Tu présentes les choses comme "toute la poulation attends les russes comme des libérateurs.
Ce qui n' est pas forcément vrai.
Une bonne partie de la population a fui et continue de fuir vers l' Ukraine (Pas vers la russie)
Qu'une partie de la population soit pro russe , ok, mais c' est pas toute la population.
"les populations civiles qui attendent les Russes comme des libérateurs"
C' est une présentation biaisée.
Tu ne sais visiblement pas ce que cela signifie le sigle (sic).
Par contre tu inventes des sous-entendus qui n'existent que dans ta tête.
Tu présentes les choses comme "toute la poulation attends les russes comme des libérateurs.
Avancer cela c'est simplement un mensonge.
Je n'ai jamais écrit "toute la population". J'ai mis en lien un reportage qui illustre la situation dont je parle. Un reportage de France TV 2 au 20 Heures. Difficilement qualifiable de pro-russe.
T'as suivi le lien ? T'as regardé le reportage ? Qu'est-ce qu'ils disent ces gens ? Qu'ils attendent les Russes ! Que ce sont leurs libérateurs. C'est ce qu'ils pensent.
La population civile qui est en train de se prendre les bombes sur la tronche, celle dont je parle, ce sont eux. Ma phrase résume la situation du reportage et le reportage illustre ce que dit ma phrase. Si tu y vois autre chose, je ne peux rien pour toi. Biaisé toi-même.
Une bonne partie de la population a fui et continue de fuir vers l' Ukraine (Pas vers la russie)
Ben voyons. "vers la Russie" comme tu dis c'est le front. Pour fuir les bombes, va vers les balles. :rolleyes:
Même avant l'offensive Russe, le front était fermé. Tu ne pouvais te rendre en zone sécessionniste sans être arrêté. Dans cette partie contrôlée par Kiev la seul issue est à l'ouest, comme dans la partie contrôlée par les sécessionnistes la seule issue est à l'Est.
Qui est pro quoi chez les civils est quasiment impossible à définir actuellement. Il y aura ceux qui reviendront vivre dans les territoires sous administration russe après le conflit et ceux qui referont leur vie sous celle de Kiev. Pour l'instant, il n'y a que ces pauvres gens qui ne veulent pas être chassés de leurs abris par l'armée kiéviste, ceux qui sont restés parce qu'ils n'ont nulle part où aller. Ce sont surtout des pauvres ou des vieux, sans doute des retraités des mines avoisinantes, comme ceux que Anne-Laure Bonnel montrait dans son documentaire de 2015. Ils parlent le russe, parce que ce sont culturellement des russes et que c'est depuis toujours la langue pratiquée dans cette région.