Concert(s) & spectacle(s) vu(s) dernièrement?
- Créateur du sujet DandyWarhol
- Date de début
Moi avant de lire ça, je savais pas apprécier les conneries...
Ah mais t'es un marrant en fait
Ouais je suis vachement marrant, tout le monde te le dira...
Mais sans rire maintenant, te rends tu compte du ridicule de ton argumentaire ?? On dirait un môme de 8 ans !!!
Non vraiment faut se ressaisir...:o
Mais sans rire maintenant, te rends tu compte du ridicule de ton argumentaire ?? On dirait un môme de 8 ans !!!
Non vraiment faut se ressaisir...:o
- Et toi tu te rends compte du ridicule de ton 1er post ?
- De ta remarque concernant le fait que des gens pourraient écouter des groupes juste parce que personne ne les connaît et que du coup ça le fait grave ? (oui je sais ça existe, mais c'est minoritaire et c'est pas avec des minorités qu'on fait des généralités)
- Et du fait que tout ce que tu ne comprends pas tu assimiles ça à de la merde ?
Allez baisse ton futal et tape toi la queue sur le poulailler car en dehors de ça tu sais pas faire grand chose.
T'es pas aller voir un concert récemment dont tu pourrais nous parler plutôt que de pourrir ce fil avec tes remarques à la con ?
- Et toi tu te rends compte du ridicule de ton 1er post ?
- De ta remarque concernant le fait que des gens pourraient écouter des groupes juste parce que personne ne les connaît et que du coup ça le fait grave ? (oui je sais ça existe, mais c'est minoritaire et c'est pas avec des minorités qu'on fait des généralités)
- Et du fait que tout ce que tu ne comprends pas tu assimiles ça à de la merde ?
Allez baisse ton futal et tape toi la queue sur le poulailler car en dehors de ça tu sais pas faire grand chose.
T'es pas aller voir un concert récemment dont tu pourrais nous parler plutôt que de pourrir ce fil avec tes remarques à la con ?
Sauf, mon petit lapin, que tu me fais dire des choses que je n'ai pas dites. Tout ce que tu écris dans ta pauvre réponse est le produit de ton petit cerveau, sur la défensive pour je ne sais quelles mauvaises raisons propres à l'adolescence.
Tu extrapoles, et quand on en a pas les moyens (à l'évidence...), le mieux c'est de ne pas le faire.
C'est tout.
Alors pour finir (car j'en ai fini, je n'ai pas vocation à tirer sur les ambulances...) par un petit lieu commun du forum (puisque tu as l'air d'en être friand...), va donc prendre ton cul en photo, c'est tout ce que tu es capable de faire... et encore...
Candidate suivante !!!!!!!!!!!!!!!!!
De mauvaise foi en plus, pas surprenant :rolleyes:
En gros tu as tout faux mais tu t'en fous. La vidéo sur youtube est de moi, ces groupes sont connus de milliers de personnes, et la passion qui nous unie est musicale et non pas superficielle je sais pas quoi, on écoute plus que d'autres puisqu'en plus on se déplace pour voir tout ça en live, allez pépé sans rancune mais pense à la tutelle quand même.
Vous avez demandé la modération, ne quittez pas...
— quelques minutes plus tard…
Bon, finalement c’est bon enfant tout ça : alors pour continuer je vous invite au comptoir… sinon merci d’en rester là.
---------- Nouveau message ajouté à 23h15 ---------- Le message précédent a été envoyé à 22h53 ----------
Hop, retour aux sources
— quelques minutes plus tard…
Bon, finalement c’est bon enfant tout ça : alors pour continuer je vous invite au comptoir… sinon merci d’en rester là.
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Hop, retour aux sources
Un peu dans le prolongement du thread concernant la musique qu'on écoute, je propose ici à ceux qui sont intéressés de parler des derniers concerts ou spectacles qu'on a vu, qu'on pense aller voir, qu'on a adoré, détesté etc....!!
Ca devrait donner un bon partage de gouts, émotions, "coup de gueule" etc.. :mouais:
DW
Bon alors voilà un concert, celui d'Orelsan hier soir au Bataclan, avec une vraie manifestation de féministes devant. Expérience intéressante (mon premier concert de rap), mais niveau qualité, c'était pas ça. Conclusion : pousser à fond tous les volumes, ça n'est pas un réglage satisfaisant.
Par ici pour une version (trop) longue...
PS : c'est post-1971, désolé...
Par ici pour une version (trop) longue...
PS : c'est post-1971, désolé...
Neil Young - Zenith le 4 juin 2009
Dure journée que ce 4 juin à Paris, il y a des bouchons terribles pour se rendre au Zenith. Ils sont tellement importants que je quitte la file de sortie de la porte de Pantin ou j'ai roulé 200 m en 1/4 H pour celle de la porte de la Villette qui n'est guère mieux. Avec un peu de chance, je suis a l'heure, et je rentre dans le Zenith à 19H50 pour une soirée qui débute à 20H théoriquement. La configuration de la salle présente la particularité d'être extensible, et franchement, ce n'est pas à cett eheure plein à craquer, même s'il toutes les places (chères) ont été vendues depuis belle lurette.
La 1ère partie est assurée par Laura Marling, quatuor acoustique mené par une très jeune femme blonde de 19 ans. Guitare acoustique, violoncelle, clavier et batterie. C'est doux, reposant, et elle interprète son show pendant une demie heure pile. Elle m'était totalement inconnue et finalement se débrouille pas trop mal, dans un genre mineur toutefois, et que le public a tout de même bien applaudi respectueusement. A voir évoluer donc
Mais bon, on n'a pas fait le déplacement pour voir ca, et les espoirs d'un concert exceptionnel ce soir sont bien réels. Le vieux briscard du rock est attendu au tournant. Pensez donc qu'il a un CV bien plus long que toute la file de voitures qui enconmbrait le périph ce soir, et ce n'est pas peu dire. Des débuts avec le légendaire Buffalo Springfield, Fer de ance de la jeunesse pacifiste des années 70 (Ohio), membre émérite de CSN&Y - la plus belle harmonie vocale jamais réunie dans ce que l'on nommait à l'époque les super groupes - , donnant une prestation mémorable lors du festival de Woodstock ou le groupe interprétait brut de brut sans la moindre répétition un set de toute beauté, il a eu finalement la chance de se brouiller régulièrement avec Stephen Stills et de poursuivre une carrière solo qui le mène près de 40 albums, dont certains au sommet absolu qui lui ont apporté une renommée universelle et parfaitement justifiée, une fois n'est pas coutume. 35 ans plus tard après ses débuts, il est à Paris ce soir pour notre plus grand plaisir, je m'avance...
A 21 H 15, les musiciens entrent sur scène. La 1ère chose que je me dis d'ou je suis placé, c'est que Neil Youg a vieilli, grossi, est doté d' une calvitie naissante. Les chemises a carreau ont laissé place a une blancheur immaculée, la noirceur des cheveux s'est bien atténuée, et les chapeaux ont disparu, la loi de l'évolution quoi. Après quelques accords de mise en chauffe, le set débute par Love And Only Love, je suis assez dubitatif, le son est à mon sens confus, distant, et pour avoir fréquenté le Zenith a de très nombreuses occasions, j'en ai gardé de bien meilleurs souvenirs. Attention, ce n'est pas mauvais, seulement compte tenu du client sur scène, on s'attend a la perfection absolue dès la 1ère note. La voix si particulière est en retrait, et même si ca balance bien, le son est gras, bien sirupeux, et on sent deja que c'est un combat entre l'homme et sa guitare. Hey Hey, My My qui enchaîne est deja d'un autre niveau et remet bien les choses à leur vraie place. C'est quand même un titre qui a marqué toute une génération et lorsqu'il clame haut et fort qu'il vaut mieux brûler franchement que s'éteindre a petit feu (repris d'ailleurs dans la lettre posthume laissée par K Cobain après son suicide), c'est aussi fort que les Who qui espéraient mourir avant d'etre vieux. Quoiqu'il en soit, ces 2 premiers morceaux durent 20 minutes, on est loin de l'esprit punk et cela fait bien longtemps que je n'ai pas entendu ça. Ca envoie du lourd, et tout va bien maintenant. On sent quand même que le Neil Young électrique semble vivre un tourment émotionnel permanent. il fait littéralement corps avec sa guitare, et toutes les notes qui s'en échappent semblent torturées, volcaniques, en fusion permanente. Bien arc bouté sur ses jambes, il épouse littéralement sa guitare, se tournant en permanence vers son groupe, jouant dans un périmètre vraiment petit, alors que la scène est immense. Il y a chez cet homme un désir manifeste de se dépasser en permanence, manifestement la scène est faite pour lui, et c'est un réel plaisir à voir et a entendre. La soirée est lancée, et les morceaux de toute beauté s'enchainent comme dans un rêve (Pocahontas, Spirit Road, Cortez The Killer, Cinnamon Girl...) Cela dure sur ce tempo jusqu'à 22 H 10.
Changement radical lorsque tout le monde quitte la scène et qu'il s'installe en arrière scène au clavier et a l'harmonica. La voix si particulière émotionne le Zenith dans un recueillement et une communion qui justifierait presque de rentrer dans les ordres. Quelle transition, et la partie acoustique qui suit est d'une beauté stupéfiante. Autant le Neil Young électrique semble tourmenté, puisant ses notes aux tréfonds de son âme, autant le Neil Young acoustique semble apaisé, aérien, léger, et finalement presque facile. Heart of Gold, 1er morceau joué du légendaire album Harvest soulève de bonheur l'ensemble du Zenith, et Old Man parachève l'ensemble. Quelle voix, elle est absolument inoubliable. Je suis absolument sûr qu'il y a des gens dans la foule qui en ont pleuré de bonheur.
Après ce changement radical qui dure jusqu'à 22 H 40, soit quasiment 1/2 heure, c'est le retour aux guitares électriques et saturées, celles que j'aime, et le Rockin' in the free world qui clôt cette première partie met tout le monde sur le cul. C'est un des morceaux les plus extraordinaires écrits dans la musique moderne (ses amis de Pearl jam en ont joué une excellent version dans un Dvd d'ailleurs). Un hymne pour toute une génération, je vous dis, et conscient du poids du morceau, et comme s'il ne voulait jamais en finir, il reprend le refrain par 2 fois. Tout le monde est debout devant moi, sur les côtés, derrière, c'est un must absolu, et la plus belle des conclusions d'un concert. il faut absolument avoir vu et entendu ca dans sa vie.
Retour sur scène avec Like a Hurricane, présentation des musiciens (dont sa compagne Pegi) puis les 1ères notes de A Day in the Life résonnent dans toute la salle. Incroyable, il se paie le luxe de reprendre un titre majeur des Fab Four qu'ils n'ont eux-même jamais interprété sur scène. Sûr que John Lennon a du ouvrir ses oreilles en grand et jubiler dans a tombe. S'il y a bien un titre de Paul et John qui est totalement dans l'esprit du concert, c'est bien celui-ci. Les réappropriations de morceaux aussi difficles sont rarement rèussies, mais aucune montagne ne saurait résister à notre Loner ce soir, et la seconde partie de la chanson voit Neil Young littéralement massacrer les cordes de sa guitare. Les cordes déchirées sont maintenant réunies dans sa main telles un fouet, et il en martèle le corps de sa guitare jusqu'à en tirer des notes incroyables. Ca gémit, hurle, dans un paroxysme sonore hallucinant. Un salut à la foule, une ovation absolument énorme dans le Zenith, et puis il faut quitter les lieux dans une béatitude absolue.
Putain, quelle claque me dis je en sortant. Quelle intégrité, quelle émotion, le temps n'a absolument aucun prise sur le - grand, immense - bonhomme. Chapeau bas, l'artiste, et merci pour ces moments d'intense bonheur. En vieillissant, je me demande quelquefois, jusqu'à quel age je vais fréquenter les salles de concert, et quand je vais décrocher, me désintoxiquer devrais je dire. Eh bien, ce soir, j'ai presque la réponse, je pourrais en rester là et ne rien regretter. C'est le plus beau des compliments que je puisse rendre à un artiste, et il le vaut bien.
Dure journée que ce 4 juin à Paris, il y a des bouchons terribles pour se rendre au Zenith. Ils sont tellement importants que je quitte la file de sortie de la porte de Pantin ou j'ai roulé 200 m en 1/4 H pour celle de la porte de la Villette qui n'est guère mieux. Avec un peu de chance, je suis a l'heure, et je rentre dans le Zenith à 19H50 pour une soirée qui débute à 20H théoriquement. La configuration de la salle présente la particularité d'être extensible, et franchement, ce n'est pas à cett eheure plein à craquer, même s'il toutes les places (chères) ont été vendues depuis belle lurette.
La 1ère partie est assurée par Laura Marling, quatuor acoustique mené par une très jeune femme blonde de 19 ans. Guitare acoustique, violoncelle, clavier et batterie. C'est doux, reposant, et elle interprète son show pendant une demie heure pile. Elle m'était totalement inconnue et finalement se débrouille pas trop mal, dans un genre mineur toutefois, et que le public a tout de même bien applaudi respectueusement. A voir évoluer donc
Mais bon, on n'a pas fait le déplacement pour voir ca, et les espoirs d'un concert exceptionnel ce soir sont bien réels. Le vieux briscard du rock est attendu au tournant. Pensez donc qu'il a un CV bien plus long que toute la file de voitures qui enconmbrait le périph ce soir, et ce n'est pas peu dire. Des débuts avec le légendaire Buffalo Springfield, Fer de ance de la jeunesse pacifiste des années 70 (Ohio), membre émérite de CSN&Y - la plus belle harmonie vocale jamais réunie dans ce que l'on nommait à l'époque les super groupes - , donnant une prestation mémorable lors du festival de Woodstock ou le groupe interprétait brut de brut sans la moindre répétition un set de toute beauté, il a eu finalement la chance de se brouiller régulièrement avec Stephen Stills et de poursuivre une carrière solo qui le mène près de 40 albums, dont certains au sommet absolu qui lui ont apporté une renommée universelle et parfaitement justifiée, une fois n'est pas coutume. 35 ans plus tard après ses débuts, il est à Paris ce soir pour notre plus grand plaisir, je m'avance...
A 21 H 15, les musiciens entrent sur scène. La 1ère chose que je me dis d'ou je suis placé, c'est que Neil Youg a vieilli, grossi, est doté d' une calvitie naissante. Les chemises a carreau ont laissé place a une blancheur immaculée, la noirceur des cheveux s'est bien atténuée, et les chapeaux ont disparu, la loi de l'évolution quoi. Après quelques accords de mise en chauffe, le set débute par Love And Only Love, je suis assez dubitatif, le son est à mon sens confus, distant, et pour avoir fréquenté le Zenith a de très nombreuses occasions, j'en ai gardé de bien meilleurs souvenirs. Attention, ce n'est pas mauvais, seulement compte tenu du client sur scène, on s'attend a la perfection absolue dès la 1ère note. La voix si particulière est en retrait, et même si ca balance bien, le son est gras, bien sirupeux, et on sent deja que c'est un combat entre l'homme et sa guitare. Hey Hey, My My qui enchaîne est deja d'un autre niveau et remet bien les choses à leur vraie place. C'est quand même un titre qui a marqué toute une génération et lorsqu'il clame haut et fort qu'il vaut mieux brûler franchement que s'éteindre a petit feu (repris d'ailleurs dans la lettre posthume laissée par K Cobain après son suicide), c'est aussi fort que les Who qui espéraient mourir avant d'etre vieux. Quoiqu'il en soit, ces 2 premiers morceaux durent 20 minutes, on est loin de l'esprit punk et cela fait bien longtemps que je n'ai pas entendu ça. Ca envoie du lourd, et tout va bien maintenant. On sent quand même que le Neil Young électrique semble vivre un tourment émotionnel permanent. il fait littéralement corps avec sa guitare, et toutes les notes qui s'en échappent semblent torturées, volcaniques, en fusion permanente. Bien arc bouté sur ses jambes, il épouse littéralement sa guitare, se tournant en permanence vers son groupe, jouant dans un périmètre vraiment petit, alors que la scène est immense. Il y a chez cet homme un désir manifeste de se dépasser en permanence, manifestement la scène est faite pour lui, et c'est un réel plaisir à voir et a entendre. La soirée est lancée, et les morceaux de toute beauté s'enchainent comme dans un rêve (Pocahontas, Spirit Road, Cortez The Killer, Cinnamon Girl...) Cela dure sur ce tempo jusqu'à 22 H 10.
Changement radical lorsque tout le monde quitte la scène et qu'il s'installe en arrière scène au clavier et a l'harmonica. La voix si particulière émotionne le Zenith dans un recueillement et une communion qui justifierait presque de rentrer dans les ordres. Quelle transition, et la partie acoustique qui suit est d'une beauté stupéfiante. Autant le Neil Young électrique semble tourmenté, puisant ses notes aux tréfonds de son âme, autant le Neil Young acoustique semble apaisé, aérien, léger, et finalement presque facile. Heart of Gold, 1er morceau joué du légendaire album Harvest soulève de bonheur l'ensemble du Zenith, et Old Man parachève l'ensemble. Quelle voix, elle est absolument inoubliable. Je suis absolument sûr qu'il y a des gens dans la foule qui en ont pleuré de bonheur.
Après ce changement radical qui dure jusqu'à 22 H 40, soit quasiment 1/2 heure, c'est le retour aux guitares électriques et saturées, celles que j'aime, et le Rockin' in the free world qui clôt cette première partie met tout le monde sur le cul. C'est un des morceaux les plus extraordinaires écrits dans la musique moderne (ses amis de Pearl jam en ont joué une excellent version dans un Dvd d'ailleurs). Un hymne pour toute une génération, je vous dis, et conscient du poids du morceau, et comme s'il ne voulait jamais en finir, il reprend le refrain par 2 fois. Tout le monde est debout devant moi, sur les côtés, derrière, c'est un must absolu, et la plus belle des conclusions d'un concert. il faut absolument avoir vu et entendu ca dans sa vie.
Retour sur scène avec Like a Hurricane, présentation des musiciens (dont sa compagne Pegi) puis les 1ères notes de A Day in the Life résonnent dans toute la salle. Incroyable, il se paie le luxe de reprendre un titre majeur des Fab Four qu'ils n'ont eux-même jamais interprété sur scène. Sûr que John Lennon a du ouvrir ses oreilles en grand et jubiler dans a tombe. S'il y a bien un titre de Paul et John qui est totalement dans l'esprit du concert, c'est bien celui-ci. Les réappropriations de morceaux aussi difficles sont rarement rèussies, mais aucune montagne ne saurait résister à notre Loner ce soir, et la seconde partie de la chanson voit Neil Young littéralement massacrer les cordes de sa guitare. Les cordes déchirées sont maintenant réunies dans sa main telles un fouet, et il en martèle le corps de sa guitare jusqu'à en tirer des notes incroyables. Ca gémit, hurle, dans un paroxysme sonore hallucinant. Un salut à la foule, une ovation absolument énorme dans le Zenith, et puis il faut quitter les lieux dans une béatitude absolue.
Putain, quelle claque me dis je en sortant. Quelle intégrité, quelle émotion, le temps n'a absolument aucun prise sur le - grand, immense - bonhomme. Chapeau bas, l'artiste, et merci pour ces moments d'intense bonheur. En vieillissant, je me demande quelquefois, jusqu'à quel age je vais fréquenter les salles de concert, et quand je vais décrocher, me désintoxiquer devrais je dire. Eh bien, ce soir, j'ai presque la réponse, je pourrais en rester là et ne rien regretter. C'est le plus beau des compliments que je puisse rendre à un artiste, et il le vaut bien.
J'ai vu Lenny Kravitz récemment à l'Arena de Genève. Un concert vraiment sympa, très bonne ambiance, après une première partie surtout sur son dernier album, il a joué quelques anciens titres qui ont mis une ambiance folle. Il a bien joué avec le public, il ne s'est pas pris la tête. Un bon concert qui valait la peine de payer ce prix!
Autrement pour les Suisses (qui comme moi) adorent le groupe Archive, ils jouent aux Docks cet automne. J'hésite encore à m'acheter des billets sachant que je suis un poil déçu par leur dernier album et que j'ai déjà eu l'occasion de les voir 2 fois en concert (au Montreux Jazz Festival et aux Docks à Lausanne).
Autrement pour les Suisses (qui comme moi) adorent le groupe Archive, ils jouent aux Docks cet automne. J'hésite encore à m'acheter des billets sachant que je suis un poil déçu par leur dernier album et que j'ai déjà eu l'occasion de les voir 2 fois en concert (au Montreux Jazz Festival et aux Docks à Lausanne).
John B vendredi 12 au tropical Bar a Paris 15.
DJ Producteur international de Drum'n'Bass.
style incomparable
pour se défouler après une semaine reloue...
voiliiiii je vous le conseille donc.
DJ Producteur international de Drum'n'Bass.
style incomparable
pour se défouler après une semaine reloue...
voiliiiii je vous le conseille donc.
J'ai vu Lenny Kravitz le 25 mai à Strasbourg, au Zenith.....
Il est beau, il chante trop bien, c'est....... :love:
Des personnes pleuraient à la fin du concert, moi j'étais déchaînée pendant la 2e partie avec les anciennes chansons...........
Le 28 juin, ce sera depeche mode ......... :siffle:
Il est beau, il chante trop bien, c'est....... :love:
Des personnes pleuraient à la fin du concert, moi j'étais déchaînée pendant la 2e partie avec les anciennes chansons...........
Le 28 juin, ce sera depeche mode ......... :siffle:
ACDC hier soir au stade Vélodrome de Marseille :love::love:
Premier stade pour moi. Un peu impressionnée. Show vraiment chouette (locomotive sur la scene, chevauchée le temps d'un morceau, par une énorme poupée gonflable d'envrion 30/40m de haut - approximativement). Effets pyrotechnique, jeu de lumière magnifique. Final avec un petit feu d'artifice (j'ai toujours adoré les feux d'artifice, je redevien pire qu'une gosse).
Musicalement, bon mélange entre quelques classiques attendus et des morceaux du dernier album. Peut-être un poil calme a mon avis, mais ce n'est que mon avis...
Angus Young bluffant par son énergie :zen: a donf jusqu'au bout...solo endiablé et tout et tout:zen::zen::zen:
Un peu déçue par le public, pas assès réactif a mon gout. Pas de hurlements ni de brassage de foule intensif. Pas de rappel (grand silence entre les morceaux). Départ général après ce qui semblait être le dernier morceau...... je m'attendais a des ohohohohoh - habituel il me semble pour rappeller un groupe sur scene a la fin...mais après mes cris :siffle:, les gens se retournaient et me regardaient bizarre aurai-je raté une étape dans l'évolution des mentalités des publics??
Mais pas déçue d'avoir fait l'aller-retour paris marseille entre deux jours de boulots...
:love:Premier stade pour moi. Un peu impressionnée. Show vraiment chouette (locomotive sur la scene, chevauchée le temps d'un morceau, par une énorme poupée gonflable d'envrion 30/40m de haut - approximativement). Effets pyrotechnique, jeu de lumière magnifique. Final avec un petit feu d'artifice (j'ai toujours adoré les feux d'artifice, je redevien pire qu'une gosse
).Musicalement, bon mélange entre quelques classiques attendus et des morceaux du dernier album. Peut-être un poil calme a mon avis, mais ce n'est que mon avis...
Angus Young bluffant par son énergie :zen: a donf jusqu'au bout...solo endiablé et tout et tout:zen::zen::zen:
Un peu déçue par le public, pas assès réactif a mon gout. Pas de hurlements ni de brassage de foule intensif
. Pas de rappel (grand silence entre les morceaux). Départ général après ce qui semblait être le dernier morceau...... je m'attendais a des ohohohohoh - habituel il me semble pour rappeller un groupe sur scene a la fin...mais après mes cris :siffle:, les gens se retournaient et me regardaient bizarre aurai-je raté une étape dans l'évolution des mentalités des publics??Mais pas déçue d'avoir fait l'aller-retour paris marseille entre deux jours de boulots...
Rock im Park le week end dernier à Nürnberg (Nuremberg en français )
Un gros festival, sponsorisé par une chaine musical, avec comme tête d'affiche : The Killers, Manson, Placebo, Korn, Slipknot, Prodigy, Bloc Party, Limp Bizkit, Bily Talent, Peter Fox, etc...
Ca n'était pas la première fois que je voyais Korn, Manson entre autres. Mais je dois dire que j'ai été bluffé par la performance de Limp Bizkit. Ils ont vraiment mit le feu. Korn était sur l'aternstage (la seconde scène) et si au début je comprenais mal ce choix, je dois dire que le fait de mettre le groupe sur une scène plus petite a été un bon choix. Car la proximité a permit de vraiment mettre le feu
Sinon que des bons concerts et une organisation tip top. Je conseille vraiment ce festival (c'est le même que Rock am Ring). Je dirai juste que le cadre de Rock im Park est bien meilleur que celui de Rock am Ring. Déjà on est dans la foret et surtout la scène principale est sur l'ancien Deutches Stadion (lieu chargé d'histoire, mais qui donne un cadre antique)...
)Un gros festival, sponsorisé par une chaine musical, avec comme tête d'affiche : The Killers, Manson, Placebo, Korn, Slipknot, Prodigy, Bloc Party, Limp Bizkit, Bily Talent, Peter Fox, etc...
Ca n'était pas la première fois que je voyais Korn, Manson entre autres. Mais je dois dire que j'ai été bluffé par la performance de Limp Bizkit. Ils ont vraiment mit le feu. Korn était sur l'aternstage (la seconde scène) et si au début je comprenais mal ce choix, je dois dire que le fait de mettre le groupe sur une scène plus petite a été un bon choix. Car la proximité a permit de vraiment mettre le feu
Sinon que des bons concerts et une organisation tip top. Je conseille vraiment ce festival (c'est le même que Rock am Ring). Je dirai juste que le cadre de Rock im Park est bien meilleur que celui de Rock am Ring. Déjà on est dans la foret et surtout la scène principale est sur l'ancien Deutches Stadion (lieu chargé d'histoire, mais qui donne un cadre antique)...
:siffle: Antique, antique
Le Deutsches Stadion de Nuremberg a commencé à être construit il y a seulement un peu plus de 70 ans
par qui on sait pour qui on sait :siffle:
Dave Gahan avait une gastro.... Ca arrive à tout le monde.
et on met pas 10 semaines à s'en soigner.....
et on met pas 10 semaines à s'en soigner.....
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