Sinkha a dit:Oui en effet !! Heureusement que tu passe par la pour la correction et la réflexion. Tu as oublié le "A" a attention.
Yves78 a dit:Ne te focalise pas sur l'école mais, où que tu sois, prends tout ce que tu peux prendre. L'intérêt de certaines écoles est de rencontrer tel ou tel professionel, ou d'être mieux préparé à telle ou telle spécialisation. Mais si tu n'as pas de "désir" particulier, tu n'as aucun risque de "rater quelque chose".
Sinkha a dit:Hé ho !! Faut pas oublier Lyon, Montpellier et Marseille; Monsieur !!
Il n'y a pas que Paris en France...
Tout pareil. Le logiciel ne fait pas le métier.Yves78 a dit:Parfaite synthèse de ce qui s'est dit plus haut... Je souscris à 100 %.
Flood ? effectivement... non... je ne connais pas ce mot-la...Sinkha a dit:"watanaiko" Faudra que tu prennes des cours pour les messages sur Internet par contre. Tu ne connais pas le mot Flood !! :hein:
Quatre post les un a la suite, les messages ça s'éditent et ces mieux pour les autres. :mouais:
Innondationwatanaiko a dit:Flood ? effectivement... non... je ne connais pas ce mot-la...
ederntal a dit:Ce que je voulais dire c'est : Y a-t-il une grosse différence de qualitée de formation entre une petite école privée de province (ou la prépa est exelente, mais ou les années sup ont l'air moins géniale) et une école parisienne de renommée comme créapole ?
J'ai l'impression que dans ce milieu tout se passe a paris!
Sinkha a dit:Hé ho !! Faut pas oublier Lyon, Montpellier et Marseille; Monsieur !!
Il n'y a pas que Paris en France...
gabian fadoli a dit:Surtout, apprendre à composer, ce qui n'a strictement rien à voir avec l'apprentissage des logiciels !!!!
Je rapelle pour ceux qui n'auraient pas lu mes précédents messages, que j'ai décidé d'apprendre le graphisme alors que je savais me servir de XPress, photoshop et illustrator, et que je m'occupais de boulots de la conception jusqu'au flashage. On m'a même proposé de bosser, j'ai choisi d'aller apprendre le dessin et le design graphique, et je le conseille à quiconque croit savoir composer une page, concevoir un logo ou une pochette de CD, tout simplement parce qu'il sait se servir des logiciels utilisés dans la profession.
Ça n'empêche pas quelques petits génies autodidactes de réussir et de m'épater, mais franchement ils sont bien plus rares que ce qu'on croit. C'est comme les gens qui croient être musiciens parce qu'ils ont compris comment faire des boucles avec des samples de vrais musiciens...
Le plus gros scandale du marketing informatique, c'est le "faites-le vous même". Posséder et maîtriser l'outil ne remplace pas la réflexion, la connaissance et le savoir-faire, et tout ça, ça s'apprend, et ça s'emmagasine avec l'expérience.
gabian fadoli a dit:Personnellement, quand il s'est agit, il y a 12 ans, de savoir si je me lançais dans la voie graphique, une amie qui avait fait une école à Marseille m'a filé quelques brochures et adresses d'écoles.
Je dois dire qu'il y a une chose que je ne regrette absolument pas, c'est ma prépa à Penninghen, même si les cotés boîte-à-bac-pour-fils-à-papa et élite-qui-se-la-pète sont tout à fait exacts!
Il n'en reste pas moins qu'à Penninghen le sens de la composition, par la formation de l'½il et de la construction (dessin, croquis, composition) est très bien formé. Ce n'est pas pour rien que de cette prépa sortait à l'époque la majorité des admis au concours des Arts déco. Les cours de typo de l'époque n'étaient par contre pas terrible (même si Derre officiait en calligraphie) mais ça doit etre mieux avec Muriel Paris.
Je conseille vraiment de faire une prépa comme Penninghen pour un an ou deux, et après de filer dans le public, ou de choisir une école en province. Cette prépa donne une maturité, pour qui sait la prendre (ne pas se focaliser sur le caractère scolaire, et sur la moyenne à 5/20 qui est logique quand on voit un 14/20). Comme j'avais fait quatre ans de fac d'éco avant, j'était un peu plus agé et j'étais là pour apprendre un max.
Ensuite, concernant le graphisme proprement dit, tout dépend des profs avec lesquels on tombe.
J'ai fait l'ecv, à l'époque il y avait comme très bons Porchez en typo (parti ensuite aux Arts déco) et Bouvet (parti ensuite à Penninghen remplacer Cieslewicz), puis Maidenberg, mais aussi quelques profs pas terribles, et le niveau d'exigence était très bas par rapport à l'ESAG.
Faire le scriptorium de Toulouse avec Arin (j'en revais un peu, comme l'ANRT, mais j'ai choisi de bosser) aurait été fantastique. Je les conseille à tous les amoureux de la lettre. Dans une moindre mesure, Estienne dans sa filière typo-graphisme si elle existe toujours.
Ils faut mater les brochures et les journées portes ouvertes pour sentir ce que font faire les profs. Ensuite, il y a une grande part de hasard, les profs bougeant, et tous ne sont pas du même niveau. Paris, province, partout ça peut le faire.
ederntal a dit:[...]
Mon dilem c'est : Paris (je connais personne ou presque, j'habiterai chez ma grand mère) dans une école qui me donne très envie... Ou rester à rennes (mon meilleur pote viens faire la même école que moi ce qui permettrai de faire des soirées "créatives" très intéressante, vie dans son appart en colloc dans une bonne ambiance...).
Bouh si vous savez comme ça me prends la tête!
[...]
gabian fadoli a dit:Bah faut que tu tranches simplement :
Si les profs ou l'école ne te font pas envie, et que tu restes à Rennes pour les relations humaines, file à Paris.
On passe pas sa vie à l'école, et faut faire ce qu'on sent le plus, sinon tu le regrettera après. Même si tu connais personne, à moins d'être vraiment ermite ou timide, à Paris y a tout ce qu'il faut pour discuter et rencontrer des gens avec qui tu t'entendras, étant donné la quantité de provinciaux et d'étranger qu'il y a. Faut fréquenter les bars, par contre !
Mais si Paris ne t'attire pas du tout du tout (je parle pas du fait que tu connaisse personne) alors n'y vient pas, ça se ressentirais trop fort sur ton moral et ton envie de bosser.
àmha