Oh purée c'est le nom que je cherchais de la petite salle où j'avais vu les High Tone y'a .. dix ans !!! Merci :love:
En effet, elle n'existe plus
C'est une salle mythique qui faisait passer assez radicaux. Un vrai bonheur :love:
Concert(s) & spectacle(s) vu(s) dernièrement?
- Créateur du sujet DandyWarhol
- Date de début
C'est une salle mythique qui faisait passer assez radicaux. Un vrai bonheur :love:
Hello
Hier à Milan: Natacha Atlas.
Arrivés à 20h30 presque personne, genre 20 personnes (le concert commançait à 21h). On est entrés et petit à petit jusqu'à 21h30 la salle s'est remplie, pour etre presque pleine au final.
Le concert à duré environ deux heures. Il y avait uniquement Natacha, et 4 musiciens. Il semblait y avoir des soucis au niveau du son, car très souvent durant le concert elle faisait des signes à la console, et du coup elle ne semblait pas trop concentrée sur son concert pendant au moins une heure. Je l'ai trouvé peu souriante, et elle n'a pas trop parlé, ni meme bougé. Ce n'est pas le meilleur concert de Natacha Atlas que j'ai vu.
On a pu retrouvé aussi ses grands titres, (mon amie la rose, spell on you etc..) mais l'enthousiasme était un peu absent, meme auprès des musiciens.
Le public a assez dansé, mais je pense que ça aurait pu etre beaucoup mieux.
On ne peut pas etre au top tous les soirs..
DW
Hier à Milan: Natacha Atlas.
Arrivés à 20h30 presque personne, genre 20 personnes (le concert commançait à 21h). On est entrés et petit à petit jusqu'à 21h30 la salle s'est remplie, pour etre presque pleine au final.
Le concert à duré environ deux heures. Il y avait uniquement Natacha, et 4 musiciens. Il semblait y avoir des soucis au niveau du son, car très souvent durant le concert elle faisait des signes à la console, et du coup elle ne semblait pas trop concentrée sur son concert pendant au moins une heure. Je l'ai trouvé peu souriante, et elle n'a pas trop parlé, ni meme bougé. Ce n'est pas le meilleur concert de Natacha Atlas que j'ai vu.
On a pu retrouvé aussi ses grands titres, (mon amie la rose, spell on you etc..) mais l'enthousiasme était un peu absent, meme auprès des musiciens.
Le public a assez dansé, mais je pense que ça aurait pu etre beaucoup mieux.
On ne peut pas etre au top tous les soirs..
DW
A
Anonyme
Invité
Bon alors mes derniers concerts:
Vedredi dernier (04.05.07), au "Romandie" à Lausanne: Greta Gratos, la "Diva Cosmique".
Je dirais pour résumer que la musique de Greta Gratos a la saveur chimique un peu acide et pétillante des bonbons que l'on mangeait gamins... Genre "tiki" vous connaissez?
C'est un peu écoeurant, un peu artificiel, ça mousse dans la bouche, mais cela a un goût de reviens-y. On ne sait pas vraiment si on aime ou non.
Ben voilà, Greta Gratos c'est sorte de techno-dance régressive qui rappelle le milieu des années 90, à l'époque de "la Bouche", "Coronna" et "Faithless" (le seul groupe qui ait bien vieilli à mon humble avis), pour ne citer qu'eux.
Haaaaa mes premières "boum"... (ben ouais j'avais 10-11 ans ).
Assez court, je dirais une heure, mais ça suffit largement... Certaines parties en play-back, dommage... mais projection d'images "intéressantes" en arrière-plan.... Jolie robe et coiffure incroyable piquée d'énormes fleurs de lys.
Les liens:
Le site officiel (à voir et à écouter)
Un article (à lire et à écouter)
Hier soir: La petite messe solennelle de Rossini. Un choeur, 4 solistes, un piano, un harmonium (pas de d'orchestre)
Je ne suis pas une spécialiste mais voilà ce que je peux en dire:
C'est court: 1h20 environ (ça dépend du tempo que le chef choisi...). Cette oeuvre est pleine de caractère, elle est prenante. Solennelle comme son nom l'indique. Un peu grave certes, mais pas seulement. Il en ressort beaucoup de joie aussi.
Cette messe est formée de toute les parties habituelles : le Kyrie (la partie la plus connue de cette messe, c'est "un de ces trucs que vous avez déjà entendu"), le Gloria, le Gratias, le Domine Deus, etc. Je ne vais pas vous faire le topo.
Je ne suis pas quelqu'un de très religieux et les "qui tollis pecata mundi" ou ce genre de choses ne me parlent que très peu. Néanmoins, la petite messe solennelle de Rossini est "accessible" parce qu'elle est désservie par des harmonies agréables assez "pop" quand on y pense ... Et puis bon... Rossini c'est un compositeur de l'époque dite "romantique", alors... :love:
Les liens:
Un descriptif cette messe (assez complet et facile à lire)
Sa vie sur wikipédia
Vedredi dernier (04.05.07), au "Romandie" à Lausanne: Greta Gratos, la "Diva Cosmique".
Je dirais pour résumer que la musique de Greta Gratos a la saveur chimique un peu acide et pétillante des bonbons que l'on mangeait gamins... Genre "tiki" vous connaissez?
C'est un peu écoeurant, un peu artificiel, ça mousse dans la bouche, mais cela a un goût de reviens-y. On ne sait pas vraiment si on aime ou non.
Ben voilà, Greta Gratos c'est sorte de techno-dance régressive qui rappelle le milieu des années 90, à l'époque de "la Bouche", "Coronna" et "Faithless" (le seul groupe qui ait bien vieilli à mon humble avis), pour ne citer qu'eux.
Haaaaa mes premières "boum"... (ben ouais j'avais 10-11 ans
).Assez court, je dirais une heure, mais ça suffit largement... Certaines parties en play-back, dommage... mais projection d'images "intéressantes" en arrière-plan...
. Jolie robe et coiffure incroyable piquée d'énormes fleurs de lys. Les liens:
Le site officiel (à voir et à écouter)
Un article (à lire et à écouter)
Hier soir: La petite messe solennelle de Rossini. Un choeur, 4 solistes, un piano, un harmonium (pas de d'orchestre)
Je ne suis pas une spécialiste mais voilà ce que je peux en dire:
C'est court: 1h20 environ (ça dépend du tempo que le chef choisi...). Cette oeuvre est pleine de caractère, elle est prenante. Solennelle comme son nom l'indique. Un peu grave certes, mais pas seulement. Il en ressort beaucoup de joie aussi.
Cette messe est formée de toute les parties habituelles : le Kyrie (la partie la plus connue de cette messe, c'est "un de ces trucs que vous avez déjà entendu"), le Gloria, le Gratias, le Domine Deus, etc. Je ne vais pas vous faire le topo.
Je ne suis pas quelqu'un de très religieux et les "qui tollis pecata mundi" ou ce genre de choses ne me parlent que très peu. Néanmoins, la petite messe solennelle de Rossini est "accessible" parce qu'elle est désservie par des harmonies agréables assez "pop" quand on y pense
... Et puis bon... Rossini c'est un compositeur de l'époque dite "romantique", alors... :love: Les liens:
Un descriptif cette messe (assez complet et facile à lire)
Sa vie sur wikipédia
Bon alors mes derniers concerts:
Vedredi dernier (04.05.07), au "Romandie" à Lausanne: Greta Gratos, la "Diva Cosmique".
Je dirais pour résumer que la musique de Greta Gratos a la saveur chimique un peu acide et pétillante des bonbons que l'on mangeait gamins... Genre "tiki" vous connaissez?
C'est un peu écoeurant, un peu artificiel, ça mousse dans la bouche, mais cela a un goût de reviens-y. On ne sait pas vraiment si on aime ou non.
Ben voilà, Greta Gratos c'est sorte de techno-dance régressive qui rappelle le milieu des années 90, à l'époque de "la Bouche", "Coronna" et "Faithless" (le seul groupe qui ait bien vieilli à mon humble avis), pour ne citer qu'eux.
Haaaaa mes premières "boum"... (ben ouais j'avais 10-11 ans
Assez court, je dirais une heure, mais ça suffit largement... Certaines parties en play-back, dommage... mais projection d'images "intéressantes" en arrière-plan...
Les liens:
Le site officiel (à voir et à écouter)
Ah! Un Tiki, exactement! Voilà le bon mot! :sick:
Marie, tu as oublié de dire l'essentiel! La bise en fin de soirée!
C'est dégueulasse, moi aussi je veux être un mec, et être aussi bien montée qu'elle/lui.
Si jamais, je crois que l'entier du concert était en play-back, étant donné la petite révérence à la fin de chaque titre. :zen: histoire de faire genre comme si on s'éloigne du micro et après hop on revient pour dire un "merci, vous êtes magnifiques". :sleep:
Je rigole hein, je me suis pas endormie, la bière aidant.
Bon, je vais vous faire part de mon dernier concert en date: ça va faire plaisir à Teo, Les Youngs Gods! Oh joie! Mais heu... honte à moi, je ne connaissais que très peu, seulement de nom et quelques titres écoutés dans la voiture de mon père m'amenant à la "fac". Mais oh joie! (Je suis partie très négative, genre, la quarantaine, du rock, suisse qui plus est, non non , c'est pas pour moi.) Mais oh joie! quelle découverte! Quel concert! Quel pêche sur scène! Et puis et puis, le plus important, c'est que j'ai vraiment apprécié la musique, et que sur cd, ça fait très "suisse", je sais pas comment définir "suisse", mais on sent que y a comme un truc de travaillé un peu trop, ou trop soigné, ou c'est peut-être ce son "suisse". Bref, je sais pas pourquoi et comment le définir ce son "suisse", mais ça le fait en concert, beaucoup plus que sur cd! Allez-y s'ils passent dans votre région! Ils tiennent un rythme hallucinant sur scène, la foule était en délire et en sueur!
Pour la première partie, ce fut également une jolie découverte, Les poissons autistes. Des jurassiens qui font de la musique space avec des archets sur des guitares électriques.
Mouarf. Paraît qu'il faut ré-interdire l'absinthe au Jura.
A
Anonyme
Invité
Aurélie85 a dit:Des jurassiens qui font de la musique space avec des archets sur des guitares électriques.
Paraît qu'il faut ré-interdire l'absinthe au Jura.
Tu m'étonnes...
Et oui, tout le concert était en play-back (paraît que c'est courant dans le milieu des dragqueen/trans... Je ne suis pas une spécialiste
).
31,2£ la place, ça donne déjà à réfléchir Je suis fan, mais à Londres, je crois que je vais encore passer cette fois-ci
Et puis, parler d'un Earth Tour 2007 et faire 21 dates à Londres pour représenter l'Europe, j'appelle ça du foutage de gueule. Quelques dates en France, en Europe du Nord du Sud de l'Ouest et de l'Est aurait été les bienvenues.
Avec tout les respects dus à Son Immensité Pourpre, j'écouterai religieusement à la maison les 500 morceaux du nabot violet (499 pour être précis) en ma possession et ça ira bien comme ça
Smashing Pumpkins - Paris - Grand Rex / 22 mai 07
Concert archi complet, les billets s’étaient quasiment vendus dans le quart d’heure qui a suivi leur mise en vente. Il faut dire que l’affiche était alléchante, puisque c’est le 1er concert programmé de leur tournée mondiale, et leur grand retour après 7 ans d’absence et la séparation en 2000. Donc c’est l’effervescence aux abords de cinéma, ca parle anglais à tout va, le public a l’air d’être particulièrement connaisseur, et les vendeurs au marché noir font leur boulot avec un grand sourire, preuve supplémentaire de l’importance de l’évènement.
Personnellement, j’ai eu une chance énorme, parce que je n’ai obtenu mon précieux sésame que la veille du concert par tirage au sort. Je suis de plus merveilleusement bien placé 10ème rang, plein centre. Il n’y a quasiment que des places numérotées - au nombre de 2200 environ.
A 20 h 30 précises, ca commence par une introduction musicale comme on en rencontre de plus en plus souvent. Et c’est l’arrivée sur scène. Du groupe orignal, ne subsistent que Billy Corgan (chanteur/lead guitar) et Jimmy Chamberlain (batteur), et comme on ne change pas un équipe qui gagne, il y a une bassiste Ginger Reyes (qui ressemble à Elsa Fayer), et un guitariste asiatique Jeff Schroeder - en remplacement respectivement de D’Arcy et James Iha - presque une copie conforme point pour point.
Dès le début du set, ca commence fort, et les guitares sont distordues à l’envi. La voix est bien présente, et l’équilibre sonore excellent, même s’il y a quelques duretés dans l’aigu, certainement dues à la salle. Ils impressionnent sur scène, tout de blanc vêtus, sorte d’alchémie entre Nosferatu et Startrek, pour peu, on se croirait à la messe... Ca commence par “United States” parfait pour la mise en bouche. Today joué en 2ème morceau déclenche une salve d’applaudissements, et leur assure un respect certain. Dès le 3ème morceau, ils sont rejoints par une claviériste Lisa Harriton - qui a l’air très mignonne, et dont les formes sont bien mises en valeur par l’éclairage, mais je m’égare.
Ensuite, ils enchaînement pas mal de titres du nouvel album, pour arriver à un déluge sonore expérimental que j’ai trouvé quelque peu longuet, et qui sera la seule ombre au tableau. Sur les disons 8 premiers morceaux, je trouve que Jeff est en retrait, comme s’il faisait allégeance à son mentor, mais maintenant, il s’est bien mis au diapason - le trac oublié ? - et il est complètement dans le set, et cela s’entend nettement au son de sa guitare. Il a maintenant l’assurance d’un musicien expérimenté, commence à assurer des solos, et “Bullet w butterfly wings” est interprété d’une manière absolument énorme. Ensuite, nous avons droit à un intervalle plus calme à la guitare acoustique 6, puis 12, puis de nouveau 6 cordes, c’est beau. Il doivent jouer depuis 1 H 30 et je me dis que c’est bientôt fini, même si je n’ai pas vu le temps passer. Je suis loin du compte, ils vont enchaîner les morceaux / tubes comme on enfile des perles, piochant le meilleur de Siamese / Mellon, et même Adore. Après bien plus de 2 H de show, ils débutent l’intro de “the End” des Doors, et je me dis que c’est la fin, et qu’ils finissent par une reprise légendaire (comme l’ont fait Oasis, Wolfmother, etc...) - Mais non, ce n’était qu’une diversion, et ils repartent vite à du Smashing pur et dur, et tout le monde est sur le c.l. Ils vont continuer ainsi nous laissant complètement pantois au bout de 2H55 de set, dont 2 rappels. Je n’avais pas assisté à un concert aussi long depuis, je crois Chicago, il y a de cela 25 ans au moins.
Manifestement, ils ne se sont pas moqués de nous, et il y avait un réel respect entre le groupe et le public. Le concert - qui a d’ailleurs été filmé par au moins 5 caméras - était absolument incontournable, et c’est un doux euphémisme. Il ont placé la barre très haut, et je ne vois pas qui pourrait les déloger de la hauteur stratosphérique où ils nous ont emmenés ce soir. C’est l’endroit où il fallait être hier au soir, sans l’ombre d’un doute.
Concert archi complet, les billets s’étaient quasiment vendus dans le quart d’heure qui a suivi leur mise en vente. Il faut dire que l’affiche était alléchante, puisque c’est le 1er concert programmé de leur tournée mondiale, et leur grand retour après 7 ans d’absence et la séparation en 2000. Donc c’est l’effervescence aux abords de cinéma, ca parle anglais à tout va, le public a l’air d’être particulièrement connaisseur, et les vendeurs au marché noir font leur boulot avec un grand sourire, preuve supplémentaire de l’importance de l’évènement.
Personnellement, j’ai eu une chance énorme, parce que je n’ai obtenu mon précieux sésame que la veille du concert par tirage au sort. Je suis de plus merveilleusement bien placé 10ème rang, plein centre. Il n’y a quasiment que des places numérotées - au nombre de 2200 environ.
A 20 h 30 précises, ca commence par une introduction musicale comme on en rencontre de plus en plus souvent. Et c’est l’arrivée sur scène. Du groupe orignal, ne subsistent que Billy Corgan (chanteur/lead guitar) et Jimmy Chamberlain (batteur), et comme on ne change pas un équipe qui gagne, il y a une bassiste Ginger Reyes (qui ressemble à Elsa Fayer), et un guitariste asiatique Jeff Schroeder - en remplacement respectivement de D’Arcy et James Iha - presque une copie conforme point pour point.
Dès le début du set, ca commence fort, et les guitares sont distordues à l’envi. La voix est bien présente, et l’équilibre sonore excellent, même s’il y a quelques duretés dans l’aigu, certainement dues à la salle. Ils impressionnent sur scène, tout de blanc vêtus, sorte d’alchémie entre Nosferatu et Startrek, pour peu, on se croirait à la messe... Ca commence par “United States” parfait pour la mise en bouche. Today joué en 2ème morceau déclenche une salve d’applaudissements, et leur assure un respect certain. Dès le 3ème morceau, ils sont rejoints par une claviériste Lisa Harriton - qui a l’air très mignonne, et dont les formes sont bien mises en valeur par l’éclairage, mais je m’égare.
Ensuite, ils enchaînement pas mal de titres du nouvel album, pour arriver à un déluge sonore expérimental que j’ai trouvé quelque peu longuet, et qui sera la seule ombre au tableau. Sur les disons 8 premiers morceaux, je trouve que Jeff est en retrait, comme s’il faisait allégeance à son mentor, mais maintenant, il s’est bien mis au diapason - le trac oublié ? - et il est complètement dans le set, et cela s’entend nettement au son de sa guitare. Il a maintenant l’assurance d’un musicien expérimenté, commence à assurer des solos, et “Bullet w butterfly wings” est interprété d’une manière absolument énorme. Ensuite, nous avons droit à un intervalle plus calme à la guitare acoustique 6, puis 12, puis de nouveau 6 cordes, c’est beau. Il doivent jouer depuis 1 H 30 et je me dis que c’est bientôt fini, même si je n’ai pas vu le temps passer. Je suis loin du compte, ils vont enchaîner les morceaux / tubes comme on enfile des perles, piochant le meilleur de Siamese / Mellon, et même Adore. Après bien plus de 2 H de show, ils débutent l’intro de “the End” des Doors, et je me dis que c’est la fin, et qu’ils finissent par une reprise légendaire (comme l’ont fait Oasis, Wolfmother, etc...) - Mais non, ce n’était qu’une diversion, et ils repartent vite à du Smashing pur et dur, et tout le monde est sur le c.l. Ils vont continuer ainsi nous laissant complètement pantois au bout de 2H55 de set, dont 2 rappels. Je n’avais pas assisté à un concert aussi long depuis, je crois Chicago, il y a de cela 25 ans au moins.
Manifestement, ils ne se sont pas moqués de nous, et il y avait un réel respect entre le groupe et le public. Le concert - qui a d’ailleurs été filmé par au moins 5 caméras - était absolument incontournable, et c’est un doux euphémisme. Il ont placé la barre très haut, et je ne vois pas qui pourrait les déloger de la hauteur stratosphérique où ils nous ont emmenés ce soir. C’est l’endroit où il fallait être hier au soir, sans l’ombre d’un doute.
Patti Smith - Olympia / 28 mai 2007
Égérie du rock engagé dans les année 1975, je vois ce soir Patti Smith pour la 3ème fois. Intellectuelle du rock, poétesse dans lâme, amie de la France, elle a été la porte parole dun mouvement qui semble bien décalé avec lépoque actuelle, et ses chanteurs de pacotille / télévision. Ce qui est sur, cest quelle ne sest jamais éloignée dun iota dune trajectoire parfaite, et que sa hargne, sa sincérité ne peuvent souffrir de la moindre contradiction. Elle a été, est et restera à tout jamais droit dans ses bottes (quelle gardera aux pieds dailleurs, contrairement aux autres prestations), question dexigence personnelle. Elle a cela chevillé au plus profond delle même, et si sa carrière musicale a connu des intermèdes divers, elle nous revient toujours telle quon lattendait. La musique, la poésie, lémotion, elle les transpire par tous les pores de sa peau, cela coule dans ses veines.
LOlympia est la salle parfaite pour un tel événement, chargé dhistoire, les photos dans lentrée en témoignent : Brel, Hendrix...
Le set commence à 20 H15, et dès le 1er morceau, tout est parfaitement en place, elle a une voix suave, profonde, elle véhicule des émotions absolues. Elle est réellement hantée, possédée par son job. Elle crache comme un mangeur de bétel indonésien, et le 1er rang a bien de la chance dêtre séparé par une barrière. Comment fait elle pour avoir une telle pêche ? on se dit que le temps na pas de prise sur elle. Mais dès le 3ème morceau, lorsquelle doit lire un extrait dun poème, on se rend compte quelle doit absolument porter des lunettes pour arriver à ses fins. Ouf, elle est comme nous. Ca démarre donc très classiquement, et cest absolument parfait.. :love:
Les reprises qui émaillent le dernier album commencent avec un hommage appuyé pour fêter les 40 ans de la sortie du mythique Sergent Peppers le 1er juin crois je me rappeler,, dont elle reprend Within you without you sans laspect oriental, mais de bonne facture. Cela continue avec le Pastime Paradise de Stevie Wonder, et se poursuit avec la version du White Rabbit (une merveille absolue cette chanson) dont elle détournera le final - par excès de champignons ? La salle reprend en chur le Feed your head. Grandiose
Sensuit une version très rock de Because the night, il fallait le faire comme enchaînement, puis les Doors... Elle se paye le luxe de descendre au contact du 1er rang, et serre des mains à tout va, un vraie star... et tout cela nous emmène à un énorme Gloria des Them - un classique de son répertoire - repris en chur par la salle conquise et debout, et qui conclut la 1ère partie du set.
Je ne peux passer le fait quentre temps, elle nous a gratifié dun délire absolu sur son arrivée en bus, se retrouvant prisonnière comme dans un sous marin, lexploration de Paris souterrain, du Louvre, pour finir couverte dexcréments... puis plus tard ému avec une histoire vraie impliquant un médecin palestinien sauvant la vie dun enfant... et dédiant sa chanson aux parents qui ont eu la douleur de perdre un enfant...
Mais revenons à la musique
Un rappel commencé en acoustique, poursuivi par un Rock n roll nigger poignant et bien rock, et le set se conclut par Helpless de C, S, N & Y. Tout le monde est tout sourire, que ce soit la salle ou la scène, ca fait vraiment plaisir, et cest un grand moment à partager.
Les lumières se rallument à 22 h 10, et cest ive been high de R.E.M qui remplit la salle. Cest dune justesse absolue, on est allé très très très haut ce soir. Les USA nous ont envoyé leur plus beau missile, et personne ne sen plaindra. Elle rejoue ce soir à Paris, ne ratez surtout pas ça, surtout quelle change de répertoire tous les soirs.
En bonus, un petit reportage sur elle dans la matinale de Canal + ce matin
http://idisk.mac.com/jfdenizot/Public/Patti.mov
Égérie du rock engagé dans les année 1975, je vois ce soir Patti Smith pour la 3ème fois. Intellectuelle du rock, poétesse dans lâme, amie de la France, elle a été la porte parole dun mouvement qui semble bien décalé avec lépoque actuelle, et ses chanteurs de pacotille / télévision. Ce qui est sur, cest quelle ne sest jamais éloignée dun iota dune trajectoire parfaite, et que sa hargne, sa sincérité ne peuvent souffrir de la moindre contradiction. Elle a été, est et restera à tout jamais droit dans ses bottes (quelle gardera aux pieds dailleurs, contrairement aux autres prestations), question dexigence personnelle. Elle a cela chevillé au plus profond delle même, et si sa carrière musicale a connu des intermèdes divers, elle nous revient toujours telle quon lattendait. La musique, la poésie, lémotion, elle les transpire par tous les pores de sa peau, cela coule dans ses veines.
LOlympia est la salle parfaite pour un tel événement, chargé dhistoire, les photos dans lentrée en témoignent : Brel, Hendrix...
Le set commence à 20 H15, et dès le 1er morceau, tout est parfaitement en place, elle a une voix suave, profonde, elle véhicule des émotions absolues. Elle est réellement hantée, possédée par son job. Elle crache comme un mangeur de bétel indonésien, et le 1er rang a bien de la chance dêtre séparé par une barrière. Comment fait elle pour avoir une telle pêche ? on se dit que le temps na pas de prise sur elle. Mais dès le 3ème morceau, lorsquelle doit lire un extrait dun poème, on se rend compte quelle doit absolument porter des lunettes pour arriver à ses fins. Ouf, elle est comme nous. Ca démarre donc très classiquement, et cest absolument parfait.. :love:
Les reprises qui émaillent le dernier album commencent avec un hommage appuyé pour fêter les 40 ans de la sortie du mythique Sergent Peppers le 1er juin crois je me rappeler,, dont elle reprend Within you without you sans laspect oriental, mais de bonne facture. Cela continue avec le Pastime Paradise de Stevie Wonder, et se poursuit avec la version du White Rabbit (une merveille absolue cette chanson) dont elle détournera le final - par excès de champignons ? La salle reprend en chur le Feed your head. Grandiose
Sensuit une version très rock de Because the night, il fallait le faire comme enchaînement, puis les Doors... Elle se paye le luxe de descendre au contact du 1er rang, et serre des mains à tout va, un vraie star... et tout cela nous emmène à un énorme Gloria des Them - un classique de son répertoire - repris en chur par la salle conquise et debout, et qui conclut la 1ère partie du set.
Je ne peux passer le fait quentre temps, elle nous a gratifié dun délire absolu sur son arrivée en bus, se retrouvant prisonnière comme dans un sous marin, lexploration de Paris souterrain, du Louvre, pour finir couverte dexcréments... puis plus tard ému avec une histoire vraie impliquant un médecin palestinien sauvant la vie dun enfant... et dédiant sa chanson aux parents qui ont eu la douleur de perdre un enfant...
Mais revenons à la musique
Un rappel commencé en acoustique, poursuivi par un Rock n roll nigger poignant et bien rock, et le set se conclut par Helpless de C, S, N & Y. Tout le monde est tout sourire, que ce soit la salle ou la scène, ca fait vraiment plaisir, et cest un grand moment à partager.
Les lumières se rallument à 22 h 10, et cest ive been high de R.E.M qui remplit la salle. Cest dune justesse absolue, on est allé très très très haut ce soir. Les USA nous ont envoyé leur plus beau missile, et personne ne sen plaindra. Elle rejoue ce soir à Paris, ne ratez surtout pas ça, surtout quelle change de répertoire tous les soirs.
En bonus, un petit reportage sur elle dans la matinale de Canal + ce matin
http://idisk.mac.com/jfdenizot/Public/Patti.mov
Kaiser Chiefs - Olympia mardi 5 juin 2007
2ème album pour le groupe de Leeds, auréolé de 3 titres dont celui de meilleur groupe live aux awards 2006, et dont le nom fait référence à une équipe de foot sud africaine. Naturellement, la tournée promo passe par la France, et c’est donc l’Olympia qui a été choisi ce soir, un Olympia loin d’être rempli lorsque Good Shoes entame son set, un set pro, mais pas enthousiasmant. Il faut dire que tout le monde attend les stars de la soirée, et lorsqu’ils pénètrent sur scène, tout est absolument rempli. il y a des gens de tous âges, et l’ambiance est apparemment festive.
Dès l’entame par “Everyday I love you less and less”, tube implacable, .le ton est donné. ils sont en forme, et même si le son est loin d’être parfait, ils ont la pêche, et les fatigues de la tournée précédente sont oubliées. Ca balance sec, et tous les tubes vont y passer, même si ceux du 1er album semblent plus connus, “Ruby” ou “Angry mob” font un effet certain, et le final sur “Oh my god” est conforme à ce que leur réputation scénique laissait entrevoir.
Alors concert parfait, me direz vous, eh bien pas tout à fait.
Autant lorsque je les avais vus à la Cigale, l’ambiance dans la salle était au top avec pogos, flot ininterrompu de spectateurs sur la scène, se concluant par un jet dans la foule de Ricky Wilson (chanteur), ce soir et malgré les efforts du même RW, la mayonnaise a quelque peu de mal à prendre. Pas de leur faute, ils se démènent comme des diables, mais le public est curieusement étonnamment sage/passif, et malgré les incitations a taper dans les mains, les va et viens incessants sur scène, les sauts continus, et l’escalade des barrières devant la scène, rien de ceci ne déclenche véritablement l’hystérie habituelle. Problème de langue, d’âge, je n’ai pas la réponse. J’ai aussi moyennement aimé les jeux de lumière, en particulier le fait qu'à la fin de chaque morceau, les lumières crachent tellement qu’on se croirait en plein cagnard au 14 juillet. Dernier point, avec 2 albums à leur compteur, ils auraient pu jouer 1/4 d’heure de plus
Au final, un concert qui aurait du être au top, et qui n’a été que bon, manquait pas grand chose pourtant. La prochaine fois avec un 3ème album ?
2ème album pour le groupe de Leeds, auréolé de 3 titres dont celui de meilleur groupe live aux awards 2006, et dont le nom fait référence à une équipe de foot sud africaine. Naturellement, la tournée promo passe par la France, et c’est donc l’Olympia qui a été choisi ce soir, un Olympia loin d’être rempli lorsque Good Shoes entame son set, un set pro, mais pas enthousiasmant. Il faut dire que tout le monde attend les stars de la soirée, et lorsqu’ils pénètrent sur scène, tout est absolument rempli. il y a des gens de tous âges, et l’ambiance est apparemment festive.
Dès l’entame par “Everyday I love you less and less”, tube implacable, .le ton est donné. ils sont en forme, et même si le son est loin d’être parfait, ils ont la pêche, et les fatigues de la tournée précédente sont oubliées. Ca balance sec, et tous les tubes vont y passer, même si ceux du 1er album semblent plus connus, “Ruby” ou “Angry mob” font un effet certain, et le final sur “Oh my god” est conforme à ce que leur réputation scénique laissait entrevoir.
Alors concert parfait, me direz vous, eh bien pas tout à fait.
Autant lorsque je les avais vus à la Cigale, l’ambiance dans la salle était au top avec pogos, flot ininterrompu de spectateurs sur la scène, se concluant par un jet dans la foule de Ricky Wilson (chanteur), ce soir et malgré les efforts du même RW, la mayonnaise a quelque peu de mal à prendre. Pas de leur faute, ils se démènent comme des diables, mais le public est curieusement étonnamment sage/passif, et malgré les incitations a taper dans les mains, les va et viens incessants sur scène, les sauts continus, et l’escalade des barrières devant la scène, rien de ceci ne déclenche véritablement l’hystérie habituelle. Problème de langue, d’âge, je n’ai pas la réponse. J’ai aussi moyennement aimé les jeux de lumière, en particulier le fait qu'à la fin de chaque morceau, les lumières crachent tellement qu’on se croirait en plein cagnard au 14 juillet. Dernier point, avec 2 albums à leur compteur, ils auraient pu jouer 1/4 d’heure de plus
Au final, un concert qui aurait du être au top, et qui n’a été que bon, manquait pas grand chose pourtant. La prochaine fois avec un 3ème album ?
Et avec ca ? Ca va mieux
Who - Bercy 6 juin 2007
Une légende, ce soir jallais voir une légende, de ceux qui ont marqué votre enfance durablement. Donc, lorsque je pénètre dans Bercy assez vide, à 20 h pour un concert programmé à 20 h 30, je suis extrêmement surpris : il ny a pas de fosse, je navais jamais vu cela à un concert ici. Imaginez des rangées de fauteuils jusquà la scène, des hôtesses de placement partout, incroyable...
A lheure précise, cest the Cult qui entame. Je les avais laissés en jabot, rock planant, et cest la bonne, que dis je lexcellente surprise. Ils nous délivrent un rock à guitare, lourd, dense et de fort belle facture. Le guitariste Billy Duffy nous sort des solos que ne renierait pas Mike Mc Ready par exemple, et cest à la fois beau et très pro. La guitare pleure, se distord avec une maîtrise absolue, ian Asbury au chant assure bien, si jajoute à cela que le batteur nest pas en reste, et frappe à mort sur ses fûts, le tableau est complet. Signe qui ne trompe pas, le son est déjà très très fort, mais dune qualité excellente. Ca a du bosser dur aux balances. Malheureusement, je ne suis pas sûr que le public ait bien pris compte lintérêt et la qualité de leur prestation, mais jai trouvé celle ci absolument excellente. Ca commence on ne peut mieux. Ils ont joué 40 min, mais jen aurais bien repris plus
Les Who arrivent une vingtaine de minutes plus tard, et cest une réelle ovation qui les accueille. 1er morceau i can't explain, annonce clairement la couleur. Cest brut, très très fort, et cest suivi après un titre de Substitute du même acabit. La scène est magnifique renforcée par 3 écrans géants dont les images se mettent à danser dans tous les sens : Cest un vrai retour en arrière avec des vidéos des membres du groupe alors quils étaient tout jeunes , Keith Moon tout souriant et vraiment bien allumé, des images de tous les festivals aujourdhui mythiques cette période... On se rend rapidement compte que celle-ci navait rien à envier à aujourdhui avec des scènes de batailles de rues terribles entre Mods et Rockers, et ca ne jouait pas dans la dentelle. Des bandes armées de toutes sortes dinstruments quon imagine déjà bien imbibées, ca bastonnait dur déjà, et Sid Vicious (visible furtivement) était encore vivant.
Donc, si jusque là, les morceaux sont courts, et que Pete a entamé une série de moulinets qui ont fait sa réputation, même si son age transparait dans le fait quil néxécute plus de sauts sur scène. Ren que du très classique donc... mais dès quils abordent en 4ème titre un extrait dernier album, lambiance tombe quelque peu, et javoue honnêtement en lavoir jamais écouté. Cest un peu long, mais Behind blue eyes remet les choses en place, et cest salué comme le 1er repère fort de la parrt du public Les jeux déclairage sont somptueux, mêlant harmonieusement des images, avec des éclats de néon, flashs de toute nature. Par moment, on se croirait dans Matrix, grandiose et bien adapté à cette salle.. Pour la musique ensuite, ca continue un peu à ce rythme, et lorsque lon aborde Quadrophenia (bof), entrecoupé par un hommage à Elvis - que Roger avoue écouter depuis lage de 11 ans, sur la radio de sa grand mère - je trouve personnellement que ca manque un peu de densité, mais les images sont parlantes, puis lambiance remonte nettement avec des titres béton Who are you My generation the kids are alright, pour se terminer en apothéose sur Wont Get fooled again.
Mention particulière a Zak Starkey, pour qui succéder à KM nest pas évident. Il sacquitte parfaitement de sa tâche, et la meilleure preuve de son intégration réussie dans le groupe est que la boutique vend des accessoires a son nom. Sinon, autre bonne nouvelle, Pete joue enfin bien de la guitare, et de plus avec émotion, et même si les Who deviennent une affaire de famille avec son frère Simon à la guitare, on leur pardonnera bien volontiers.
Un rappel classique : un acoustique, puis Pinball Wizard, puis les premières notes See me, feel me... la salle est maintenant debout, et ils reçoivent une acclamation sincère et prolongée qui leur fait manifestement très plaisir. Les travées crient Who Who Who, ca résonne dans tout Bercy... Un dernier acoustique entre Rd et PT et cest fini.
Maximo Park - 8 juin 2007 au Bataclan
J'adore ce groupe scéniquement, et j'en avais déjà parlé dans ce fil. Le chanteur Paul Smith est vraiment très charismatique sur scène, et c'a a été un véritable exploit que de se dépenser autant dans une salle surchauffée. Si je rajoute à cela que le claviériste Lukas Wooller a une présence sénique aussi très remarquable, et que les autres musiciens sont bons, le tableau est presque complet.
Pas de discours aujourd'hui, je suis conquis sans aucune réserve du début à la fin
Voici la liste complète du set (et dans l'ordre). Que du très très bon enchainé quasiment sans aucun temps mort : un exploit
Girls who play guitars / Now i'm all over the shop / A fortnight's time / Graffitti / Parisian skies / Our velocity / I want you to stay / By the momument / Books from boxes / Kiss you better / Karaoke plays / Russian litterature / Apply some pressure / Nosebleed / Signal and sign / Unshockable / Limassol / Sounsblasted and set free / Going missing
dont les 2 dernières en rappel
Le site officiel du groupe (et il y a plein de videos sur you tube) :
http://www.maximopark.com/index.php
J'adore ce groupe scéniquement, et j'en avais déjà parlé dans ce fil. Le chanteur Paul Smith est vraiment très charismatique sur scène, et c'a a été un véritable exploit que de se dépenser autant dans une salle surchauffée. Si je rajoute à cela que le claviériste Lukas Wooller a une présence sénique aussi très remarquable, et que les autres musiciens sont bons, le tableau est presque complet.
Pas de discours aujourd'hui, je suis conquis sans aucune réserve du début à la fin
Voici la liste complète du set (et dans l'ordre). Que du très très bon enchainé quasiment sans aucun temps mort : un exploit
Girls who play guitars / Now i'm all over the shop / A fortnight's time / Graffitti / Parisian skies / Our velocity / I want you to stay / By the momument / Books from boxes / Kiss you better / Karaoke plays / Russian litterature / Apply some pressure / Nosebleed / Signal and sign / Unshockable / Limassol / Sounsblasted and set free / Going missing
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Le site officiel du groupe (et il y a plein de videos sur you tube) :
http://www.maximopark.com/index.php
Pour les fans des Who, on peut acheter pas mal d'articles dont des Dvd de leur tournée mondiale sur ce site (dont Paris)
http://www.themusic.com/ , et je crois même que les bénéfices sont reversés à une oeuvre humanitaire
http://www.themusic.com/ , et je crois même que les bénéfices sont reversés à une oeuvre humanitaire
Hier en fin d'après-midi, la garrigue à l'ombre d'un mas dans les Corbières catalanes, pas de vent pour une fois . Dans le mas, sculptures et peintures, devant l'apéro, les gens qui arrivent qu'on rencontre au hasard des concerts de jazz. Et nous qui finission un week-end entre très vieux copains toujours aussi heureux de se retrouver.
Derrière : la caillasse, la garrigue, les vignes ; sur les côtés les crêtes blanches et grises des Corbières, le monde secret d'une vallées perdue en arrière de la plaine avec l'amer du château d'Opoul sur son plateau. Devant : le trio Humair-Monniot-Muvien en plein air devant un vieux mur.
Des concerts dont on se dit simplement : pourvu qu'on en ait d'autres du même tonneau. :zen:
. Dans le mas, sculptures et peintures, devant l'apéro, les gens qui arrivent qu'on rencontre au hasard des concerts de jazz. Et nous qui finission un week-end entre très vieux copains toujours aussi heureux de se retrouver.Derrière : la caillasse, la garrigue, les vignes ; sur les côtés les crêtes blanches et grises des Corbières, le monde secret d'une vallées perdue en arrière de la plaine avec l'amer du château d'Opoul sur son plateau. Devant : le trio Humair-Monniot-Muvien en plein air devant un vieux mur.
Des concerts dont on se dit simplement : pourvu qu'on en ait d'autres du même tonneau. :zen:
Tout va bien.
Ola Kala ou Les Arts Sauts dans leur dernière et ultime création.
Ballet aérien, athlétique, sensuel et poétique. Au son d'un quatuor à dominante violon et violoncelle, perché tout près des acrobates, en haut de la structure métallique.
Pluie de magnésite qui fait briller le filet protecteur. Dessous, des transats, et nous les yeux rivés sur ces 15 hommes et femmes volant(e)s, leurs ombres chinoises en écho sur la toile du chapiteau.
Leur dernière création donc
Dites, les suisses, ils sont à Lauzanne au théâtre de Vidy du 11 au 22 septembre. Ne les ratez pas :zen:
Ola Kala ou Les Arts Sauts dans leur dernière et ultime création.
Ballet aérien, athlétique, sensuel et poétique. Au son d'un quatuor à dominante violon et violoncelle, perché tout près des acrobates, en haut de la structure métallique.
Pluie de magnésite qui fait briller le filet protecteur. Dessous, des transats, et nous les yeux rivés sur ces 15 hommes et femmes volant(e)s, leurs ombres chinoises en écho sur la toile du chapiteau.
Leur dernière création donc
Dites, les suisses, ils sont à Lauzanne au théâtre de Vidy du 11 au 22 septembre. Ne les ratez pas :zen:
Vous connaissez émeute visuelle et les clips des concerts à emporter de la blogotheque ?
Y'a du pas mal, là-dedans.
Y'a du pas mal, là-dedans.
J'ai été voir, à la dernière minute ce vendredi, Ellen Allien & Apparat en live au festival des Ardentes de Liège :love: :love: :love: et le lendemain Birdy Nam Nam
C'était pas prévu puis un pass 4 jours m'est miraculeusement tombé entre les mains :love: :love: :love: (y a des tites photos et des extraits audios/vidéos bien qu'un peu pourris sur mon blog aussi)
Une seule chose à dire : de la balle complète :style:
C'était pas prévu puis un pass 4 jours m'est miraculeusement tombé entre les mains :love: :love: :love: (y a des tites photos et des extraits audios/vidéos bien qu'un peu pourris sur mon blog aussi)
Une seule chose à dire : de la balle complète :style:
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