Actualités amusantes... Ou pas [V.4].
- Créateur du sujet Nephou
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Deleted member 18124
Invité
La demi-journée de banalisation prévue demain après-midi dans les écoles dans le cadre de la consultation sur les nouveaux programmes est reportée à mercredi prochain (jour sans classe).
Dans la commune de l'école où je travaille, la mairie a fait passer une enquête auprès des parents pour savoir s'il était nécessaire de mettre en place un service d'accueil, les instits ont récolté les réponses à cette enquête, réponses que je suis allé porté à la mairie. Et tout ça pour qu'aujourd'hui on apprenne que c'est annulé (donc il a fallu faire des affiches et des mots à mettre dans le cahier pour informer les parents).
C'est vraiment du grand n'importe quoi. :mouais: :mouais: :mouais:
Dans la commune de l'école où je travaille, la mairie a fait passer une enquête auprès des parents pour savoir s'il était nécessaire de mettre en place un service d'accueil, les instits ont récolté les réponses à cette enquête, réponses que je suis allé porté à la mairie. Et tout ça pour qu'aujourd'hui on apprenne que c'est annulé (donc il a fallu faire des affiches et des mots à mettre dans le cahier pour informer les parents).
C'est vraiment du grand n'importe quoi. :mouais: :mouais: :mouais:
D
Deleted member 18124
Invité
Bien sur que si il doit y avoir une enquête dans la mesure où il est probable que sa mort ne soit pas de cause naturelle. Après reste à savoir jusqu'où elle doit aller et ce qu'on doit faire de ses conclusions.
Encore une fois on mélange l'affect et le judiciaire.
Le rôle des investigateurs (Police et Médecins légistes) n'est pas de déterminer sur quel cas on doit enquêter ou pas mais de relever des indices et d'essayer d'en tirer des conclusions. Il y'a mort suspecte donc il y'a enquête même si celle-ci peut se résumer à quelques constatations simples. Point. Ensuite c'est à la magistrature de déterminer ce qu'il y'a lieu d'en faire.
Si non où est la limite?
A
Anonyme
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A
Anonyme
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Deleted member 18124
Invité
Comment presque éliminer les fouilles corporelles dans les avions 
J'ai comme l'impression que cette petite phrase va en décevoir plus d'un
J'ai comme l'impression que cette petite phrase va en décevoir plus d'un
C'est quand qu'on pourra aller à la plage sur Titan ?
Pourquoi aller si loin ? essaye donc Berck sur mer ou Bray-Dunes... :rateau:
Pourquoi aller si loin ? essaye donc Berck sur mer ou Bray-Dunes... :rateau:
Hum ... Pas assez au nord pour soutenir la comparaison, je pense que le plus près qui puisse légèrement soutenir la comparaison, ce sont les plages de la côte nord du Spitzberg, et encore, l'épaisseur de glace à creuser pour atteindre l'eau sera certainement sans commune mesure :siffle:
D
Deleted member 18124
Invité
Titan, ça a une autre allure quand même. :oPourquoi aller si loin ? essaye donc Berck sur mer ou Bray-Dunes... :rateau:
Faut être un peu givré pour aller se les geler là-bas. :siffle:Hum ... Pas assez au nord pour soutenir la comparaison, je pense que le plus près qui puisse légèrement soutenir la comparaison, ce sont les plages de la côte nord du Spitzberg, et encore, l'épaisseur de glace à creuser pour atteindre l'eau sera certainement sans commune mesure :siffle:
Faut être un peu givré pour aller se les geler là-bas. :siffle:
Pourtant, comparé à Titan, les températures y sont plutôt caniculaires, pas loin de 100° de plus au plus froid de l'hivert :siffle:
A moins de me tromper lourdement (il y a peut-être ici des spécialistes qui pourront nous éclairer plus précisément) un boomerang* doit logiquement se comporter en apesanteur de la même façon que sur la terre : son déplacement s'effectue par l'action de l'air déplacé lors de son mouvement sur ses "pales" qui, comme pour un avion, comportent un bord d'attaque et un bord de fuite, ainsi qu'un angle particulier calculé pour le virage. Dans cette logique, seul l'air sur lequel il s'appuie guide sa course, la gravité n'agissant que lorsqu'il arrive en fin d'énergie... Pour le faire tomber si personne ne l'a récupéré avant sa chute finale.
Donc, suivant cette logique : avec un minimum d'air sur lequel il peut "s'appuyer" (ce qui doit être le cas lors de cette expérience : le boomerang ne "vole" pas dans l'espace mais dans la station), et avec une énergie donnée par un poignet sachant l'envoyer, l'engin agira comme d'habitude. Je suppose que si on prend un petit planeur et qu'on le propulse, il "volera" de la même façon, en tournant si ses ailerons sont positionnés de façon a le faire tourner. L'absence totale de vent dans ces conditions doit en plus être un point positif pour la réussite totale de l'expérience.
Non ?
Ceci étant, ceux qui ont pratiqué ce noble sport, issu du fond des âges farouches (Rahan lui-même l'a utilisé je crois dans une de ses aventures
), te diront à juste titre que l'engin, même sur terre, ne fait pas toujours demi tour : il faut aussi savoir l'envoyer.*Nous parlons ici d'un boomerang sérieux, fabriqué dans les règles de l'art pour agir de cette façon, pas d'un jouet de plastique. Ceux que l'on peut par exemple trouver dans les magasins de sport et destinés aux pratiquants sportifs ou a la compétition. Vu la personne qui a confié l'objet à l'astronaute, je suppose que nous avons affaire là à un objet de qualité.
A moins de me tromper lourdement (il y a peut-être ici des spécialistes qui pourront nous éclairer plus précisément) un boomerang* doit logiquement se comporter en apesanteur de la même façon que sur la terre : son déplacement s'effectue par l'action de l'air déplacé lors de son mouvement sur ses "pales" qui, comme pour un avion, comportent un bord d'attaque et un bord de fuite, ainsi qu'un angle particulier calculé pour le virage. Dans cette logique, seul l'air sur lequel il s'appuie guide sa course, la gravité n'agissant que lorsqu'il arrive en fin d'énergie... Pour le faire tomber si personne ne l'a récupéré avant sa chute finale.
Donc, suivant cette logique : avec un minimum d'air sur lequel il peut "s'appuyer" (ce qui doit être le cas lors de cette expérience : le boomerang ne "vole" pas dans l'espace mais dans la station), et avec une énergie donnée par un poignet sachant l'envoyer, l'engin agira comme d'habitude. Je suppose que si on prend un petit planeur et qu'on le propulse, il "volera" de la même façon, en tournant si ses ailerons sont positionnés de façon a le faire tourner. L'absence totale de vent dans ces conditions doit en plus être un point positif pour la réussite totale de l'expérience.
Non ?
Disons que ça n'était pas évident, probable, mais pas évident. En effet, si l'aérodynamique est majoritairement responsable du comportement dynamique de cet instrument, la trajectoire qu'il adopte n'est pas une simple boucle dans un plan, mais bien une courbe en 3D assez complexe (qui n'a finalement pu être modélisée que dans le courant des années 80 si ma mémoire ne m'abuse), et il y avait dans la modélisation de cette courbe un paramètre gravitationnel qui, pour être mineur, n'en était pas moins présent. La modification de ce paramètre n'ayant pas été envisagée dans l'étude (dans les calculs de laquelle il était en fait pris en compte comme constante, et pas vraiment comme paramètre), on n'avait pas d'information sur le comportement de l'engin en cas de modification d'icelle (la gravité), on supposait donc, avec une bonne probabilité d'avoir raison, que la modification de trajectoire engendrée par la faible gravité n'aurait que peu d'importance, et que le comportement général du boomerang en serait peu affecté, mais ça n'avait pas été démontré.
Ceci étant, ceux qui ont pratiqué ce noble sport, issu du fond des âges farouches (Rahan lui-même l'a utilisé je crois dans une de ses aventures
Ouais, ben ça, ça suffit pas : faut aussi savoir le réceptionner :casse:
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