Doté d'un tempérament excessif et fantasque, il fut cité plus d'une fois, outre dans les charts, dans la rubrique fait divers : trafic de drogue, coups et blessures à agents de police, tentative de fuite, violence conjugale... En 1988, James Brown fut condamné à 6 ans de prison pour tentative d'agression contre des policiers. Il fut placé en liberté conditionnelle au bout de deux ans et demi.
Un immense artiste mais avec un côté sombre.
Quand on vient te racketter ton pauvre joint, ça fout les boules aussi...drogue, coups et blessures à agents de police, tentative de fuite...
Et alors ?Un immense artiste mais avec un côté sombre.
Vive le politiquement correct et les bons sentiments ! :siffle: :rolleyes:[MGZ] BackCat;4105927 a dit:Et alors ?
En dehors de la violence conjugale j'ai toute la panoplie. Qu'est-ce que ça peut foutre ?
C'est James Brown, c'est un monument musical, une légende contemporaine qui est morte. Des gosses qui ne seront pas nés avant plusieurs années écouteront sa musique peut-être toute leur vie. Mais iDuck a rappelé intelligemment qu'il avait aussi un côté sombre
Si on cherchait un peu, on aurait quoi à dire sur toi iDuck ? Du genre qui pourrait te montrer sous un angle duquel tu ne voudrais pas être vu ?
Un peu de respect pour les morts s'il vous plaît.
Bethoven était quasi facho, mais nous a laissé une musique magnifique !
Il faut souvent dissocier l'homme de son uvre... Bethoven était quasi facho, mais nous a laissé une musique magnifique !
Cette symphonie est l'une des uvres les plus populaires de Beethoven. Elle était d'abord censée être dédiée à Napoléon Bonaparte, que le compositeur admirait en tant qu'incarnation des idéaux de la Révolution française. Cependant, quand Napoléon se couronna empereur des Français en mai 1804, Beethoven fut apparemment si dégoûté qu'il effaça le nom de l'Empereur de la page titre avec une force telle qu'il brisa sa plume et abîma le papier. Plus tard, lorsque l'uvre fut publiée en 1806, Beethoven y inscrivit le titre Sinfonia eroica, composta per festeggiare il sovvenire d'un grand'uomo (Symphonie Héroïque, composée en mémoire d'un grand homme). Ce grand homme était peut-être un héros idéal inexistant, ou, plus vraisemblablement, l'essence même de l'héroïsme, qui fascinait le compositeur. Il fut aussi suggéré que ce titre ait fait référence à la mémoire de la dignité perdue de Napoléon.