A
Anonyme
Invité
Surpopulation, pollution, réchauffement climatique, crises, aggravation des écarts nord/sud et gnagnagna la planète c'est le futur qui nous la prète.
L'époque est aux oiseaux de mauvaise augure.
Et ils n'ont pas forcément tort.
Il y a les "ça va péter", les tenants de l'apocalypse proche.
Il y a les persuadés que la science, Dieu ou la Nature viendront à notre secours, que tout cela fait partie d'un plan et que, après tout, il ne peut y avoir de fin à l'espèce humaine, quand même !?...
Il y a ceux qui attendent.
Et ceux qui retournent vivre dans des tentes en se laissant pousser les poils.
Il y a les bobos écolos qui trient leurs déchets l'âme en paix et se remettent au vélo.
Et ceux qui n'en ont rien à battre, après eux des luges sur la pente glissante qui mène...
Où ?
C'est vrai, ça. On ne sait pas.
Et vous, le futur ?
Vous le voyez comment ?
Vous l'immaginez comment ?
Le rêvez ou le craignez comment ?
Et si...
Et si pour s'affranchir de tout ça, l'homme se plongeait vraiment, totalement dans le virtuel ?
Là-bas, les "tués" n'ont rien senti et se relèvent aussitôt.
Là-bas, le racisme n'existe pas puisqu'on peut se choisir un avatar orange si on veut, pour l'assortir à ses chaussures et qui irait bâtir des théories sur la couleur d'une peau qui n'existe pas.
Là-bas, pas de pollution non plus puisqu'on ne produit rien "en vrai" au-delà de la nouriture et du minimum vital énergétique, tout le reste est virtuel.
Là-bas, tout le monde a forcément un toit.
Là-bas, rien n'existe de la peur, de la douleur, de la haine...
Là-bas, le paradis, le meilleur des mondes.
Le SpaceWideWeb - le bonheur.
Le gouvernement vous le garantit et le refuser est un délit.
Là-bas, sur Mars.
C'est le point de départ de "Reine de Mars" - mon premier roman, disponible sur le site de mon éditeur, ici.
Une chronique assez noire de ce bonheur à venir à travers la semaine mouvementée d'un groupe de jeunes gens parmis les happy few de la jeunesse martienne.
Ca peut être aussi le point de départ d'un petit creusage de méninges.
Allez, sortez vos boules de cristal, filez-y un coup de chiffon...
Et vous, le futur, vous le voyez comment ?
L'époque est aux oiseaux de mauvaise augure.
Et ils n'ont pas forcément tort.
Il y a les "ça va péter", les tenants de l'apocalypse proche.
Il y a les persuadés que la science, Dieu ou la Nature viendront à notre secours, que tout cela fait partie d'un plan et que, après tout, il ne peut y avoir de fin à l'espèce humaine, quand même !?...
Il y a ceux qui attendent.
Et ceux qui retournent vivre dans des tentes en se laissant pousser les poils.
Il y a les bobos écolos qui trient leurs déchets l'âme en paix et se remettent au vélo.
Et ceux qui n'en ont rien à battre, après eux des luges sur la pente glissante qui mène...
Où ?
C'est vrai, ça. On ne sait pas.
Et vous, le futur ?
Vous le voyez comment ?
Vous l'immaginez comment ?
Le rêvez ou le craignez comment ?
Et si...
Et si pour s'affranchir de tout ça, l'homme se plongeait vraiment, totalement dans le virtuel ?
Là-bas, les "tués" n'ont rien senti et se relèvent aussitôt.
Là-bas, le racisme n'existe pas puisqu'on peut se choisir un avatar orange si on veut, pour l'assortir à ses chaussures et qui irait bâtir des théories sur la couleur d'une peau qui n'existe pas.
Là-bas, pas de pollution non plus puisqu'on ne produit rien "en vrai" au-delà de la nouriture et du minimum vital énergétique, tout le reste est virtuel.
Là-bas, tout le monde a forcément un toit.
Là-bas, rien n'existe de la peur, de la douleur, de la haine...
Là-bas, le paradis, le meilleur des mondes.
Le SpaceWideWeb - le bonheur.
Le gouvernement vous le garantit et le refuser est un délit.
Là-bas, sur Mars.
C'est le point de départ de "Reine de Mars" - mon premier roman, disponible sur le site de mon éditeur, ici.
Une chronique assez noire de ce bonheur à venir à travers la semaine mouvementée d'un groupe de jeunes gens parmis les happy few de la jeunesse martienne.
Ca peut être aussi le point de départ d'un petit creusage de méninges.
Allez, sortez vos boules de cristal, filez-y un coup de chiffon...
Et vous, le futur, vous le voyez comment ?