A
Anonyme
Invité
Je ne critiquais pas le fond.
La série TV est sans doute un équilibre très difficile à trouver - plus tu développe une atmosphère particulière, un vrai récit de fond, un univers original, plus tu peux avoir de vrais fans, mais moins tu chope facilement le tout venant un peu rebuté par l'effort à faire pour rentrer dedans (le téléspectateur zappant est, par définition, paresseux...)
A l'inverse, plus tu fais du "easy entering" (un épisode = une histoire, pas de répercussion d'un épisode sur l'autre, balance millimétrée action/parlotte par épisode, etc.) plus tu chopes de monde, mais aussi plus tu as de turn-over parmi ceux qui regarde par excès de stéréotype à tous les niveaux.
A mon avis, pour le peu que j'en ai vu, pour le public américain "moyen" BSG a un peu trop versé dans le premier écueil.
La série TV est sans doute un équilibre très difficile à trouver - plus tu développe une atmosphère particulière, un vrai récit de fond, un univers original, plus tu peux avoir de vrais fans, mais moins tu chope facilement le tout venant un peu rebuté par l'effort à faire pour rentrer dedans (le téléspectateur zappant est, par définition, paresseux...)
A l'inverse, plus tu fais du "easy entering" (un épisode = une histoire, pas de répercussion d'un épisode sur l'autre, balance millimétrée action/parlotte par épisode, etc.) plus tu chopes de monde, mais aussi plus tu as de turn-over parmi ceux qui regarde par excès de stéréotype à tous les niveaux.
A mon avis, pour le peu que j'en ai vu, pour le public américain "moyen" BSG a un peu trop versé dans le premier écueil.