FR&fs=1&" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="425" height="344"></embed></object>[/YOUTUBE]

:love::love:
 
Ben, on reparlera de ça lorsqu'on te ponctionnera 75% de ton salaire pour faire vivre les trois retraités que, comme chaque actif, tu auras sur le dos d'ici quelques années. Un système de retraite par répartition, pour être viable, doit se situer dans un contexte d'augmentation continuelle de la population, or, lorsque tous ceux de ma génération auront avalés leur bulletin de naissance, c'est une diminution qui se produira, mais avant que ça n'arrive, le baby boom des années 1945-1960 aura engendré un papy boom que le système actuel ne pourra pas éponger. La solidarité inter-générationnelle, c'est bien beau, mais ça ne tient plus la route lorsqu'une génération écrase la suivante par le nombre !

Bien que je sois peu suspect de sympathie pour la droite, sur ce point précis, ils me paraissent plus lucides que la gauche, la seule solution qui permettrait à un système par répartition de tenir ne pourrait être applicable qu'à condition d'être appliqué au niveau mondial, or, nous sommes un des derniers pays tenant de ce système, donc, no way !

La pensée unique fonctionne bien. Il est vrai que les lobbys patronaux et politiques européens mettent le paquet depuis des lustres (les médias bien calés dans leurs mains) pour nous bourrer le chou.

C'est drôle quand même que la seule solution envisagée au problème des retraites par répartition soir celle qui repose essentiellement sur le dos des salariés : l'augmentation de la durée de cotisation. Pourquoi ne pas envisager la refonte des cotisations ? De leur taux et surtout de leur assiette ? Non pas pour que l'on "ponctionne 75 % de mon salaire" comme tu dis, car selon Liem Hoang Ngoc (député PS européen) : « si l'on s'appuie sur les projections du Conseil d'orientation des retraites pour 2040, avec l'hypothèse d'un taux de fécondité de deux enfants par femme, d'un taux de croissance modéré (légèrement inférieur à 2 %), il faudrait, pour équilibrer le système de retraite, augmenter tous les ans de 0,3 % le taux de cotisations sociales (à répartir entre cotisations salariales et patronales). Cela n'est absolument pas insupportable, surtout si l'on élargit, parallèlement, l'assiette des cotisations aux revenus financiers. En répartissant l'effort, on allègerait considérablement le fardeau qui pèse sur les cotisations salariales et patronales » (in Libération, 20.01.2010).

Comment peut-on ne pas se rendre compte qu'il en est de la retraite comme de bien d'autres sujets : santé publique, éducation, protection sociale, services publics ?&#8230; Sous prétexte de directives européennes, de la RGPP (révision générale des politiques publiques), de la "crise", du "réalisme", etc., on casse ou on empêche tout développement de la protection sociale et des services publics ; et quand il y a vraiment de la casse, c'est toujours aux mêmes de devoir faire des sacrifices, pas aux banques et aux grandes entreprises qui se font du fric sur ceux à qui on demande ces sacrifices.

Pauvre Martine Aubry ! Voilà 10 ans, elle réduisait le temps de travail&#8230; hebdomadaire. Aujourd'hui, elle voudrait l'allonger sur la vie entière du salarié.

Non, mon but n'est pas de travailler plus, plus longtemps. Oui, je veux bien payer un petit peu plus pour "sauver" le régime de retraite par répartition, tout en sachant que ce n'est pas dans les poches des salariés que l'argent est vraiment.
 
  • J’aime
Réactions: gwen et PATOCHMAN
La pensée unique fonctionne bien. Il est vrai que les lobbys patronaux et politiques européens mettent le paquet depuis des lustres (les médias bien calés dans leurs mains) pour nous bourrer le chou.

C'est drôle quand même que la seule solution envisagée au problème des retraites par répartition soir celle qui repose essentiellement sur le dos des salariés : l'augmentation de la durée de cotisation. Pourquoi ne pas envisager la refonte des cotisations ? De leur taux et surtout de leur assiette ? Non pas pour que l'on "ponctionne 75 % de mon salaire" comme tu dis, car selon Liem Hoang Ngoc (député PS européen) : « si l'on s'appuie sur les projections du Conseil d'orientation des retraites pour 2040, avec l'hypothèse d'un taux de fécondité de deux enfants par femme, d'un taux de croissance modéré (légèrement inférieur à 2 %), il faudrait, pour équilibrer le système de retraite, augmenter tous les ans de 0,3 % le taux de cotisations sociales (à répartir entre cotisations salariales et patronales). Cela n'est absolument pas insupportable, surtout si l'on élargit, parallèlement, l'assiette des cotisations aux revenus financiers. En répartissant l'effort, on allègerait considérablement le fardeau qui pèse sur les cotisations salariales et patronales » (in Libération, 20.01.2010).

Comment peut-on ne pas se rendre qu'on compte qu'il en est de la retraite comme de bien d'autres sujets : santé publique, éducation, protection sociale, services publics ?… Sous prétexte de directives européennes, de la RGPP (révision générale des politiques publiques), de la "crise", du "réalisme", etc., on casse ou on empêche tout développement de la protection sociale et des services publics ; et quand il y a vraiment de la casse, c'est toujours aux mêmes de devoir faire des sacrifices, pas aux banques et aux grandes entreprises qui se sont du fric sur ceux à qui on demande ces sacrifices.

Pauvre Martine Aubry ! Voilà 10 ans, elle réduisait le temps de travail… hebdomadaire. Aujourd'hui, elle voudrait l'allonger sur la vie entière du salarié.

Non, mon but n'est pas de travailler plus, plus longtemps. Oui, je veux bien payer un petit peu plus pour "sauver" le régime de retraite par répartition, tout en sachant que ce n'est pas dans les poches des salariés que l'argent est vraiment.

J'adore :love: :love: :love: :up:

(désolé de pas pouvoir te bouler...)
 
« si l'on s'appuie sur les projections du Conseil d'orientation des retraites pour 2040

Mais on s'en fout, des projections pour 2040, le problème, il commence maintenant, et en 2040, il sera réglé, et les systèmes de retraite par répartitions auront fait faillite depuis 25 ans !

si l'on élargit, parallèlement, l'assiette des cotisations aux revenus financiers. En répartissant l'effort, on allègerait considérablement le fardeau qui pèse sur les cotisations salariales et patronales »

Tu n'allégerais rien du tout ! On dirait que tu n'as pas lu ce que j'écris !

la seule solution qui permettrait à un système par répartition de tenir ne pourrait être applicable qu'à condition d'être appliqué au niveau mondial, or, nous sommes un des derniers pays tenant de ce système, donc, no way !

Si tu étend l'assiette de cotisations aux revenus financiers, il n'y aura tout simplement quasiment plus de revenus financiers en France !

Quand commencerez vous à comprendre que pour taxer quoi que ce soit, il faut pouvoir le maintenir dans le pays, et que par conséquence, on ne taxe pas les riches (personnes physiques, mais surtout morales … Que ce nom est mal choisi, d'ailleurs, personne amorales serait bien mieux adapté :rolleyes:), car ils ont les moyens de s'expatrier !

Les tenants de la lutte des classes ont toujours perdu de vue que pour que le monde "ouvrier" existe, il faut qu'il y ait des patrons, si les patrons partent, il n'y a plus d'ouvriers, que des chômeurs !

La justice sociale sera mondiale ou ne sera pas, et pour l'instant, elle me parait mal barrée, car elle n'est pas vraiment au programme de la mondialisation telle qu'elle se dessine ces temps ci !
 
Pascal a raison, les raisonnements comme ceux-ci:

si l'on s'appuie sur les projections du Conseil d'orientation des retraites pour 2040, avec l'hypothèse d'un taux de fécondité de deux enfants par femme, d'un taux de croissance modéré (légèrement inférieur à 2 %), il faudrait, pour équilibrer le système de retraite, augmenter tous les ans de 0,3 % le taux de cotisations sociales (à répartir entre cotisations salariales et patronales). Cela n'est absolument pas insupportable, surtout si l'on élargit, parallèlement, l'assiette des cotisations aux revenus financiers. En répartissant l'effort, on allègerait considérablement le fardeau qui pèse sur les cotisations salariales et patronales »
ce sont des hypothèses théoriques "toutes choses étant égales par ailleurs", bref statiques.
Or, ça n'existe que dans les théories ou les films de Walt Disney. la réalité est dynamique et imprévisible.

2% de croissance pour la France c'est une très bonne croissance !!!!
vous n'êtes pas près de revoir un taux pareil et spécialement en rythme annualisé jusqu'en 2040 :D:D

c'est n'importe quoi !!!

Les tenants de la lutte des classes ont toujours perdu de vue que pour que le monde "ouvrier" existe, il faut qu'il y ait des patrons, si les patrons partent, il n'y a plus d'ouvriers, que des chômeurs !
là-dessus je diverge légèrement car la théorie de l'offre a échoué (et la récession/dépression actuelle en apporte la preuve).
ce qui compte ce n'est pas l'offre de travail mais la demande solvable de consommation.
c'est-à-dire que si les offreurs de travail jouent la ligne dure pour limiter les emplois et les salaires (en réalité c'est interdépendant) on se retrouve avec un pouvoir d'achat global limité et une croissance molle.
pour contrer ça, les tenants de la théorie de l'offre nous ont sorti les théories de Milton Friedman. pour faire simple, on peut maintenir un niveau de demande acceptable en inondant une zone monétaire de liquidité (taux directeur bas et masse monétaire en expansion).
sauf que dans les faits les liquidités vont gonfler le prix des actifs, ce qui augmente le prix des dépenses contraintes (logements, transport, électricité, eau...) et pèse encore plus sur le pouvoir d'achat global et finit par poser un sérieux problème de solvabilité.

les salaires aux USA n'ont pas augmenté depuis 1999 en terme réel. de ce fait, seul le crédit facile a permis de maintenir l'illusion de la croissance vigoureuse. mais il en est résulté 3 bulles (immobilière locale, matières 1ères mondiale et actions mondiale). tout ça a fini par exploser...

comment peut-on ne pas se rendre compte qu'il en est de la retraite comme de bien d'autres sujets : santé publique, éducation, protection sociale, services publics ?&#8230; Sous prétexte de directives européennes, de la RGPP (révision générale des politiques publiques), de la "crise", du "réalisme", etc., on casse ou on empêche tout développement de la protection sociale et des services publics ; et quand il y a vraiment de la casse, c'est toujours aux mêmes de devoir faire des sacrifices, pas aux banques et aux grandes entreprises qui se font du fric sur ceux à qui on demande ces sacrifices.
un discours très simpliste.
le problème N°1 c'est la dette parce que si son poids augmente trop, il n'y aura plus personne pour nous prêter de l'argent ou alors à des taux très élevés (je vous signale que l'Irlande et la Grèce sont exactement dans ce cas de figure avec une réduction obligatoire des dépenses publiques sinon c'est le défaut de paiement assuré).
sachant que les taux de la dette d'Etat influencent ceux qui seront attribués par les prêteurs aux entreprises et aux particuliers, c'est un des principaux facteurs de facilité et vigueur de l'investissement privé (entreprises + consommation).

or, l'investissement privé est la source N°1 des rentrées fiscales (archi prouvé).
conclusion: si on veut financer les dépenses actuelles il faut réduire la dette future et donc le déficit budgétaire...

bienvenu dans le monde réel.
 
Mais arrétez avec votre "dette" par-ci, "dette" par-la...
La dette est voulue, elle est même aujourd'hui necessaire aux états. Quant on parle de régler la dette ça me fait bien sourire. Ce qu'il faut ce n'est pas régler, ni même limiter la dette, mais seulement réguler celle-ci. :rolleyes:

Tu veux une solution pour régler ta dette ? tiens, rien de plus facile :

1/ Ça se passe dans un village qui vit du tourisme, sauf qu&#8217;à cause de la crise il n&#8217;y a plus de touristes.
2/ Tout le monde emprunte à tout le monde pour survivre.
3/ Plusieurs mois passent, misérables. Arrive enfin un touriste qui prend une chambre. Il la paie avec un billet de 100$.
4/ Le touriste n&#8217;est pas plutôt monté à sa chambre que l&#8217;hôtelier court porter le billet chez le boucher, à qui il doit justement cent dollars.
5/ Le boucher va aussitôt porter le même billet au paysan qui l&#8217;approvisionne en viande.
6/ Le paysan, à son tour, se dépêche d&#8217;aller payer sa dette à la prostituée à laquelle il doit quelques passes.
7/ La prostituée boucle la boucle en se rendant à l&#8217;hôtel pour rembourser l&#8217;hôtelier qu&#8217;elle ne payait plus quand elle prenait une chambre à l&#8217;heure.
8/ Comme elle dépose le billet de 100$ sur le comptoir, le touriste, qui venait dire à l&#8217;hôtelier qu&#8217;il n&#8217;aimait pas sa chambre et n&#8217;en voulait plus, ramasse son billet et disparaît.
Rien n&#8217;a été dépensé, ni gagné, ni perdu. N&#8217;empêche que plus personne dans le village n&#8217;a de dettes.

Rien de plus simple :D
 
Statut
Ce sujet est fermé.