Les paroles de chansons conduisent en prison

eddy1103 a dit:
Au final, ceux que certains croient défendre ici (musiciens, paroliers et artistes en général) sont ceux qui récupèrent le plus petit pourcentage de tout ce que nous payons...

On est bien d'accord... après, il faut distinguer notre impression (tout à fait d'accord avec ton rappel sur les copies de K7 :D ) et l'application plus ou moins rigolotte de la Loi... Encore une fois dans le cas du site condamné ils ont fait du fric avec un truc théoriquement (légalement) payant et soumis à autorisation qu'ils ont distribué sans payer ni demander les autorisations - ni retiré après qu'on leur ait demandé.
Que l'industrie du disque pleure sa propre mort par anticipation à chaque nouveauté technologique tout en augmentant ses profits en vendant toujours plus de produits dérivés, ça on sait bien que ce ne sont pas des philantropes, ce ne sont pas les artistes qui vont venir les défendre je suppose... ? :mouais:
 
quetzalk a dit:
(tout à fait d'accord avec ton rappel sur les copies de K7 :D )
Ca m'a rappelé des souvenirs...:love:

Encore une fois dans le cas du site condamné ils ont fait du fric avec un truc théoriquement (légalement) payant et soumis à autorisation qu'ils ont distribué sans payer ni demander les autorisations - ni retiré après qu'on leur ait demandé.
Bien d'acord là-dessus, c'était juste sur les explications et arguments donné par la suite pour appuyer l'idée que des paroles sur internet, ça doit être réglementé.
Notez d'ailleurs que de plus en plus d'artistes mettent les paroles de leur morceaux sur leur site :)

ce ne sont pas les artistes qui vont venir les défendre je suppose... ? :mouais:
C'est vrai que les artistes défendent très très peu les maisons de disques dans tout ça:siffle: (Il y en a même qui dise télécharger de la musique illégalement... ou d'autre qui se disent pas du tout géné qu'on télécharge leur musique...)

Bref, ça reste un vaste problème de sous, beaucoup plus que de respect des droits d'auteurs. Car je doute que qui que ce soit qui apprécie un artiste souhaite le voir finir à la rue. On les préfère sur des scènes de concerts:love:
 
iDiot a dit:
Plus personne n'est innocent dans ce cas... je suis un voleur, tu es un voleur, ils sont des voleurs... on peut laisser tomber tous les procés et on fonctionne comme ça... :siffle:

Non plus sérieusement, je ne sais pas trop comment réagir devant ce genre de chose... ça me dépasse...
Je crois que nous nous sommes mal compris.

Ce que je tentais (maladroitement) de dire, c'est :
Il y a l'esprit de la loi (il faut respecter le droit d'auteur, ne serait-ce que pour permettre aux auteurs de vivre et le fait que les gens qui "vendent" les auteurs se comportent parfois comme des escrocs n'est pas une excuse pour en faire autant)
Et il y a l'application de la loi : taper comme un sourd sur des téléchargeurs me semble disproportionné, sans grand effet sur les causes et un peu à côté du vrai débat (l'accès à la culture)

Maintenant, contrairement à ce que tu affirmes, même si je suis le seul, je suis innocent (du moins en ce qui concerne le téléchargement) :D
 
Je vais vous raconter
Avant de vous quitter
L'histoire d'un p'tit village près de Napoli
Nous étions quatre amis
Au bal tous les samedis
A jouer, à chanter toute la nuit
Giorgio à la guitare
Sandro à la mandoline
Moi je dansais en frappant du tambourin
Mais tous ceux qui venaient
C'était pour écouter
Celui qui faisait battre tous les c½urs
Et quand il arrivait
La foule s'écriait

Arriva, Gigi l'Amoroso
Croqueur d'amour, l'½il de velours comme une caresse
Gigi l'Amoroso
Toujours vainqueur, parfois sans c½ur
Mais jamais sans tendresse
Partout, c'était la fête quand il chantait
Zaza, luna caprese, o sole mio
Gigi Giuseppe

Mais tout le monde l'appelait Gigi l'Amour
Et les femmes étaient folles de lui, toutes
La femme du boulanger, qui fermait sa boutique tous les mardis pour aller...
La femme du notaire qui était une sainte et qui n'vait jamais tromper son mari auparavant
Et la veuve du colonel
La veuve du colonel qui ne porta plus le deuil parce qu'il n'aimait pas le noir
Toutes, je vous dis
Même moi, mais moi, Gigi aimait trop sa liberté, jusqu'au jour où...

Une riche américaine
A grands coups de je t'aime
Lui proposa d'aller jusqu'à Hollywood
Tu seras le plus beau
De tous les Caruzos
Lui disait-elle jusqu'à en perdre haleine
Nous voilà à la gare
Avec tous nos mouchoirs
Le c½ur serré, émus par ce grand départ
Pourtant on était fier
Qu'il dépasse nos frontières
Gigi partait conquérir l'Amérique
Et quand il arriva
Le village était là

Arriva, Gigi l'Amoroso
Croqueur d'amour, l'½il de velours comme une caresse
Gigi l'Amoroso
Toujours vainqueur, parfois sans c½ur
Mais jamais sans tendresse
Et là, devant la foule, il a chanté
Zaza, luna caprese, o sole mio

Gigi, quand le train eut disparu, nous sommes tous rentrés chez nous
Et le lendemain, le village n'était plus le même
La femme du boulanger refusa d'allumer son four
La femme du notaire, par désespoir pris plusieurs amants
Et la veuve du colonel ferma ses persiennes et reprit le deuil pour la seconde fois
Oui, le village avait bien changé
Et moi...

Des années ont passé
Cinq hivers, cinq étés
No news, c'était good news on nous avait dit
Il a fallu du cran
Du courage et du temps
Pour arriver à continuer sans lui
Et malgré son absence
La nuit dans le silence
Oubliant nos costumes et nos istruments
On entendait venir
Comme une larme un soupir
Du fond de la salle cette mélodie
Croqueur d'amour, l'½il de velours comme une caresse
Gigi...

Gigi ? c'est toi là-bas dans le noir ?
Attends, laisse-moi te regarder
Mais tu pleures
Tu pleures Gigi
Ça n'a pas été là-bas, hein
Et alors, et alors, qu'est ce qu'ils comprennent
Ces Américains à part le rock et le twist, hein
Ma Gigi, qu'est-ce que tu croyais, devenir comme ça Gigi l'Americano
E invece no, tu sei Giuseppe Frabrizio Luca Santini
Et tu es Nappolitain
Ecoute, Giorgio s'est mis à la guitare
Attends, Sandro est là aussi
Mais, mais tu ne peux pas t'en aller comme ça
Ici tu es chez toi
Ici tu es le roi
Tu entends, tu les entends Gigi
Ils sont tous là
Ils ont dû te reconnaître à la gare
Chante Gigi, chante, c'est ton public
Chante pour eux, chante pour moi qui n'ai jamais su te parler
Oui, vas-y, bravo Gigi, chante !

Arriva, Gigi l'Amoroso

Croqueur d'amour, l'½il de velours comme une caresse
Gigi l'Amoroso
Toujours vainqueur, parfois sans c½ur
Mais jamais sans tendresse
Partout, c'était la fête quand il chantait
Zaza, luna caprese, o sole mio
Arriva, Gigi l'Amoroso
Croqueur d'amour, l'½il de velours comme une caresse
Gigi l'Amoroso
Toujours vainqueur, parfois sans c½ur
Mais jamais sans tendresse
Partout, c'était la fête quand il chantait
Zaza, luna caprese, o sole mio
 
supermoquette a dit:
Je vais vous raconter
Avant de vous quitter
L'histoire d'un p'tit village près de Napoli
Nous étions quatre amis
Au bal tous les samedis
A jouer, à chanter toute la nuit
Giorgio à la guitare
Sandro à la mandoline
Moi je dansais en frappant du tambourin
Mais tous ceux qui venaient
C'était pour écouter
Celui qui faisait battre tous les cœurs
Et quand il arrivait
La foule s'écriait

Arriva, Gigi l'Amoroso
Croqueur d'amour, l'œil de velours comme une caresse
Gigi l'Amoroso
Toujours vainqueur, parfois sans cœur
Mais jamais sans tendresse
Partout, c'était la fête quand il chantait
Zaza, luna caprese, o sole mio
Gigi Giuseppe

Mais tout le monde l'appelait Gigi l'Amour
Et les femmes étaient folles de lui, toutes
La femme du boulanger, qui fermait sa boutique tous les mardis pour aller...
La femme du notaire qui était une sainte et qui n'vait jamais tromper son mari auparavant
Et la veuve du colonel
La veuve du colonel qui ne porta plus le deuil parce qu'il n'aimait pas le noir
Toutes, je vous dis
Même moi, mais moi, Gigi aimait trop sa liberté, jusqu'au jour où...

Une riche américaine
A grands coups de je t'aime
Lui proposa d'aller jusqu'à Hollywood
Tu seras le plus beau
De tous les Caruzos
Lui disait-elle jusqu'à en perdre haleine
Nous voilà à la gare
Avec tous nos mouchoirs
Le cœur serré, émus par ce grand départ
Pourtant on était fier
Qu'il dépasse nos frontières
Gigi partait conquérir l'Amérique
Et quand il arriva
Le village était là

Arriva, Gigi l'Amoroso
Croqueur d'amour, l'œil de velours comme une caresse
Gigi l'Amoroso
Toujours vainqueur, parfois sans cœur
Mais jamais sans tendresse
Et là, devant la foule, il a chanté
Zaza, luna caprese, o sole mio

Gigi, quand le train eut disparu, nous sommes tous rentrés chez nous
Et le lendemain, le village n'était plus le même
La femme du boulanger refusa d'allumer son four
La femme du notaire, par désespoir pris plusieurs amants
Et la veuve du colonel ferma ses persiennes et reprit le deuil pour la seconde fois
Oui, le village avait bien changé
Et moi...

Des années ont passé
Cinq hivers, cinq étés
No news, c'était good news on nous avait dit
Il a fallu du cran
Du courage et du temps
Pour arriver à continuer sans lui
Et malgré son absence
La nuit dans le silence
Oubliant nos costumes et nos istruments
On entendait venir
Comme une larme un soupir
Du fond de la salle cette mélodie
Croqueur d'amour, l'œil de velours comme une caresse
Gigi...

Gigi ? c'est toi là-bas dans le noir ?
Attends, laisse-moi te regarder
Mais tu pleures
Tu pleures Gigi
Ça n'a pas été là-bas, hein
Et alors, et alors, qu'est ce qu'ils comprennent
Ces Américains à part le rock et le twist, hein
Ma Gigi, qu'est-ce que tu croyais, devenir comme ça Gigi l'Americano
E invece no, tu sei Giuseppe Frabrizio Luca Santini
Et tu es Nappolitain
Ecoute, Giorgio s'est mis à la guitare
Attends, Sandro est là aussi
Mais, mais tu ne peux pas t'en aller comme ça
Ici tu es chez toi
Ici tu es le roi
Tu entends, tu les entends Gigi
Ils sont tous là
Ils ont dû te reconnaître à la gare
Chante Gigi, chante, c'est ton public
Chante pour eux, chante pour moi qui n'ai jamais su te parler
Oui, vas-y, bravo Gigi, chante !

Arriva, Gigi l'Amoroso

Croqueur d'amour, l'œil de velours comme une caresse
Gigi l'Amoroso
Toujours vainqueur, parfois sans cœur
Mais jamais sans tendresse
Partout, c'était la fête quand il chantait
Zaza, luna caprese, o sole mio
Arriva, Gigi l'Amoroso
Croqueur d'amour, l'œil de velours comme une caresse
Gigi l'Amoroso
Toujours vainqueur, parfois sans cœur
Mais jamais sans tendresse
Partout, c'était la fête quand il chantait
Zaza, luna caprese, o sole mio

Si on te met en prison à cause de ça, je t'apporte des oranges, promis :zen: ;) :D
 
Tout cela soulève un autre problème qui est le chois ou la vomonté de l'auteur. Je prend mon exemple qui je pense est valable pour d'autre domaine. Ma femme est écrivain et de ce fait nous sommes soucieux du droit d'auteur et n'hésitons pas lorsqu'il le faut mettre certaines affaires entre les mains de notre avocat, mais ce qui est pervers avec toutes ces lois, réglements etc, c'est qu'elle ne peut disposer comme elle le veut de ces textes. Un exemple, il lui est impossible de donner l'un de ses textes pour une œuvre, par exemple Amnesty International, sans que ceux ci ne payent de droits !!!
Je pense que ce ne sont pas aux industries de faire leurs lois, mais aux auteurs de pouvoir choisir librement ce qu'ils désirent faire de leurs œuvres.
 
kaviar a dit:
Tout cela soulève un autre problème qui est le chois ou la vomonté de l'auteur. Je prend mon exemple qui je pense est valable pour d'autre domaine. Ma femme est écrivain et de ce fait nous sommes soucieux du droit d'auteur et n'hésitons pas lorsqu'il le faut mettre certaines affaires entre les mains de notre avocat, mais ce qui est pervers avec toutes ces lois, réglements etc, c'est qu'elle ne peut disposer comme elle le veut de ces textes. Un exemple, il lui est impossible de donner l'un de ses textes pour une ½uvre, par exemple Amnesty International, sans que ceux ci ne payent de droits !!!
Je pense que ce ne sont pas aux industries de faire leurs lois, mais aux auteurs de pouvoir choisir librement ce qu'ils désirent faire de leurs ½uvres.

Les auteurs se sont laissés embobiner par les beaux discours comme les chanteurs avec la Sacem. A la base, censés les protéger, ces systèmes deviennent contraignant et empêchent les auteurs d'utiliser leurs oeuvres selon leur volonté. Le truc, c'est qu'il fudrait revoir tout le système et vu la lenteur administrative, c 'est pas gagné...:rolleyes:
 
Fab'Fab a dit:
Les auteurs se sont laissés embobiner par les beaux discours comme les chanteurs avec la Sacem. A la base, censés les protéger, ces systèmes deviennent contraignant et empêchent les auteurs d'utiliser leurs oeuvres selon leur volonté. Le truc, c'est qu'il fudrait revoir tout le système et vu la lenteur administrative, c 'est pas gagné...:rolleyes:

Auteurs, auteures, interpretes, compositeurs, compositrices, camarades. On vous ment, on vous spolie...

Bon je me laisse un peu emporté moi. :rose:
 
Et en ROT 13, ça devient une autre oeuvre.

Attention, toute copiez de ce texte sans mon accord sera une violation de mon droit d'auteur. En effet, il n'y a que moi qui ai su faire rimer "enpbagre" avec "dhvggre"

Wr invf ibhf enpbagre
Ninag qr ibhf dhvggre
Y'uvfgbver q'ha c'gvg ivyyntr ceèf qr Ancbyv
Abhf égvbaf dhnger nzvf
Nh ony gbhf yrf fnzrqvf
N wbhre, à punagre gbhgr yn ahvg
Tvbetvb à yn thvgner
Fnaqeb à yn znaqbyvar
Zbv wr qnafnvf ra senccnag qh gnzobheva
Znvf gbhf prhk dhv iranvrag
P'égnvg cbhe épbhgre
Pryhv dhv snvfnvg ongger gbhf yrf pœhef
Rg dhnaq vy neevinvg
Yn sbhyr f'épevnvg

Neevin, Tvtv y'Nzbebfb
Pebdhrhe q'nzbhe, y'œvy qr irybhef pbzzr har pnerffr
Tvtv y'Nzbebfb
Gbhwbhef invadhrhe, cnesbvf fnaf pœhe
Znvf wnznvf fnaf graqerffr
Cnegbhg, p'égnvg yn sêgr dhnaq vy punagnvg
Mnmn, yhan pncerfr, b fbyr zvb
Tvtv Tvhfrccr

Znvf gbhg yr zbaqr y'nccrynvg Tvtv y'Nzbhe
Rg yrf srzzrf égnvrag sbyyrf qr yhv, gbhgrf
Yn srzzr qh obhynatre, dhv sreznvg fn obhgvdhr gbhf yrf zneqvf cbhe nyyre...
Yn srzzr qh abgnver dhv égnvg har fnvagr rg dhv a'invg wnznvf gebzcre fba znev nhcneninag
Rg yn irhir qh pbybary
Yn irhir qh pbybary dhv ar cbegn cyhf yr qrhvy cnepr dh'vy a'nvznvg cnf yr abve
Gbhgrf, wr ibhf qvf
Zêzr zbv, znvf zbv, Tvtv nvznvg gebc fn yvoregé, whfdh'nh wbhe bù...

Har evpur nzéevpnvar
N tenaqf pbhcf qr wr g'nvzr
Yhv cebcbfn q'nyyre whfdh'à Ubyyljbbq
Gh frenf yr cyhf ornh
Qr gbhf yrf Pnehmbf
Yhv qvfnvg-ryyr whfdh'à ra creqer unyrvar
Abhf ibvyà à yn tner
Nirp gbhf abf zbhpubvef
Yr pœhe freeé, ézhf cne pr tenaq qécneg
Cbhegnag ba égnvg svre
Dh'vy qécnffr abf sebagvèerf
Tvtv cnegnvg pbadhéeve y'Nzéevdhr
Rg dhnaq vy neevin
Yr ivyyntr égnvg yà

Neevin, Tvtv y'Nzbebfb
Pebdhrhe q'nzbhe, y'œvy qr irybhef pbzzr har pnerffr
Tvtv y'Nzbebfb
Gbhwbhef invadhrhe, cnesbvf fnaf pœhe
Znvf wnznvf fnaf graqerffr
Rg yà, qrinag yn sbhyr, vy n punagé
Mnmn, yhan pncerfr, b fbyr zvb

Tvtv, dhnaq yr genva rhg qvfcneh, abhf fbzzrf gbhf erageéf purm abhf
Rg yr yraqrznva, yr ivyyntr a'égnvg cyhf yr zêzr
Yn srzzr qh obhynatre ershfn q'nyyhzre fba sbhe
Yn srzzr qh abgnver, cne qéfrfcbve cevf cyhfvrhef nznagf
Rg yn irhir qh pbybary srezn frf crefvraarf rg ercevg yr qrhvy cbhe yn frpbaqr sbvf
Bhv, yr ivyyntr ninvg ovra punaté
Rg zbv...

Qrf naaérf bag cnffé
Pvad uviref, pvad égéf
Ab arjf, p'égnvg tbbq arjf ba abhf ninvg qvg
Vy n snyyh qh pena
Qh pbhentr rg qh grzcf
Cbhe neevire à pbagvahre fnaf yhv
Rg znyteé fba nofrapr
Yn ahvg qnaf yr fvyrapr
Bhoyvnag abf pbfghzrf rg abf vfgehzragf
Ba ragraqnvg irave
Pbzzr har ynezr ha fbhcve
Qh sbaq qr yn fnyyr prggr zéybqvr
Pebdhrhe q'nzbhe, y'œvy qr irybhef pbzzr har pnerffr
Tvtv...

Tvtv ? p'rfg gbv yà-onf qnaf yr abve ?
Nggraqf, ynvffr-zbv gr ertneqre
Znvf gh cyrherf
Gh cyrherf Tvtv
Çn a'n cnf égé yà-onf, urva
Rg nybef, rg nybef, dh'rfg pr dh'vyf pbzceraarag
Prf Nzéevpnvaf à cneg yr ebpx rg yr gjvfg, urva
Zn Tvtv, dh'rfg-pr dhr gh peblnvf, qrirave pbzzr çn Tvtv y'Nzrevpnab
R vairpr ab, gh frv Tvhfrccr Senoevmvb Yhpn Fnagvav
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Rpbhgr, Tvbetvb f'rfg zvf à yn thvgner
Nggraqf, Fnaqeb rfg yà nhffv
Znvf, znvf gh ar crhk cnf g'ra nyyre pbzzr çn
Vpv gh rf purm gbv
Vpv gh rf yr ebv
Gh ragraqf, gh yrf ragraqf Tvtv
Vyf fbag gbhf yà
Vyf bag qû gr erpbaanîger à yn tner
Punagr Tvtv, punagr, p'rfg gba choyvp
Punagr cbhe rhk, punagr cbhe zbv dhv a'nv wnznvf fh gr cneyre
Bhv, inf-l, oenib Tvtv, punagr !

Neevin, Tvtv y'Nzbebfb

Pebdhrhe q'nzbhe, y'œvy qr irybhef pbzzr har pnerffr
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Gbhwbhef invadhrhe, cnesbvf fnaf pœhe
Znvf wnznvf fnaf graqerffr
Cnegbhg, p'égnvg yn sêgr dhnaq vy punagnvg
Mnmn, yhan pncerfr, b fbyr zvb
Neevin, Tvtv y'Nzbebfb
Pebdhrhe q'nzbhe, y'œvy qr irybhef pbzzr har pnerffr
Tvtv y'Nzbebfb
Gbhwbhef invadhrhe, cnesbvf fnaf pœhe
Znvf wnznvf fnaf graqerffr
Cnegbhg, p'égnvg yn sêgr dhnaq vy punagnvg
Mnmn, yhan pncerfr, b fbyr zvb

Sinon, pour ta femme, Kaviar, elle peut très bien écrire des textes pour une oeuvre caritative et ne pas leur demander de sous, je ne vois pas ou est le problème franchement. Elle ne renonce pas a ses droits d'auteurs, elle permet juste l'utilisation de son texte sans rétributions financière. Je le fait bien pour mes dessins avec le secoure populaire et ça s'est toujours très bien passé.
 
gwen a dit:
Sinon, pour ta femme, Kaviar, elle peut très bien écrire des textes pour une oeuvre caritative et ne pas leur demander de sous, je ne vois pas ou est le problème franchement. Elle ne renonce pas a ses droits d'auteurs, elle permet juste l'utilisation de son texte sans rétributions financière. Je le fait bien pour mes dessins avec le secoure populaire et ça s'est toujours très bien passé.

Elle est membre à la Sabam, le pendant belge de la Sacem et ce sont eu qui réclame l'argent. Lorsque tu t'inscrit dans une société de gestion collective du droit d'auteur, tu leur donne pouvoir pour la gestion de tes droits et pour eux, la loi c'est la loi.
 
kaviar a dit:
Elle est membre à la Sabam, le pendant belge de la Sacem et ce sont eu qui réclame l'argent. Lorsque tu t'inscrit dans une société de gestion collective du droit d'auteur, tu leur donne pouvoir pour la gestion de tes droits et pour eux, la loi c'est la loi.

C'est hallucinant, chaque oeuvre doit pouvoir se traiter différemment et surtout se vendre différemment. On ne vend pas un livre de fiction comme on vend un manuel d'informatique quand même.

En tout cas, en France, l'auteur peut sans soucis donner l'exclusivité d'une oeuvre a une association (ou autre) sans consulter qui que ce soit.
 
Illégal...
N'ermpêche que moi j'ai plein de CD sans les paroles... Ne seraient-ce que les CD 2 titres, ou encore les best-of.

Et puis, cas pratique: j'arrive au boulot, j'entends une chanson à la radio "tiens, c'est pas mal..." manque de pot, l'animateur ne donne pas le titre.
Alors ben moi, je tape les mots que j'ai compris dans google et espère tomber sur la page des paroles de cette chanson.

Si je ne peux plus trouver le titre de la chanson, j'achète pas. Je suis comme ça.
 
apkwa a dit:
Et puis, cas pratique: j'arrive au boulot, j'entends une chanson à la radio "tiens, c'est pas mal..." manque de pot, l'animateur ne donne pas le titre.

Entre parenthèses, si on ne donne pas le titre d'une chanson après son écoute, c'est fait exprès, comme ça tu viens écouter à nouveau pour essayer de savoir qui c'est, je suis sûr même que des types ont calculé combien de chansons autres tu allais entendre, combien de pubs, jusqu'à ce que tu entendes à nouveau ton titre :rolleyes:
 
Fab'Fab a dit:
Si on te met en prison à cause de ça, je t'apporte des oranges, promis :zen: ;) :D

des pommes... c'est la compote de pommes avec le boudin... :D :p :rateau:
 
kaviar a dit:
J'aurais une petite question :
A t'on encore le droit de chanter sous sa douche, ou bien faut-il payer des droits ??

Chanter sous la douche, oui car c'est en privé. Chantonner une chanson dans la rue, comme ça peut arriver à tout le monde, non, car c'est en public et il faut payer.

Et il faut payer (les mairies) pour les messages enregistrés des feux de circulation (ceux qui annoncent aux aveugles que le feu est rouge). Même ça, la SACEM a mis ses griffes dessus.

Plus ça va, et plus les pirates apparaissent comme les gentils, soutenus par la population, et les majors et sociétés de droits d'auteurs comme les méchants, détéstés de tous. Et là, ça devient grave, car quand le peuple ne croit pas en une loi, elle devient impossible à appliquer (ex : pénalisation de l'usage du cannabis). or les droits d'auteurs sont nécessaires, à condition de ne pas exagérer et de défendre vraiment les auteurs, au lieu de chercher encore et encore à engraisser les majors et autres SACEM.

Le piratage ne va pas tarder, à ce rythme là, à devenir un acte citoyen (désobéissance civique).
 
eddy1103 a dit:
Notez d'ailleurs que de plus en plus d'artistes mettent les paroles de leur morceaux sur leur site
Oui, leurs sites, ce qui ne donne pas plus le droit de les copier pour les remettre dans le domaine public ;)
Beaucoup de CD sont aussi livrés avec un livret contenant les textes.
Usage dans le domaine privé, oui, tout le reste, non :zen:

Notez tout de même que la loi régissant les droits d'auteur prévoit que, dans certaines conditions, dont une limite dans le temps, les dits droits tombent dans le domaine public [j'ai plus en mémoire et fainéantise de chercher] ;)
[comme les brevets]
Mais il subsiste la notion de propriété intellectuelle [donc des devoirs envers l'ayant-droit (ou les ayant-droits) s'il en existe encore] :up:
 
golf a dit:
Notez tout de même que la loi régissant les droits d'auteur prévoit que, dans certaines conditions, dont une limite dans le temps, les dits droits tombent dans le domaine public [j'ai plus en mémoire et fainéantise de chercher] ;)
[comme les brevets]
Mais il subsiste la notion de propriété intellectuelle [donc des devoirs envers l'ayant-droit (ou les ayant-droits) s'il en existe encore] :up:

Il ne faut pas être pressé, c'est 70 ans après la mort de l'auteur :)
 
golf a dit:
Oui, leurs sites, ce qui ne donne pas plus le droit de les copier pour les remettre dans le domaine public ;)
Beaucoup de CD sont aussi livrés avec un livret contenant les textes.
Usage dans le domaine privé, oui, tout le reste, non :zen:
Oui, entièrement d'accord. Mais elle n'en sont pas moins lisibles par tous, et surtout gratuitement. C'est sur ce point de la gratuité que je trouvais ça intéressant.
 
jaipatoukompri a dit:
Entre parenthèses, si on ne donne pas le titre d'une chanson après son écoute, c'est fait exprès, comme ça tu viens écouter à nouveau pour essayer de savoir qui c'est, je suis sûr même que des types ont calculé combien de chansons autres tu allais entendre, combien de pubs, jusqu'à ce que tu entendes à nouveau ton titre :rolleyes:
Je crois même que certaines FM proposent un service (payant) de "je te donne le titre par SMS". Il suffit d'envoyer un message pendant un morceau pour en recevoir le titre.
Malin, non ?
Il n'y a pas de petit profit.
 
Si ça continue, c'est carrément d'écouter d'la musique à la radio qui s'ra passible de prison... On ne pourra même pas fredonner une chanson dans la rue sans accord écrit de l'auteur. Bonjour le bordel...

Pour le téléchargement, certains artistes et maisons de disques ont compris qu'il fallait faire avec plutôt que contre. Les autres y viendront, par la force des choses... La cause des baisses de ventes de disques n'est pas le téléchargement, mais les coûts délirants des disques en magasin...

Tiens, les ventes de voitures ont encore baissé. Sans doute à cause des pirates qui téléchargent des voitures sur internet...